applications graphiques. Le programme permet aussi de communiquer par son
interface interne avec de nombreux autres logiciels du type AD-Pro. Il
existe bien s
r aussi un port AREXX bien compl
t qui permet entre autre
d'enregistrer automatiquement une s
rie de macros que l'on manipule
souris. Cette fonction sera appr
me par les allergiques de ce
langage. Pour terminer avec la description du logiciel voici ce que l'on
peut en conclure.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Xi-Paint (anciennement VD-Paint) est un logiciel de dessin totalement
aux cartes graphiques. Pour le moment il fonctionne sur R
tina Z2 et
Z3, Picasso II et Graffity). Il n
cessite le Kickstart 2.0 mais j'ai
remarqu
qu'il
tait plus fonctionnel et rapide sous 3.0 et 3.1. La
documentation recommande 2Mo minimum pour fonctionner, et cela marche! Il
faut dire que le logiciel utilise la Ram des cartes graphiques sur
lesquelles il tourne ainsi que le Swap disque dur pour les brosses.
anmoins, 6Mo de ram sont plus appropri
s pour le travail intensif et
ce, quelles que soient les r
solutions utilis
es. Sur Picasso II, le
logiciel ne fonctionne qu'en 24 bits tandis que les modes 24 bits et 16
bits sont disponibles pour la R
tina. Le travail en 16bits acc
grandement la vitesse du logiciel sans pour autant perdre en qualit
sur
les images (Antialiasing, Trame). On est tent
de comparer les possibilit
du logiciel avec celui qui est son concurrent: TV-Paint. Pour moi, Xi-Paint
n'est pas encore au niveau de son grand fr
re. Cependant, le fait de
pouvoir travailler sous un environnement de fen
tres Workbench ouvre des
horizons assez pratiques. Avoir toutes ses images de travail sur un m
cran,
changer directement des donn
es entre elles, est s
rement ce qui
manque
TV-Paint. On peut faire une comparaison avec EGS Paint qui lui
aussi travaille de la m
me fa
on. Xi-Paint est quand m
me sup
rieur
EGS-
Paint dans la plupart de ses options. Pour finir avec les comparaisons, Xi-
Paint est d'un abord diff
rent de Tv-Paint. Il est plus difficile
mettre
en oeuvre et plus lourd lors des manipulations des brosses et des pinceaux
de travail. Il m
rite quand m
me le d
tour et pour certaines de ses options
devient m
me indispensable.
@{"Les" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Xipaint1.jpg"} @{"images" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Xipaint2.jpg"} @{"illustrant" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Xipaint3.jpg"} cet article en sont la preuve: comme la R
tina ne
de pas encore de logiciel de Grab d'
crans, j'ai d
filmer l'
cran
d'Xi-Paint avec le camescope Canon EX1 HI, puis digitaliser les images
provenant de ce dernier et travailler un peu ces images et les brosses. Le
tout avec Xi-Paint dans une r
solution de 1280x1024 en 24 bits avec la
tina Z3 et la carte VLab en entr
es Y/C. Mon impression finale est que le
logiciel doit encore am
liorer ses fontions de manipulation de brosses et
de texte et de palette s'il veut vraiment supplanter un programme comme TV-
Paint. Dans tous les cas c'est sans conteste un logiciel
poss
der si vous
utilisez une des 3 cartes graphiques pour lequel il est adapt
. Il semble
logique de penser que Macro-System proposera rapidement des adaptations
pour les autres cartes graphiques du march
@{fg shine}Eric Laffont@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Textimage "TextImage (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T E X T I M A G E@{fg text}
FFD propose depuis quelques mois @{"TEXTIMAGE AGA" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Textimag.jpg"}, un surprenant programme
de dessin 2D, accompagn
d'utilitaires d'affichage. Jean Pierre Pieton, qui
est l'auteur de TextImage, n'en est pas
ses premi
res armes. Une version
moins performante de ce programme a d
vu le jour sur les Amiga non AGA
il y a quelques ann
es: Screen Painter.
Tirez l'ic
ne TEXTIMAGE vers votre partition "Work:" par exemple, et vous
pourrez imm
diatement travailler
partir du disque dur si vous le d
sirez.
Les 2 Mo de m
moire d'un Amiga 1200 standard sont suffisants, m
me si le
MANUEL UTILISATEUR (environ 80 pages de prose passionnante,
lui seul, il
vaut le d
tour) recommande que vous disposiez d'un peu de Fast Ram.
Double-clic,, le premier visage que le programme offre est un s
lecteur
crans. Tous les
crans AGA
l'exclusion du mode SUPER-HIRES sont
disponibles, leur taille pouvant aller jusqu'aux limites du suraffichage
TEXTE. Jusqu'ici donc, vous arpentez un territoire connu. Au-del
cran
choisi
tant install
, vous vous sentirez vite en terre
trang
re, et il
vous faudra faire table rase des habitudes acquises aupr
s d'autres
"Painters", et reposer la question: L'art du logiciel graphique 2D sur
Amiga peut-il se satisfaire d'un seul mod
@{fg shine}T E X T I M A G E - P E I N D R E@{fg text}
Trente-neuf menus, 33 sous-menus, le tout regroup
sous 3 rubriques:
VARIABLES, FONCTIONS, DRAPEAUX. Les menus et sous-menus VARIABLES
permettent d'
tablir et de modifier diverses donn
es nourrissant les
FONCTIONS. Parmi ces derni
res, une fonction ACTEURS installe une fen
mobile contenant 12 pages de 10 commandes chacune (quelques-unes sont NOOP,
c'est
dire r
de futures extensions). Ces commandes qui
concentrent l'essentiel des outils de dessin peuvent appara
tre en TEXTE ou
en IMAGE, toutes disposant d'alias clavier tr
motechniques. Cette
tre, comme la fen
tre LOUPE, comme aussi celle de la PALETTE, peut
tract
e, ou laiss
e ouverte
volont
. Les s
lections de menus
et les commandes clavier peuvent partir aussi bien de ce poste ACTEURS ou
de la LOUPE que de la fen
tre de DESSIN. Tout cela sera rythm
par des BIP
et BOP sonores baillonnables en activant le DRAPEAU... 'silence'.
Le 3
me menu -- les DRAPEAUX -- propose en effet toute une colonne de
commutateurs. L'activation des principaux commutateurs suscite l'apparition
de figurines-t
moin m
me si vous
tes en suraffichage. Toute volupt
pourtant ses limites: j'ai test
un suraffichage de 720 pixels par ligne,
... certains de ces sprites sont rest
s en touche.
Vous sautez d'une de ces fen
tres
une autre en cliquant. Si la barre
cran est visible (car vous pouvez aussi l'occulter), le nom de la
tre voire de la fonction active y est affich
. La PALETTE "de Poche" se
paye m
me le luxe, d
s que vous y s
lectionnez une couleur, de r
activer le
poste d'origine, LOUPE, DESSIN ou ACTEURS. Bref, on vous ram
la maison
en taxi !
Avec un environnement aussi riche et modulable, ne risque t-on pas de s'y
perdre? PEINDRE multiplie,
cet
gard, les rep
res. Outre les messages et
injonctions apparaissant sur la barre d'
cran, outre les sprites affich
en bas de ce dernier, le programme ne cesse de m
tamorphoser le pointeur de
la souris, profitant des grandes largeurs permises par le chipset AGA.
Cependant, tout ne fait que commencer... Au fur et
mesure de vos
explorations, d'autres fen
tres s'ouvriront, vous proposant non seulement
des gadgets GadTools, mais aussi les couleurs papillonnantes des classiques
gadgets Intuition. Et on se dit que d'autres programmes, et c'est dommage,
signent trop facilement
une grisaille "normalis
Avez-vous jamais vu une palette de 256 couleurs ? Non pas une en forme de
grille confuse, mais une vraie, une qui brille comme un
cigarettes.
Avez-vous not
que certains programmes ne permettent pas vraiment de
lectionner les 256 niveaux allouables au Rouge, au Vert et au Bleu ?
Celle de PEINDRE est un mod
le du genre.
Difficile de condenser les d
couvertes faites au d
tour de telle ou telle
fonction. Impossible pourtant de ne pas retenir qu'il y a:
- des acteurs pour cr
er des lignes/plans/bo
tes en perspective.
- des polygones r
guliers ayant jusqu'
50 c
- des polyobjets (courbes, droites, surfaces) pouvant aussi compter
jusqu'
50 points de contr
- des clips (brosses, si vous pr
rez) sur lesquels vous pouvez masquer
n'importe quelles couleurs. Le programme peut en reconna
tre 15!
- des op
rateurs sur zone (copie, agrandissement, inversion, etc...) tr
rapides et qui d
jouent, sans se troubler, les difficult
s pouvant na
d'un chevauchement de zones.
- d'autres jouant du blitter comme Rostropovitch joue du violoncelle:
voyez NEOCOLOR qui repeint les couleurs de votre dessin en un clin d'oeil.
Mais:
- Une sortie IFF 24bits est bien incluse dans PEINDRE, mais aucun des
viewers (afficheurs) fournis ne peut vraiment afficher les fichiers
sultants. On reste limit
8 bitplanes!
- Les programmes fournis ne fonctionnent pas du tout sur les AMIGA non
- Bien s
r, il suffit d'appuyer sur H ou HELP, pour obtenir
diatement une aide en ligne de 80000 octets. Mais ce document n'est pas
au format AmigaGuide!
- PEINDRE m
morise constamment les cinq derniers POINTS (coordonn
x,y) sur lesquels les actions se sont appuy
es, soit! Mais le novice ne
risque t-il pas de suer sang et eau pour apprivoiser ces cinq petites
tes? Et elles n'arr
tent pas de s'empiler en plus, c'est du propre!
- Beaucoup d'acteurs sont d
pendants de VARIABLES et/ou de DRAPEAUX.
Cette modularit
, facteur de puissance en d
pit de la compacit
programme, n'est-elle pas
double tranchant ? Elle oblige l'utilisateur
bien assimiler toutes ces interd
pendances.
En conclusion, allez
PEINDRE, mais allez-y avec passion!
@{fg shine}V O I R e t S C R U T E R@{fg text}
L'auteur pr
tend que les afficheurs fournis VOIR et SCRUTER, (lequel est
aussi un "scrutateur" de r
pertoire et un s
lecteur aux scrollings
couper
le souffle) sont parmi les plus rapides du moment. Difficile de d
mentir,
mais la palme n'est-elle pas plut
t pour le Dice C qui d
montre ici de
clatante l'excellence de ses effets?
VOIR est aussi un
tonnant d
rouleur de slide-shows. Les options
mode UNIX ( -br -md24 etc...) risquent toutefois de f
cher ceux qui sont
brouill
s avec leur clavier. SCRUTER leur fera meilleure figure,
puisqu'il installe un
cran peupl
de gadgets, dispose d'une aide
embarqu
e, et ne fatigue que l'index de la main droite. Enfin, de frais
coprocesseur), 2Mo CHIP, 12Mo FAST RAM, disque dur 500Mo, lecteur CD, trois
crans (deux RVB 15Khz, un preview vid
o), Workbench 2.0. Le programme
, @{"un premier
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster3.16c"} appara
t. Il va servir de plateforme aux
rentes fonctions de la carte: param
trage audio/vid
o, DVE, titreur,
painter 24bits ou digitaliseur, mais permet aussi le d
marrage du "switcher
screen", fonction qui va permettre d'activer tout programme compatible avec
l'environnement de la carte (Imagine, lightwave, Real3D, Image FX,
Dpaint,...)
@{fg shine}L e s f o n c t i o n s v i d
o@{fg text}
Le roaster chip comporte DVE (digital vid
o effects). Intervenir sur le
signal vid
o en temps r
el est dor
navant possible sur Amiga. Il est
d'ailleurs surprenant que ce type de carte ne soit pas sorti plus t
t au
standard PAL. Il
tait temps. La carte permet toutes sortes de compression
ce au Roaster chip, circuit sp
cialis
pour "triturer" l'image
dans tous les sens: d
placement 3D,
tirement, retournement, rotation,
volet, PIP effet de vague, etc... En tout, plus d'une centaine d'effets
temps r
el. Ils sont d
clench
s soit de fa
on automatique soit manuellement
par le biais d'un levier que l'on d
place
la souris (figure 3). Ces
effets sont enti
rement param
trables: forme, d
placement et dur
(globale, d
but et fin de course). Ils sont modifiables sur les trois axes
(XYZ). Cette fonction remarquable de par sa simplicit
d'utilisation permet
de recr
er ses propres effets ou de personnaliser ceux d
existants.
Nota: il est possible d'attribuer
chaque point de d
placement de l'objet
un param
tre de vitesse, mais aussi de forme 3D (figures @{"4" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster6.8c"} et @{"4A" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster7.8bt"})
@{fg shine}Q u e l q u e s e x e m p l e s@{fg text}
A/ @{"Effet de compression 3D" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Roaster4.jpg"} entre deux sources vid
1/ La source vid
1 (magn
toscope en lecture)
2/ La source vid
2 plan vid
o num
en temps r
el simule la deuxi
source incrust
e (le bo
tier Video Suite n'
tant pas pr
sent)
B/ @{"Effet de transition" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJANVIER/Roaster5.jpg"} entre deux sources vid
o avec une animation 3D
Amiga:
1/ La source vid
1 (magn
toscope en lecture)
2/ La source vid
2 plan vid
o num
en temps r
el simule la deuxi
source incrust
3/ L'image Amiga (une animation 3D) incrust
e entre les deux plans vid
effectue la transition
C/ Effet de transition entre deux sources vid
o par insertion d'un plan
Alpha channel:
1/ La source vid
1 (magn
toscope en lecture)
2/ La source vid
2 plan vid
o num
en temps r
el simule la deuxi
source incrust
3/ Le plan alpha channel g
rant un effet de solarisation est incrust
transparence et effectue la transition entre les plans vid
o (animation
e par l'Amiga)
Remarque: une ou les deux sources vid
o peuvent
tre remplac
es par un plan
24bits g
par la carte Opal Vision (num
risation, image de synth
se ou
graphique).
@{"L e c h r o m a k e y" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster8.16c"}
Fonction utilis
e couramment en t
vision pour la pr
sentation du
journal m
o: le commentateur m
o est film
sur un fond bleu puis
incrust
en r
gie sur les images de la carte de France, con
ue par une
palette graphique. Le bleu est g
ralement utilis
en vid
o comme couleur
d'incrustation, il suffit donc de filmer le personnage ou l'objet sur un
fond de cette couleur pour ensuite l'incruster en r
gie sur une autre image
o ou informatique. Seul le fond laisse appara
tre l'image incrust
donnant l'impression que le pr
sentateur est devant l'
cran. La carte
permet aussi le luma keying et utilise au choix une ou plusieurs couleurs
pour l'incrustation mais, g
re aussi l'alpha key (gestion de l'alpha
channel sur 256 niveaux de gris). Compl
mentaire au Chroma Key cette
fonction d
termine une transparence en d
. Il suffit de choisir la
couleur que l'on souhaite utiliser. C'est tr
s utile mais pas toujours
exploit
par manque de temps en post-production. Cette fonction
vite par
exemple, lors de contours francs, les escaliers caract
ristiques des images
informatiques incrust
es, surtout lorsque les contours ont une couleur vive
et uniforme.
@{fg shine}V i d e o p r o c e s s o r o u l a r e t o u c h e v i d
@{fg text}
ritable r
gie d'effet vid
o, la carte permet diff
rentes modifications
sur le signal vid
* Les masques de transition (volets). Ils sont r
glables dans leurs
contours mais il est aussi possible de leur appliquer une ombre (avec
transparence).
* @{"La colorim
trie" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster9.16c"}. Il est possible d'intervenir sur chacune des
composantes RVB ou YUV et de retoucher une balance des blancs mal r
sur une seule source ou de redonner "un coup de p
che" au signal vid
o en
retouchant juste les valeurs de gamma, les contours, la luminosit
ou un
contraste un peu d
faillant.
* Des @{"effets d
finis" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJANVIER/Roaster10.16c"} parmi lesquels (post
risation,
clatement,
mosaic, n
gatif, mapping, etc...) sont
galement fournis en standard. Ces
effets peuvent
tre bien entendu modifi
* Le "splitline" classique s
parateur d'
cran. Il permet de contr
ler en
temps r
el les effets appliqu
@{fg shine}L e d i g i t a l i s e u r@{fg text}
La carte permet de num
riser une image vid
o en 24bits temps r
el et en
haute r
solution. Pour cela, il y a deux solutions:
* directement par l'interface utilisateur qui dispose de la fonction
desinterlace
* avec le logiciel Opal Paint. Les images peuvent
tre retouch
es puis renvoy
es dans l'interface utilisateur. Ces images
es sont bien s
r exportables vers d'autres logiciels.
@{fg shine}L e s l o g i c i e l s@{fg text}
Opal Paint: d
crit lors d'un pr
dent test (ANews n
63), je ne
reviendrai pas dessus si ce n'est que le logiciel g
re les options
suppl
mentaires de la carte (plans ALPHA CHANNEL et digitaliseur)
Opal Presents et Opal Animate: ces logiciels font partie du package Opal
Vision, Opal Presente est d
la pr
sentation de slide show, m
langeant
sans restriction image Amiga et image 24bit. Opal animate affiche, comme
son nom l'indique, des animations pouvant aller jusqu'au format 768*286 en
24 bits (variant selon la configuration machine utilis
Montage 24: d
test
(ANews n
63), ce titreur apporte en plus la
gestion de l'alpha channel et des plans 24 bits mais je n'ai pas pu
l'installer pour cause de "read write errors". Il reste seulement
que cette version soit plus rapide que la version AGA.
Opal Keys: il permet d'ouvrir une fen
tre 24bits sur une application.
@{fg shine}L e s r
s u l t a t s@{fg text}
On a regrett
Si certains effets n'ont pu fonctionner correctement, allant jusqu'
"planter" la machine, il semble
priori que cela ne mette pas en cause la
partie hardware mais plut
t la partie logicielle. Il est donc difficile de
juger les d
fauts de cette carte sans garder
l'esprit que nous avions en
main une b
ta version, d'autant plus que le CD re
u nous a donn
quelques
probl
l'installation. Aussi nous n'
mettrons pour cette fois aucune
critique, si ce n'est des remarques:
l impossibilit
de tester la chaine vid
o en YC, la prise du signal
d'entr
e ne fonctionnant pas correctement.
* ne pas avoir eu l'occasion de tester l'interface VideoSuite.
* parmi les options possibles, un
diteur de montage facon Videomachine
serait bienvenu (vive l'int
gration) ou mieux encore de montage virtuel, ce
qui pourrait rendre le produit encore plus comp
titif (j'en conna
s qui
touffent)
On a appr
* L'ergonomie du logiciel est vraiment r
ussie et il est clair que ce
produit est con
u par et pour des vid
astes (la ressemblance avec Lightwave
est vraiment surprenante
moins que ce ne soit l'inverse)
* Les possibilit
s de compression temps r
el du DVE
* La qualit
du signal composite. Elle nous a surpris vue la taille du
codeur car bien que test
e en partie en composite, tout du moins pour le
signal d'entr
e, les probl
mes de Cross Color sont relativement bien
s. Il laisse pr
sager une excellente qualit
avec l'interface
Videosuite.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Ce test ne pr
tend pas pousser la carte dans ses retranchements, d'autant
plus qu'ils sont nombreux. Il est en fait plut
t un survol d'ensemble. Il
nous faudra donc tr
s certainement revenir plus en d
tail sur ce produit
qui, une fois debogu
e et livr
e avec son interface vid
finitive, ne
manquera pas de faire craquer plus d'un vid
aste. Je peux vous dire que
pour certains, cela est d
fait. Aussi nous ne manquerons pas de vous
tenir au courant de sa disponibilit
. Alors
qui s'adresse cette carte? Je
dirais
tous les vid
astes, professionnels comme amateurs, tant pour un
usage vid
o institutionnel que personnel. Quant
son prix le package
complet serait annonc
aux USA aux environs de 16000F. C'est
dire
prix vraiment comp
titif "wait and see..." ("attendre et voir")
@{fg shine}Eric Lapalu@{fg text}
Nos remerciements
CIS pour le pr
t de la carte.
@ENDNODE
@NODE Tlt "L'Amiga
la t
(01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L ' A m i g a a l a t
!@{fg text}
Si l'Amiga est bien implant
dans le milieu de la vid
o, c'est souvent en
tant que g
rateur de caract
res "Low-cost". Mais lorsqu'une cha
ne locale
prend le pari de r
aliser la quasi-totalit
de son habillage sur cette
machine, que ce soit en direct comme en post-production, on est en droit de
s'interroger sur le bien-fond
d'une telle option...
@{fg shine}E n p r
a m b u l e@{fg text}
La constatation qui s'impose est que la quasi-totalit
des stations
infographiques "s
rieuses" pr
sentes en audiovisuel sont des machines
es. La plus connue d'entre elles, la PaintBox de Quantel qui existe
aujourd'hui dans plusieurs versions, domine le march
me si les prix
baissent peu
peu, il faut avouer que ce type d'appareil reste
difficilement accessible aux structures l
res. D
s lors, on peut
gitimement se demander pourquoi
peu pr
s tous les constructeurs
sents dans le milieu de la vid
o ont cr
leur propre palette graphique,
parfois coupl
un g
rateur d'effets num
riques: Getris images, GVG,
SONY ou feu Ampex... Les prix variant de quelques centaines de milliers
un, voire plusieurs millions de francs. En fait, tout part du principe
qu'une entreprise s'
quipera plus facilement du mat
riel le mieux
compatible avec ses propres moyens de post-production: le mat
riel de la
me marque! Sachez aussi que pour beaucoup de ces stations l'interface
utilisateur est g
e par un PC, les circuits d'affichage et la m
moire de
masse r
sidant dans des bo
tiers s
s, tr
s beaux Racks au milieu des
tos Beta, BVU ou MII. Rien
voir donc avec notre petit Amiga au look
micro
moins de 50 000F avec son Genlock. Pourtant,
Toulouse, la t
locale a jet
son d
volu sur l'Amiga.
Et pas n'importe quelle t
vision locale, puisque TLT fut la premi
en France: sa premi
mission eut lieu le 7 avril 1988 exactement... Il
va sans dire que depuis ce jour, les programmes ont
, pour aboutir
aujourd'hui
deux heures de direct quotidien. On y trouve un journal, bien
r, mais aussi un Talk-Show quotidien traitant de probl
mes propres aux
toulousains et environs. Les sports ont aussi leur place, de m
me que les
loisirs et le cin
ma en fin de semaine. Le restant de la journ
e est occup
par des rediffusions de la veille, ainsi que par un programme
d'accompagnement nomm
Infoplus (petites annonces, clips, pr
sentations de
films et spectacles...) en grande partie r
sur Amiga.
@{fg shine}U n r
l e
p a r t e n t i
r e@{fg text}
Bizarrement, l'Amiga n'est entr
que relativement r
cemment au sein de
TLT, il y a trois ans. Un A2500
d'un Genlock GST 2500 sert
fabriquer Infoplus. Pour ce faire, Bertrand Maria, l'infographiste attitr
filme
l'aide d'un banc-titre les photos des petites annonces, puis tape
leur texte
l'aide de Scala; les deux
ments sont ensuite assembl
l'aide d'un m
langeur image. Le GST permet d'incruster le texte par-dessus
la vid
o, tout en profitant des effets de transition de Scala pour passer
d'une page de texte
l'autre. Evidemment, le 2500
tant limit
couleurs simultan
es (le pauvre tourne sous WB 1.3...) en haute r
solution
overscan, son utilisation dans ce cas revient
un g
rateur de
caract
res. Mais la souplesse d'utilisation l
gendaire de l'Amiga permet
une mise en place extr
mement rapide des pages-
cran. C'est pourquoi cette
solution reste pr
un environnement plus lourd. L'enregistrement
final de la vid
o se fait en Betacam SP, le format universellement utilis
en vid
o Broadcast. Puis cette cassette est diffus
e automatiquement par un
robot qui
vite d'avoir en permanence un op
rateur surveillant l'antenne...
Revenons quelques instants sur la r
solution utilis
e: dans tous les cas
c'est la r
solution vid
o PAL, 736*580. En fait, une utilisation broadcast
cessite un alignement par rapport aux autres sources. Et c'est l
un des
points les plus importants de l'Amiga que d'avoir permis d
s le d
d'afficher cette r
solution gr
l'overscan. Cela explique aussi le fait
que l'on voit si peu de PC ou de Mac dans une r
gie. La facilit
"Genlockage" de l'Amiga a donc
cisive. Les modes inf
rieurs (320*256,
320*512) sont donc prohib
s dans ce domaine, o
la finesse de
l'enregistrement Beta retranscrit fid
lement le moindre d
faut. Le probl
est, dans ce cas, la vitesse d'animation qui devient vite probl
matique si
l'on ne dispose pas de syst
me d'enregistrement image par image, comme
l'Abekas A60 ou... la carte PAR. Mais nous y reviendrons.
Les virgules d'encha
nement furent r
es sur ScalaMM300,
l'aide de
l'A3000 qui tr
ne depuis trois ans en r
gie. Celui-ci joue un r
important pendant le direct du soir, puisque c'est lui qui "habille" les
incrustations diverses (nom des protagonistes, lieux de l'action ou
signature des reportages) qui, elles sont fabriqu
es par un g
rateur de
caract
res d
. Et oui, quoi qu'on en dise, la r
solution de ces
machines, et surtout leur anti-aliasing, sont pr
l'Amiga. Il faut
dire aussi qu'elles sont sollicit
es en permanence par les scripts qui
doivent pendant l'apr
s-midi taper les textes demand
s, et
laborer le
conducteur du jour (planning minut
la seconde pr
s de l'
mission).
L'Amiga est quant
lui fort occup
durant ce temps, puisqu'il sert avant
tout de palette graphique. En effet, les journalistes ont souvent besoin
d'une carte ou d'un graphique pour
tayer leurs propos: DPaint est l
nable de par son ergonomie, c'est lui qui s'occupe de toutes les
ches sus-d
crites,
depuis juin par ScalaMM300.
C'est avant tout la simplicit
- souvent gage d'efficacit
- qui prime
dans ces cas-l
. D'ailleurs, il serait bien souvent difficile de fignoler
au pixel pr
s ses
crans lorsque leur temps de conception est plus proche
des cinq minutes que de la journ
e! Selon l'habitude dans le milieu de la
o, le travail est la plupart du temps
rendre pour la veille, dernier
lai. Heureusement, Scala et ses fonds d'
cran ont permis plus d'une fois
d'att
nuer la s
cheresse d'un tableau statistique sur le trafic Toulousain
en centre-ville de mai
juin 1994... De plus, depuis trois ans bon nombre
de petits graphismes divers se sont accumul
s sur le disque dur, permettant
encore une mise en page plus attrayante. Pour en revenir
des
consid
rations plus techniques, l'A3000 est transf
en vid
l'aide
d'un Genlock MSP 3400 de SATV, qui fut longtemps une r
rence en mati
de qualit
. Notons que l'incrustation de l'Amiga sur l'image se fait
directement
partir du m
langeur central: cette console permet au
alisateur de commuter
l'antenne telle ou telle cam
ra (il y en a six
sur le plateau), tel magn
toscope ou bien s
r l'Amiga. Pour ce faire, le
MSP d
livre un signal dit "de d
coupe" (ou Key) qui reprend celui de
l'Amiga, mais en noir et blanc. Ainsi, le m
langeur remplace le noir de
l'image par la vid
o, et le blanc par l'image Amiga (en sch
matisant, la
est un tantinet plus compliqu
e). Le logo de l'
mission "Tous les
jours c'est l'info" provient donc de l'Amiga, ainsi que diff
rents
messages: num
ros de t
phone, informations diverses. Ces pages sont tout
simplement stock
es sous la forme d'une animation DPaint, et
l'infographiste n'a qu'
choisir le bon cadre au bon moment. Ce choix
s'effectue la plupart du temps hors antenne. La page de brouillon de DPaint
permet d'avoir en permanence la page la plus usit
e sous la main (en
l'occurence le logo) par une simple pression sur la touche j.
@{fg shine}U n p a r t e n a i r e i n d i s p e n s a b l e@{fg text}
Ces applications pourraient pr
senter un int
t plus que relatif dans un
cadre normal, mais il faut insister sur le fait que ces manipulations
s'effectuent en direct total; lors de d
bats agit
s, le r
alisateur peut
tout moment commander une page sp
ciale, ce qui demande une synchronisation
parfaite entre celui-ci, l'infographiste et la scripte. La moindre erreur
de manip' se solderait par l'apparition d'un magnifique requester "Aller au
cadre n
..." devant plusieurs milliers de spectateurs (ils sont
peu pr
360000 par semaine.)!
Mais la vocation primaire de l'A3000 est la conception des cartes
o... Et oui, gr
l'Amiga, il suffit de quelques minutes pour
aliser la m
o du jour: les quatre cartes qui la composent sont charg
sous DPaint, puis en page de brouillon est charg
e la planche contenant les
petits nuages. Un excellent exercice de gestion de palette, puisque ic
nes,
cartes et temp
ratures doivent tenir en 16 couleurs... en attendant un
me d'affichage plus puissant... Tous les jours, vers 17 heures, les
visions de M
o France parviennent
TLT sous la forme d'un Fax. Il est
amusant de constater que suivant la p
riode de l'ann
e, ceux-ci se r
lent
plus ou moins laconiques. Les pr
visions d'
demandent souvent une
interpr
tation pouss
e de la part de l'infographiste lorsqu'il se retrouve
en face de trois lignes de texte et des temp
ratures fantaisistes...
Il arrive aussi que des publicit
s ne puissent
tre r
es autrement
qu'en infographie; ici encore, le couple DPaint/ScalaMM300 est sollicit
cessit
de travailler en haute r
solution interdit l'utilisation de la
3D dans ces cas pr
cis. De plus, les budgets allou
s (qui n'ont pas grand-
chose
voir avec ceux des cha
nes nationales, il faut le souligner)
obligent
travailler rapidement, pour produire plus. Ne perdez pas de vue
que TLT est une cha
ne priv
e, qui ne vit presque que de la publicit
@{fg shine}O n n e p e u t p l u s s ' e n p a s s e r@{fg text}
Mais il est un domaine o
l'Amiga donne sa pleine mesure, c'est la
ation de g
riques et virgules diverses. Pour ce faire, un 4000/040
de 14 Mo de RAM et d'un disque dur de 340 Mo est accoupl
(si vous
faites un petit, gardez-m'en un!)
la station graphique MSP 9000 de SATV.
On rentre ici dans le domaine des poids lourds. En effet, ce duo de choc a
permis la r
alisation de l'habillage du 19/20 h quotidien par Fabienne
Kaufinger, Laurent Az
ma ainsi que moi-m
a y est, je suis d
masqu
Le MSP, outre son excellente qualit
de sortie, a entra
l'utilisation de
TVPaint2.0 et la digitalisation en 24 bits temps r
el. Et bravo
SATV, car
la vitesse de travail est assez impressionnante. Le rendu en 32 bits permet
une incrustation parfaite sur la vid
o (en YUV, s'il vous pla
t). Mais
surtout, c'est la gestion de la transparence qui permet des effets
ressants. Par exemple, les lettrages s'ornent de d
s parfaits semi-
transparents. Ces g
riques sont donc une combinaison de DPaint,
ScalaMM300, TVPaint2.0 et Real3D. DPaint? En effet, au d
but de certains
d'entre-eux, un effet d'explosion de lettres n
cessitait une animation
d'une fluidit
prochable... en 780* 576. Heureusement, quatre couleurs
suffisaient. L'anim a ensuite
convertie en Anim8L gr
AnimLab,
l'utilitaire de conversion de Scala, puis relue par celui-ci
images/secondes.
Par contre, le g
rique principal (tous les jours c'est l'info) consiste
en un encha
nement ininterrompu d'images retravaill
es par TVPaint et ses
rators. Ici, ces images furent num
es, trait
es puis enregistr
une en B
ta SP. La qualit
demand
e rendait impossible toute
relecture en temps r
el depuis l'Amiga (car AGA n'est pas un foudre de
guerre...).
@{fg shine}L a 3 D . . .@{fg text}
La 3D est intervenue quant
elle, dans le g
rique de l'
mission
d'humour "Fiel ma T
", anim
e par les Chevaliers du Fiel, un duo de
comiques. Notons que les musiques de l'
mission sont r
es par Francis
Ginibre, l'un des deux protagonistes,
l'aide de synth
s et... d'un Amiga
de Studio 24. D
ment, elle est partout c'te machine! Pour en
revenir au g
rique principal, deux t
viseurs "vintage" ont
s sur Real, puis incrust
s sur la vid
o. Ils servaient en fait de
masques
des fen
tres cr
es par un g
rateur d'effet, ce qui a permis de
montrer deux parties du corps d'un personnage dissoci
es l'une de l'autre.
l'alpha channel du MSP, l'incrustation est invisible. Pour un faux
jingle m
o parodiant le fameux "Darty", une autre des facult
ressantes du MSP 9000 a
utilis
e. En effet, une tour Eiffel plut
matique et son environnement ont
s sur Real, puis affich
en 24 bits sur TVPaint. Puis (merci le multit
che!) une petite camionnette
anim
e sur Real pour donner l'impression de traverser l'
cran et de
se crasher sur le bord droit du t
viseur. Gr
la combinaison
simultan
e des deux plans, la s
quence a pu
tre enregistr
e en temps r
l'animation proprement dite ne se d
roulant que sur une portion d'
cran. La
vitesse d'affichage
tait donc suffisante.
@{fg shine}T o u t n ' e s t p a s r o s e@{fg text}
C'est finalement l
le gros d
faut remarqu
de l'Amiga, pourtant rattrap
par sa souplesse et sa polyvalence. En effet, dans le milieu de la vid
Broadcast, on est plut
t habitu
disposer d'une machine par fonction, ce
qui remplit vite une r
gie: m
langeur, g
rateur d'effets, voies de
contr
le diverses et autres
diteurs de montage... C'est donc avec une
certaine m
fiance que l'on a vu arriver une machine qui se targuait
fois de faire office de palette graphique, de g
rateur de caract
re ou de
station 3D. Mais on a du se rendre
vidence: l'Amiga fait tout cela, et
me plus. Il est devenu aujourd'hui incontournable pour habiller les
magazines de la cha
ne. Gr
des programmes comme TVPaint, on arrive
une qualit
une versatilit
proches d'une Paintbox Junior, pour le
quart du prix (sachant que la PaintBox Jr n'anime pas, elle!). Bien qu'un
faut soit apparu au fur et
mesure de l'utilisation de TVPaint:
l'absence de support direct des polices vectorielles... D
faut all
grement
effac
par la version 3.0 du logiciel, que l'on esp
-Toulouse pour
bient
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Il faut souligner que TLT est une structure l
re. A ce titre, les
investissements mat
riels importants sont
s avec soin (le couple
A4000 + MSP 9000 repr
sente environ 50 000 francs, tout de m
me). Le choix
de l'Amiga en tant que station infographique s'est fait de mani
naturelle, principa- lement en fonction du co
t. Mais on ne s'aventurait
pas en terrain inconnu, puisque le responsable technique de la cha
dait lui-m
me un A500
poque de l'achat du 3000. Reste
savoir si
cette fid
envers l'Amiga restera de mise: la balle est dans le camp du
repreneur de Commodore.
@ENDNODE
@NODE Vlabmo "VLab Motion (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}V L A B M O T I O N@{fg text}
Cel
fait quelques mois que la PAR (Personnal Animator Recorder) est
disponible. Elle permet d'enregistrer des animations infographiques et de
digitaliser des s
quences vid
os. Actuellement, les logiciels fournis avec
la PAR ne permettent pas de faire du montage vid
o. Seul NECOS-System
permettra d'effectuer ce genre d'op
ration pour environ 3500F. Maintenant,
la V-Lab Motion permet de saisir, de monter et d'afficher des s
quences
os et infographiques pour un prix raisonnable. De l'ordre de 7000F.
(Le Necos-System permet de contr
ler la carte PAR ainsi que la carte sonore
Sunrize AD516. Cette configuration approche plut
t la qualit
Broadcoast,
et repr
sente selon la configuration un investissement de 40000F
60000F).
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
La carte (au format Zorro II) permet de saisir et d'afficher des
quences
25 images par seconde en 24 bits. Les formats d'entr
e-sortie
sont le Composite (VHS et 8mn) et le Y-C (S-VHS et Hi8). Les images sont
stock
es sur un disque dur ou une partition Amiga au format JPEG. Cet
espace disque est pris en charge par le logiciel (Movie Shop) et n'est plus
disponible pour le syst
me. Le d
bit n
cessaire au bon fonctionnement de
l'ensemble varie de 200 Ko/s
2.5Mo/s (informations donn
es par le
constructeur) suivant la qualit
des images d
es. Celle-ci est
termin
l'initialisation de la partition, par le pourcentage de
compression JPEG. Notons que la compression et la d
compression sont
effectu
e en temps r
el par la carte (dans le cas d'une source vid
o). Il
faut pr
ciser que je n'ai pas pu obtenir un pourcentage de compression
rieur
Apr
s avoir effectu
e l'installation mat
riel et logiciel, c'est avec une
certaine appr
hension que je charge le programme. Je me souviens des
logiciels de la R
tina qui sont assez d
licats
utiliser et qui se
lent peu performants (qualit
de l'
mulation). Je me retrouve sur un
cran de travail multi-fen
tres" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Vlabmo.8bt"}
able
utiliser. Cet
cran peut
tre s
lectionn
par SreenMode.
Cependant, une carte graphique me semble n
cessaire, le nombre de fen
tres
est important. Le programme utilise la carte Retina pour ouvrir un
cran en
16 millions de couleurs. Par ailleurs, la carte sonore Toccata
(environ1800F) peut
tre g
e et permet alors la gestion du son en plus de
l'image. Malheureusement, cette pr
sentation sera effectu
e sans elle...
@{fg shine}U t i l i s a t i o n@{fg text}
J'ai utilis
une cam
ra Canon EX-1 Hi8 (Y-C). La saisie se fait en 768
par 592 (haute r
solution entrelac
e overscan) en 25 images par seconde. Il
est possible de saisir soit une s
quence de taille d
termin
e ou non, soit
en image par image. Si on d
sire import
des images de votre disque dur la
compression est effectu
e par l'Amiga. Celle-ci est relativement longue: 20
secondes par image sur une WarpEngine (68040 40Mhz). Une seconde animation
met environ 8 minutes pour
tre mont
e. Les images peuvent
tre visualis
en temps r
el par des commandes de type magn
toscope (lecture, pause, stop,
enregistrement, ascenceur de positionnement rapide, etc...). Les s
quences
es individuellement peuvent
tre encha
es avec des effets de
transitions.
Toutes ces op
rations se font pour la plupart
la souris dans la fen
"Time Line". Comme vous pouvez le constater tout est visuel contrairement
aux logiciels de la PAR. On peut avec aisance d
placer une s
quence ou un
effet, changer les param
tres ou la dur
e d'un effet... Les effets sont
sous forme de modules externes ce qui permet des
volutions. On trouvera:
Alpha, ColorToGray, Compose, Crop, Fade, Mosaic, Rotate, Shift, Wipe,.. Ils
sont de bonne qualit
mais se r
lent lents (ils sont calcul
s par
l'Amiga). Lors de la g
ration de la s
quence globale, il faut donc aller
prendre un petit caf
. Mais quel plaisir de pouvoir effectuer de nombreux
essais, enlever des images,...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Une carte tr
s int
ressante pour effectuer du montage et sortir des
animations infographiques pour un prix tr
s raisonnable. Il faut tout de
me pr
voir un bon couple contr
leur / disque-dur (le SCSI2 est bien
venu). Par exemple, sur la configuration test
e, une partition de 80 Mo sur
un disque-dur SCSI2 ne permet que le stockage d'une minute d'animation en
qualit
maximum. Le logiciel me semble
la hauteur pour une utilisation
professionnelle, mais l'absence d'entr
e / sortie YUV freinera ce type
d'utilisation. Prochainement, un test dans un environnement vid
institutionnele sera effectuer.
@{fg shine}Lucas Janin@{fg text}
Nous remercions MacroSystem pour le pr
t de la carte. De plus, une
nouvelle version du logiciel devrait sortir prochainement.
@{fg shine}Le prix du paquetage est de 2000 DM.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Amigrafx "AMI-GrafX (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A M I - G r a f X@{fg text}
Un nouveau venu dans la presse
La presse Amiga fran
aise fonctionne
l'inverse de ses voisines. Alors
que l'heure de gloire de la presse allemande par exemple s'est
teinte
depuis d
deux ou trois ans, on voit appara
tre chez nous de nouvelles
productions ces derniers temps. La France est souvent
l'origine
d'importantes d
couvertes mais il est rare que la commercialisation suive,
et nous avons toujours un peu de retard. En tous cas, r
jouissons-nous et
souhaitons d'ores et d
longue vie
ce confr
La page de publicit
dans notre num
ro de novembre ayant
veill
curiosit
. Ne pouvant le trouver en kiosque, puisqu'il n'est vendu que par
correspondance, AmigaNews m'a propos
de tester Ami-GrafX.
La publication est bimestrielle (tous les deux mois, donc). Le num
ro 1
correspond
mai-juin 94, le prix unitaire est de 35 FF mais l'abonnement
annuel (6 num
ros) co
te 185 F port inclus pour la France, 240 FF pour
l'Europe et 380 FF par avion
Les couvertures sont en couleurs, elles repr
sentent des graphismes
s sur Amiga. Le num
ro 1 est une Formule-1 de Jean-Jacque Teytan sur
Imagine 2.0, le num
ro 2 de magnifiques paysages de Jean-Philippe Derrien
sur Panorama 3.0, le num
ro 3 un tyranosaure de Thierry Bauser sur Aladdin
4D. Le revers de la couverture est une galerie qui pr
sente une s
lection
alisations
galement int
ressantes.
@{fg shine}Q u ' a t ' i l d a n s l e v e n t r e ?@{fg text}
Nous y trouvons des articles sur tous les logiciels de graphisme dignes
de ce nom, avec des conseils, des trucs et des r
alisations enti
didactiques
suivre pas-
-pas. L'
ditorial du num
ro 1 de Roger Martin
sume bien l'orientation du journal: "...Notre d
sir est de vous guider
avec des articles qui vous aideront
tirer le meilleur parti de vos
logiciels... Nous n'aurons pas le r
le de suppl
la non-traduction des
manuels en vous aidant
couvrir vos logiciels. Notre r
le sera de vous
fournir les trucs et les astuces de graphistes confirm
s..." Et il en est
bien ainsi.
Le num
ro 1 pr
sente un logo volant avec Aladdin 4D, une visite du Mont
St-Helens sur Scenery Animator, la construction d'une Benetton Ford sur
Imagine, une rubrique pas-
-pas sur les extrusions Imagine, une pleine page
d'astuces toujours pour Imagine, la confection d'un fond pour une
application Multim
dia, des conseils pour Deluxe Paint, R
alisations est
une rubrique destin
faire conna
tre des travaux ou des projets bas
sur l'Amiga, "R
ussite" en est une autre c
brant un graphiste ou une
tant illustr
notre machine pr
e. Un forum des
lecteurs, des petites annonces gratuites et quelques pubs compl
tent la
revue. Donc 30 pages bien remplies.
Le @{"num
ro 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Amigraf1.8bt"} a gagn
dix pages. Aladdin 4D nous construit un paysage
"morph
" qui pousse, anim
en six pages avec une
closion de bulles. Pas-
pas d'Imagine nous montre comment confectionner une aile d'avion, on fait
du canyoning sur Mars avec Scenery Animato.r, La Ford Benetton prend forme,
vous avez t-o-u-s les param
tres Panorama 3.0 pour contempler un paysage
dramatique intitul
"Orage", le logo volant est maintenant confi
ProControl, une page d'astuces pour acc
rer Imagine, des trucs
multim
dia, on commence avec Lightwave sous l'eau en scaphandre avec des
dauphins, et les rubriques habituelles...
Le @{"num
ro 3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Amigraf2.8bt"} ne s'est pas
paissi. On roule en chenilles avec Imagine, on
continue la ballade sur Mars, on va "tout" apprendre sur les textures
Imagine, un nouveau logo et des astuces pour Aladdin 4D, l'orage s'
paissit
avec Panorama, Pro-Control et Morph Plus conjuguent leurs efforts pour
virtualiser de la pluie, et des conseils pour faire du chrome. La rubrique
"Etes-vous
jour ?" est tr
s utile: elle vous donne chaque mois la liste
des derni
res versions de tous les logiciels graphiques disponibles en
France pour l'Amiga ainsi que le distributeur.
Le num
ro 4 ? C'est
vous de le d
couvrir si je vous en ai donn
envie.
A l'heure
laquelle j'
cris ces lignes, il est encore sous presse et il
est temps pour vous de vous abonner. J'aime bien le ton des articles et
l'humour qui manque souvent aux journaux
trangers analogues. C'est
able
lire et intelligent. Il y a une atmosph
re de pionniers et c'est
cela qui fait bouger les choses.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Cette revue comble une lacune en France. Le sous-titre du num
ro 1
"Graphisme 2D et 3D-Vid
o-Multim
dia sur Amiga" a
remplac
par un
pompeux "La revue des graphistes pros sur station graphique" qui certes
peut flatter le lecteur, mais que je trouve tout de m
me exag
. Le
premier me parlait plus, car un vrai "pro" peut
crire les articles dans
Ami-GrafX. Il s'ennuyera peut-
tre un peu en tant que lecteur
y trouver
ce qu'il sait d
. Je ne veux pas dire qu'on n'apprend rien dans les
articles. Au contraire, il y a toujours des astuces qui nous ont
chapp
qui sont bien utiles
trouver ici. Pour ma part, je vais d'ailleurs
m'abonner sans h
sitation, mais les grands gagnants seront indiscutablement
les d
butants. Je souhaite que des vocations de journalistes naissent (vous
pouvez leur envoyer vos articles), que de nouveaux talents viennent
s'exprimer
travers ces pages, que de nombreux amoureux de l'Amiga
s'abonnent. On sait combien il est difficile pour une revue de survivre.
Plus elle a d'adh
rents plus elle int
resse les annonceurs et plus la
qualit
s'am
liore. C'est d
un beau b
, souhaitons-lui une belle
croissance.
@{fg shine}Jac Pourtant@{fg text}
Ami-GrafX est distribu
uniquement par correspondance par Multimed
Vanves
@ENDNODE
@NODE Comprendre "Comprendre et exploiter Amiga (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C o m p r e n d r e e t b i e n e x p l o i t e r s o n A m
i g a@{fg text}
5
dition
Les bons livres pour AMIGA se font rares, ceux qui sont en fran
ais sont
ment des exceptions. @{"Comprendre et bien exploiter son AMIGA" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Comprendre.16c"} - 5eme
dition - le confirme, c'est un livre d'exception au propre comme au figur
Le pav
de 600 pages nest plus
reliure spiral
e mais
reliure classique.
Comme tout livre bien fait, il dispose d'une table des mati
res bien
organis
e. En la parcourant on s'aper
oit que le livre couvre une vaste
partie de ce qu'il y a
savoir sur l'AMIGA et son utilisation. Ce livre
est extr
mement bien con
mon avis, car il commence par le d
but. C'est
dire qu'il sera d'une aide pr
cieuse au vrai d
butant, celui qui vient de
brancher son AMIGA. Ainsi le premier chapitre, accessible
tout le monde,
permettra de se familiariser avec le syst
me graphique de l'AMIGA. Il est
able de constater
quel point les auteurs ont
soucieux de tout
aborder en d
tail. Cette fa
on de proc
der se retrouve d'ailleurs dans
l'ensemble de l'ouvrage.
Les sujets suivants sont abord
s ensuite : les programmes (comment
fonctionne un logiciel sur l'AMIGA), les disquettes syst
mes, les moyens de
stockage des donn
es, le SHELL (mode par commandes), la configuration de
l'AMIGA, le kickstart... Il y a encore une chose qui donne
ce livre sa
qualit
: de nombreux sujets plus ou moins secondaires ont
galement
couverts : la digitalisation vid
o, les
crans tactiles, les lecteurs
5"1/2, l'AMIGA et le handicap, etc...
A noter que deux disquettes bourr
es d'utilitaires fort utiles sont
es avec le bouquin, les auteurs y faisant d'ailleurs souvent
rence. Les utilitaires en question sont pour la plupart r
cents, ce qui
est appr
ciable.Bref, ce livre est quasi-INDISPENSABLE ! Si vous d
butez
sur AMIGA (et que vous trouvez que l'auteur de la s
rie "Bienvenue..." ne
fait d
cidemment pas bien son travail...), achetez-le. Si vous
familiaris
avec l'AMIGA, achetez-le aussi car il vous servira non
seulement de guide de r
rence pour l'utilisation du SHELL, mais vous
apprendra certainement plusieurs petites choses int
ressantes
savoir (par
exemple l'histoire du syst
me d'exploitation). "Comprendre et bien
exploiter son Amiga" 5eme
dition - r
e et augment
Les plus : Souci du d
Domaine couvert tr
s vaste
Lexique anglais-fran
Les moins : Le texte parfois un peu "tass
" (paragraphes un peu longs).
@{fg shine}Laurent CAMARASA@{fg text}
E d i t e u r : @{fg shine}LE GRAND MOULIN@{fg text}
D i s t r i b u t i o n : @{fg shine}SOMEWARE@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Dpcedric "Domaine Public de C
dric (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}Le domaine public de Cedric Beust
beust@sophia.inria.fr@{fg text}
@{" ARTIC (01-75)" LINK Artic}
@{" RO (01-75)" LINK Ro}
@{" BWbasic (01-75)" LINK Bwbasic}
@ENDNODE
@NODE Artic "ARTIC (01-75)"
@TOC Dpcedric
@{fg shine}A r t i c@{fg text}
Voici un nouveau compresseur de disques durs, dans la droite lign
e de
XFH et EPU. Celui-ci nous vient d'Italie, comme son nom l'indique (Amiga
Real Time Italian Compressor). Il s'agit l
aussi d'un syst
base d'un
nouveau handler pr
nomm
Artic. L'utilisation d'une partition compress
par Artic se limite donc
la pr
sence dans votre r
pertoire L: de ce
handler, et de la mountlist appropri
e. Contrairement
EPU (mais comme
XFH) Artic vous permet de compresser seulement certains r
pertoires.
Artic vous m
che une bonne partie du travail en deux
tapes: dans un
premier temps l'installation des fichiers n
cessaires grace au script
d'installation (notons au passage que ce script g
re un script de
sinstallation qui vous donne la possibilit
d'effacer Artic de votre
disque dur sans maux de t
te. Un exemple
suivre!).
Une fois ce script ex
, vous pouvez lancer @{"Artic_Manager" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Artic1.16c"} qui va vous
guider dans l'installation d'Artic sur les partitions de votre choix.
Artic_Manager vous donne la possibilit
de monter un device Artic
demment cr
ou bien d'en cr
er un. Dans un premier temps, c'est cette
option que vous choisirez.
Artic_Manager vous pose alors toutes les questions n
cessaires
ation de ce nouveau device : son nom (par exemple ART1:), le device
utiliser (Artic est un filesystem et il a donc besoin d'un device pour
communiquer physiquement avec le disque que vous souhaitez compresser :
trackdisc.device, scsi.device, etc...), le r
pertoire
compresser,
l'emplacement de la mountlist et enfin si vous d
sirez faire le montage
diatement. En quelques clics vous cr
ez ainsi un nouveau device
compress
l'usage. Je salue cette initiative, qui place Artic au-
dessus de EPU et XFH du point de vue convivialit
Artic_Manager vous permet aussi d' @{"analyser les compressions" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Artic2.16c"} en cours :
soit pour v
rifier les fichiers compress
s, soit pour avoir des
statistiques sur l'espace gagn
Comment Artic se compare-t-il
XPK et EPU?
Malheureusement, Artic n'utilise pas le syst
me de compression externe XPK.
L'auteur a ax
son programme sur la vitesse de d
compression, aussi est-ce
sans grande surprise que nous constatons que les taux de compression ne
sont pas particuli
rement impressionnants.
La documentation est r
e en Amigaguide et accessible en ligne
tout
moment en appuyant sur Help lorsque le pointeur de la souris est situ
dessus de l'
ment dont vous souhaitez consulter l'aide. La version de
monstration limite la taille des fichiers
transf
100K.
@{fg shine}Artic 1.60, par Alessandro Garoli
Via A. Volta 7, 12100 Cuneo, Italie
e-mail: lspa11@di.unito.it@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Ro "RO (01-75)"
@TOC Dpcedric
@{fg shine}R O@{fg text}
RO est un @{"gestionnaire de fichiers" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Ro1.16c"} comme par exemple Dirworks, DiskMaster
ou encore BrowserII. Cela dit, RO ne donne la possibilit
que de manipuler
deux fen
tres, ce qui l'exclura probablement imm
diatement dans l'esprit
des habitu
s du multi-fen
trage.
Pour les autres, RO peut valoir le coup d'oeil. Il est relativement
simple, propose une interface MUI (ce qui peut
galement lui valoir un
froncement de sourcils de la part des d
tracteurs de MUI) et est tr
intuitif.
Chaque vue principale est surmont
e d'un gadget de cycle qui vous permet
d'afficher alternativement les r
pertoires, les assigns et volumes ou bien
les "buffers" (tous les r
pertoires que vous avez visit
s depuis le
lancement de RO et auxquels vous pouvez retourner par un seul clic).
RO poss
galement un compl
teur de nom: quand vous d
sirez afficher un
pertoire, il vous suffit de taper le d
but de son nom, valider par RETURN
et RO fera le reste du travail en entrant dans le r
pertoire d
(une
petite innovation dont d'autre gestionnaires de fichiers devraient
s'inspirer).
La rang
e de boutons juste en dessous du listview contient des volumes
(initialement fix
16 boutons, elle peut
tendue
32 boutons).
Selon votre pr
rence, le clic sur un de ces boutons peut correspondre
soit
la fen
tre qui se trouve juste au-dessus de lui, soit
la fen
courante (signal
e par un titre en gris
et qui peut
tre altern
e avec la
touche TAB).
En dessous se trouvent les boutons d'action. Seuls vingt-quatre peuvent
tre affich
un moment, aussi l'auteur a t-il pr
vu un m
canisme pour
pouvoir alterner entre plusieurs panneaux : il vous suffit de cliquer sur
la barre de titre en dessous d'eux. Vous pouvez ainsi d
finir cinq
@{"banques de boutons" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Ro2.16c"} (ce
qui porte le total
120).
Voici un aper
u des diff
rents boutons : Action (effectuer une action
pendante du type du fichier), AddArc, ListArc (gestion d'archives), Bytes
(calcul de la taille de la s
lection, avec
ventuellement les sous-
pertoires), Assign (cr
ation d'un assign), Fit (v
rification que la
taille de la s
lection est inf
rieure
l'espace libre dans le r
pertoire
destination), etc...
Toutes les actions affichent une petite fen
tre donnant la progression du
travail en cours, afin que vous ne vous impatientiez pas devant de longues
ches.
@{fg shine}RO 0.81, par Oliver Rummeyer CAM #948@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Bwbasic "BWbasic (01-75)"
@TOC Dpcedric
@{fg shine}B W B a s i c@{fg text}
BWBasic (Bywater Basic) est un Basic impl
mentant un grand sur-ensemble
du standard ANSI pour un Basic Minimal (j'ignorais personnellement que
Basic avait
standardis
un jour :-)). Comme le pr
cise le Readme inclus
dans cette distribution, Wouter van Oortmerssen (qui n'en est pas l'auteur!
Mais pour certains d'entre vous, ce nom rappellera vaguement quelque
chose.) est accidentellement tomb
sur ce Basic et a alors tout aussi
accidentellement tap
'make'.
A sa grande surprise il a obtenu un interpr
te Basic pr
utiliser. Le
plus grand d
faut de ce Basic est probablement qu'il est tr
s peu
document
: les commandes qu'il reconna
t sont donn
es succinctement dans le
README principal avec leur syntaxe, et c'est tout. N'esp
rez donc pas trop,
et surtout pas, de pouvoir faire du graphique avec. En revanche, toutes les
commandes que vous tapez qui ne sont pas reconnues par l'interpr
te sont
transmises fid
lement au shell. BWBasic peut donc
tre vu comme une sorte
de shell qui comprend du Basic... Un autre avantage de BWBasic est que tous
les sources (C) n
cessaires
sa recompilation sont inclus dans la
distribution. Pour peu que vous ayez quelques connaissances en C, vous avez
donc tout loisir d'ajouter vous-m
me les commandes qui lui font d
faut!
@{fg shine}BWBasic 1.11, par Ted A. Campbell
Bywater Software, PO Box 4023, Duke Station, Durham NC 27706, USA
e-mail: tcamp@acpub.duke.edu@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Demos "D
mos (01-75)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demo1.32"} @{"E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demo2.16"} @{"M" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demo3.16"} @{"O" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demo4.32"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demojoker.32"}
Qualit
, et non quantit
. Telle est la devise du mois! Le mois prochain
nous aurons certainement aussi la quantit
Ah les petites danoises...
@{fg shine}A R T I F I C E@{fg text}
@{"T R S I" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Demotrsi.32"}
C'est quand on croit que certains groupes sont morts qu'ils reviennent en
force avec une superbe production. Ce fut le cas, il y a 3 mois pour
Alcatraz avec Ilyad. Aujourd'hui, TRSI (Tristar Red Sector Inc), le groupe
le plus l
gendaire qui f
tera bient
t ses 10 ans d'existence, nous pr
sente
sa premi
mo AGA r
l'occasion du World Of Commodore'94. Un
starfield appara
t comme
la belle
poque sur une musique trash de
Virgill, puis de l'in
dit avec un spagettogram calcul
en temps r
el (il
s'agit d'une forme de spaghettis...), un tunnel tram
... Puis un zoom avec
formation, ombrage et lightsource sur un plan de logos Amiga World of
Commodore, l'am
lioration de la routine de chaos (je vous expliquerai,
chef!). Ensuite, une petite ballade dans le monde du raytracing sur un logo
Artifice, des courbes compos
es de nombreux dots, et pour finir la premi
partie, une image repr
sentant la t
te d'un clown superbement dessin
e par
Fiver... La fin est assez impressionnante avec une nouvelle musique de
Virgill tr
s rythm
e et une routine de Voxelspace (un monde fractal en 3D).
La programmation a
faite par The Twins, le raytracing par Rewired...
rons que TRSI continuera sa l
gende encore longtemps!
@{fg shine}W A K E U P@{fg text}
R E B E L S
Le mois dernier, nous vous avions d
SwitchBack du m
groupe. Cette fois-ci, la qualit
est moindre. N
ammoins Rebels a encore
une comp
tition
la NCC'94 qui se d
roulait en Su
de du 25 au 27
Novembre. On commence par une belle image dessin
e par Eracore, nouveau
venu chez Rebels, le tout accompagn
d'un th
me Tubular Bells version
techno compos
e par Randall (vous savez la musique de l'exorciste). Ensuite
c'est une succession d'effets plut
t classique comme une boule glenz
lightsourc
e sur un damier, des d
formations de copperlists, des
superpositions de droites... L'effet le plus impressionnant est un
labyrinthe en 3D avec les parois mapp
es. Le code a
par
Lussar'n. Rebels confirme qu'ils ne font pas de la figuration avec un
rythme de production mensuel ! Chose tr
s rare par les temps qui courent...
@{fg shine}M A P - M O V E M E N T A N D P I C T U R E@{fg text}
Z O O
Voil
ce qui s'appelle une bonne premi
re! Un code sign
Hybris, musique
de Red Ribbon, graphisme par Pollux. Au menu, un tunnel compos
de 1000
points dans un premier temps de forme circulaire puis carr
, un cube mapp
en 2 couleurs, un autre de 256 couleurs avec zoom et rotation, in
dit un
tunnel avec sol et paroi mapp
e (un peu lent mais remarquable!), la fin se
termine classiquement avec un scrolltext vertical et un rotozoom de 16
couleurs en fond... Avouez que ce n'est pas
la port
e de n'importe qui de
programmer tous ces effets! La musique est assez moyenne et les graphismes
assez l
gers, sauf le logo Zoo entrem
d'une cigarette... Nous attendons
avec impatience la prochaine production de ce groupe fran
@{fg shine}P a r i s . C o p e n h a g e n . O s l o@{fg text}
M E L O N D E Z I G N
Le trip de Walt en solo! Une musique digitalis
e de Prince, des effets de
formations d'images. C'est court comme d'habitude, mais
a innove !
@{fg shine}B B S I n t r o@{fg text}
A B S O L U T E !
Une bande annonce pour la board d'Abs en Hongrie, cod
e par Schmoovy
Schmoov/Us accompagn
e d'une excellente musique trance de Clawz/Bomb. Voil
qui m
ritait d'
tre dit!
@{fg shine}L o v e t r o@{fg text}
M E L T I N G P O T / O Z O N E
C'est la Saint Valentin avant l'heure: des petits coeurs de partout, on
voit la vie en rose chez ce groupe fran
ais. On appr
ciera notamment une
animation en raytracing de 4 jolis coeurs...
@{fg shine}A q u a t i c@{fg text}
M E L T I N G P O T / O Z O N E
Cette fois-ci, c'est la Fishmania. On se croirait au Vieux Port de
Marseille! Des d
formations de copperlist, un tunnel en damier et ajoutez
des poissons en 3D qui se balladent partout
cran... A noter la
superbe musique sign
e Nuke
@{fg shine}T h e O f f i c i a l E u r o c h a r t s 2 6@{fg text}
S T A T I C B Y T E S
Le classement que la sc
ne attend tous les 2/3 mois! Avec les photos de
vos idoles, les derni
res rumeurs, les infos sur la Party 4 et la GASP...
Le design laisse un peu
sirer, mais la musique est incroyable comme
toujours compos
e par CutCreator!
@{fg shine}T h e I m a g i n a r y D e m o@{fg text}
M E L O N D E Z I G N
Fermez les yeux et imaginez. Telle est l'id
e de cette d
mo. A noter au
passage les deux esquisses de Joachim. La musique quant
elle n'est qu'un
nouveau d
lire. Le Melon
a se mange en entr
e et au dessert !
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
* Nam/ Melon Dezign a quitt
la sc
* The Meeting 1995 sera organis
sur Lille fin f
vrier...
* Le codeur de la MindFlow de Stellar a rejoint Melon Dezign!
* Absolute! pr
pare un nouveau diskmag... Le design sera r
par un
ais! (tu me pr
tes ton playmo?)
* Clary/Nova se met
coder... Ah, la, la, ces filles je vous jure!
* Brainwasher/ Eremation pr
pare un utilitaire pour swappeur pour g
leurs activit
* Napoleon/DreamDealers fa
t toujours des r
ves !
* Deux partys auront lieu en Avril 95 et
Paris: La Party (organis
e par
Movement-Melon-Speed) et Saturne 3... La concurrence va
tre rude
@{fg shine}Emmanuel Arnaud@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Asm "ASM (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A S M@{fg text}
Cr
ation d'une biblioth
Ce mois-ci, nous abordons un sujet relativement ardu,
savoir la
ation de biblioth
ques partag
es par le biais d'un fichier
ajouter
dans le tiroir LIBS:.
Pour ne pas me lancer dans un article de cinquante pages, je supposerai de
votre part une assez bonne connaissance de l'organisation principale du
@{fg shine}G
r a l i t
s@{fg text}
Lorsqu'un programme ouvre une biblioth
que, le syst
me (plus pr
ment
Exec) commence par chercher dans la liste des biblioth
ques en RAM, dont la
te (une structure ListHeader) se situe dans la biblioth
que ExecBase. Si
aucune ne convient, c'est soit parce que ce n'est pas le m
me nom, soit
parce que la version est insuffisante, soit parce que l'initialisation a
pour une raison ou pour une autre, la fonction @{fg shine}OpenLibrary()@{fg text}
retourne 0. Il est possible pour les applications d'ajouter des
biblioth
ques au syst
me, notamment par le biais des fonctions @{fg shine}
MakeLibrary()@{fg text} et @{fg shine}AddLibrary()@{fg text}, mais cela n
cessite bien
videmment de
lancer un programme.
Il existe une autre m
thode, mais elle n'est valable qu'une fois que le
me est compl
tement lanc
, et plus pr
ment apr
s que le module
RAMLIB ait patch
les fonctions d'exec pour lui permettre d'acc
der, gr
aux routines du DOS, aux fichiers dans les r
pertoires LIBS: et DEVS:. Il
s'agit pr
ment d'y ajouter de nouveaux fichiers, afin qu'exec, apr
avoir
la liste des biblioth
ques en RAM, puisse charger
automatiquement, gr
la fonction @{fg shine}LoadSeg()@{fg text} du DOS, un fichier
biblioth
que depuis le disque. Ces fichiers suivent donc une syntaxe tr
cise, que je vais maintenant vous d
crire.
@{fg shine}S t r u c t u r e d ' u n f i c h i e r l i b r a r y@{fg text}
Tout ce que je vais raconter maintenant est valable aussi bien, moyennant
quelques adaptations comme un @{fg shine}NT_LIBRARY@{fg text}
changer en @{fg shine}NT_DEVICE@{fg text},
pour les biblioth
ques que pour les devices, que nous
tudierons peut-
dans un prochain article.
La premi
re chose que le module RAMLIB fera apr
s avoir charg
un fichier
sera de chercher un module r
sident dans ce fichier. Ce module r
sident est
identique
ceux utilis
s par le syst
me lors d'un reset, mais dans un
contexte diff
rent bien s
r. Il s'agit donc d'une structure, connue sous le
nom original de Resident:
@{fg shine}struct Resident {
UWORD rt_MatchWord;
struct Resident *rt_MatchTag;
APTR rt_EndSkip;
UBYTE rt_Flags;
UBYTE rt_Version;
UBYTE rt_Type;
BYTE rt_Pri;
char *rt_Name;
char *rt_IdString;
APTR rt_Init;
};@{fg text}
Le champ @{fg shine}rt_MatchWord@{fg text} doit contenir le mot $4AFC (correspondant
l'instruction ILLEGAL), le champ rt_MatchTag doit contenir un pointeur sur
la structure Resident elle-m
me. Ce sont ces deux champs qui sont examin
pour la recherche d'une structure Resident. Le champ @{fg shine}rt_EndSkip@{fg text}, bien
qu'il ne soit pas r
ellement utilis
dans notre cas, doit pointer sur la
fin du premier hunk du fichier. Le champ @{fg shine}rt_Flags@{fg text} contient un masque de
quelques flags, dont le seul qui ait r
ellement une signification ici est @{fg shine}
RTF_AUTOINIT@{fg text}. J'y reviendrai.
@{fg shine}rt_Version@{fg text} contient bien s
r le num
ro de version du module, rt_Type
doit
tre mis
NT_LIBRARY dans notre cas. rt_Pri n'a pas de signification
ici. Le champ rt_Name contient un pointeur sur le nom de la biblioth
que,
s important puisqu'il sera compar
celui qui avait
demand
lors
d'OpenLibrary(), et rt_IdString contient une cha
ne de description au
format:
<nom> Version.Revision (Date)
Je fais ici un petit d
tour sur une contrainte souvent m
connue: les noms
de biblioth
ques doivent TOUJOURS
tre en minuscules (ex: intuition.library
au lieu de Intuition.library). En effet, le DOS ne fait pas la diff
rence
pour les noms de fichiers, mais Exec, lorsqu'il scrute la liste des
biblioth
ques, si (cette r
gle est valable aussi pour les devices,
fontes...).
Enfin, le champ le plus important, sans doute, est rt_Init. La valeur
qu'il contient est un pointeur, qui sera interpr
comme l'adresse d'une
fonction
appeler si rt_Flags est
0, ou comme l'adresse d'une table
d'initialisation si le flag RTF_AUTOINIT est
1. Dans le cas o
ce flag
n'est pas mis, la fonction d'initialisation doit se charger de tout:
allocation et initialisation d'une structure biblioth
que, construction
d'une table de saut; c'est pourquoi je laisserai ce cas de c
. Le format
de la table d'initialisation est donc le suivant (vous remarquerez qu'il
s'agit simplement de l'
ration des param
tres pris par la fonction
MakeLibrary(), qui sera appel
e automatiquement):
* Un mot long contenant la taille de la partie positive de la structure
de biblioth
server. Cette taille n'inclut pas la zone de la table
de saut situ
e aux offsets n
gatifs, celle-ci sera calcul
automatiquement. Il va de soi que cette taille doit au moins
gale
la taille de la structure Library, mais on peut bien s
tendre pour y
ajouter des donn
es personnelles.
* Un pointeur sur une table de pointeurs sur des fonctions. C'est cette
table qui sera utilis
e pour construire la table de saut (gr
une s
de JMPs). Petite particularit
: il est possible de sp
cifier l'utilisation
de pointeurs relatifs, sur 16 bits. Pour cela, le premier mot (de 16 bits
donc) doit
tre -1, et les mots suivants les d
placements
effectuer pour
pointer sur les fonctions par rapport
l'adresse de la table. On remarque
que c'est l
une belle
conomie car, outre le fait qu'un pointeur ne prend
qu'un mot au lieu d'un mot long, cela dispense aussi de r
rences, dans le
fichier ex
cutable,
des adresses absolues, donc le DOS n'a pas besoin de
stocker d'informations de relogement (dans les fameux hunks Reloc32), d'o
conomie suppl
mentaire d'un mot long par fonction. Il y a toutefois
deux inconv
nients: avec des pointeurs relatifs, il est impossible de
"traverser" les sections car on ne conna
t l'adresse de chaque section
qu'au chargement et non
l'assemblage, d'o
impossible de pr
dire un
offset fixe. Le second inconv
nient est qu'il est impossible de charger des
biblioth
ques dans l'espace m
moire situ
dans les 64 derniers kilo-octets
les adresses commencent par $FFFF), puisque dans ce cas les
pointeurs absolus seraient interpr
s comme des d
placements relatifs.
C'est l
un point tr
s mineur (qui poss
de 4 Go de m
moire?)...
* Une table d'initialisation, qui sera utilis
e pour initialiser la
structure nouvellement cr
la fonction @{fg shine}InitStruct()@{fg text}. Bien que
cette fonction soit tr
s compacte et tr
s performante, on pr
rera le plus
souvent utiliser les macros du fichier exex/initializers.i pour des
questions de lisibilit
. Cette table est utilis
e pour initialiser les
champs @{fg shine}ln_type, ln_Name, lib_IdString, lib_Flags, lib_Version et
lib_Revision@{fg text}, plus
ventuellement d'autres champs personnels. Le champ
lib_Flags aura obligatoirement le flag LIBF_CHANGED, probablement avec
LIBF_SUMUSED, pour que la fonction @{fg shine}SumLibrary()@{fg text} corrige la somme de
contr
le sans d
clencher d'alerte.
* Un pointeur sur une routine qui sera appel
e apr
s que la structure ait
e et initialis
e, ainsi que la table de saut. Cette fonction aura
quelques param
tres importants dans ses registres:
@{fg shine}A0@{fg text}: pointeur sur la SegList de la biblioth
que. Cette valeur est
conserver pr
cieusement, car elle servira
rer la m
moire en cas de
purge
@{fg shine}D0@{fg text}: base de la biblioth
que nouvellement cr
Le r
le de cette fonction est de se charger de toutes les initialisations
suppl
mentaires requises: ouverture d'autres biblioth
ques, allocations de
moire, initialisation de listes et de s
maphores... Attention, il s'agit
des donn
es communes
toutes les t
ches. Si des ressources doivent
allou
es individuellement pour chaque t
che, ce sera fait dans la fonction
d'ouverture!
En retour, la fonction doit fournir en D0 l'adresse de base de la
biblioth
que si tout a bien march
, ou 0 si une initialisation a
Dans ce cas, c'est
la fonction d'initialisation de lib
rer toutes les
ressources qu'elle a elle-m
me allou
es, ainsi que celles qui ont
allou
es automatiquement par Exec: il s'agit de lib
rer la zone m
moire
point
e par (Base - lib_NegSize) et de longueur (lib_NegSize +
lib_PosSize).
@{fg shine}L e s f o n c t i o n s@{fg text}
Comme vous le savez sans doute, les quatre premi
res fonctions aux
offsets n
gatifs des biblioth
ques sont r
es. Elles se nomment
respectivement:
@{fg shine}LIB_OPEN(), LIB_CLOSE(), LIB_EXPUNGE() et LIB_RESERVED()@{fg text}.
LIB_OPEN() est appel
e lorsque la biblioth
que est ouverte, elle ne doit
tre confondue avec la fonction d'initialisation qui est appel
lorsque la biblioth
que est charg
e. Son r
le est d'incr
menter le compteur
de clients, c'est-
-dire le champ lib_OpenCnt, et d'effacer le flag
LIBF_DELEXP (DELayed EXPunge), pour
viter que la biblioth
que ne soit
e. La biblioth
que peut aussi allouer des ressources pour la t
che qui
ne sont pas globales comme celles allou
es par la fonction
d'initialisation. @{fg shine}LIB_OPEN()@{fg text} re
oit en param
tres la base de la
biblioth
que en A6 et le num
ro de version en D0, qui a d
compar
avec le champ lib_Version. En retour, elle doit fournir la base de la
biblioth
que en D0 si tout s'est bien pass
, ou 0 dans le cas contraire,
auquel cas la fonction OpenLibrary()
chouera.
@{fg shine}LIB_CLOSE()@{fg text} est le contraire: elle d
mente le compteur de clients
et lib
re les ressources allou
une t
che particuli
re. Elle doit
galement tester le flag @{fg shine}LIBF_DELEXP@{fg text}, et, s'il est
1, appeler @{fg shine}
LIB_EXPUNGE()@{fg text}. Elle doit retourner 0 dans le cas contraire.
@{fg shine}LIB_EXPUNGE()@{fg text} est la plus compliqu
e de ces fonctions: il s'agit de
l'oppos
de la fonction d'initialisation qui avait
appel
e par
MakeLibrary(), son r
le est de lib
rer la m
moire de la biblioth
que. La
premi
re chose
faire est d'examiner le compteur de clients, et de mettre
le flag LIBF_DELEXP
1, de fa
ce que la purge soit appel
e par
LIB_CLOSE() d
s que le compteur de clients est
S'il est
0, alors il faut lib
rer toutes les ressources que la fonction
d'initialisation avait allou
es, retirer la structure Library de la liste
du syst
me, ce qui se fait par la fonction Remove() d'exec, lib
rer la
moire occup
e par la structure Library et la table de saut suivant la
formule cit
e plus haut, et enfin retourner en D0 le pointeur sur la
SegList qui avait
pass
en param
tres
l'initialisation.
@{fg shine}LIB_RESERVED()@{fg text} est inutilis
e pour l'instant; elle doit se contenter
de mettre D0
@{fg shine}L a p u r g e@{fg text}
Lorsque le syst
me manque de m
moire lors d'une allocation, le processus
de purge intervient: il s'agit de lib
rer toute la m
moire occup
e par les
biblioth
ques, devices, fontes, inutilis
s. Depuis le kickstart 3.0, les
applications peuvent aussi d
clarer aupr
s d'exec des "Low-Mem handlers"
permettant des op
rations similaires pour de la m
moire allou
e pour des
applications. En ce qui nous concerne, c'est le module RAMLIB qui se charge
d'appeler la fonction de purge de toutes les biblioth
ques dont le compteur
de clients (lib_OpenCnt) est
0. C'est pourquoi d'ailleurs certaines
biblioth
ques comme asl.library V38 gardent ce compteur
0, pour pouvoir
rer de la m
moire annexe.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Je vous laisse m
diter ces explications techniques, le mois prochain nous
attaquerons un exemple pratique. Derni
re chose tout de m
me: n'oubliez pas
que le code doit
tre r
-entrant, c'est-
-dire ex
cutable par plusieurs
ches
la fois, les variables globales non prot
es par des s
maphores
sont exclues!
De plus, les fonctions d'initialisation et de purge ne doivent en aucun
cas casser l'
tat Forbid(), y compris par un appel au DOS!
Ceux qui souhaitent des informations compl
mentaires peuvent se procurer
les RKM, les Fish 741 et 742, et,
ventuellement, les derniers num
ros du
magazine d
funt Amiga News Tech.
Sur ce, je vous souhaite une bonne et heureuse ann
e, au mois prochain!
@{fg shine}Frederic DELACROIX@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Flashdp "Flash D P (01-75)"
@TOC MAIN
@{fg shine}F L A S H D P
Gilles Soulet@{fg text}
@{" Amiga & Internet Vol #1 (01-75)" LINK AmiInter}
@{" AFLE (01-75)" LINK Afle}
@{" Exit (01-75)" LINK Exit}
@{" D.PIXELS 002 (01-75)" LINK Dpixel}
@{" CX v1.1 - CAM #967 (01-75)" LINK Cx}
@{" UnARJ v2.41 - CAM #964 (01-75)" LINK Unarj}
@{" XArcTool v1.4 - CAM #964 (01-75)" LINK Xarctool}
@{" ZShell v2.0 - CAM #973 (01-75)" LINK Zshell}
@ENDNODE
@NODE AmiInter "Amiga & Internet Vol #1 (01-75)"
@TOC Flashdp
@{fg shine}Amiga & Internet Vol #1@{fg text}
Joachim Bergot, photographe et infographiste, a r
uni sur une disquette
les documents
propos d'Internet dont il dispose. Gr
cette disquette,
les d
butants devraient
tre capables de se connecter sur Internet, et
trouveront
galement beaucoup d'informations concernant les r
seaux gr
un fichier Amigaguide: @{"Big Dummy Guide" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNEWS:PicJANVIER/Amigainter.16c"}. Les habitu
s trouveront des listes
de sites ftp. Attention tous les textes sont en anglais,il y en a m
me un
ou deux en allemand...
@{fg shine}Amiga & Internet Vol #1 est disponible chez FDS et chez Phoenix DP.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE Afle "AFLE (01-75)"
@TOC Flashdp
@{fg shine}A F L E@{fg text}
L'Association Fran
aise du Libre Essai (voir AmigaNews N
73 p68) peut
sormais prendre vos commandes de logiciels DP francis
s par t
phone au
42 64 56 76 du lundi au vendredi de 18H
20H ainsi que le samedi de 10H
12H. Vous pouvez aussi commander par fax en dehors des heures sus-
crans ouverts sur la Picasso, PPaint consomme du Chip RAM! Avec 2 Mo
de chip totalement libre, vous ne pouvez pas d
passer le 1024 par 768 en
256 couleurs. La gestion des cartes graphiques est une bonne chose car
c'est actuellement le seul soft qui permette ce genre de choses. Il n'y a
plus de limite aux Undo/Redo, et il y a d
sormais une interface directe
avec le Studio Print Serveur de Wolf Faust.
@{fg shine}L e s m o i n s@{fg text}
La requ
te de palette n'affiche toujours que 28 couleurs, et l'animation
ne peut pas
tre affich
e sur un
cran Picasso II (je n'ai pas pu tester
les autres cartes). L'a
rographe n'a pas
et demeure un simple lanc
de point d'une m
me couleur. Les modes HAM ne sont toujours pas g
@{fg shine}A n i m a t i o n@{fg text}
Les fonctions d'animation sont maintenant comprises dans le logiciel.
Elles permettent de faire facilement le fondu car le logiciel utilise une
palette par image et non une pour toute l'animation. Cependant, l'ensemble
des fonctions restent succinctes et ne peuvent suffire pour un travail
d'animation r
gulier (absence de fonction move et d'animation de brosse).
Une possibilit
ressante permet un @{"ajustage temps r
el de la palette" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Ppaint.jpg"}
de couleur: contraste, brillance, couleurs, rouge, vert et bleu (pourquoi
ce genre de fonctions ne se trouve t-il pas dans ADPro?). La fonction
"Moins de couleur" permet de gagner des couleurs et de les r
organiser avec
ou sans tramage. Les fonctions de traitement sont tr
s int
ressantes, elles
sont au nombre de 54, en voici quelques unes: Blur, Brush Alpha
Channel,Dithering, Emboss, Sharpen, Shift, Tint.... Ces traitements peuvent
tre appliqu
s de plusieurs mani
res:
toute l'image,
une brosse, ou
seulement une zone. Cette derni
re peut
tre un rectangle, une zone
dessin
e au lasso ou la surface d'une brosse.
Toutes ces possibilit
s sont tr
s performantes, mais elles sont limit
par le fait que l'on ne se trouve pas en 24 bits. La fonction "adapter les
couleurs" d
termine une palette commune entre l'image courante et l'image
swap, ainsi qu'entre l'image courante et une brosse avec laquelle on
souhaite travailler. La m
moire virtuelle permet de stocker les brosses en
fast RAM ou sur votre disque dur. Il n'est, cependant, pas possible de
traiter d'images de 1600 par 1280 en 256 couleurs car il ne travaille pas
comme Brilliance (toute l'image doit
tre en Chip m
me si elle est
partiellement affich
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
De nombreuses fonctions int
ressantes sont apparues depuis la derni
version. Ceci rend ce logiciel int
ressant mais le module animation me
semble l
ger, et surtout il ne g
re toujours pas les modes HAM (ce qui
mon avis est dommage). Il est sur de nombreux points d
par
Brilliance, mais il poss
de une s
rieuse avance sur le traitement des
images. Les possesseurs de carte graphique sans l'AGA seront int
s par
la possibilit
de dessiner en 256 couleurs tant qu'ils poss
dent le syst
3.x. PPaint pourra s
rement int
resser les inconditionnels de DPaint, par
la reprise de son concept et l'apport de fonctions int
ressantes. La
version 5 de ce dernier devrait bient
tre l
. Affaire
suivre...
@{fg shine}Lucas JANIN@{fg text}
Editeur: @{fg shine}Cloanto, Italie, qui recherche un distributeur en France.@{fg text}
Prix : @{fg shine}500/600Frs@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fImaginev3.1 "Imagine v3.1 (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I m a g i n e 3 . 1
Travellings incomparables@{fg text}
Voici maintenant six mois que la version 3.0 d'Imagine a
livr
Impulse avait promis quatre updates par an, et la premi
re vient d'arriver.
Ne parlons pas de son retard, mais voyons ensemble ce qu'elle contient de
nouveau.
@{fg shine}L e d u r@{fg text}
Pour ne pas chercher avec excitation les nouvelles fonctions, Impulse a
fourni un fichier texte de 43 Ko qui commente les nouveaut
s de cette
derni
re version. La premi
re fonction document
e est un @{"About" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Im1.16c"} qui pr
cise
enfin la version d'Imagine.
@{fg shine}" D e t a i l E d i t o r"@{fg text}
On d
couvre une fonction pour mettre une @{"image en background" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Im3.16c"}. Cette
fonction permet de charger une image (ou une image tir
e d'une animation)
en font des
diteurs "Detail", "Form", "Spline" et "Stage" pour par exemple
calquer un logo, un mouvement sur n'importe quelle des vues (m
me la
perspective). Le chargement et la sauvegarde DXF ont
s pour
permettre de reconna
tre un plus grand nombre possible de variantes de ce
format. Il est maintenant possible de visualiser une image ou une animation
directement sous Imagine pour les personnes qui ne veulent pas repasser
sous le Workbench ou pour celles qui ne peuvent plus (les int
s se
reconna
tront).
La fonction "Reset Views" permet, comme son nom l'indique, de remettre
tat d'origine les 4 vues du modeleur. Dans les versions pr
dentes,
pour "mapper" une animation, il fallait obligatoirement d
composer
l'animation image par image. Dans cette derni
re, on peut utiliser
directement une animation au format Anim ou FLC. Les "States" peuvent
maintenant
tre cr
s pour tous les param
tres sauf la transformation d'un
mapping en un autre. La cr
ation des "Bones" a
e par les deux
fonctions: Make big bones surgroupe et Make small bones surgroupe.
@{fg shine}" S t a g e "@{fg text}
Il est dor
navant possible de modifier directement l'attribut d'un objet.
Cette fonction vous fera s
rement gagner beaucoup de temps dans la
recherche de coloris et surtout d'
clairage (avec les textures lampes).
s modification, le logiciel demande de sauvegarder les modifications
d'objets.
@{fg shine}P e r s p e c t i v e@{fg text}
Dans cette vue, d'autres vues sont disponibles: vue d'un objet ou d'une
lampe. Ces nouvelles vues permettent de mieux percevoir la sc
ne. On peut
par exemple cr
er des axes pour simuler de nouvelles cam
ras.
@{fg shine}P r o j e t@{fg text}
Dans le Projet, l'option "Field Rendering" permet de calculer des
animations vid
50 images par seconde en entrela
ant les images
(l'animation devient alors beaucoup plus fluide). Cette fonction a
e sur une carte PAR, les travellings sont alors incomparables.
@{fg shine}E g a l e m e n t ...@{fg text}
Dans cette version, dix nouvelles textures (Cloud, DithCirc, DithRect,
Electric, Fakely, Fire, Quilt, Rainbow, RdDitCir et RdDitRct) viennent
augmenter la centaine qui
tait d
fournie. La texture Fire qui peut
voluer dans le temps est du plus bel effet. De nombreux effets globaux ont
rajout
s (Cepiatone, Contrast, Fade to Black, Melt, Negative, New Lens
Flare, Red/Green/Blue Mixer, Solarize, Toon). Ce sont des traitements
d'images qui sont effectu
s apr
s le rendu. On peut, avec l'effet "Toon",
changer de style en style plus dessin anim
. Le nouveau Lens Flare permet
de tenir compte des objets et de leur transparence.
Enfin quelques "bugs" ont
retir
s: les
toiles restaient fixes lors
des rotations de la cam
ra (je me souviens d'une nuit blanche pour enlever
toutes ces
toiles (fixes) sur plus de 700 images...). Un bug entre le
brouillard global et des transparences a
partiellement corrig
@{fg shine}L e m o u@{fg text}
Le principal reproche que je pourrais faire
Imagine est le fait de ne
pas du tout utiliser les sp
cificit
s de l'Amiga (ScreenMode, Requ
te de
fichiers syst
me, ARexx, Localisation, Datatypes, AmigaGuide, ect...). En
effet, et ce n'est un secret pour personne, Impulse sort Imagine sur deux
plate-formes: Amiga et PC. Ceci me fait craindre qu'un d
veloppement
utilisant les sp
ficit
s de l'Amiga soit d
sormais moins engag
. Si, par
malheur, les craintes
mises ci-dessus se r
laient confirm
es, je vous en
prie Impulse, faites-nous, tout de m
me, une requ
te de fichier plus grande
afin que l'on ne soit pas oblig
de descendre tout en bas de la liste pour
trouver les directories...
@{fg shine}D e n o m b r e u x b u g s@{fg text}
Ils sont malheureusement encore pr
sents: dans le Stage en mode
"QuickStage", la fonction "QuickRender" donne toujours un
cran noir et
quant
la fonction "Snapshot", elle efface tous les points et les
attributs des objets (autant dire qu'il ne reste plus rien de votre objet).
Le probl
me des transparences n'a pas
solu: apr
s avoir travers
(valeur de la "resolve depth" (multiples r
flections)) plans transparents,
du noir appara
t. Ceci est tr
nant si l'on utilise
grande
chelle des
transparences pour faire de la v
tation avec Snap Maps (voir test dans le
ro 74). L'intersection d'objets brouillard donne toujours un bug... La
fonction Show image fonctionne mais visualise l'image en tons de gris, et
la fonction Show anim ne reconna
t pas tous les formats anim.
@{fg shine}C e q u i m ' e n n u i e@{fg text}
Imagine est toujours livr
en vrac: pas de panels de textures (comme dans
Essence), pas d'exemples d'utilisation des nombreuses possibilit
"Effects" (LensFlaire, Particles,...). Pourquoi,
l'aube de l'an 2000, sur
un ordinateur,
priori un Amiga, est-on oblig
de noter sur un papier un
bon param
trage d'un "Effect" et non tout simplement de le sauver?
Pourquoi, faut-il encore passer dans les pr
rences pour configurer le
"QuickRender"? Pourquoi Impulse et Apex ne se mettent-ils pas d'accord pour
pouvoir utiliser les textures Imagine avec Forge? Pourquoi, dans le
"Stage", est-on encore oblig
de devoir rentrer le num
ro de l'image sur
laquelle on veut se positionner (l'utilisation conjointe avec une jauge
serait judicieuse)? Pourquoi, dans le Stage, quand l'on change d'Image,
Imagine recharge t-il tous les objets, alors qu'un grand nombre se trouve
en m
moire? Pourquoi, ne fait-on, lors du param
trage d'effet, que
passer de l'Action au Stage? Pourquoi, est-on oblig
de faire des rendus en
trace pour avoir des ombres? Pourquoi Imagine est-il un logiciel g
nial
pour un grand nombre de choses et si nul sur d'autres?
Mon
nervement vous surprend peut-
tre mais je suis d
par ce
chis; cela me rappelle ce qui se passe avec l'Amiga. Il faut qu'Impulse
veille et regarde ses concurrents pour enfin frapper un grand coup!
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Malgr
mes nombreux reproches, Imagine demeure encore un outil
performant. Les textures d'Imagine sont tr
alistes et peuvent r
aliser
de nombreuses choses int
ressantes @{"(feu, salet
, rouille,..)" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Im2.jpg"}. Mais
attention, la concurrence fait rage. LightWave 4.0 et Real 3.0 vont
normalement tous les deux utiliser Essence et des PC pour le calcul...
Alors, je ne cesse de r
ver d'une version 4.0 d'Imagine qui serait aussi
bien que nous l'imaginons ...
@{fg shine}Lucas Janin@{fg text}
Distributeur : @{fg shine}VitePro@{fg text}
Prix de la version 3.0: @{fg shine}4950FTTC + option 1000F pour 4 mises
jour
dont la 3.1 est la premi
re disponible.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fTwist "Twist (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e t ' s T w i s t
Creer une application sans programmer (ou presque!)@{fg text}
Lancer aujourd'hui sur le march
un nouveau logiciel pour Amiga, qui plus
est dans le domaine de la bureautique, d
note soit une forte dose
d'optimisme, soit un certain degr
d'inconscience. C'est pourtant ce que
viennent de faire HiSoft et Mermaid Group avec TWIST2, un logiciel de
@{"gestion de base de donn
es" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Twist3.16c"}
. Nous ne pouvons qu'applaudir
cette initiative, en esp
rant qu'elle aura
une suite.
@{fg shine}A l o r s c ' e s t q u o i T w i s t ?@{fg text}
Une bo
te noire, un manuel, un
tui porte-disquettes avec deux disques,
un pour le programme, un pour les exemples, c'est ainsi que se pr
sente
TWIST2.
Premi
re impression: le manuel est bien peu
pais pour un SGBD, mais
n'anticipons pas! (NDLR: HiSoft a annonc
qu'il prepare une nouvelle
documentation pour Twist) L'"installer" est l
pour se charger de la mise
en place sur le disque dur. Comme toujours avec ce type de logiciel, le
disque dur est une obligation au m
me titre qu'un maximum de m
moire (plus
il y en a, mieux c'est!) et surtout l'OS 2.0 au minimum. Avec le 1.3,
a ne
tournera pas! Avec le 2.0, l'acc
certaines fonctions est d
impossible. Donc, OS 3.0 obligatoire, si vous voulez profiter de toutes les
caract
ristiques de Twist.
En ce qui concerne l'interface, les utilisateurs de GadToolsBox ou de MUI
se retrouveront en terrain connu. C'est du BOOPSI (signifie "Basic Object
Oriented Programming System for Intuition"). Ceci explique en partie le
titre de l'article, "comment cr
er sans programmer", puisque vous allez
"fabriquer" votre application en utilisant des objets con
us pour vous
faciliter le travail, la plupart du temps
l'aide de la souris. Sur ce
plan Twist est une r
ussite: la convivialit
est totale.
@{fg shine}A u t r a v a i l !@{fg text}
A l'ouverture, une fen
tre affiche les diff
rentes ic
nes des r
pertoires
plus celle du programme. Une fois celui-ci lanc
, vous aurez une Appicon et
Twist sera affich
dans le menu "Outils" de votre Workbench.
Premi
tape: choisissez la configuration de l'
cran; Twist peut
s'ouvrir sur tous les
crans possibles: Workbench, Public, son propre
cran... Ensuite, vous pouvez aller "visiter" les exemples. Si vous
impatients, commencez
er votre premier fichier.
C'est tout simple: en dehors des noms de champs, tout se fait
la souris
(le choix des attributs, des fonctions...). Vous pouvez d
noter les
qualit
s du logiciel: si vous voulez modifier votre fichier en rajoutant
des champs, par exemple, vous pourrez positionner ces champs o
vous le
souhaitez. Dans les SGBD, en g
ral, si vous rajoutez des champs, ils se
positionnent automatiquement
la suite des pr
dents: ce n'est pas le cas
avec Twist. Vous pouvez aussi ic
nifier votre fichier. Vous pouvez
visualiser plusieurs fichiers simultan
ment. Par d
finition, un SGBD peut
travailler avec une multitude de fichiers ouverts, mais vous ne voyez
cran que le fichier courant. Avec TWIST vous d
placez les fen
tres, et
vous pouvez voir 4 ou 5 fichiers, s'ils ne sont pas trop gros, bien s
r. Il
y a une contrepartie
cet avantage: la consommation m
moire est
importante.
Autre caract
ristique int
ressante: le fichier que vous avez cr
est en
un masque. A la construction de chaque fichier, TWIST g
re un
masque par d
faut; vous pouvez bien entendu le modifier si vous le d
sirez.
Vous pouvez aussi afficher vos @{"donn
es en mode liste" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Twist2.16c"} (ou tableau, si vous
rez!)
Twist est
galement capable d'importer ou d'exporter des donn
es: c'est
vital pour une base de donn
es. Toutefois, il ne peut travailler qu'avec de
l'ASCII. J'ai import
un fichier de 650 Ko repr
sentant 3600
enregistrements de 8 champs. Je n'en ai perdu que 19, probablement parce
que les s
parateurs n'
taient pas bons: il y avait sans doute des espaces
ou des caract
res perturbateurs.
La gestion des index: Twist est capable de chercher
partir de n'importe
quel champ, sans qu'il soit index
. Cependant, rien ne vous emp
d'indexer les champs de votre choix, la r
ponse
votre question arrivera
beaucoup plus vite.
L'explication est
vidente:
la question, Twist scanne tout le fichier.
Evidemment, plus le processeur de votre machine est performant, plus la
recherche est acc
e. Encore une fois, il y a le revers de la m
daille:
sur un tr
s gros fichier sans index, Twist ne vous donnera jamais la
ponse instantan
e, fournie par les poids lourds du genre (m
me pour une
recherche sur des champs index
s, d'ailleurs!). Toutefois, une astuce
existe: Twist met
votre disposition un cache pour acc
rer la recherche.
Autre point important: les requ
tes et les
tats. Dans les deux cas, la
alisation et l'utilisation sont simples et efficaces. Pour l'
tat, il
suffit de disposer les objets
la souris et le tour est jou
. Tout se
construit par l'interm
diaire de fen
tres, de boutons, de menus Pop-up;
L'extraction peut se faire sur un ou plusieurs fichiers.
Les fonctions habituelles sont pr
sentes: somme, compte, moyenne, etc...
Vous pouvez choisir la destination de l'
tat par des boutons radio:
tre, imprimante, fichier... Comme les fichiers, les
tats peuvent
s; vous pouvez alors les imprimer en tirant l'ic
ne sur celle de
l'imprimante figurant dans la fen
tre Twist. Les requ
tes se font
directement dans la fen
tre du fichier. Il suffit de taper le nom recherch
dans le champ concern
. Des boutons vous permettent d'acc
der aux
rents types de filtres.
@{fg shine}A l l o n s p l u s l o i n !@{fg text}
Abordons les applications multi-fichiers. Cette fois, il faut un index,
commun aux diff
rents fichiers, pour constituer le lien entre eux. Une fois
les fichiers index
s, il faut aller dans l'
diteur de masque et choisir le
type de relation (simple - multiple, simple - simple...), et l
nous
commen
atteindre les limites de Twist!
Supposons que vous vouliez cr
er une @{"application de facturation" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Twist1.16c"}: il vous
faut au minimum un fichier "clients", un fichier "transactions" et un
fichier "facture". Vous allez relier le fichier "clients" et le fichier
"facture" par un code (c'est un exemple),et le fichier "facture" (qui sera
le fichier ma
tre) au fichier "transactions" par un num
Pour faire les choses bien, il faudrait
galement un fichier "articles",
mais arr
tons-nous l
. La relation sera simple-simple entre le fichier
"clients" et le fichier "facture" et elle sera simple-multiple entre le
fichier "facture" et le fichier "transactions".
En clair: pour un code facture, vous aurez un code clients, mais pour un
ro facture vous aurez par exemple 10 fois le num
ro transactions. Si
vous pr
rez, vous aurez une ligne de facture par article, donc, si vous
avez 10 articles
facturer vous aurez 10 lignes sur la dite facture. Si
votre corps de facture comprend 6 champs (date, quantit
signation, prix
unitaire, tva, ttc) et que vous souhaitiez qu'il y ait 10 lignes de
transactions, il vous faudra cr
er 60 champs, un par un, en ouvrant un
nouveau fichier "transactions" pour chaque ligne! C'est une aberration!
J'ai une application dans laquelle il y a des masques de 31 lignes (une par
jour), et de 10
20 champs par ligne. Cela signifie que le corps du masque
sente jusqu'
620 champs, auxquels il faut ajouter les champs des
autres fichiers: on arrive
plus de mille champs. Sinc
rement, je ne me
vois pas faire
a avec TWIST! Mais, admettons, que votre application se
contente de 10 lignes de 6 champs.
Maintenant, votre dernier travail concerne les calculs: il faut bien que
votre facture affiche un total
payer! Accrochez-vous, Twist ne sait pas
faire des calculs entre fichiers! Je crois avoir tout essay
: transformer
les champs num
riques en texte, l'inverse, donner les noms de champs
complets, entre apostrophes, entre crochets,... J'ai test
toutes les
fonctions susceptibles de donner un r
sultat: RIEN!
Le coup de gr
ce: lorsque vous faites une facture, vous l'imprimez, mais
pas avec Twist! Je me suis demand
si je r
vais, mais, non, on ne peut pas
imprimer un enregistrement. Par chance, Twist a un excellent support Arexx.
Vous n'avez donc plus qu'
crire des petits modules Arexx pour calculer le
total de votre facture et pour imprimer celle-ci. Vous les lancerez ensuite
par des boutons (voir illustration). Alors, j'adore Arexx, mais il ne faut
quand m
me pas exag
rer! Je ne peux pas comprendre de tels "oublis",
puisque les
tats sont capables de calculer entre fichiers et d'
imprim
Autre caract
ristique d
able: si vous souhaitez modifier les champs
d'un fichier en service, reli
d'autres fichiers, il faut fermer Twist et
l'ouvrir de nouveau! (que ce soit pour modifier les attributs, les formules
de calcul ou de validation...).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Si l'Amiga rena
t un jour de ses cendres, il nous faudra des logiciels
plus
s! Je ne veux pas faire le proc
s d'un travail qui est loin
tre n
gligeable, mais il y a encore beaucoup
faire:
- l'ajout des "oublis", c'est
vident!
- un langage de programmation (un SGBD sans langage est trop limit
- une documentation un peu plus s
rieuse.
- l'import-export de diff
rents formats.
- une bien meilleure capacit
au calcul, aussi bien calcul pur que calcul
entre fichiers (c'est-
-dire des fonctions plus nombreuses et mieux
adapt
- un automatisme pour cr
er les lignes de transactions.
- une meilleure gestion des fichiers externes (Twist utilise les Datatypes
et se sert donc de Multiview pour afficher les fichiers textes, images,
sons, ce qui explique l'incapacit
de l'OS 2.0
rer correctement ces
fichiers puisqu'il doit se contenter de "Display". Avec le 2.0, vous ne
pouvez pas afficher les textes externes et les images sont alt
es en
taille, en couleur, etc...).
- faute d'une version fran
aise, au moins une localisation!
Il faudrait encore beaucoup d'autres choses, mais ne soyons pas trop
gourmands tout de suite! Il faut au moins que le produit tienne debout
avant de le faire
voluer. Je crois vraiment que la base de Twist est
bonne, mais dans l'imm
diat et
tarif
quivalent, je pr
re de loin
SBase4 Personal qui est beaucoup plus performant et avec lequel on peut
velopper des applications s
rieuses sans programmation, puisque lui non
plus n'a pas de langage de d
veloppement. Toutefois, si vous voulez surtout
rer de gros volumes de donn
es sans autre consid
ration, Twist est fait
pour vous. Esp
rons que le produit puisse
voluer, si l'Amiga lui pr
vie! A bient
t sur nos lignes!
@{fg shine}Georges TARBOURIECH@{fg text}
Editeur: @{fg shine}Hisoft GB@{fg text}
Prix : @{fg shine}
100@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fSherlock "Sherlock (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S h e r l o c k
Un d
sassembleur symbolique@{fg text}
Sherlock est un outil servant
produire de l'assembleur
partir de
fichiers binaires (le plus souvent des ex
cutables). Someware nous cite
l'utilit
d'un tel programme,
savoir l'apprentissage (rien de tel que
l'exercice), maintenance de logiciels qui ne sont plus mis
jour et qui
plantent sur les nouveaux syst
mes (pour un usage personnel bien s
r!),
optimisation de logiciels dont on n'a pas le source (m
me remarque), etc ...
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Aucune difficult
rencontr
e, il suffit de suivre les conseils
d'installation de la doc et
a fonctionne. Je ne m'
ternise pas sur la
documentation, ayant moi-m
me re
u une pr
-version de celle-ci. N
anmoins,
Sherlock est la version d
finitive. A noter tout de m
me qu'une certaine
connaissance en assembleur est la bienvenue, du moins pour ceux qui
sirent affiner le travail jusqu'
obtenir un r
sultat optimal. Pour les
personnes disposant de peu de m
moire, une version all
e de Sherlock
existe; ceux ayant une machine
base de 68000 ne doivent pas s'impatienter
car pour eux le temps de d
sassemblage sera plus long. Je tiens tout de
signaler que la documentation est suffisamment explicite pour un bon
usage du produit, notamment gr
un exemple de travail suivi pas
pas.
@{fg shine}L e v i f d u s u j e t@{fg text}
Regardons sans plus tarder les fonctions de ce produit: @{"d
sassemblage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Sherlock.8c"} des
cutables sauf ceux contenant des hunk overlays (peu utilis
s mais cela
existe, cf Dpaint), possibilit
de d
sassembler des biblioth
ques Amiga
(fichiers *.library dans libs:), reconnaissance des processeurs 680x0
(inclus EC pour le 30 et EC, LC pour le 040) et des copros 68881 et 82
ainsi que la MMU (68851). Evidemment, le d
sassemblage n'est pas parfait du
premier coup. Si Sherlock rencontre une op
rande qui fait un saut relatif
par rapport
un registre fixe et un autre variant, ce dernier n'est pas
connu. Ainsi, une partie du code sera d
sassembl
e en tant que donn
e. Cela
vu et vous disposez d'un langage de commande simple mais puissant
(fichier ascii), qui vous permet de dire: attention! l
il y a du code
(nouvelle s
quence). De ce fait, Sherlock continuera son travail jusqu'
rencontre d'une fin de s
quence.
Ce langage de commande vous permet d'affiner au maximum le d
sassemblage.
Par exemple, les compilateurs C cr
ent souvent une table point
e par un
registre d'adresse, souvent A4 d'ailleurs. Cette table contient des
pointeurs sur des s
quences de code. Le langage interne
Sherlock vous
permet de lui dire: attention! ici se situe une table de pointeurs sur des
nouvelles s
quences (donc
sassembler en tant que code). Cela se fait
avec une ligne de commande.
Vous allez me dire oui mais il y a donc un travail personnel
mettre en
oeuvre. Tout
fait, le soft parfait n'est pas encore n
, tout au moins
dans sa version automatique et optimale. N
anmoins les sp
cificit
s de
Sherlock nous am
nent
produire un travail presque parfait mais avec un
peu de r
flexion et de temps. Ce produit se distingue vraiment par le
sassemblage symbolique des appels aux biblioth
ques Amiga. Pour cela,
jeter un coup d'oeil
l'exemple.
Un petit mot tout de m
me: jsr -552(a6) deviendra si A6 pointe ExecBase,
jsr _LVOOpenLibrary(a6). Ceci ne se fait (malheureusement pour nous) pas de
re ultime. Je m'explique: il se peut que Sherlock ne puisse pas
terminer qui appelle une routine X. Ne connaissant pas le contexte, il
ne pourra pas mettre le symbole appropri
. Vous pouvez donc lui dire qui
appelle la fonction , ainsi il pourra y mettre un symbole. Pour cela, une
certaine gymnastique intellectuelle est
fournir. Mais la documentation
est l
pour vous faire comprendre comment y parvenir. La seule chose que je
regrette c'est que ce cheminement de pens
e ne soit pas automatis
(utopie?). Une instruction est toutefois pr
sente pour facilit
symbolisation des appels de biblioth
ques (cf exemple). Ce d
sassemblage
symbolique peut se faire sur n'importe quelle biblioth
que si vous en
dez les fichiers "*.fd" qui sont en g
ral fourni avec la partie de
la biblioth
que "r
e" aux d
veloppeurs. Un petit exemple rapide sous
shell:
@{fg shine}5.> sherlock c:sysihack ram:t
Sherlock v1.1.
(c)Copyright 1993 Fabien Campagne, Someware,
Tous Droits R
Premi
re Passe.
Donn
es du segment 0
Donn
es du segment 1
Donn
es du segment 2
ation du fichier ram:t/sysihack1.i
ation du fichier ram:t/sysihack1.s
ation du fichier ram:t/sysihack2.i
ation du fichier ram:t/sysihack2.s
ation du fichier ram:t/sysihack3.i
ation du fichier ram:t/sysihack3.s
Seconde Passe.
Fin de Sherlock@{fg text}
Les fichiers *.i contiennent les includes comme suit:
@{fg shine}Label4: equ $4
XREF h1o0
XREF h2o2e
XREF h2o24
XREF h2o12
XREF h2o0
; exec.library
_LVOSupervisor EQU -30
_LVOexecPrivate1 EQU -36
_LVOexecPrivate2 EQU -42
_LVOexecPrivate3 EQU -48
_LVOexecPrivate4 EQU -54
_LVOexecPrivate5 EQU -60
_LVOexecPrivate6 EQU -66
etc...@{fg text}
Les fichiers *.s sont les sources des diff
rents hunks, ils contiennent
du code ou des donn
es ou les deux, par exemple:
@{fg shine}INCLUDE "sysihack1.i"
; sysihack1.s automatiquement g
par Sherlock 1.1.
; segment 0: charg
but=797c010, fin=797e7b0.
; segment 1: charg
but=790a850, fin=790a8d4.
; segment 2: charg
but=288f0, fin=28928.
SECTION "",CODE
h0o0: suba.w #$5c,a7
movem.l a2-a6/d2-d3,-(a7)
lea (h1o0).l,a4
movea.l ($4).w,a1
move.l a1,$0(a4)
lea h0o612(PC),a1
movea.l $0(a4),a6
moveq #36,d0
jsr _LVOOpenLibrary(a6)
move.l d0,$28(a7)
; en mettant Lib $28(a7)="dos.library"Sherlock
; sera capable d'un meilleur d
sassemblage
; symbolique.
beq.w h0o606
suba.l a1,a1
jsr _LVOFindTask(a6)
movea.l d0,a5
movea.l d0,a0
move.l $ac(a0),d1
asl.l #$2,d1
movea.l d1,a3
move.l a3,d0
bne.w h0o484
lea $5c(a5),a2
movea.l a2,a0
jsr _LVOWaitPort(a6)
movea.l a2,a0
jsr _LVOGetMsg(a6)
move.l d0,$80(a4)
etc ...@{fg text}
Sherlock cr
galement deux autres fichiers sysihack_info et
sysihack_dmf. Ils ressemblent
ceci:
Sherlock v1.1 a g
ce fichier d'information pour votre agr
ment.
Biblioth
ques partag
es ouvertes par les parties d
sassembl
es de
cutable:
@{fg shine}exec.library
intuition.library
Indication sur la correspondance avec les processeurs :
MC68000: oui
MC68020/MC68030: non
MC68040: non
MC68881/MC68882/MC68851: non
# Sherlock automatic DMakeFile generation.
SOURCES = sysihack1.s sysihack2.s sysihack3.s
EXE = sysihack
OBJ = $(SOURCES:*.s:*.o)
all: $(EXE)
$(OBJ) : $(SOURCES)
phxass -o%(left) -n %(right)
$(EXE) : $(OBJ)
phxlnk -o%(left) %(right)@{fg text}
Le premier, comme vous pouvez le constater, donne des infos sur les
processeurs pour lesquels le soft a
compil
, le second vous permet
ce aux utilitaires livr
s avec Sherlock (Phxass l'assembleur et Dmake le
Make) de r
assembler les diff
rents fichiers et ainsi produire un
cutable fonctionnel.
Vous pouvez
galement gr
ce aux fichiers d'entr
e, mettre des
commentaires, changer le nom de symboles (Sherlock reconna
t les hunks
symboles s'ils sont pr
sents). Un point pratique est l'apparition d'un hit
Enforcer; vous notez l'offset, et en commentaire vous
crivez "Hit
Enorcer". Ensuite, sur le source, vous apercevrez le nom de l'instruction
qui g
re un probl
me. Libre
vous de rectifier (pas mal pour le
bogage). Pour les plus acharn
s d'entre vous, il est possible de
sassembler la m
moire ou des secteurs d'un device Amiga (disquette ou
disque dur).
@{fg shine}P o u r C o n c l u r e@{fg text}
Quelques points de d
tail: il est dommage que le texte ne soit pas mis en
nes de caract
res, surtout pour ce qui veulent faire des traductions.
dc.l $43616e63 ; 'Canc'
dc.l $656c0000 ; 'el..'
Ci-dessus, voici la traduction de 'Cancel.. g
e par Sherlock. Un dc.b
"Cancel.." serait plus lisible et facilement modifiable. Une option
permettant d'avoir tous les hunks dans un seul fichier n'aurait pas
superflue, un num
ro de version et une aide dans la ligne de commande non
plus. Comme suit version "nomdeprogramme" et Sherlock? qui donnerait les
param
tres. Un d
sassemblage des Customs Chips Amiga, ne serait pas de trop
pour ceux d'entre vous qui d
sirent sourcer des d
mos (color00 et plus
parlant que $dff180).
Mis
part ces petits manques, il faut reconna
tre qu'
l'usage, Sherlock
se trouve
tre un tr
s bon produit. Il permet d'aller tr
s loin dans la
symbolisation, ce qui entra
ne une meilleure compr
hension du logiciel
sourc
. Je vous le recommande donc, d'autant que son prix est raisonnable.
En attendant de nouvelles sp
cificit
s, bon d
sassemblage! Fin de s
quence
@{fg shine}Sherlock v1.1, (n
cessite Kickstart 2.0 ou plus) Prix 590F chez SomeWare
@{fg text}
Ps: Aidez-vous d'un d
bogueur comme Monam, il vous permettra de savoir si
vous avez affaire
du code ou
des donn
es, tout simplement en chargeant
le programme et en vous positionnant
l'offset qui vous semble ambigu.
@{fg shine}Kamel BISKRI@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fNewsvideo "News Vid
o (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" VLAB MOTION (02-76}" LINK fVlabmotion}
@{" LOCATEL (02-76}" LINK fLocatel}
@{" Carte MPEG-Motion plein
cran (02-76}" LINK fMpeg}
@ENDNODE
@NODE fVlabmotion "VLAB MOTION (02-76}" LINK fVlabmotion}
@TOC fNewsvideo
@{fg shine}V L A B M O T I O N
LE MONTAGE VIRTUEL SUR AMIGA? PEUT-ETRE...@{fg text}
Quel vid
aste, professionnel ou amateur, ne r
ve pas d'
changer tout son
quipement vid
o pour du tout-num
rique? Sans
tre un fana du "tout
informatique" il faut bien reconna
tre que, sans parler des probl
mes de
perte de g
ration (tr
s fortement att
s lorsque l'on travaille en
composante, mais n
anmoins existant), la souplesse du copier-coller
informatique n'a pas son
quivalent en montage classique. La carte Vlab
Motion, qui certes ne travaille pas en composante, a
ue pour
pondre
cette attente (tout du moins sur le papier).
Nous aurons donc l'occasion prochainement de v
rifier si nous avons enfin
une alternative virtuelle sur Amiga et surtout, si en situation r
elle de
montage, elle s'av
re exploitable. Ce test, VLAB MOTION+TOCCATA para
tra le
mois prochain. Je me contenterais donc aujourd'hui de donner mes premi
impressions.
Le prix d'abord: environ 7000FTTC auquel il faut tout de m
me rajouter
carte SCSI, disques durs ( 2 x 2Go) et carte son 16 bits (Tocatta), pour un
montant total d'environ 26000F hors l'Amiga (68030 +12 Mo requis). Cela
reste malgr
tout des plus abordables, quand on le compare
son
quivalent vid
o grand public (amusez-vous
calculer le prix de deux
toscopes SVHS, d'une table de montage, de mixage audio et vid
o, sans
compter le prix de tous les petits accessoires (amplificateur, commutateur
et autres babioles...) et ne parlons pas du mat
riel institutionnel. Les
performances, elles, paraissent des plus all
chantes: haute r
solution 736
x 568, compression YUV 4:2:2 (norme internationale du CCIR D1) (50
images/seconde) et entr
e sortie YC (dommage pour l'YUV).
La qualit
o (avec une compression de 83%) semble
tre au rendez-
vous. Par contre, l'interface logicielle laisse vraiment
sirer.
J'esp
rais me trouver en face d'une interface digne de l'Amiga, fa
Workbench,
la vid
o machine ("Si, si.. le terme de Workbench n'est pas
une exclusivit
Amiga) et, au vu des captures d'
crans (d
dans AmigaNews), vous comprendrez ma d
ception. L'interface pourrait m
tre indigeste pour un vid
aste, surtout si il n'a pas un go
prononc
e pour "l'informatique informaticienne".
Enfin, pour une fois que l'on tient une possible solution virtuelle sur
Amiga nous resteront indulgent, d'autant plus que nous recevrons
prochainement une nouvelle version 2.1 du logiciel. Je vous donne donc
rendez vous le mois prochain.
APPEL
@ENDNODE
@NODE fLocatel "LOCATEL (02-76}"
@TOC fNewsvideo
@{fg shine}P R O E T P A S S E U L E M E N T T I T R E U R@{fg text}
La soci
LOCATEL (charg
e de la maintenance et de la location) utilise
pour le pilotage de sa baie de diffusion TV (constitu
e de six
toscopes SVHS BRS605) un AMIGA 4000 avec carte VLAN et carte GVP.
Pour chaque machine, il y a une cassette avec la s
quence journali
(publicit
et programme), l'Amiga ayant pour t
che d'effectuer les
commutations et la commande des magn
toscopes avec option infographie (un
TBC externe MSP 9000 est alors utilis
). Les programmes clefs en main sont
s par la soci
ACTV/4 situ
Boulogne, et nous esp
rons avoir
l'occasion de vous en reparler plus en d
tail.
@{fg shine}Pour tout renseignement contacter Mr Jean Claude RYBARCZYK chef
produit St
LOCATEL T
l (1) 30 65 50 81 ou (1) 47 69 97 97@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fMpeg "Carte MPEG-Motion plein
cran (02-76}"
@TOC fNewsvideo
@{fg shine}R E V O L U T I O N N A I R E !@{fg text}
C'est le qualificatif utilis
par les cr
ateurs de la carte MPEG-Motion
plein
cran. La qualit
est r
glable de VHS
Betacam, l'audio se pratique
sur quatre canaux 16 bits
48 KHz. Un agrandisseur double s'occupe du zoom
en temps r
el et on remarque une fonction PIP (Picture In Picture ou image
dans l'image) double
galement, un
diteur non-lin
aire, le montage de
nes avec fondus en entr
e et en sortie en temps r
el, la post
synchronisation audio et vid
o par exemple avec des sc
nes ray-tracing.
C'est une carte Zorro II/Zorro III avec en version standard deux entr
(FBAS et Y/C) et quatre sorties (FBAS, Y/C, RGB/YUV et RGB preview). De
plus, elle poss
de son propre contr
leur SCSI-2 avec des transferts allant
jusqu'
10 Mo/s. Gr
la compression dynamique, elle parvient
des taux
de transfert constants.
@{fg shine}VideoTechnik Diezemann, Eichenweg 7a, 37281 Wanfried. T
l (5655) 17.73
Fax (5655) 17.74.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fVideoassist "Vid
o assist
e par Amiga (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}V i d
o a s s i s t
e p a r A m i g a ...@{fg text}
L'Amiga occupe une place de choix dans le domaine de la vid
o assist
par ordinateur. Les principales raisons sont sa compatibilit
de signal
avec des @{"appareils vid
o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Yeti.4c"} , son
cran
tendu (overscan), et ses circuits
vocation graphique. Ces propri
s vid
o sont appuy
es d'une capacit
audio st
quatre voix et d'un environnement multit
che. Le tout est
construit sur la base d'une architecture ouverte qui facilite l'ajout de
riques. L'apparition rapide de nombreux programmes destin
s aux
applications vid
montre l'importance qu'a pris l'Amiga dans le
traitement de l'image.
@{fg shine}C o m p a t i b i l i t
v i d
o@{fg text}
Lors de sa conception, l'Amiga a
de signaux de sortie qui
peuvent se synchroniser avec les signaux vid
o standard (NTSC, PAL, SECAM)
des autres appareils propres au monde vid
o. Ainsi, les images produites
par l'Amiga peuvent facilement et efficacement
tre transf
d'autres
quipements vid
o sans n
cessiter une conversion
labor
e de signaux qui
demanderait un
quipement sp
cial comme c'est le cas avec d'autres types
d'ordinateurs. L'Amiga poss
de des modes d'affichage entrelac
et est muni
d'une sortie RVB facilement transformable
l'aide d'un transcodeur en
signal vid
o normalis
, deux crit
res de base pour communiquer facilement
avec d'autres appareils vid
o. L'Amiga
met des signaux distincts Rouge,
Vert et Bleu (RVB appel
RGB en anglais). Ces signaux doivent
regroup
s sous forme d'un signal composite (couleur, image, amplitude,
synchronisation) afin que l'Amiga puisse
changer directement avec des
appareils vid
o dont les informations sont trait
es sous forme de signaux
composites. A titre d'exemple,
l'aide de la sortie composite de l'Amiga,
nous pouvons transf
rer directement l'information
un magn
toscope ou
tout autre
quipement vid
o. Cela permet d'employer l'Amiga pour les
productions audiovisuelles ou pour des applications vid
o interactives.
Comme l'Amiga utilise diff
rentes normes selon le pays (NTSC, PAL,
SECAM), il suffit
l'utilisateur de faire l'acquisition d'un transcodeur
correspondant
la norme utilis
e dans le pays. Par exemple, en Am
rique,
le transcodeur sera
la norme NTSC tandis qu'en France il sera
la norme
PAL. La compatibilit
o permet d'utiliser des
quipements vid
standard, ce qui permet de r
duire les co
ts de l'investissement.
@{fg shine}E c r a n
t e n d u ( o v e r s c a n)@{fg text}
Le monde de la vid
o fait appel
cran
tendu, qui permet de remplir
la totalit
d'un
cran comme le font les t
viseurs ou les magn
toscopes.
Certaines autres d
finitions laissent un espace autour de l'image. L'Amiga
de cet attribut d'
cran
tendu et s'assure ainsi de r
pondre aux
besoins des adeptes de la vid
o assist
e par ordinateur.
@{fg shine}C i r c u i t s
v o c a t i o n g r a p h i q u e@{fg text}
L'Amiga a
u pour la vid
o informatis
e. Des coprocesseurs ont
cialement d
velopp
s pour permettre
l'Amiga de produire et de
traiter des donn
es vid
o. Les coprocesseurs @{"Agn
s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Agnus.8c"} et @{"Denise" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Denise.8c"} prennent la
charge de t
ches sp
cifiques et travaillent de concert dans l'affichage de
cran et le traitement du signal vid
o (voir M
moire, processeur et
coprocessseurs).
Ils permettent
l'Amiga de produire des animations en temps r
el, qui
peuvent afficher des images
une cadence allant jusqu'
30 images par
seconde.
@{fg shine}E n v i r o n n e m e n t m u l t i t
c h e@{fg text}
L'Amiga est dot
d'un fonctionnement multit
che qui autorise le travail
simultan
de plusieurs programmes. Cette capacit
de traiter plusieurs
sources d'information pour les assembler en un tout am
liore la
productivit
, mais surtout facilite l'expression de la cr
ativit
, car la
ation artistique spontan
pend souvent de l'
motivit
qui se d
gage
d'une action spontan
e. Cette cr
ativit
est d'autant facilit
e que des
programmes de toutes sortes sont disponibles pour permettre d'exploiter ce
potentiel dont jouit l'Amiga. Le fonctionnement multit
che rend possible
l'exploitation rapide des capacit
s de diff
rents programmes pour obtenir
sultat escompt
, la limite devenant la quantit
de m
moire disponible
pour charger simultan
ment plusieurs programmes.
@{fg shine}E n t r e l a c e m e n t@{fg text}
Le mode entrelac
, que nous retrouvons dans les programmes sous les
finitions d'affichage entrelac
(Interlace), se caract
rise par un
scintillement d
able
cran en l'absence d'un d
sentrelaceur.
Souvent ce d
ment pr
vaut, et on oublie que ce mode d'affichage a
choisi en raison de sa compatibilit
avec celui des
quipements vid
existants. Ce choix de Commodore positionne avantageusement l'Amiga dans
le domaine de la vid
o assist
e par ordinateur. En effet, le fait que ce
mode d'affichage
mette des signaux qui correspondent
ceux des
quipements vid
o permet d'enregistrer le signal avec un
quipement vid
standard. Il devient ainsi possible
tout possesseur d'Amiga de monter ses
propres productions vid
o et cela
faible co
Le scintillement est provoqu
par la fa
on dont se fait l'affichage
cran. En simplifiant, nous pouvons dire que l'image, constitu
e d'une
multitude de pixels, s'affiche gr
ce au balayage de l'
cran par un faisceau
lectrons qui vient frapper l'enduit de phosphore de l'
cran. Ce balayage
se fait en ligne de gauche
droite et de haut en bas de l'
cran. Lorsque
cran a
enti
rement balay
, le faisceau reprend sa course au point de
part. Chacun des pixels de l'
cran se met
luire en fonction de
l'intensit
du faisceau d'
lectrons lors du balayage. Le nombre
d'informations qui composent l'image peut
tre d
termin
en multipliant le
nombre de pixels constituant la ligne horizontale par le nombre de pixels
constituant la ligne verticale, le tout donnant la d
finition de l'image
(ex: 640 x 400).
L'histoire de l'
volution de l'image t
e nous apprend que les
premi
res images
taient soit statiques, soit
base de peu de mouvements
et qu'elles ont fait place
des images beaucoup plus dynamiques. Les
premiers
quipements vid
tant incapables de r
pondre au besoin du
mouvement, la transition entre ces
quipements et le nouvel
quipement a
fait en adoptant le mode entrelac
. Ainsi
tait conserv
e la
compatibilit
entre l'
quipement existant et le nouvel
quipement capable
d'offrir la fluidit
que le mouvement exige.
Une image entrelac
e est compos
e de deux trames qui s'affichent
alternativement. Une trame est affich
e sur les lignes impaires du moniteur
suivie par une trame sur les lignes paires. L'inconv
nient de ce mode
d'affichage est qu'il n
cessite deux rafra
chissements altern
s, un pour
chacune des trames, et la vitesse du balayage est insuffisante pour que
l'alternance des rafra
chissements passe inaper
ue pour l'oeil. Une trame
aura commenc
dispara
tre avant que le balayage ne la rafra
chisse
nouveau, ce qui provoque un effet de scintillement de l'image
cran.
Sans entrer dans les d
tails, disons que la premi
re ligne impaire n'est
affich
cran que sur la moiti
de sa longueur. C'est elle qui sert de
signal de synchronisation dont se servent les
quipements vid
o pour
positionner correctement les deux trames vid
o: la demi-ligne permet au
me de diff
rencier la trame impaire de la trame paire et de les
afficher correctement. Avec un signal vid
o non entrelac
, les
quipements
servant
faire du montage vid
o refusent de travailler correctement.
L'entrelacement
tant une chose n
cessaire pour travailler en vid
o, ce
mode d'affichage rend l'Amiga attirant pour les amateurs de vid
Avec l'Amiga, les images en mode non entrelac
l'origine peuvent
affich
es en mode entrelac
, soit en choisissant un mode entrelac
dans le
programme "ScreenMode", soit en utilisant le programme "Lacer" con
cette fin. Une fois ce mode en fonction, il devient possible de faire
l'enregistrement d'images sur d'autres appareils vid
o. A noter que le fait
de brancher un Amiga
un appareil vid
o, tel un incrustateur d'images,
lorsque le mode entrelac
n'est pas en fonction, provoque des r
actions
bizarres
cran. Ces r
actions sont dues au fait que l'appareil branch
fonctionne en mode entrelac
alors que l'Amiga fonctionne dans un autre
mode. Le fait de mettre l'Amiga en mode entrelac
gle le probl
me en
assurant une compatibilit
entre les deux signaux des appareils.
Le programme @{"Lacer" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lacer.4c"}, situ
sur une des disquettes fournies par Commodore,
est utile pour les utilisateurs qui se servent d'
quipements d'incrustation
d'images (Genlock). Il fonctionne
la fa
on d'un interrupteur: lorsqu'on
clique deux fois sur son ic
ne, l'ordinateur se met automatiquement en mode
d'affichage entrelac
, qu'importe qu'on soit dans un mode d'affichage de
200 ou de 256 lignes. Si on reclique sur l'ic
ne, le programme est
sactiv
. Cependant, si aucun
quipement d'incrustation d'images n'est
branch
l'Amiga, le programme ne fonctionne pas
partir de l'ic
ne.
me si un moniteur
haute persistance ou un
quipement qui am
liore
l'affichage (par exemple un moniteur
multisynchronisation) ne laisse voir
aucune diff
rence
cran, il n'en demeure pas moins que le programme est
en service.
Si on utilise souvent un incrustateur d'images, il peut
tre avantageux
de placer le programme "Lacer" dans le tiroir "WBStartup" pour qu'il soit
mis en fonction d
s le lancement du syst
me. Pour lancer le programme
partir du SHELL, il faut taper la commande Lacer 1. Le programme sera lanc
me si aucun
quipement d'incrustation d'images n'est branch
. Pour
sactiver le programme, on tape Lacer 0.
@{fg shine}D
s e n t r e l a c e u r s@{fg text}
Pour
liminer l'effet de scintillement
cran lors de l'utilisation
des modes utilisant un signal entrelac
, il est possible d'ajouter
@{"un d
sentrelaceur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Flickfix.8bt"}
l'ordinateur, sauf pour l'Amiga 3000, qui poss
de un d
sentrelaceur
incorpor
. Le principe de fonctionnement de cette pi
lectronique est
d'emmagasiner en m
moire les lignes impaires et paires et de les restituer
quentiellement comme un tout
une vitesse de balayage deux fois
rieure. Ce type d'
quipement n
cessite un moniteur qui accepte
rentes vitesses de balayage de l'
cran, d'o
leur nom de moniteur
multisynchronisation (multisynch). Avec un d
sentrelaceur, il devient
possible de travailler en mode entrelac
sans avoir
supporter le
scintillement. Il suffit, avant de transf
rer l'information
un autre
appareil vid
o, de d
sactiver le d
sentrelaceur pour r
tablir la
compatibilit
du signal vid
o de l'Amiga avec les autres appareils vid
@{fg shine}T r a n s f e r t d ' i m a g e@{fg text}
Voici les grandes lignes du r
le que peut jouer l'Amiga dans le domaine
de la vid
o. Nous abordons le transfert d'images sur bande vid
o et
l'incrustation d'images.
@{fg shine}T r a n s f e r t d ' i m a g e s s u r b a n d e v i d
o@{fg text}
Il est possible de transf
rer directement des images de l'ordinateur
toscope. A partir de l'Amiga, mis en mode entrelac
et en mode
cran
tendu, nous pouvons recueillir,
l'aide d'un transcodeur, le
signal composite couleur sur un magn
toscope lors d'un travail dont il est
vu qu'il sera diffus
sur un moniteur de t
vision standard. Pour
obtenir le meilleur r
sultat possible, nous conseillons d'utiliser un
viseur couleur pour faire le bon choix de couleurs lors de la
conception des images. Etant donn
que le r
sultat du transfert sur
toscope sera visionn
sur un moniteur de t
vision standard, il est
rable de faire le choix des couleurs en fonction du rendu des couleurs
de ce type de moniteur, car la qualit
des couleurs que nous retrouvons sur
le moniteur de l'Amiga est diff
rente de celle d'un simple t
viseur
couleur. Pour obtenir un bon r
sultat, le codeur doit
mettre un signal
cis et le magn
toscope doit
tre de bonne qualit
, les pertes de
cision de l'image
tant dues principalement au m
canisme
d'enregistrement du magn
toscope et au support magn
tique lui-m
@{fg shine}I n c r u s t a t i o n d ' i m a g e s ( G e n l o c k )@{fg text}
@{"Un incrustateur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Sirius.8bt"} (Genlock) est un appareil
lectronique qui permet le
transfert et le mixage d'images vid
o. Pour l'amiga
ste, l'incrustateur
ouvre la voie
ventail de possibilit
atives.
L'incrustateur est un appareil qui @{"sert
synchroniser" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Sirius2.16c"} le signal vid
o de
l'Amiga avec le signal d'une autre source comme un magn
toscope ou une
ra vid
o et
superposer les deux images pour diriger la nouvelle image
e vers une sortie vid
o, ce qui permet de la capter par la suite avec
un magn
toscope.
Il faut comprendre que la synchronisation des deux sources vid
o et le
mixage des images qui en r
sultent sont r
s par l'incrustateur,
l'Amiga ne servant qu'
fournir un des signaux vid
@{fg shine}F o n c t i o n n e m e n t@{fg text}
De fa
on simplifi
e, nous pouvons dire que le r
le de l'incrustateur
consiste
rechercher et
identifier le rythme d'une premi
re source
ralement de la source vid
o externe (magn
toscope ou cam
synchroniser ce rythme avec celui de la source vid
o de l'Amiga
puis
superposer les images en provenance des deux sources vid
o un peu
la fa
on d'une double exposition
l'aide d'une cam
ra. L'image originant
de la source vid
o externe sert d'image d'arri
re-plan et l'image g
par l'Amiga sert d'image d'avant-plan.
Les incrustateurs sont de plus en plus nombreux sur le march
. On les
retrouve dans un large
ventail de prix, celui-ci n'
tant d'ailleurs pas
cessairement proportionnel aux fonctions que l'appareil accomplit et
qualit
de l'image produite. Il faut donc bien s'informer avant de fixer
son choix sur un appareil. Les incrustateurs les plus simples permettent
uniquement la superposition totale des deux sources vid
o alors que les
plus sophistiqu
s permettent le mixage progressif des deux sources vid
De plus, certains incrustateurs sont con
us avec la possibilit
raccorder un second moniteur directement
la source vid
o produite par
l'incrustateur. C'est ce qu'on appelle
tre branch
l'int
rieur de la
boucle vid
o (vid
o loop-through). Cela permet un meilleur contr
le du
travail puisqu'on peut observer la source vid
o informatique sur le
moniteur de l'Amiga et voir l'effet de superposition des images sur le
second moniteur, permettant ainsi un meilleur contr
le des contrastes et de
la brillance de l'image.
@{fg shine}P r i n c i p a l e s a p p l i c a t i o n s@{fg text}
Les programmes de titrage, de dessin et d'animation combin
l'incrustation d'images permettent de satisfaire la plupart des besoins du
simple utilisateur. De plus, l'Amiga dispose de logiciels de montage et
d'interfaces sp
cialement con
us pour mettre en ordre des s
quences
d'images en offrant un contr
le pr
cis de l'enregistrement des images,
limination des images non int
ressantes et la modification de l'ordre
des s
quences d'images. A noter que pour une utilisation tr
professionnelle, par exemple pour la t
vision, le signal de
l'incrustateur doit
tre de qualit
respectant les standards de la
vision (Broadcast).
La vaste gamme de programmes pr
sentement disponibles et qui ne cessent
de faire leur apparition est une garantie d'avenir pour l'Amiga dans le
domaine de la vid
o assist
e par ordinateur. L'apparition de cartes
destin
des usages professionnels comme le "Vid
o Toaster" confirme
l'avance de l'Amiga dans ce domaine.
@{"Montage post-production" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Montage.16c"}
Apr
s avoir enregistr
des images avec un camescope, produit des effets
de trucage ou des titres avec un Amiga et avoir recueilli ou compos
des
sons, il arrive un temps o
on veut s'imposer comme r
alisateur et
assembler cette multitude d'images et de sons en un tout coh
rent. A ce
titre, l'Amiga est en mesure d'aider
produire ce travail.
@{fg shine}N o t i o n s p r a t i q u e s s u r l e s
q u i p e m e n t
s@{fg text}
L'Amiga peut th
oriquement donner une d
finition horizontale de 540
lignes. Parmi les technologies existantes
des prix abordables, les
formats vid
o les plus int
ressants sont le ED-Beta (Enhanced Definition
Betamax), qui est capable d'enregistrer plus de 500 lignes de d
finition
horizontale et donc en mesure de capter l'essentiel des capacit
s vid
o de
l'Amiga; suit le "High-Band Video 8", ou Hi-8, qui est capable de plus de
420 lignes de d
finition horizontale; vient ensuite le S-VHS avec environ
400 lignes de d
finition horizontale. Loin derri
re, on retrouve le 8 mm et
le VHS avec environ 250 lignes de d
finition horizontale.
Les syst
mes capables de haute d
finition ont en commun le fait qu'ils
utilisent des signaux qui acheminent s
ment le signal de luminance
(signal Y) et le signal de chrominance (signal C) on parle de connecteur
Y/C. Cela permet de transmettre une image claire, sans diminution de
quence, qui restitue toute la qualit
de la d
finition.
@{fg shine}L e m o n t a g e@{fg text}
C'est la r
ussite du montage qui est en grande partie responsable de la
qualit
de l'oeuvre r
e. Il existe essentiellement deux proc
s de
montage: le montage par insertion et le montage par assemblage.
Le montage par insertion consiste
introduire sur une bande
toscopique d
enregistr
e une sc
ne. On se trouve de la sorte
effacer ce qu'il y avait
l'endroit o
l'on fait l'enregistrement. Ce
est peu pr
cis car il rend difficile la synchronisation; en plus de
chronom
trer pr
ment la dur
e de l'enregistrement, il faut trouver les
points de raccord. Cette technique d
pend des capacit
s des magn
toscopes.
Le montage par assemblage consiste
assembler les sc
nes, les unes
suite des autres, sur une bande pour aboutir
la production d
e. Pour
que l'assemblage soit parfait, il faut que les magn
toscopes poss
dent une
fonction d'assemblage de fa
ce que la synchronisation des sc
nes soit
parfaite
l'endroit des coupures. Cela se fait en assemblant une trame
paire suivi d'une trame impaire ou l'inverse. Pour faire ce travail, on
peut utiliser une table de montage qui renferme un ordinateur auquel est
branch
un magn
toscope lecteur (entr
e) et un magn
toscope enregistreur
(sortie). Un inconv
nient des tables de montage est que, tr
s souvent,
elles n
cessitent l'utilisation d'appareils de m
me marque. De plus, ces
tables permettent tout au plus d'assembler une dizaine de sc
nes. Il existe
pour l'Amiga des
quipements qui lui permettent de devenir le pilote de
plusieurs appareils vid
o pour lesquels on peut programmer des milliers de
assembler. L'Amiga se charge ensuite de faire le travail
d'assemblage selon les instructions re
ues pour produire un travail de
qualit
professionnelle.
Ce texte a
emprunt
la cinqui
dition du livre d
l'Amiga
"Comprendre et bien exploiter son Amiga". La partie concern
e s'intitule
dans cette publication "Vid
o assist
e par ordinateur"
Comprendre et bien exploiter son Amiga est
par les
ditions du Grand
moulin.
Distributeur en France: @{fg shine}Someware@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fVideoformat "Des formats et des principes (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D e s f o r m a t s , e t d e s p r i n c i p e s ...@{fg text}
pondant
un d
sir d'
volution r
dactionnel, la partie vid
d'Amiganews est appel
prendre une place r
re au sein du journal.
Et comme toute rubrique nouvelle, une d
finition pr
alable de certains
points, techniques ou non, nous semblait indispensable afin de clarifier au
maximum les explications futures... La vid
o est un domaine suffisamment
vaste pour se perdre dans les m
andres de ses circonvolutions
lectroniques. C'est pourquoi cet article se targue -modestement - d'
un survol de cet univers pour vous permettre de mieux appr
hender son
t et son application
l'Amiga, bien s
@{fg shine}A v a n t - p r o p o s@{fg text}
Qu'entend t-on par vid
o? Figurez-vous que sur ce point, le petit
Larousse lui-m
me a tout compris: se dit des signaux servant
transmission d'images. On parlera ici de signal vid
o, en tant que format.
Mais "vid
o" c'est aussi le nom g
rique de la discipline visant
produire ce signal. L'appareillage servant
concevoir ces images est lui
aussi nomm
riel vid
o. Comme on le voit, la d
finition du terme
englobe plusieurs significations.
Ce que l'on veut donc, c'est produire une image, destin
tre diffus
par un moyen t
visuel: cha
ne de t
vision, ou plus modestement,
n'importe quel t
viseur. Il nous faut donc pour ce faire une notion de
support, en l'occurence la vid
ocassette.
@{fg shine}L e v i f d u s u j e t@{fg text}
La meilleure mani
re d'aborder le cheminement d'un signal vid
o, c'est de
consid
rer son
laboration par
tages. Je m'explique: au d
part,
sortie d'une cam
ra de t
vision (le camescope est un cas particulier,
nous y reviendrons), on dispose d'un signal dit RVB. C'est
dire que
toutes les couleurs qui le composent sont un m
lange des trois couleurs
primaires rouge, vert et bleu. On veut bien s
r retrouver sur son
viseur,
la maison, la couleur originelle de l'image. Mais pour
retrouver cette image, il faut la transmettre jusqu'au t
spectateur. Or,
ce signal RVB est beaucoup trop complexe et lourd pour pouvoir
transmis tel quel par voie hertzienne. On a donc invent
des formats de
transmission afin de rendre ceci possible.
Ces formats sont (en gros, et sans parler de la transmission par
ble/satellite) au nombre de trois: le NTSC, le PAL et le SECAM. Notons
que suivant la contr
e, on trouvera des versions diff
rentes de chacun
d'eux (MESECAM...), mais qui restent conformes au m
me principe.
Allons-y pour leur d
finition... Cela peut para
tre r
barbatif, mais c'est
cessaire pour comprendre la suite.
- NTSC: National Television Standard Commitee. Ce format a
mis au
point aux Etats-Unis. C'est l
-bas qu'il est utilis
en majorit
, ainsi que
dans d'autres pays comme le Japon.
- PAL: Phase alterned Line. Mis au point en Allemagne au d
but des ann
60, c'est en fait une
volution du NTSC am
ricain. Il est utilis
dans
nombre de pays comme L'Angleterre ou, bien s
r, l'Allemagne. C'est en
LE format de travail t
visuel europ
en, car le plus r
pandu.
- SECAM: SEquenciel Couleur A M
moire. Le petit fran
ais, utilis
chez
nous mais aussi en Afrique... Finalement assez performant, mais peu usit
en tant que format de production.
Je vois vos yeux scintillants et d
sireux de compr
hension.
Malheureusement, tout n'est pas si simple... Car si ces formats sont
l'extr
de la cha
ne de production, les formats de travail sont
rents, et c'est l
que l'on revient
l'id
tages. D'ailleurs,
selon l'adage "un petit dessin vaut mieux qu'un long discours", voici
@{"une sch
matisation de l'
volution de notre signal vid
o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Schema.16c"}
Petite interpr
tation maintenant, afin de comprendre la situation dans son
ensemble.
@{fg shine}C o m p o s a n t e s y u v@{fg text}
On l'a d
dit, au d
part, l'image est au format RVB. L'
tape suivante
consiste
transformer ce signal RVB en YUV par une op
ration appel
matri
age. Le but est en fait assez simple: au lieu de disposer de trois
couleurs, on aura un signal de luminance (Y), et deux signaux de
chrominance (U et V) avec comme valeurs :
Y = R + V + B
U = R - Y
V = B - Y
En r
, ces
quations sont pond
es, car l'oeil ne per
oit pas les
rentes couleurs avec la m
me acuit
. Il faut donc r
tablir un
quilibre entre elles.
C'est en fait sous cette forme que le format Betacam stocke les donn
sur la bande ; c'est pour cela que la plupart du mat
riel professionnel
travaille dans ce format plut
t qu'en RVB. De plus, c'est un passage oblig
vers les autres formats. Pour certaines op
rations (comme l'incrustation),
il est n
anmoins n
cessaire de retomber en RVB : les machines concern
seront donc
es de d
matriceurs.
Parlons-en, des machines... Vous vous doutez qu'un signal YUV est encore
lourd et complexe: il faut trois c
bles pour le v
hiculer (quoique les
liaisons dites Dub entre les machines r
duisent ce nombre
un seul) et
donc trois
tages
lectroniques distincts
l'int
rieur de celles-ci. On
retrouvera donc ce format de liaison sur les r
gies vid
o broadcast. Les
supports composantes (autre petit nom pour le format YUV) sont nombreux:
Betacam normal ou SP, MII, 1 pouce B ou C... remarquons que le num
rique
est de plus en plus de mise dans ce type de r
gie, ce qui
limine le risque
de pertes inh
rent
toute liaison analogique. On parlera alors en termes
de compression, le plus connu
tant la norme 4:2:2 qui offre un bon
compromis entre qualit
et l
re compression de la chroma. Mais les
traitements appliqu
s au signal num
rique sont identiques
leurs confr
analogiques.
@{fg shine}C o m p o s a n t e s Y / C@{fg text}
tape suivante consiste
compresser nos deux signaux de chroma en un
seul, op
ration que l'on nomme le codage. C'est ici que r
side la
rence fondamentale entre les trois formats pr
s : le codage NTSC
re du codage PAL et du codage SECAM. Nous y reviendrons aussi. A la
sortie de cette
tape, si vous avez suivi, nous nous retrouvons avec d'un
la luminance Y et de l'autre la chrominance C (subtil, non?). C'est le
format Y/C, que l'on retrouve en Hi8 ou en S-VHS pour le grand-public, avec
le BVU et le U-Matic pour le domaine institutionnel. Notre signal n'est que
rement d
, par contre son traitement devient un peu plus
simple et
la port
e d'un appareillage plus accessible.
@{fg shine}C o m p o s i t e@{fg text}
Le dernier
tage est finalement le multiplexage, qui imbrique en un seul
signal luminance et chrominance d'o
son appellation: le composite. On dira
donc composite PAL ou NTSC ou SECAM selon le type de codage. La majorit
riel vid
o grand-public fonctionne en composite, qui ne n
cessite qu'un
seul c
ble de liaison. Par contre, pas de miracle: les op
rations
successives que l'image a subies l'ont certes "all
e" mais l'ont aussi
diablement d
e... Sur une cassette VHS ou 8 mm, vous l'aurez
compris, le signal est composite. Sachez cependant pour votre gouverne que
nombreuses sont les r
gies dites "pro" qui fonctionnent r
ellement
en...composite! En fait, tout d
pend de la qualit
du signal au d
part, qui
provient dans ces cas de cam
ras broadcast proposant entre autre une
optique digne de ce nom. C'est surtout au niveau couleur que se situe la
gradation; dans certains cas, luminance et chrominance (qui sont
imbriqu
es l'une dans l'autre) sont confondues par le t
viseur, notamment
dans les d
tails fins de l'image: c'est le cross-color, qui transforme les
vestes
carreaux en d
licieux moirages de couleurs psych
liques...
Terminons ces explications laborieuses en pr
cisant qu'
la r
ception de
l'image (chez vous, donc) le processus inverse est appliqu
l'image, les
lectrons allant joyeusement frapper les photophores rouges, verts et bleus
de votre
cran, illuminant vos soir
es de motifs color
s aussi magiques que
Jean-Pierre Foucault ou Mireille Dumas.
@{fg shine}E t l ' A m i g a d a n s t o u t c a ?@{fg text}
A la lumi
re de cette prose percutante, vous r
alisez qu'en sortie de
votre Amiga se trouve une prise RVB doucereusement nomm
e 15 KHz. Pour pour
pouvoir exploiter ce signal, il va falloir le convertir en une image
exploitable par le restant de votre mat
riel vid
o. L'appareil permettant
cet exploit, je vous le donne en mille, c'est le fameux Genlock... Et l
de suite, je dis stop!! Avant de poursuivre une l
re mise au point
vocabulaire me semble s'imposer.
Genlocker une source,
a veut dire lui ajouter une synchro. Celle-ci est
rigoureusement indispensable en vid
o, puisque c'est elle qui g
re la
quence d'affichage des lignes, puis des images sur votre
cran. Il est
donc n
cessaire que toutes les machines d'une installation "battent" au
me rythme, afin de pouvoir visualiser ou enregistrer un signal sur une
seule machine, voire de m
langer deux signaux. Pas de synchro: une image
qui saute dans le meilleur des cas. Le signal qui sert
synchroniser les
sources se nomme le Blackburst. S'il est indispensable en broadcast, on
s'en passe souvent en vid
o grand-public car on se sert de l'une des
sources pour synchroniser le reste.
Tout cela pour dire que ce "genlock", s'il "genlocke" bien votre Amiga
la vid
o, convertit surtout votre signal en Y/C, composite voire YUV et
s'occupe aussi tant qu'on y est, d'incruster vos images informatiques sur
la vid
o... L'"ajout de synchro" n'est donc qu'un des aspects de l'utilit
d'un genlock. Voil
, mon coup de gueule est pass
. Ca va mieux, merci.
Vous comprenez mieux d
s lors pourquoi les p
riques (Genlocks,
cartes graphiques...) grimpent de prix suivant le type de sortie propos
@{fg shine}L e c a m e s c o p e@{fg text}
Vous n'
tes pas sans savoir que votre @{"camescope" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Camescope.8bt"} dispose de ce que l'on
appelle un ou plusieurs CCD, autrement nomm
s "dispositif
couplage de
charge". Sch
matiquement, un CCD est un composant
lectronique charg
d'analyser l'image
mise
travers l'optique pour la transformer en une
rie d'impulsions
lectriques. Il se pr
sente sous la forme d'une "grille"
de cellules photosensibles, c'est
dire sensibles
la lumi
re qui les
frappe. Sur les cam
ras de studio ou les camescopes professionnels (Beta
SP) voire semi-professionnels (Hi8, S-VHS), on dispose de trois CCD, chacun
analysant une des composantes R, V ou B de l'image.
Un s
parateur optique plac
juste apr
s l'objectif permet de filtrer les
trois couleurs. Par contre, sur un camescope grand-public, un seul CCD doit
s'occuper de l'analyse des trois couleurs: l'image optique passe
travers
des filtres mosa
que afin de permettre son traitement, ce qui, vous l'avez
devin
, diminue d'autant sa r
solution et ses qualit
s colorim
triques. De
plus, chez le camescope commun (Photophagus Banalis) tous les traitements
(codage, multiplexage) se font d'une traite, aboutissant
un signal
composite PAL ou SECAM couch
sur la cassette (VHS ou 8 mm) par les t
d'enregistrement. Bref, couleurs baveuses et fourmillements intempestifs
sont au rendez-vous.
Pour tout travail de qualit
correcte, pr
rez donc le Hi8 ou le S-VHS:
le @{"Sony V 5000/6000" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Sonyv5000.8bt"}, s'il n'est plus fabriqu
, est un excellent mod
le par
exemple (mais faites attention aux mauvaises occasions, le Hi8 est r
pour sa fragilit
). Il dispose en outre d'un TBC, qui est en quelque sorte,
le "couteau suisse de la vid
o". Ce circuit
lectronique (qui en vid
Broadcast occupe
lui seul un bo
tier de type Rack) est un correcteur de
base temporelle (Time Base Corrector). A ce titre, il "retape" la synchro
d'une source un peu fatigu
e, et masque les fameux "Drop-Out", vous savez,
ces lignes vertes, rouges ou noires qui traversent l'image de temps
autre
au gr
des poussi
res d
es sur la bande. Le TBC va d
tecter ces lignes
es au moyen d'une ligne
retard (un petit circuit qui, comme son
nom l'indique, m
morise plusieurs lignes avant de les afficher) et les
remplacer par la ligne pr
dente. Ainsi, ces d
fauts deviennent quasi-
invisibles. Magique ?
... si la bande a
mordill
e par votre Teckel
poils longs, cela se
verra...
Donc dans votre installation vid
o un TBC a sa place. Certains genloks
Amiga font d'ailleurs aussi office de TBC (comme le @{"MSP9000 de SATV" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Msp9000.8bt"} qui
offre aussi une carte graphique pour le m
me prix, finalement peu
accessible au commun des mortels).
En r
, sur le march
"amateur
clair
" deux marques se disputent le
teau : Sony, l'inventeur du Hi8, et JVC, celui du S-VHS. Chaque format a
ses avantages et ses inconv
nients. Le Hi8 est fragile, mais le piqu
l'image est excellent. Le S-VHS, plus solide, offre
mon humble avis une
image tr
rement en de
de son concurrent (Je sens que les
mistes de chaque camp me lorgnent m
chamment, l
...). Car c'est bien
deux clans que l'on a affaire. Le Hi8 semi-pro est associ
au Betacam,
tandis que le S-VHS s'accouple fort volontiers au MII... Il arrive aussi
que l'on tourne en Hi8 pour monter en S-VHS. Le choix n'
tant pas simple,
je vous conseillerai donc de vous faire une opinion personnelle en allant
consulter revendeurs et passionn
s de chaque bord...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Une vue de la situation dans son ensemble pourrait donner ceci: les pros
travaillent en RVB ou composantes YUV, le march
institutionnel est domin
par le format Y/C (Hi-8 et S-VHS), et le modeste amateur se contente du
composite PAL. Pourtant, n'oubliez jamais qu'une image de bonne qualit
technique n'implique pas forc
ment une bonne image: savoir composer un
cadre, donner du rythme
un montage ou
laborer une bande son pertinente
sont autant de points qui, finalement, d
terminent l'aspect du produit
o fini... C'est pourquoi, avant de vous pr
cipiter sur une cam
000 francs, soyez conscients que le travail audiovisuel ne s'improvise en
aucun cas. Nous essaierons le mois prochain d'aborder les bases des codes
de l'image. Astiquez vos objectifs...
@{fg shine}J
rome DEBEVE@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fLightRom "LightROM (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t R O M
Du manger pour LightWave@{fg text}
Si la production de CD-ROMs sur Amiga a eu jusqu'
sent une tendance
raliste", voici qui est en train de changer avec l'apparition
sur Amiga de titres ciblant une application ou un domaine particulier,
comme on en voit
foison sur Mac ou PC. Ainsi, en 1994, nous avons eu des
produits tel le "Sound Terrific" de Weird Dream, au "Clip Art" & "Fonts
Cd", "Multimedia Tool Kit" etc... Toujours en 1994, dans le domaine de
l'image de synth
se Amiga, sont sortis "Imagine CD", un CD ROM assez moyen,
ainsi que les deux premiers volumes de la collection allemande "Ray
Tracing", carr
ment d
cevants
mon go
t... Cependant, 1995 commence plut
bien avec l'apparition d'un produit des plus int
ressants dans le domaine
de la 3D, le "Light Rom Volume 1" que j'ai vraiment eu plaisir
couvrir
pour vous.
@{fg shine}O r i g i n e e t b u t@{fg text}
par Michael Meshew et produit par l'Amiga Library Services (alias
Fred Fish), "Light Rom 1" est le premier volume d'une collection d
Lightwave. Dans l'imm
diat, deux volumes sont pr
vus pour 95, mais comme le
fait remarquer l'auteur, il y a fort
parier que l'adaptation de LW sur Pc
devrait se voir suivre d'une recrudescence importante d'objets, textures
etc..., mis dans le domaine public en Freeware ou Sharewhare. Ainsi,
finalement, ce pourrait
tre bien plus de deux volumes que nous verrions
sortir annuellement. C'est d'ailleurs en vue de cette fameuse adaptation
que ce CD ROM est
la norme "Iso 9660 niveau 1d" seul format que puisse
comprendre un PC contrairement
l'Amiga ou au Mac, pour ne citer qu'eux
(voir encadr
sur les niveaux de l'Iso 9660 en fin d'article).
@{fg shine}C o m p o s i t i o n@{fg text}
Penchons-nous sans attendre sur le contenu de ce premier volume, qui,
disons-le de suite, repr
sente un travail r
ellement impressionnant,
puisque absolument TOUT ce qui peut-
tre trouv
pour Lightwave, que ce soit
sur l'Internet, les BBS, dans les collections & distributeurs de DP au
niveau mondial etc... se trouve dans le CD ROM. Ceci dit, ne vous y trompez
pas: ce produit est loin d'
tre une "
me" compilation de ce qui,
finalement, est accessible
tous (modem, organismes DP ou CD ROM comme les
AmiNet), car l'auteur a d
march
un grand nombre de soci
s (dont NewTek
me) et de particuliers reconnus, afin qu'ils contribuent
l'existence de
cette collection. A cela s'ajoute la vocation "tremplin pour l'emploi" de
ce produit, et il n'en fallait pas moins pour que bon nombre d'amateurs
avertis confient
Michael leurs r
alisations, dans l'espoir de faire
conna
tre leurs travaux.
Mis
part Lightwave, une partie de ce CD ROM est aussi consacr
e au
Toaster,
Imagine, Sculpt, Vid
oscape (Caligari 24, Scenery Animator),
ainsi qu'
Vista Pro.
@{fg shine}P r i n c i p a u x t i r o i r s@{fg text}
- LightWave: ce tiroir est
videmment le principal du CD ROM. S'il est
encore rare de trouver en Europe du DP pour LightWave, il en va tout
autrement en Am
rique, puisque c'est approximativement un minimum de 3000
fichiers objets (!) qui se trouvent dans ce tiroir, chacun avec ses
textures, bump maps et autres fichiers sc
ne ou texte quand il en a.
partis dans 39 directories "th
matique" (environnement, @{"humains" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Anaex.jpg"}, @{"espace" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Space.jpg"}
, aviation, marine, v
hicules, @{"plantes" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Plantes.jpg"}, @{"mobilier" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Mobex.jpg"}, architecture, animaux
etc...) eux-m
mes organis
s en sous-directory, l'auteur a eu l'excellente
e (et surtout la patience!), afin de rendre la navigation plus facile
sur cet oc
an de donn
es, de r
aliser pour chaque th
me un tiroir "Index"
regroupant des planches graphiques aux formats Ham8, Jpeg et Targa des
objets les plus importants. Vu le nombre d'objets disponibles, il va de soi
que tous ne sont pas ainsi repr
- Le tiroir "Text" contient l'integralit
des contributions vers
mailing list "Lightwave" sur Internet depuis sa cr
ation en 1992, ce qui
sente une mine d'informations et d'astuces
poustouflantes pour les
utilisateurs de Lightwave tout nouveau, h
las..., que nous sommes en
Europe. Ce sont l
une centaine de d
bats, des astuces, techniques et
exercices en veux-tu en voil
, les trucs des pros par eux-m
mes (Mark
Thompson...), des ann
es d'exp
rience et de pratique et tant d'autres
choses, ceci le long de plus de 10 Mo de texte auquel s'ajoutent les
rences Lightwave tenues sur les plus c
bres BBS am
ricains.
Pour parfaire les choses, une dizaine de scripts ARexx enti
rement
comment
s et vraiment tr
s utiles sont aussi pr
sents. On aimerait
cependant en trouver plus sur le prochain volume! :-)
Une petite parenth
se pour signaler, si besoin est, que les objets LW
sont directement utilisables avec Caligari 24, ce qui ne d
rait
rement pas aux utilisateurs du programme d'Octree Software, d'autant plus
que ce logiciel convertit
merveille ce format.
- GEO: 179 d'objets au format Geo de Videoscape, directement utilisables
dans Lightwave et Caligari. La qualit
de ceux-ci est assez variable, mais
les possesseurs de Scenery Animator seront combl
s, puisque ce programme
accepte lui aussi de charger directement ce format.
- SCULPT: environ 500 objets mod
s avec la version Amiga de Sculpt,
chargeables dans Lightwave en passant par les convertisseurs Tio. Les
lisations sont plut
t vieilles, et l'on pourrait s'attendre
un tiroir
d'int
t. Il n'en est rien, car on trouve justement dans ce tiroir
beaucoup de petites "bases de donn
es" sur les portes, fen
tres etc...,
autrement dit tout pour une maison en pr
fabriqu
- IMAGINE: tr
s similaire au tiroir Lightwave, les index en moins, ce
directory contient pas moins de 1194 fichiers au format IO, ainsi que 105
nouveaux attributs. Un r
pertoire "Text" est pr
sent, dans le m
me esprit
que celui du tiroir LW.
- @{"IMAGES" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Creature.jpg"}: une s
lection de 24 images de fonds, avec @{"index" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Envex.jpg"}, aux formats
Jpeg, Targa et Iff24, surtout destin
des applications multim
dia ou
- TEXTURES: 178 superbes @{"textures" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Textu.jpg"} de haute qualit
, toujours avec index
et disponibles aux 3 formats cit
s plus haut.
- BUMP MAP: 43 images en N&B adapt
es au @{"bump mapping" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Bump.8bt"}. Index, diff
rents
formats et haute qualit
sont, l
aussi, au rendez-vous.
- DEM: une centaine de fichiers Dem (Digital Elevation Maps) classes par
lieux g
ographiques au sein de 22 tiroirs. Directement utilisables dans
Vista Pro et Scenery Animator, ces fichiers font de magnifiques paysages 3d
pour Lightwave, Caligari, Imagine and Cie une fois pass
s dans une
moulinette comme Interchange Plus ou Pixel 3D.
- TOASTER: une collection de 151 fonts Cg et de 13 volets utilisables
avec le Toaster. "Inint
ressante" ( ;-) )
moins que New Tek ne se d
cide
enfin
nous sortir une version Pal/Secam de son fabuleux joujou, ce qui
redonnerait d'ailleurs
l'Amiga un second souffle et surtout la position
laquelle il a droit... Quoiqu'il en soit, l'int
gralit
des textes de la
rence Internet sur le Toaster est aussi pr
sente, et comme pour
Lightwave et Imagine, cela repr
sente une mine d'infos faramineuse...
histoire d'
tre fin pr
l'heure de la revanche ;-)
@{fg shine}P o u r f i n i r ...@{fg text}
Quantit
, originalit
et surtout qualit
se marient
merveille dans les
quelques 650 Mo de cette galette de 12 cm. Dans l'ensemble, les
lisations sont vraiment tr
s pro et il est d'ailleurs amusant de
constater que si l'utilisation d'un scanner 3d reste du domaine du r
pour un particulier en France, cela para
t plut
t monnaie courante chez nos
voisins ricains...
Le nombre impressionnant de donn
es est parfaitement organis
et l'on
de tr
s facilement au fichier d
. Les nombreux index y sont
d'ailleurs pour beaucoup dans cette aisance, et surtout il n'est plus
cessaire de calculer un objet pour se faire une id
e de son aspect.
Les diff
rents r
pertoires Textes feront le bonheur de tous et occuperont
coup s
r de longues soir
es tant les informations que nous y trouvons
sont int
ressantes et "in
dites" pour la plupart d'entre nous, Lightwave
tant un produit plut
cent chez nous.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Je soulignerai simplement, comme au d
but de cet article, qu'il manquait
sur Amiga un CD ROM de qualit
sur l'image de synth
se, chose qui est
aujourd'hui grandiosement r
e avec l'arriv
e de ce premier volume de la
collection Light Rom, que je ne peux que conseiller tellement c'est une
ussite. Indispensable
l'infographiste 3D, qu'il soit novice ou expert.
@{fg shine}Joachim BERGOT@{fg text}
NOTE: les Fred Fish num
ro 875
1000 sont pr
sentes en ".lha" et en
"bonus" sur le cdrom afin de remplir les quelques Mo qui restaient
disponibles avant le pressage.
@{fg shine}Light Rom Vol1, 319F, disponible chez Phoenix DP@{fg text}
@{fg shine}L ' I s o 9 6 6 0 e t s e s n i v e a u x ...@{fg text}
Le fameux Iso 9660 dont tout le monde parle depuis la d
mocratisation du
cdrom comporte trois niveaux. Sans le moins du monde vouloir entrer dans
une description technique (je laisse ce soin
quelqu'un de plus qualifi
que moi sur la question), voici une br
ve description de ces trois niveaux
quant
la syntaxe des noms de fichiers, et ce qui en d
coule pour "Light
Rom 1":
- Niveau 1: le nom d'un fichier doit comporter un maximum de 8
caract
res, un point "." ainsi qu'une extension limit
3 caract
res (ex:
12345678.EXT). Le nom d'un tiroir est, comme pour celui d'un fichier,
limit
8 caract
res. Ce premier niveau est plus souvent appel
"convention MsDos 8.3" ou plus simplement "8.3 names".
- Niveau 2 & 3: ces deux niveaux sont similaires quant
la syntaxe des
noms de fichiers, ces derniers ne devant pas exc
der 31 caract
res, tout
comme pour un directory d'ailleurs, et contenir un point "."
A cela s'ajoutent deux sous-niveaux:
- d: sont seuls autoris
s pour les noms de fichiers, les lettres en
majuscule, les chiffres ainsi que le caract
re "_".
- d1: pas de restriction au niveau des caract
res utilis
Les cd-roms destin
s au "monde Pc", sont en g
ral des Iso 9660 1d (niveau
1, sous-niveau d), alors que sur les autres syst
mes (Amiga, Mac, Sgi, Unix
etc) c'est plut
t du "2d1". Il faut aussi signaler que seul les cdroms
conformes au niveau "1d" peuvent garantir un acc
s aux donn
es qu'ils
contiennent sur toutes les plates-formes existantes supportant l'Iso 9660,
aussi primaires qu'elles puissent
Michael Meshew ayant tenu
ce que son produit soit pleinement
exploitable sur compatible PC en temps voulu... ( ;-) et on le comprend le
bougre, vu l'attrait
conomique de ce qui gravite autour d'une bonne
application PC comme devrait l'
tre notre cher Lightwave une fois
adapt
...), "Light Rom 1" est donc au format Iso 9660 1d. Etant donn
que
jusqu'alors, rares sont les cd sortis sur Amiga utilisant ce niveau de la
norme, ne vous
tonnez donc pas (mais vous l'avez maintenant devin
) des
points suivants:
La longueur des noms des fichiers
tant tr
s raccourcie par rapport
que l'on a l'habitude de voir sur Amiga, les objets ne poss
dent pas
toujours un nom tr
s explicit... et l'auteur nous fait d'ailleurs part en
souriant du mal qu'il a eu a condenser certains noms "
rallonge"...
Aucun ic
ne Amiga ne se trouve sur le CD ROM, mais cela n'avait pas une
importance primordiale vu l'utilisation
laquelle est vou
Light Rom...
@ENDNODE
@NODE fSwitchecran "Switcher d'
crans (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S w i t c h e r d '
c r a n s v i d
Amiga 2000, 3000 et 4000@{fg text}
Initialement ce montage fut cr
pour commuter la sortie vid
o VGA de mon
A3000 et la sortie vid
o de la carte R
tina qui se trouve elle aussi dans
la machine, le tout vers un seul
cran S-VGA. Ce montage s'impose car ce
type de carte vid
o ne poss
de pas (contrairement
la Picasso II ou la
Domino) un switcher d'
crans automatique incorpor
@{fg shine}L e m o n t a g e@{fg text}
Les sch
mas (@{"A" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Switch2.16c"}, @{"B" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Switch3.16c"}, @{"C" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Switch4.2c"})que vous d
couvrez sur ce papier doivent
suffisants pour r
aliser sans probl
me cette manip. Bien s
r, toutes les
recommandations d'usage concernant les montages
lectroniques et les
possibles d
riorations accidentelles du mat
riel sons sous-entendues.
Comme d'habitude, AmigaNews et l'auteur ne seront responsable en quoi que
ce soit.
Comme vous le remarquez, @{"le montage est fort simple" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Switch1.8bt"} et s'articule en fait
autour d'un relais
lectro-m
canique 6 points. Ce relais est donc capable
d'accepter 6 entr
es et de les commuter en deux fois 6 sorties. Les 6
contacts sont exactement ce qu'il nous fallait. En effet, les signaux vid
qu'utilise l'Amiga et la totalit
des cartes graphiques sont les suivants:
les signaux vid
o rouge, vert et bleu. Les signaux de synchronisation vid
horizontaux et verticaux, sans oublier la masse du tout que normalement
nous n'aurions pas besoin de commuter car dans l'Amiga toutes les masses
sont communes.
@{fg shine}L ' a l i m e n t a t i o n@{fg text}
J'ai pr
utiliser une alimentation externe pour le relais. On aurait
pu utiliser un +5V ou +12V d'un des connecteurs de l'Amiga et ainsi
viter
une alimentation et donc un c
lectrique suppl
mentaire. Ceci est vrai
mais je pr
re utiliser une alimentation s
e tant pour des raisons de
consommation que des r
alisations suppl
mentaires de connecteurs pass-thru
sur le port s
rie ou disquette, qui de toute fa
on encombre encore plus en
ble et connecteurs l'arri
re de notre machine. De plus je conseille aussi
d'acheter carr
ment un petit transformateur type Walkman en 6V ou 9V que
l'on peut trouver entre 20 Francs et 100 Francs selon l'endroit. Ainsi le
probl
me de l'alimentation sera r
solu.
@{fg shine}L e r e l a i s@{fg text}
Il est, quant
lui, de type vraiment courant. Vous ne devriez pas avoir
le moindre probl
me pour vous le procurer. Demandez quand m
me qu'il soit
en 6 volts car il en existe du m
me type dans des voltages plus
s et
cela pourrait causer un probl
me surtout si l'on vous vend un 24 Volts.
me si vous ne trouvez pas exactement le m
me que celui qui est en @{"photo" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Switch5.8bt"}
dans Amiga-News, il suffit qu'il poss
de une commutation de 6 entr
Ensuite, vous pourrez toujours tester avec un mutim
tre les sorties par
rapport aux entr
es et adapter facilement le montage. Comme commutateur,
j'ai utilis
un simple inverseur qui commute directement une SEULE des
es 220 Volts du transformateur apr
s avoir install
un fusible de
protection (1 ou 2A) ce qui est plus s
r et r
glementaire. Ne commutez
jamais les deux phases d'une entr
e 220 Volts sur un switch inverseur, on
ne sait jamais ce qui peut arriver. Le fait de commuter directement avant
le transformateur
vite ainsi que le transformateur soit branch
permanence sachant que l'on utilisera l'entr
e 1 du montage pour l'
cran
o principal car elle se trouve commut
e en position repos du relais
donc alimentation coup
e. De plus, rien ne vous emp
che d'ajouter une Led
moin sur le bo
tier.
@{fg shine}E n c o r e@{fg text}
Le principe du montage est tr
s simple. Nous avons eu besoin de commuter
6 entr
es. Il est aussi possible d'en commuer plus de 6. On peut, en effet,
soit ajouter 1, 2, 3 ou 4 relais pour par exemple commuter 24 points. Ceci
peut servir
faire par exemple un bo
tier de commutation de prises
parall
les pour soit brancher plusieurs imprimantes sur une machine ou
plusieurs machines sur l'imprimante. Les montages avec des relais
inverseurs peuvent
tre sans limites. A vous d'imaginer ce que vous
pourriez faire avec.
@{fg shine}E n f i n@{fg text}
Pour finir, signalons que m
me si le principe du montage est tr
s simple
il reste possible d'ab
mer le mat
riel vid
o de votre machine par une
mauvaise manipulation des signaux vid
o. Il est arriv
par exemple sur un
A3000 de griller le circuit "AMBER" du d
sentrelaceur uniquement en cr
un court circuit entre les Synchros et un des signaux composite. Alors
attention avant de tester le montage, v
rifiez bien vos connections. Note
importante au sujet de la carte R
tina: Pour
viter des d
gradations de
l'image, il est indispensable d'utiliser du c
ble vraiment blind
en tresse
et le plus court possible. Ce probl
me de d
gradation des images vis
vis
ble existe aussi sur la Picasso, en g
ral sur la majorit
des cartes
graphiques. La R
tina semble cependant beaucoup plus sensible et exigeante
sur la qualit
du c
blage.
Voil
, c'est tout pour aujourd'hui. Si vous avez des questions, envoyez-
moi une lettre timbr
e pour la r
ponse, sinon je ne r
ponds pas! A bient
@{fg shine}Eric LAFFONT@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fLw "LightWave (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e
1,2,3 modelez !@{fg text}
Tout au long d'une dizaine d'articles nous allons d
couvrir LightWave 3.5
de fa
ce que vous deveniez autonome le plus rapidement possible. La
pratique de LightWave sous forme d'exercice compl
tera le mode d'emploi et
terme vous permettra de refaire 'Jurassic Park'...
@{fg shine}L a r
g l e d u j e u@{fg text}
La sc
ne que vous verrez au d
but de chaque article est d
e et
taill
e de fa
ce que vous puissiez la recr
er vous m
me et voir
quoi peuvent servir les diverses fonctions.
@{fg shine}L e b u t d u j e u :@{fg text}
Vous permettre de manipuler les fonctions essentielles de LightWave sur
le bout des doigts, avec la mise en pratique des techniques de base comme
le placage de texture, les effets de r
fection, diffraction, les animations
etc...
@{fg shine}D
r o u l e m e n t@{fg text}
Aussi, comme tout apprentissage, il faut commencer par la base, sans
ration dans les explications, ce qui a pour
norme avantage de "prendre
par la main" les n
ophytes.
Par ailleurs, c'est une m
thode qui a tendance
"agacer" les utilisateurs
avertis qui ne s'y retrouveront que plus tard, vers le 3
me ou 4
exercice,
partir desquels on consid
rera les bases acquises.
@{fg shine}L a c o n f i g u r a t i o n@{fg text}
LightWave n'
tant pas ce que l'on pourrait appeler un soft "Load & Play"
du type DPaint, il faut des machines ayant un minimum de puissance.
Ce logiciel propose tant de fonctions et il est tellement puissant, que son
utilisation souple demande un bon paquet de Mo de m
moire et de disque dur.
Un petit coup de pouce au niveau vitesse, est plus qu'appr
ciable.
Avec un 68020
14 Mhz et des actions chez E.D.F., la vitesse ne sera pas
encore votre plus gros handicap. Par contre, 6 Mo de m
moire sera le strict
minimum pour modeler et calculer les sc
nes au cours de cette s
d'articles.
Pour les amateurs de synth
se vraiment trop justes en m
moire, il ne faudra
lancer que le modeleur avec lequel vous sauvegarderez vos "objets" pour
ensuite les recharger sous LightWave complet afin de placer cam
ra et
res, d
finir les attributs des objets puis re-sauvegarder la "sc
(et aller la calculer chez un copain.).
De plus, si vous mettez un doigt dans la synth
se, vous ne pourrez plus
regarder normalement les objets qui vous entourent. Alors profitez encore
un peu de l'instant pr
sent.
@{fg shine}M o d e d ' e m p l o i@{fg text}
Lorsqu'on lance LightWave, un plateau s'ouvre devant nous. Il est vide,
aucun objet n'est visible puisqu'aucun n'a
ou charg
. Ce n'est
donc qu'apr
s une cr
ation que ce plateau nous int
ressera.
Passons alors dans @{"le modeleur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/lw2.16c"} afin d'y cr
er des objets qui rempliront ce
plateau.
Une fois arriv
sous le modeleur (bouton Modeler en haut
droite) une
grille s'ouvre sous nos yeux. Elle est s
e en quatre fen
tres qui sont
les vues de face, haut, gauche, et 3D.
En haut
droite les 10 petits boutons correspondent aux m
moires (rang
du haut) et
leurs ombres (rang
e du bas). La multi-s
lection est possible
Shift.
Vous remarquerez que sous LightWave, il n'y a pas de menu accessible avec
le bouton droit, mais un ensemble de fonctions
lectionner. Il en
coulera parfois des sous menus ou autres requesters.
Pour que cela ne devienne pas incompr
hensible et dans un souci de
clart
, lors des s
lections, je pr
ciserai le chemin
suivre, par exemple.
@{fg shine}S
l e c t i o n n e z@{fg text}
* Object:Create/Box | Numeric
Cela veut dire qu'il faut s
lectionner le bouton object et que dans sa
partie Create il faut s
lectionner le bouton Box puis numeric. Un requester
appara
A la fin de ces pages, vous lancerez le calcul d'une sc
ne et le lendemain
matin, (pour les moins rapides) vous devriez obtenir l'image du plateau
avec ses boules comme ci-dessus.
Exercice n
Le plateau
boules
- La mod
lisation -> Quelques outils
- Le plateau -> Lumi
re/cam
- Les attributs -> Textures, r
flection, etc...
@{fg shine}L e m o d e l e u r@{fg text}
La premi
re chose
faire lorsque l'on se trouve sous le modeleur, est de
gler la grille afin de travailler tous sous la m
chelle. R
glons la
50 cm ("," ou Shift ".") et faites en sorte de visualiser sur la vue de
face 5 m (10 carreaux, d
placez les fen
tres). Vous pouvez modifier la
position des fen
tres en cliquant sur leurs intersections ou encore
modifier la position des axes dans chaque fen
tre gr
ce aux fl
ches de
directions.
A noter que, cliquer sur OK dans un requester, ne valide pas toujours
l'action, dans ce qui suit; validez veut dire "entrer" au clavier.
Donnons un nom
notre premier objet.
lectionnez:
* Polygon (Haut): Transform/Surface
Renommez dans le requester apparu en "Plateau"
-> validez
* Polygon (H):Create/Point
Posez 1 point en plein centre de la vue de face, validez, posez les
points suivants de fa
finir @{"la figure 'Lathe-profil'" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw3.8c"}.
* Polygon (H):Create/Make
(recliquez avant sur Points)
* Multiply:Lathe
Placez sur la vue de dessus l'axe de rotation en plein centre (X=Z=0)
* Multiply:Numeric
Remplissez le requester comme fig @{"Lathe-profil" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw3.8c"}
-> validez
* Modify:Position/Rotate | Numeric
Remplissez le requester comme fig @{"Rotate+forme" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw4.8c"}
le plateau est termin
, nous allons cr
er les boules.
* Changer de m
moire (en haut
droite)
* Polygon (Haut):Transform/Surface
Renommez en "Surface_bois"
-> validez
* Object: Create/Ball | Numeric
Remplissez le requester comme fig @{"Boule.1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw5.8c"}
-> validez
* Changer de m
moire
* Polygon (Haut):Transform/Surface
Renommez en "Surface_Marbre"
-> validez
* Object: Create/Ball | Numeric
Modifiez la ligne des X avec -1
* Changer de m
moire
* Polygon (Haut):Transform/Surface
Renommez en "Bosselage"
-> validez
* Object: Create/Ball | Numeric
Modifiez la ligne des Z avec -1
-> validez
* Changer de m
moire
* Polygon (Haut):Transform/Surface
Renommez en "Agate"
-> validez
* Object: Create/Ball | Numeric
Modifiez la ligne des X avec 1
-> validez
les quatre boules sont cr
es. On visualise l'ensemble en
lectionnant toutes les m
moires (Avec shift).
Recentrez toutes les vues et s
lectionnez
* Display: Option dans le requester apparu s
lectionnez
Preview:Moving/Solid
-> validez la derni
re vue (celle en 3d) appara
t voir fig @{"3 Vues" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw2.16c"}.
Pour les personnes qui n'ont lanc
que le modeleur, vous devez sauver
l'objet complet en s
lectionnant
* Object: Fetch/Save
Nommez l'objet en "Plateau-boules" quittez le modeleur, lancez LightWave
et chargez l'objet.
* Object: Load object "Plateau-Boules"
Continue pour les autres
* Object: Fetch/Export "New"
Nommer l'objet complet en "Plateau-boules" passez sur le plateau en
lectionnant Layout.
@{fg shine}L e p l a t e a u@{fg text}
Vous pouvez remarquer que le plateau n'est plus vide mais qu'il contient
l'ensemble de nos objets.
Il nous faut placer la cam
ra et la/les lumi
re(s), sur ce plateau gr
la souris en mode manuel (Bouton G = mvts D-G, Bouton D = mvts H-B), ou
encore en mode automatique (Numeric input)
Notez au passage que le sol est fictif, il n'appara
t donc pas lors du
rendu.
lectionnez:
* View/camera
Edit/camera
Target: "Plateau-boule"
* Positionnez la cam
ra avec:
numeric input, coordonn
X=-5, Y= 4, Z=-5
* Create Key cf @{"vue-cam
ra" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw6.8c"}
* View/Light
Edit/Light
Target: "Plateau-boules"
* Positionnez la 1er lampe avec:
numeric input, coordonn
X=-9, Y= 4, Z=-10
* Create Key
Si vous voulez intensifier la lumi
re du plateau, il faut ajouter une
lampe.
* Lights:Add Light (une seul fois)
continue
* Target: "Plateau-boules"
* Numeric input, coordonn
X=6, Y=1, Z=3
* Create Key
la cam
ra et les lampes sont plac
es, nous allons r
gler les
attributs de nos objets. @{"Surface" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw8.8c"}
lectionnez:
* Surfaces: "plateau"
Remplissez en suivant les tableaux 1 et 2 (voir fin article). Il faut en
faire autant pour chaque Textures (Agate, Bosselage, Surface-Marbre,
Surface-Bois).
* Res
lectionnez Agate (Voir Tableau 1)
Pour remplir le tableau, enclenchez T devant Surface Color (idem pour
chaque textures sauf pour Bosselage o
il faudra s
lectionner en bas Bump
Quand TOUT sera r
lectionnez CONTINUE
, les param
tres des textures sont r
s, il ne reste plus qu'
gler les param
tres de la cam
ra, c'est
dire la fa
on dont celle-ci va
'voir' les reflets, les ombres, etc...
Notez qu'ici, le temps de calcul est multipli
par quatre
chaque option
enclench
lectionnez:
* Camera:
glez en suivant fig @{"R
glage Camera" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Lw7.8c"}
Vous pouvez s
lectionner la r
solution de votre image finale en fonction de
votre m
moire.
* Record:
Save RGB: "Image"
* Scene:
Save Scene: "Pos-plateau"
* Object:
Save All Objects
Voil
on y est, il ne reste plus qu'
appuyer sur Render (ou F10) pour
calculer la sc
ne avec une sauvegarde automatique (ou encore F9 calcul sans
sauvegarde.)
Pour interrompre le traitement, appuyer sur Esc.
Ce calcul dure 2148 secondes (soit 35 mn 48 s) sur un 4000/40
25 Mhz avec
18 Mo.
voyez 9-10 heures sur un 1200 non acc
lancer la nuit donc).
L'image sauvegard
e s'appelle
videmment @{"image" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Lw1.jpg"} et elle sera visualis
e de
rence avec AdPro pour un meilleur rendu.
Bon courage, le mois prochain un billard est au programme.
@{fg shine}T u a i m e r a s t o n p r o c h a i n c o m m e t o i - m
m e@{fg text}
Ce qui frappe notre bonhomme, au cours de son exploration, c'est l'esprit
qui anime cette communaut
: chacun apporte son savoir, ses comp
tences et
s'enrichit de celles des autres. L'existence m
me de cette communaut
side dans l'
change d'opinions et de donn
es utilis
des fins de
recherche et d'enrichissement personnel pour tous ses habitants.
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
villemin@depinfo.u-bourgogne.fr@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fDemos "D
mos (02-76)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Suny.32c"} @{"E" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Devilstar.jpg"} @{"M" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Fiver.jpg"} @{"O" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicFEVRIER/Peachy.jpg"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Cougar.32c"}
Comment imaginer la disparition de l'Amiga quand on voit l'actualit
mois...
En tout cas, il a fait chaud au Danemark!
@{fg shine}N E X U S 7@{fg text}
A N D R O M E D A
A l'abri de tous les regards indiscrets, Dr Jekyll et Mr Hyde ont fini
leur d
mo dans un h
tel non loin de la party! Neuf mois apr
s le succ
s de
Sequential avec laquelle ils ont remport
la Gathering party, ils esp
rent
faire aussi bien...
Leurs efforts sont r
compens
s, la salle a vraiment
impressionn
e par
leurs effets innovateurs: dots en tourbillons, landscape, sph
demi
e et
demi vide, gouraud pulse sur des polygones, sph
6 rayons
lumineux, shade cluster, tunnel de lignes, motion blur (zoom d
formant sur
une image), natural motion (un objet 3D
5 articulations se d
place dans
un monde 3D), sph
re mapp
e avec ombrage d'un plan, zoom sur un plasma et
pour finir un scrolltext en raytracing... Ajouter
cela les irr
prochables
graphismes d'Archmage, la parfaite musique d'Interphace. Andromeda
tait
vraiment trop fort! On esp
re cependant qu'ils ne resteront pas muets trop
longtemps...
@{fg shine}B O M B@{fg text}
M O T I O N / O R I G I N 2
Le duo infernal Gengis-Clawz a encore frapp
. Apr
s avoir gagn
les
mocomp
titions de la Party 3, la Saturne 2 et l'introcomp
tition de la
3S, Motion est une production de qualit
qui permet
Bomb de terminer 3
la Party 4.
Comme toute leur production, la musique, les graphismes et les effets
sont vraiment synchronis
s. Suny, Zebig, Hof et Trajan ont travaill
sur
les gfx, Clawz signe les deux musiques (l'une hardcore, l'autre plus
douce), et Gengis a puis
dans ses ressources pour coder un tapis mapp
multidirectionnel, un voxelspace, un sous-sol avec des piliers en 3D et
objet 3D articul
qui se d
place, des engrenages avec un objet 3D mapp
qui
forme, un tunnel en landscape et surtout un vrai labyrinthe en 3D avec
paroi, sol et plusieurs niveaux de hauteur enti
rement mapp
s: en fait, un
ritable Doom sur Amiga! Le fin du fin, la d
mo se termine justement en
laissant l'utilisateur se ballader dans le labyrinthe. Rendez-vous dans 4
mois
la Saturne Party 3 o
Bomb devrait pr
senter une nouvelle d
mo...
@{fg shine}P O L K A B R O T H E R S@{fg text}
4 0 K O
Crash, Mount, Chromag, 3 hommes pour 40Ko... C'est l'exploit de ce trio
qui nous a
merveill
s avec son intro. Rendez vous compte: un polygone en
3D, des cubes lightsourc
s qui envahissent votre
cran, un voxelspace, un
tunnel d'objet 3D, un plasma sur des bosses... L'intro comp
tition est
quelque chose de tr
s technique qui a r
ussi
cette
quipe, avec le design
propre
Polka Brothers (avec ses couleurs verte et rose, sa musique
Polka!).
Si ce groupe n'a fini que 6
me dans la d
mocomp
tition, 2
me dans la Wild
tition (avec Twisted une d
mo qui demande 2Mg de Fast dont on vous
parlera le mois prochain),il a sorti
galement un slide show; on se devait
de rendre hommage
leur 1
re place dans la cat
gorie intro... Le mois
prochain nous reviendrons sur la party 4, et, nous r
aliserons un petit
lexique du jargon de la sc
ne...
En Bref:
@{fg shine}B l o b !@{fg text}
P o l k a B r o t h e r s
Pixie nous pr
sente son oeuvre
travers ce superbe slideshow, au total
une quinzaine d'images sur les th
mes suivants: paysage, visage & divers
monstre. Tout a
dessin
en 1 an et demi... A noter l'excellente musique
de Slide qui l'accompagne.
@{fg shine}T o o t h B r u s h 3@{fg text}
D r e a m D e a l e r s
Pib-Antony & Doh ont encore frapp
. Cette fois-ci, ils vous apprendront
comment vous laver les dents! C'est vraiment original, la musique est tr
travaill
e; quant au reste, c'est de la bonne humeur.
@{fg shine}W h a m m e r S l a m m e r@{fg text}
R e b e l s
Une d
mo par mois, c'est le rythme infernal de Rebels. Ils terminent 5
la Party 4 avec une production cod
e rapidement. De bons graphismes, de
bonnes musiques, mais peu d'effets sont
noter si ce n'est un
impressionnant tunnel enti
rement textur
... Le tout ressemble un peu trop
Switchback, sorti il y a 2 mois des m
mes auteurs.
@{fg shine}P e v e r l y H i l l s@{fg text}
S t e l l a r
Un Voxelspace en mode Ham8, une superbe musique de Groo, c'est une intro
40K de Stellar... M
me si elle n'a pas
compens
e, elle en vaut le
tour. Et puis une intro Stellar c'est toujours quelque chose!
@{fg shine}I n d i g o@{fg text}
O x y g
Encore une bonne production de ces fran
ais, de nombreux effets sont au
menu tels que: une ville en 3D, un labyrinthe en 3D avec sol, mur et
plafond mapp
, rotating zoomer, objet 3d avec une tra
e en shading,
gouraud, entrem
lement d'objets 3D, tunnel d'objets 3D...
Ajoutez-y les stup
fiants graphismes de Nico! Dommage que la version
e aux organisateurs n'
taient pas la finale, le bogue sur grand
cran
ne pardonne pas et Oxyg
ne n'a pas
compens
@{fg shine}R o o t s@{fg text}
S a n i t y
Le trio Chaos-Jester-Cougar est de retour. Cependant, leur design a
quelque peu vieilli, m
me si il y a du bon code (morphing, ondulation
d'images, voxelspace, objet 3D complexe en dots, animation raytracing).
Sanity termine 8
me avec une d
mo qui ne restera pas dans les annales.
@{fg shine}T h e P r e y@{fg text}
P o l k a B r o t h e r s
Laxity revient, en compagnie de Airwalk, il signe une excellente d
voxelspace, tourbillon d'images, sol mapp
en 256 couleurs, tunnel de
stalagtites, pixel avec tra
e en 256 couleurs, tunnel mapp
, le tout, sur
une musique rythm
la Ace Of Base. Polka est class
seulement 6
me avec
cette production qui m
ritait mieux...
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
- Raw, le c
bre magazine de Spaceballs, n'est pas mort. Le num
ro 7
devrait sortir en f
vrier dixit Lord Helmet. Le design sera de Facet.
- Live de DreamDealers sera de retour au d
but du mois d'avril. Pib en
sera le codeur, Antony & Drebin les designeurs, Napol
on le r
dacteur. La
musique devrait
tre de CutCreator/Static Bytes.
- Pib est en pleine forme puisqu'il travaille sur un music disk de Doh,
avec des graphismes d'Antony (tu joues au PlayDoh?).
- Laxity/Polka Brothers a chang
de pseudo pour Merge.
- Harry & Ennio/Ivory ont quitt
la sc
ne tent
s par les plaisirs de la
3DO.
- Ivory a semble t-il disparu! Les meilleurs membres ayant form
nouveau groupe Eden, en compagnie de Clary & Blue Silence/Nova. Un jour
plus tard, tous ont rejoint le groupe Ngc. Comme les choses vont vite. Par
ailleurs, Ngc en aurait profit
pour d
baucher ses membres inactifs.
- La Party de Movement-Melon est annul
e, la Saturne 3 est confirm
Explication: les 2 partys devaient avoir lieu au m
me endroit (Parc Floral
de Vincennes) et
la m
me date (15/17 Avril). Etrange affaire?
- HitBit/Albedo Daemons est devenu Shout/X-Dream. Son groupe et lui ont
chang
de nom.
@{fg shine}Emmanuel ARNAUD@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fAsm "ASM (02-76)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A S M
Cr
ation d'une biblioth
que (2)@{fg text}
J'esp
re que vous avez bien dig
la th
orie du mois dernier car, comme
promis, je vous donne un exemple de biblioth
que, cr
e par la m
thode
crite dans cet article. Bien qu'assez court et finalement pas d'une
grande utilit
, cet exemple a le m
rite d'illustrer de fa
on concr
te la
marche
suivre.
@{fg shine}L a b i b l i o t h
q u e@{fg text}
Le r
le de cette biblioth
que, que j'ai baptis
e stringtools.library, est
d'offrir des fonctions de base pour le traitement des cha
nes de
caract
res. Il s'agit, pour la plupart, de clones de fonctions standards du
C. Pour
tre honn
te, je dois signaler que je me suis inspir
d'un article
de Max paru dans Commodore Revue en d
cembre 90.
J'ai
galement ajout
une routine de tri par bulles, tout ce qu'il y a de
plus classique dans son principe. Petite particularit
toutefois: au lieu
d'utiliser une routine de comparaison fixe, cette routine,
stBubbleSortHook(), fait appel
un hook (voir le fichier utility/hooks.i),
ce qui lui permet de changer l'ordre de classement. On peut m
me faire du
tri sur de tout autres objets que des cha
nes de caract
res. Il suffit de
dire
la routine comment les comparer gr
ce hook. Je vous renvoie au
listing source pour plus de d
tails.
Le fichier include est
galement list
ici; il est tout
fait standard,
except
que je l'ai fusionn
avec le fichier d
finissant les LVOs. On y
finit la structure de base de la biblioth
que et d'autres choses utiles.
La biblioth
que utilisant l'utility.library, est, pour son usage, r
aux possesseurs de la version 37 (Kickstart 2.04) et plus (c'est-
-dire
tout le monde, normalement).
@{fg shine}P r o g r a m m e d ' e x e m p l e@{fg text}
Afin d'illustrer le fonctionnement de stringtools.library, j'ai
galement
ajout
un programme d'exemple. Son r
le est de trier les arguments qu'il
oit sur sa ligne de commande, ainsi:
TestST AmigaNews Amiga Injector Helloween donnera, dans l'ordre: Amiga,
AmigaNews, Helloween et Injector (attention, pour ce hook, les majuscules
sont importantes).
@{fg shine}C o n s i d
r a t i o n s d e s t y l e@{fg text}
Premi
re recommandation: NE FAITES PAS de biblioth
que si ce n'est pas
absolument indispensable. Premi
rement, parce que c'est du travail
suppl
mentaire pour le programmeur (vous!) qui doit faire attention
la r
entrance (pas de variables globales sans s
maphores!), et deuxi
mement
parce que cela encombre, souvent inutilement, le tiroir LIBS: de
l'utilisateur (mon disque dur en comporte 129!). Les biblioth
ques sont
es aux routines relativement d
licates, r
titives ou encombrantes
utilis
es par plusieurs programmes. Les routines de la stringtools.library
seront avantageusement inclues dans votre programme.
Si votre (grosse) application utilise quelques biblioth
ques tr
cifiques, placez celles-ci dans un r
pertoire sp
cial (les chemins
complets sont des param
tres valides
OpenLibrary()). De cette fa
l'utilisateur s'y perdra moins...
Maintenez toujours une compatibilit
descendante totale. Si vous ajoutez
des fonctions
votre biblioth
que, vous DEVEZ incr
menter le num
ro de
version (pas seulement de r
vision) de fa
ce qu'une application puisse
tre s
re que ces nouvelles fonctions existent en fournissant le nouveau
ro de version
l'ouverture.
Si vous diffusez une biblioth
que dans le domaine public, assurez-vous
que vous fournissez bien les fichiers includes C et assembleur, les
autodocs (au format standard, pour qu'ils puissent
tre convertis par
AD2AG), le fichier FD, des scripts d'installation, des exemples, des
informations de r
vision. Comme r
rence, je ne manquerai pas de vous
citer la remarquable reqtools.library de Nico Fran
ois...
@{fg shine}A l a p r o c h a i n e !@{fg text}
Si vous souhaitez que j'aborde un sujet pr
cis ou des
claircissements,
sitez pas
crire
la r
daction, qui se fera un plaisir de
transmettre vos requ
tes...
@{fg shine}Frederic DELACROIX@{fg text}
@{fg shine}L i s t i n g s t r i n g t o o l s . i@{fg text}
; libraries/stringtools.i
; Fichier include pour stringtools.library
F.Delacroix pour AmigaNews
; version 1.0
IFND LIBRARIES_STRINGTOOLS_I
LIBRARIES_STRINGTOOLS_I SET 1
ST_VERNUM EQU 1
ST_REVNUM EQU 0
IFND EXEC_TYPES_I
include exec/types.i
ENDC
IFND EXEC_LIBRARIES_I
include exec/libraries.i
ENDC
STRUCTURE StringToolsBase,LIB_SIZE
ULONG stb_SegList
APTR stb_ExecBase
APTR stb_UtilityBase
LABEL stb_SIZEOF
STRINGTOOLSNAME MACRO
dc.b 'stringtools.library',0
ENDM
; offsets pour les fonctions
_LVOstStrLen EQU -30
_LVOstStrCmp EQU -36
_LVOstStrCpy EQU -42
_LVOstStrnCpy EQU -48
_LVOstStrCat EQU -54
_LVOstStrnCat EQU -60
_LVOstStrToUpper EQU -66
_LVOstStrToLower EQU -72
_LVOstBubbleSort EQU -78
_LVOstBubbleSortHook EQU -84
ENDC
@{fg shine}L i s t i n g L i b r a r y . s@{fg text}
@{fg shine}b - P o w e r C a l c _ v 1 . 5 1@{fg text}
C'est un @{"calculateur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Pcalc.16c"} @{"graphique 2D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicFEVRIER/Pcalc2.16c"} pour le Workbench optimis
pour les
base de 68040. Il requiert environ 400Ko de m
moire CHIP libre,
l'OS 2.04 ou plus r
cent, un 68020 ou mieux et un 68881 ou
quivalent.
Binaire seul.
@{fg shine}Auteur: Roger Uzun@{fg text}
@ENDNODE
@NODE fCam984 "CAM #984 Icones (02-76)"
@TOC fCam
@{fg shine}C A M # 9 8 4 I c o n e s@{fg text}
@{"NewIconsBackdrop_1 (CAM 984 / 02-76)" LINK fNewiconb}
@{"Trois nouvelles torches" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Torche.8bt"}
Pour les minis camescope: la combi-light 15S est aliment
e par la
batterie du cam
scope, dispose d'un angle d'
clairage de 50
et d'une
puissance de 15 watts tarif 299Frs TTC torche seule et 549Frs TTC (avec
batterie 1800 mA) .
La Combi Zoom OPTO 15 offre un angle variable de 53
: Prix: 649 FR
TTC(avec batterie 1800 mA)
Pour les camescopes plus classiques HAHNEL propose la ZOOM LIGHT 35.
Cette torche permet une variation d'angle de 18
pour une puissance de
35 Watt. Elle est livr
e avec avec une batterie 1800mA, un chargeur et une
alimentation secteur et propos
e au pix d'environ de 899 F TTC.
@{fg shine}Importateur HANIMEX@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mPrisevue " Prise de vue (03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P r i s e d e v u e : r e s p e c t e z l e s c o d e s@{fg text}
Construire une image implique une @{"notion de m
canique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Oeil.16c"}. C'est
dire
qu'afin de correspondre aux attributs culturels de notre soci
, une s
de codes r
gissant cette image doit
tre respect
e. Introduction un rien
alambiqu
e, me direz-vous. Certes, vous r
pondrai-je, c'est d'ailleurs
pourquoi je suis
cette place.
@{fg shine}L ' a s p e c t a r t i s t i q u e@{fg text}
Tout possesseur de cam
scope produit une certaine somme d'images sans
ellement se soucier de son aspect artistique, mais plut
t de sa valeur
descriptive. Grave erreur, car cet outil peut
tre autre chose que la
moire d'
nements plus ou moins importants (Tonton Jules boit un peu
trop, le petit fils arrache sa moumoute au grand-p
re...). C'est aussi un
formidable moyen de communication, voire d'
panouissement personnel. Il va
de soi que la rapidit
de mise en oeuvre de ce type de mat
riel est le
principal facteur de ce type d'utilisation. Cependant, l'application de
quelques r
gles de tournage simples peuvent donner
vos films, quels
qu'ils soient, une dimension plus int
ressante. La fronti
re entre le
travail amateur
clair
et celui du professionnel ne se juge pas seulement,
loin s'en faut, par le biais du type de mat
riel utilis
. De plus, se
donner de bonnes habitudes de tournage, c'est se donner la possibilit
monter son "oeuvre" de mani
re plus souple, et, ce faisant, plus
pertinente.
@{fg shine}L e s v a l e u r s d e c a d r e@{fg text}
@{"Le sch
ma" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Cadrage.8c"} ne se pr
tend pas exhaustif, ni exact ( pourquoi est-il l
alors ?!), mais il a le m
rite de "donner un nom" aux types de cadrages
couramment utilis
1: Insert (plan serr
2: tr
s gros plan
3: gros plan
4: plan rapproch
poitrine
5: plan rapproch
taille
6: plan am
ricain serr
7: plan am
ricain
8: plan am
ricain large
9: plan italien
10: plan moyen serr
11: plan moyen
12: plan moyen large.
A partir du plan rapproch
taille, la limite sup
rieure des cadres reste
me (figur
e par le trait horizontal au-dessus du personnage). De m
n'est figur
e que la limite inf
rieure pour des raisons de lisibilit
Il existe aussi pour les d
cors le plan de demi-ensemble (une portion du
cor), le plan d'ensemble (d
cor entier), plan de grand ensemble (pour un
cor vaste) et enfin plan g
ral, le plus large possible.
En fait, ces d
nominations ne sont pas absolues et varient suivant les
cadreurs. Celles-ci sont quand m
me reconnues par la majorit
de la
profession. Pour vous entra
ner, essayez de reconna
tre ces plans dans le
prochain film ( ou la prochaine
mission ) que vous regarderez. Cela rentre
assez facilement, et c'est tellement plus jouissif de tenir t
Jean-Luc
Godard la prochaine fois que vous l'inviterez
jeuner...
L'important dans tous les cas de tournage c'est de VARIER les cadres.
sitez pas pour une m
me action
tourner plus de plans qu'il n'en faut
: vous vous donnerez plus de choix au montage. L'habitude aidant, vous
discernerez les plans n
cessaires des rebuts. Commencez par un plan
ral, puis par des plans de coupe dans l'axe : ce sont des valeurs plus
rapproch
es prises depuis le m
me point de vue. D
taillez au maximum : les
mains du sabotier, son visage concentr
, une vue de l'atelier, une vue "par-
dessus l'
paule"...
Attention aussi
la stabilit
des images: la cam
ra tenue
paule (ou
la main pour des camescopes plus modestes) exige un calme de moine
tain. Pas de miracle, cela s'apprend au fur et
mesure... Et surtout,
restez en courte focale! En effet, plus votre rapport de zoom sera
important et plus votre image aura tendance
trembler. R
servez les
longues focales pour les plans sur pied.
@{fg shine}L a c o m p o s i t i o n@{fg text}
Vous vous demandez certainement ce qui d
termine un plan bien compos
d'un autre... Au premier abord, peu de choses, mais si l'on creuse, les
rences sont
normes. En r
gle g
rale, on "laisse de l'air" devant la
personne film
e. C'est
dire que l'on d
cale l
rement son cadre de fa
laisser plus d'espace dans la direction du regard du protagoniste. Rien
de plus triste qu'une personne bien centr
e dans l'image, qui semble
ellement prisonni
re de l'
cran. Une exception: cette personne regarde
l'objectif de la cam
Pour les paysages, c'est un peu plus compliqu
, en ce sens qu'il faut
ellement "composer" son cadre suivant, vous les attendiez, des
@{"points de force" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Ptforce.8c"}. Ils
sont au nombre de quatre, d
finis par des lignes qui partagent l'
cran en
trois parties, verticalement et horizontalement. Pas de secret cach
ici
non plus: il faut composer (d
ment!) avec ces points, pour obtenir un
rapport d'image harmonieux. Se familiariser avec cette d
coupe de l'image
est essentiel, car on finit par ne plus chercher les points, puis par
"sentir" un bon cadre. L
encore, regardez, diss
quez, bref, soyez
visuellement boulimiques. Les r
gles
tant faites pour
tre transgress
vous verrez souvent des cadres "d
s", c'est
dire pench
s, ce qui
donne une impression de malaise, d'incertitude, ou... de dynamisme, suivant
le montage appliqu
! Ne perdez jamais de vue que c'est lui qui donne le
rythme du film. La plong
e, pour terminer, am
nera un sentiment
crasement, tandis que la contre-plong
e au contraire donnera une
impression de sup
riorit
, de majestuosit
@{fg shine}L e z o o m@{fg text}
C'est bien simple: utilisez-le le moins possible! Il ne doit servir qu'
changer la focale de votre objectif. C'est d'ailleurs pour cela qu'il a
u au d
part. Mais sa facilit
d'emploi par rapport au travelling a
son utilisation en tant que mouvement d'image. Sur la majorit
des
camescopes grand-public, il poss
de une ou deux vitesses. R
sultat : un
part et une arriv
e brusques. A prohiber donc, sauf si votre appareil
de une vitesse variable, auquel cas, soignez le d
marrage et l'arr
en douceur et progressifs. Le zoom peut servir
recentrer l'attention du
spectateur sur un d
tail de l'image, par exemple. Reste que la majorit
des
cadreurs
vitent le zoom sauf s'ils sont forc
s (impossibilit
de placer un
chariot de travelling...), ou dans le cas de reportages d'actualit
, la
vitesse d'ex
cution primant sur l'art.
@{fg shine}L e s p a n o r a m i q u e s@{fg text}
Horizontaux ou verticaux, les mouvements de cam
ras se doivent d'
souples et de vitesse progressive, de la m
me mani
re que le zoom. Ils ont
au choix une valeur descriptive (balayage d'espace) ou une fonction de
raccord, pour passer d'un objet
un autre. R
gles principales: des images
but et de fin pertinentes. Rien de plus inutile qu'un pano qui ne
bouche sur rien! R
tez donc avant votre mouvement afin d'
tre s
r de
vous. Evitez aussi les mouvements trop lents (qui endorment le spectateur)
ou trop rapides (qui emp
chent de voir quoi que ce soit...).
@{fg shine}L e c h a m p / c o n t r e - c h a m p@{fg text}
Filmer une conversation peut para
tre simple, et l'est en fait, si l'on
respecte la sacro-sainte @{"loi des 180 degr
s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/R180deg.8c"}. Celle-ci d
termine en fait la
position de la cam
ra par rapport aux deux protagonistes: du m
d'une ligne imaginaire joignant leurs t
tes. Ainsi, ils auront toujours
l'air de se regarder, c'est
dire que l'un sera tourn
vers la gauche de
cran, tandis que l'autre le sera vers la droite... Les deux cam
ras (ou
les deux position du m
me camescope) seront crois
es. commencez toujours
une interview ou un discours par un plan assez large, puis variez les
cadres pendant les questions. Lorsque le propos devient tr
s int
ressant,
vous pouvez vous permettre un l
ger zoom avant qui recentrera l'attention
du spectateur... Pr
voyez aussi des plans de coupe: les mains de
l'interlocuteur - avec parcimonie -, un plan large de dos.... qui
permettront d'
laguer le texte sans avoir
faire de coupe sur le m
plan, proc
disgr
cieux au possible.
L'important en somme est de filmer en vue du montage ; il est primordial
de s'assurer qu'aucune image ne manque, afin de ne pas
tre bloqu
plus
tard...
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
Vous vous doutez que cet article ne saurait en aucun cas remplacer une
pratique intensive de l'outil audiovisuel, ni se proclamer cours magistral
en la mati
re. Les ouvrages traitant de la prise de vues sont nombreux, et
pour la plupart bien document
s. Puisse ce petit la
us vous avoir donn
l'envie d'en savoir plus... qui n'a jamais r
de passer "derri
re le
ra" ?
@{fg shine}J
me Deb
ve@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mAlda " Studio ALDA (03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S t u d i o A L D A
De l'Amiga 1000
la station Silicon Graphics@{fg text}
Voici une
quipe tr
s sympathique qui est pass
e du statut d'amateur
celui de professionnel. Ses trois membres r
alisent des prouesses
techniques dignes des meilleurs cr
ateurs de l'image d'un synth
l'aide de mat
riel qui n'est pas tout
fait consid
comme professionnel!
Ainsi, le d
partement audio-visuel informatique de l'universit
de Lausanne
n'a pas voulu croire que l'@{"animation de la montre Raymond Weil" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/anim.jpg"} avait
e sur Amiga. Ils persistent
croire que c'est une station Silicon
qui a r
ce travail...
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Dans ce studio de Gen
ve ils sont trois. @{"Alexis Berset" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Alexis.jpg"} est animateur et
prof de dessin. Il est passionn
d'informatique et est le moteur de cette
quipe. Sa t
che est la conception et la r
alisation des scripts et plus
ralement ce que l'on appellerait le r
alisateur.
Robin Chytil est un universitaire qui a baign
dans l'informatique depuis
ge de 12 ans. Ing
nieur en informatique, il travaille actuellement chez
Silicon, et regrette de ne plus faire joujou en 3D avec son Amiga. Il a
quitt
le studio, mais de temps
autre il donne un coup de main lors des
grosses bourres...
@{"David Hodgetts" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/David.jpg"} est le petit dernier. Autodidacte, il s'est d'abord
l'Amiga pour ses jeux, puis en est rapidement venu
programmer. Licenci
en lettres, il s'est sp
cialis
dans l'animation 3D et
la mod
lisation. Il est actuellement le seul des trois
vivre de ce
travail.
@{fg shine}H i s t o r i q u e@{fg text}
Alexis Berset est
l'origine de ce studio en 1986. Animateur
traditionnel de formation, il s'int
resse tout naturellement aux
possibilit
s vid
o offertes par l'ordinateur. C'est ainsi qu'il d
couvre
l'Amiga, qui
poque est bien le seul micro sur lequel il soit
envisageable de faire de l'animation. Quelques ann
es plus tard, il
entreprend la r
alisation d'un projet pour le moins audacieux: l'adaptation
d'une bande dessin
e de F. Schuiten, Carapaces.
L'audace du projet r
side dans la technique utilis
e, il s'agit
d'int
grer des acteurs, film
s en prises de vue r
elles,
des d
cors
rement produits en images de synth
se. Malheureusement, le mat
riel de
poque n'est pas vraiment
la hauteur: absence de carte de num
risation
o en 24 bits, logiciels 3D limit
s dans leur capacit
de mapping et
machines peu puissantes. N
anmoins, son fid
le Amiga 1000 lui permet, dans
un premier temps (en 1988), de simuler une vue d
e similaire
insecte (gr
Photon Paint). Puis l'arriv
e de Sculpt 3D (1988) permet
de commencer la mod
lisation des d
cors. Il faut attendre les ann
es 90
pour que les conditions mat
rielles
la r
alisation du film soient
vraiment r
unies: arriv
e de la carte vid
o IV-24, d
veloppement d'Imagine
2.0, sortie des textures Essence etc... Aujourd'hui, le film n'est toujours
pas termin
, et pourtant les "rush" impressionnent. Notamment une sc
d'une vingtaine de secondes dont chaque image a n
cessit
une moyenne de 20
heures de calcul (en d'autres termes il a fallu une ann
un Amiga
040/33MHz pour la "pondre"... Cela laisse songeur!
@{fg shine}L e m a t
r i e l@{fg text}
Bien entendu, l'investissement mat
riel est important et c'est tout
naturellement que lui et Robin Chytil, son premier
quipier, commencent
aliser des travaux pour des tiers afin d'amortir les
normes d
penses
rendues n
cessaires par la r
alisation de ce film. Ces premi
alisations en am
nent d'autres, et aujourd'hui ce studio poss
de une
putation bien
tablie, puisque m
me la t
vision Suisse Romande et le
partement de l'instruction publique les mandatent pour la r
alisation de
riques ou autres. Ils sont aussi connu par les
diteurs de logiciels,
et sont appr
s comme Beta testeurs (TVPaint, IV-24 etc...).
Leur principale source d'activit
est la publicit
... Friands d'images de
synth
se, les publicitaires ont permis au studio ALDA de r
aliser ses plus
beaux films. Pour @{"Raymond Weil" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Montre.jpg"} ils ont mod
@{"une montre compl
te" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Montrebis.jpg"}, pi
par pi
ce et ont r
-assembl
ces pi
ces lors d'un film d'une vingtaine de
secondes. Un mois de travail pour la mod
lisation et un autre mois pour les
calculs... Quel r
sultat! C'est r
enti
rement sur Amiga...
Les configurations que je vais
rer vont faire r
ver plus d'un
lecteur... Mais ce mat
riel est un minimum pour obtenir une qualit
travail suffisante pour esp
rer vendre son produit, que ce soit d'un point
de vue temps (le client ne veut pas attendre six mois son film), ou pour la
qualit
d'image du support vid
o. Le studio fonctionne avec les mat
riaux
suivants:
* un Amiga 2000 avec disque dur de 1 Go et 20Mo de RAM sur une carte
GForce GVP
33MHz, une carte IV24, indispensable car c'est d'apr
s eux la
carte qui poss
de le meilleur signal, un TBC (Time Base Corrector) GVP, une
carte EGS Spectrum et une carte Ethernet.
* en ext
rieur, un scanner Epson 300 DPI (indispensable pour tout
graphiste), une tablette Wacom ainsi qu'un tas de mat
riel, diver et
finissable dispos
de part et d'autre dessus et dessous...
* un Amiga 3000 avec une carte GVP 040/28MHz, une carte IV24 l
aussi,
une carte VLAN qui pilote un magn
toscope Betacam image par image, une
carte Ethernet et un lecteur magn
to-optique de 1Go pour stocker les
grosses animations, ainsi qu'une carte VLab Motion. Il y a aussi un
streamer, une cam
ra vid
o, un scanner 3D, etc...
* David Hodgetts poss
de un Amiga 4000 avec 18Mo de RAM, une carte
FastLane SCSI-2, 1 Go de disque dur, une carte Ethernet connect
un PC
Pentium, une carte IV-24 et une carte Spectrum GVP. Pour l'
change de
es, il a aussi un lecteur DAT de 2 Go, un lecteur magn
to-optique
etc.. A noter qu'il travaille "
la maison".
Vous comprenez pourquoi
un moment donn
il est devenu n
cessaire de
trouver un moyen d'amortir l'investissement. Je ne parle pas de l'A2000 qui
dort
la cave pour cause de carte Progressive Peripheral 040/33MHz
parable suite
la faillite de la maison m
@{fg shine}L e s l o g i c i e l s@{fg text}
En 2D, DeluxePaint et Brilliance sont activement utilis
s pour leur
capacit
de g
ration d'animation et pour la retouche rapide de "brush
s" lors de r
alisations 3D. TVPaint est LE logiciel de dessin 2D car
il permet de travailler en 24 bits. Il sert principalement
la cr
ation de
textures et
la retouche des images 3D.
Au niveau traitement d'images, Art Department Pro est le logiciel le plus
souvent utilis
en association avec FRED pour la g
ration d'effets sur
des s
quences d'images.
Autrement, Image Master est utilis
de temps
autre pour quelques-uns de
ses effets, effets que l'on ne retrouve pas ailleurs, mais l'usage de ce
logiciel est
autant que possible car on ne le trouve pas tr
s fiable!
En 3D, deux logiciels principaux sont utilis
s. Imagine et, depuis peu,
Lightwave. Ils ont
galement essay
Real 3D ver 2.04, mais la relative
lenteur et la complexit
de celui-ci les ont d
courag
s malgr
ses
capacit
s sup
rieures en mod
lisation (B-spline) et en animation (gestion
de mod
le physique, d
tection de collisions, etc.). J'en ai profit
pour
demander quels
taient d'apr
s eux, les points forts de chacun des
logiciels 3D.
Imagine: logiciel puissant mais qui demande un apprentissage important.
Tout est l
ou presque, mais difficile
utiliser. Les r
glages par d
faut
sont souvent moyens et l'utilisateur d
butant n'est pas du tout guid
dans
son travail. De plus, Imagine commence
prendre quelques rides: absence de
shadow mapping, anti-aliasing lamentable en scanline etc. En r
ils le
comparent
un appareil photo enti
rement m
canique: on peut
peu pr
tout faire
condition de conna
tre la th
orie sur le bout des doigts.
LightWave: l'interface du "layout" est g
niale. Le contr
le des
param
tres de l'animation est tr
s simple et puissant... Une merveille! Une
facilit
fantastique et un gain de temps
norme. Une interface qui offre
des choix pr
finis valables, et qui guidera l'utilisateur n
ophyte
judicieusement. Ils n'ont pas tellement utilis
diteur de LW car
l'habitude les poussent
liser sur Imagine...
En cr
ation, depuis qu'ils poss
dent la carte VLab Motion, ils ont la
possibilit
de saisir des s
quences vid
os avec celle-ci et de pouvoir
plaquer ces animations sur des surfaces pour obtenir des effets de mapping
de qualit
, qualit
alors r
e aux professionnels!
@{fg shine}Q: Vous utilisez un PC
d'un Pentium 90... Pourquoi ?
Alda:@{fg text} Pour une question de confort... Le PC nous permet d'avoir un
'feedback' (ou 'retour') plus rapide,
la fois au niveau de la
lisation, de la recherche de texture et de la mise en place de
l'animation. Une fois la sc
ne mise en place sur le PC, avec Imagine 3.1,
nous la transf
rons sur les Amiga pour les calculs d
finitifs. Nous
rons bient
t faire la m
me chose avec Lightwave dont la version 4.0
sortira simultan
ment sur Amiga, PC, SGI et Alpha DEC.
Une autre raison aussi nous a pouss
acqu
rir un Pentium, c'est la
situation du march
des softs sur Amiga. Un certain nombre de d
veloppeurs
Amiga sont en train de passer sur PC. Un exemple: le must actuel en terme
de logiciels de morphing 2D, Elastic Reality, produit par la maison Elastic
Reality (anciennement ASDG) poss
de un anc
tre Amiga... Morph Plus. Elastic
Reality est disponible sur SGI, Mac et PC... Il est malheureusement tr
peu probable de le voir un jour retrouver sa terre d'origine, l'Amiga.
Le PC permet
galement d'utiliser des logiciels comme Photoshop ou Corel
Draw, qui n'ont pas d'
quivalent sur Amiga.
Par contre travailler avec un PC signifie faire deux pas en arri
re au
niveau du syst
me d'exploitation: limitations du DOS, absence de
multit
che... en somme, on perd tout ce qui fait la 'magie' du travail sur
Amiga."
@{fg shine}Q: Vous comptez donc passer sur PC
l'avenir?
Alda:@{fg text} Non, pas forc
ment, mais plut
t sur Silicon Graphics..., car la
lisation en NURBS propos
e par Alias (logiciel de mod
lisation hyper
puissant mais
160 000 FFr) permet de r
duire le temps de travail de fa
ciable. Des facilit
s et une tr
s grande rapidit
au niveau
lisation nous permettront d'accepter des mandats de derni
re minute,
alors qu'actuellement, un d
lai important nous est n
cessaire pour r
aliser
certains films. Mais il est tout aussi probable que nous continuerons de
calculer sous LW les animations avec des objets cr
s sur une station
Silicon."
@{fg shine}E t l e s a n i m a t i o n s@{fg text}
Toutes les animations sont sauvegard
es en ILBM 24 bits, image par image.
Le JPEG n'est pas utilis
, car l'image est un peu ab
e, et l'anti-
aliasing que produit naturellement l'algorithme JPEG pose probl
me lors des
effets d'incrustations vid
os sur fond bleu. Bien entendu le fait de
sauvegarder en ILBM demande des capacit
s de stockage importantes, mais on
l'a vu plus haut, c'est chose faite! Ensuite, chaque animation est
convertie puis contr
l'aide de la carte VLab Motion, ce qui permet de
garantir que l'animation est jou
la bonne vitesse. Ce n'est pas le cas
de n'importe quel player d'animation tournant sur Amiga. Si l'animation est
enfin correcte, alors on passe
la phase enregistrement. C'est la carte
IV24 qui servira pour afficher chaque image, et en combinaison avec le
contr
leur VLAN et le logiciel "2IN" d'Atelier Num
rique, on peut passer
l'enregistrement de l'animation image par image sur support BETACAM. Le
toscope BETACAM est lou
chaque occasion, car son usage est tr
limit
dans le temps: il est utilis
quelques heures en phase finale, mais
son co
t en est tr
. De plus, l'enregistrement image par image
fatigue passablement les t
tes vid
o et il vaut mieux louer ce genre
d'appareil. Le produit fini est donc vendu sous forme de cassette BETACAM.
@{fg shine}L ' a v e n i r ?@{fg text}
C'est la r
alisation de trois mandats, de petits films pour le cin
ma et
la publicit
et l'espoir de d
crocher d'autres mandats et de finir
l'adaptation de cette bande dessin
e. D'un point de vue mat
riel c'est
prendre la d
cision d'acheter ou de ne pas acheter la station Silicon.
@{fg shine}Q: Etes-vous cher ?
Alda:@{fg text} Non! Nous sommes moins chers que des gros studios, car notre
investissement est moins important. Les logiciels utilis
s sont performants
et nos r
alisations peuvent
tre compar
es sans rougir
leur travaux.
Ainsi, la montre Raymond Weil est revenue
25'000 SFr (100 000 Francs
ais) ce qui n'est pas tr
s cher comparativement. Il ne faut pas
oublier que ce spot a n
cessit
un travail de deux mois
8 heures par jour
sans cong
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Le @{"s" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Maison.jpg"} @{"t" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic1.jpg"} @{"u" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic2.jpg"} @{"d" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic3.jpg"} @{"i" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic4.jpg"} @{"o" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic5.jpg"} @{"A" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic6.jpg"} @{"L" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic7.jpg"} @{"D" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic8.jpg"} @{"A" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Pic9.jpg"} peut
galement offrir un service de report
d'animations sur Betacam SP et
ventuellement de calculs d'images sous
Lightwave ou Imagine.
Une cassette vid
o VHS Pal est disponible au prix de 30.- SFr aupr
d'Applimatic S.A pour vous faire une id
e de ce que l'on peut r
aliser
avec un Amiga, de la patience, de l'ing
niosit
et avec un certain sens
artistique, il faut le dire...
@{fg shine}Patrick Conconi@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mVstagepro " VideoStage Pro (03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}V i d e o S t a g e P r o
Du titrage vid
la cr
ation de pr
sentations interactives@{fg text}
Dans le domaine du programme
tout faire: titreur vid
o, effets,
sentation et bornes interactives, on a surtout entendu parler de Scala,
CanDo ou Mediapoint. Mais d'autres programmes moins connus existent malgre
tout, comme Helm, Director et VideoStage Pro de OXXI.
@{fg shine}P r i s e e n m a i n@{fg text}
En principe, le premier int
t de ce type de programme est de pouvoir
tre utilis
diatement sans apprentissage fastidieux. VideoStage ne
roge pas
la r
gle. A l'aide d'un @{"interface utilisateur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Vstage1.16c"} tr
s intuitif et
s quelques clics de souris on est de suite dans le bain. Pour ceux qui
veulent conna
tre la temp
rature de l'eau avant de plonger, une aide en
ligne type AmigaGuide est disponible.
A l'ouverture du programme, un
cran type "storyboard" appara
t. A nous
de le remplir avec des images, des animations, du texte et du son.
VideoStage reconna
t le format Anim5, tous les formats d'images AGA
compris, les fonts standard/Kara/Zuma/Compugraphics et, pour le son, les
formats 8SVX, NoiseTracker, ProTracker, SoundTracker. Si la soixantaine d'
@{"effets de transitions" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Vstage2.16c"}
disponibles pour les images ne sont pas tr
s originaux,
@{"ceux applicables sur le texte, les brosses et des objets" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Vstage4.16c"}
finis (fl
che, ellipse,
toile,...) sont int
ressants et tr
s bien
s. Une option @{"TimeLine" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Vstage3.16c"} permet un contr
le et un ajustement pr
cis de
chaque
nement dans le temps. Pour r
aliser des incrustations sur des
images vid
os, VideoStage peut piloter votre genlock (gestion de la
transparence) avec des plus pour les possesseurs du G-lock de GVP ou du
SuperGen de Digital creations (controle audio, fade,...).
Les possibilit
s d'interactivit
offertes par le programme sont limit
(pas de gestion de variables, ni de test logique) malgr
un port Arexx qui
ne pourra satisfaire le plus grand nombre.
@{fg shine}J'ai aim
:@{fg text}
- la facilit
d'utilisation
- les effets sur les textes et les brosses
@{fg shine}J'ai regrett
:@{fg text}
- le manque d'originalit
des effets de transition
- l'interactivit
limit
- l'absence de driver externe (type Scala EX)
Cette version 1.0 de VideoStage pourra rendre bien des services en tant
que titreur vid
o et permettra de r
aliser des pr
sentations simples mais
convenables. Pour la cr
ation de bornes interactives il vaudra mieux
attendre la version Pro+ dont l'annonce ne serait tarder.
@{fg shine}JLuc Faubert@{fg text}
Importateur: @{fg shine}Vitepro@{fg text}
Prix: @{fg shine}1.450F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mEsthetique " Esth
tique et image de synthese(03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}F a i r e d e b e l l e s i m a g e s
Une bonne photo n'est pas qu'une image@{fg text}
Le sujet de cette rubrique sera de faire d
couvrir aux lecteurs les
rentes mani
res de cr
er de "belles images". Je vous rassure tout de
suite, je n'ai nullement l'intention de disserter sur le Beau et ses
copains, mais plut
t sur une chose qui me semble
vidente, a savoir toutes
les images que l'on trouve sur Amiga, et qui sont en g
poustouflantes - de technicit
- mais pas d'une esth
tique
toute
preuve.
@{fg shine}U n c o n s t a t@{fg text}
Les images de synth
se sont trop souvent consid
es comme suffisantes.
Les cr
ateurs pensent qu'il suffit de pr
senter une mod
lisation ou un
effet pour justifier le c
artistique de l'image de synth
Pour cr
er en images de synth
se on est trop souvent d
pendant de sa
machine. On a tendance
penser qu'une bonne image de synth
se n'est
alisable que si la machine est puissante et gorg
e de m
moire graphique.
Si cela est effectivement un atout majeur, il faut comprendre que
a n'est
pas une chose essentielle.
En r
; il s'av
re que cette technologie fascine suffisamment pour
impressionner le public sans qu'il soit besoin de travailler l'esth
tique.
C'est fort dommage car en suivant quelque r
gles de base de la photographie
on parvient
senter les choses les plus simples de mani
ellement
artistique.
Par exemple, les publicitaires n'ont pas attendu les ordinateurs pour
truquer et embellir leurs photos. Les machines leur facilitent le travail
mais ne sont pas n
cessaires. Ce constat peut
tre consolid
par un
exemple. Il y a deux ans, alors que je travaillais sur un projet vid
j'ai rencontr
un ing
nieur de chez Renault qui travaillait sur Explore. Si
ce qu'il rendait comme plans de voitures
tait irr
prochable, il avouait
qu'il se trouvait
chaque fois d
muni lorsqu'il s'agissait de placer la
ra et les lampes. Ainsi, cet ing
nieur Bac+5, qui pouvait utiliser
l'une des stations les plus puissantes, ne savait pas comment fabriquer une
image. Un comble!
Je me suis alors rendu compte qu'il n'y avait pas que chez Renault qu'on
ne savait pas "fabriquer une image". En fait, les images de synth
ses que
l'on voit en g
ral, ne serait-ce que sur Amiga, sont beaucoup trop des
sentations de mod
lisations avant m
me d'
tre des images esth
tiques.
Trop peu de cr
ateurs en images de synth
ses mod
lisent des images en
pensant aux diff
rents principes de l'esth
tique photographique. Comme pour
la gravure au XIX si
cle ou la photographie dans les ann
es 1910, l'image
de synth
se est encore g
e par sa technique et n'est utilis
e que comme
me de visualisation d'information (science, m
decine, technique,
astronomie...).
Oui, par contre, les jeux vid
o commencent
senter des images
franchement superbes, ce n'est pas que gr
des machines de plus en plus
puissantes, c'est surtout parce que maintenant, nous disposons de
techniques qui permettent une exploitation de l'image sur ordinateur qui se
rapproche de la cr
ation cin
matographique et que les soci
s de
production de jeux vid
o font de plus en plus appel
des r
alisateurs qui
viennent du monde du cin
ma ou du dessin anim
@{fg shine}U n e x e m p l e@{fg text}
Prenons @{"une photo" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Belle1.jpg"}, l
oui celle l
, avec la fille dessus. On pourrait
dire que la fille est chouette, mais elle ne semble pas tr
s sympathique.
Alors que @{"la seconde photo" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Belle2.jpg"} nous pr
sente la m
me fille mais d'une mani
telle qu'on est plus incit
prendre un verre et plus si affinit
Pourtant, il s'agit bien de la m
me fille, du m
me appareil photo, du
me lieu de prise de vue. Alors? Troublant, non?
Il suffit pour comprendre ce proc
, de comparer les diff
rentes
caract
ristiques de chacune des photos. La premi
re photo nous pr
sente un
sujet de face,
clair
. Nous pourrons remarquer que le sujet, la fille en
l'occurence, n'a pas une expression particuli
re; elle se contente de fixer
l'objectif. Son visage se trouve au centre du cadre, et une bonne
finition d'image nous permet de voir que cette photo est parfaitement
nette. Math
matiquement, cette photo est parfaite.
La seconde photo, par contre, nous pr
sente la m
me fille, mais de
re apparemment moins organis
e. En premier lieu, l'attitude de notre
Pimprenelle est diff
rente; elle sourit, semble d
tendue. Elle ne fixe pas
l'objectif, son regard est ailleurs. Ses cheveux sont apparents.
clairage n'est pas le m
me, il
claire une partie des cheveux, une
partie du visage, mais pas de la m
me fa
on. Le visage pour sa part,ne
semble pas net de mani
re uniforme. Son visage n'est pas au centre du
cadre, et elle est maquill
e. Math
matiquement, cette photo est un d
sordre
innommable et sans aucune logique.
Pourtant, comme je le disais tout
l'heure, c'est bien la seconde photo
qui nous touche le plus. C'est parce que la premi
re photo est purement
instructive, informative. Elle ne fait que pr
senter le sujet. La seconde
photo, elle, est beaucoup plus chaleureuse, elle nous propose un
personnage, avec un caract
re, une sensualit
, une certaine douceur et ...
et... Mais bon.
C'est donc que faire une photo n'est pas seulement un proc
technique
qui suppose d'impressionner un sujet
clair
sur une pellicule, mais bien
d'immortaliser sur cette pellicule une tranche de r
(un tr
s vaste
sujet que cette r
qui peut s'av
rer plus ou moins vraie, mais cela ne
fait pas partie de mon article).
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Il existe donc des moyens de repr
senter des mod
lisations autres que le
simple "machin-bidule au milieu de l'
cran" et pour cela, il suffit de voir
comment utiliser les techniques les plus simples de l'
dition d'images de
synth
se et de la photographie pour y parvenir.
Car si l'ordinateur calcule effectivement du mieux possible l'image, le
ritable cr
ateur est celui qui a imagin
cette image.
@{fg shine}Antoine Pr
vost@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mLw " LightWave (03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e
En pratique@{fg text}
Le mois dernier nous avons donc appris
liser des formes simples.
J'esp
re que cela n'a pas pos
de probl
mes particuliers malgr
le fait que
les captures d'
crans soient pass
es en noir et blanc, il vous a peut-
manqu
quelques informations visuelles du style l'axe de rotation sur la
figure "rotate + forme" ainsi que sur la figure "lathe+profil" qui
tait
l'axe Y. J'esp
anmoins qu'
la fin de l'article, vous avez pu lancer
le calcul de la sc
ne, et que vous avez obtenu les r
sultats escompt
Les temps de calcul sont longs n'est ce pas? La qualit
est
ce prix!
En fait, pour progresser rapidement sous Light Wave, il n'y a pas de
secret, il faut travailler. Alors n'attendez surtout pas la sortie du
deuxi
me article pour vous replonger dedans, entra
nez-vous avec les
quelques fonctions qui vous ont
montr
es. Bien, puisque maintenant vous
savez comment tourne Light Wave, nous attaquerons directement la
lisation, du billard promies la derni
re fois.
Exercice n
2: LE BILLARD (1/2)
- La mod
lisation -> Un outil pour "creuser"
D
limiter une surface (point rouge)
- Le plateau -> Un autre type de lumi
@{fg shine}L e m o d e l e u r@{fg text}
La technique ayant fait ses preuves, on reprend la m
me pour construire
un billard fran
ais de 2,10 m
tres. Faites bien attention que dans les
requesters, les unit
s correspondent
l'image de r
rence. Donnons un nom
notre premier objet.
@{fg shine}Nous commen
ons par la Table@{fg text}
lectionnez:
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Cadre"
Create, OK
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez comme ci-dessous (Units= m)
Low High
X -1.07 1.07
Y -0.03 0
Z -0.62 0.62
OK, Validez
@{fg shine}Nous allons arrondir le cadre.@{fg text}
* Polygon (Bas)
lectionnez
la souris" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Plateau1.8c"}, la ligne sup
rieure de la vue de face. (elle
claire)
* Multiply:Sweep/Bevel
Remplissez (Units= m)
Inset= 0.005
Shift= 0.005
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez (Units= m)
Low High
X -1.05 1.05
Y -0.03 -0.10
Z -0.60 0.60
OK, Validez
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez (Units= m)
Low High
X -1.02 1.02
Y -0.10 -0.25
Z -0.57 0.57
Ok, Validez
@{fg shine}Voyons un peu en 3D@{fg text}
* Display/Option
@{"Enclenchez Preview/Moving/Solid" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Plateau2.8c"}
@{fg shine}Le cadre de la table est cr
, nous allons "creuser" une forme oblique
dans la surface sup
rieure pour obtenir les bandes du billard.@{fg text}
* Changez de m
moire (n
2) et s
lectionnez l'ombre de la m
moire n
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Tapis"
Create, OK
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez (Units= m)
Low High
X -0.90 0.90
Y 0.10 0.10
Z -0.45 0.45
OK, Validez
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez (Units= m)
Low High
X -0.97 0.97
Y -0.035 -0.035
Z -0.52 0.52
Ok, Validez
* Polygon (Haut)
* Polygon (Bas)
lectionnez sur la vue de face, en maintenant la pression sur le bouton
gauche de la souris, les deux polygons (ils s'
clairent).
Attention, si les pointill
s sont orient
s vers le bas: s
lectionnez
Polygon(Haut): Transform/Flip. Sinon, ne tenez pas compte de cette
remarque.
* Multiply:Sweep/Skin
@{fg shine}c'est @{"avec cette forme" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Plateau3.8c"} que nous allons "creuser"@{fg text}
* Inversez les m
moires et ombres (n
2 et n
* Tools:objects/Boolean
Subtract
La fameuse forme des bandes de billard s'est creus
* Changez de m
moire (n
3) et s
lectionnez l'ombre de la premi
* Objects:Create/Box | Numeric
Remplissez (Units= m)
Low High
X -0.99 0.99
Y -0.05 0.10
Z -0.54 0.54
Ok, Validez
* Inversez les m
moires et ombres (n
3 et n
* Tools:Objects/S Drill
@{"Stencil" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Stencil.8c"}
lectionnez "Tapis"
@{fg shine}La table est termin
e, nous allons construire les pieds@{fg text}
lectionnez les m
moires n
2 et n
3 (avec Shift) et supprimez-les avec
* Cut
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Pied"
Create, OK
lectionnez une nouvelle m
moire (n
2) et l'ombre de la premi
* Polygon (Haut):Create/Points
Placez un point au centre de la vue de face, validez, posez les points
suivant, comme la derni
re fois, pour d
finir la figure @"pieds" SYSTEM
"FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Pieds.8c"}.
la fin recliquez sur Points
* Polygon (Haut):Create/Make
@{"sur la vue de dessus" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Plathe.8c"}
* Multiply/Lathe | Numeric
enclenchez Y
OK, Validez
* Modify:Position/Move | Numeric
@{"(Unit= cm)" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Pmove.8c"}
X= 90
Y= 0
Z= 45
(si vous ne pouvez pas obtenir l'unit
cm, entrez les valeurs en mm)
* Multiply/Mirror/Numeric
@{"Sous X" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Pmirror.8c"}
OK, Validez
* Multiply/Mirror/Numeric
Sous Z
OK, Validez
@{fg shine}Collez ensemble les deux m
moires@{fg text}
* Copy puis Paste de la m
moire n
2 sur la n
1 (comme en traitement de
texte)
Recentrez toutes les vues.
Maintenant, pour ceux qui n'ont lanc
que le modeleur,
* Objects:Fetch/Save
sauvez l'objet en 'Table.billard', vous aurrez
le recharger comme la
derni
re fois.
Pour les autres,
* Objects:Fetch/Export
New 'Table.billard'
@{fg shine}Voil
nous avons cr
enti
rement la table, nous allons cr
maintenant les billes (
=50.8 mm).@{fg text}
* Effacez la m
moire n
2 avec CUT
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Bille.point.rouge"
Create, OK
* Object:Create/Ball | Numeric
remplissez en suivant @"Bille" SYSTEM "FASTVIEW
AmigaNews:PicMARS/Bille.8c"}
OK, Validez
Vous pouvez zoomer avec Shift '.'
@{fg shine}Nous allons cr
er le point rouge@{fg text}
* Changez de m
moire (n
3) et s
lectionnez l'ombre de la m
moire n
* Object:Create/disc | Numeric
@{"remplissez" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Tbille.8c"}
lectionnez l'axe Z
OK, Validez
* Inversez les m
moires et ombres (n
3 et n
* Tools:Objects/S Drill
lectionnez Stencil" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Stbille.8c"}
Nommez en 'point.rouge'
create, OK
* Effacez la m
moire n
3 avec CUT
lectionnez la m
moire n
2 et l'ombre de la table
Placez-vous sur la vue de dessus et faites un zoom arri
re avec ',' de
visualiser la table enti
re en vue de dessus
* Modify:Position/Move
En restant appuy
sur le bouton gauche de la souris, positionnez cette
bille o
vous le voulez, mais restez tout de m
me sur le tapis du billard.
sauvez OU exportez en "Bille.pt.rouge"
* Objects:Fetch/Save AS
sauvez l'objet en 'Bille.pt.rouge'
* Object:Fetch/Export
NEW nommez en 'Bille.pt.rouge'
@{fg shine}-> Cr
ation de la bille blanche@{fg text}
* Changez de m
moire (n
3) et s
lectionnez l'ombre de la m
moire n
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Bille.blanche"
Create, OK
* Object:Create/Ball | Numeric
@{"remplissez" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/bille.8c"}
OK, Validez
* Modify:Position/Move
Positionnez cette bille o
vous voulez sur le billard
Sauvez OU exportez en "Bille.blanche"
* Objects:Fetch/Save AS
sauvez l'objet en 'Bille.blanche'
* Object:Fetch/Export
NEW nommez en 'Bille.blanche'
@{fg shine}-> Cr
ation de la bille rouge@{fg text}
* Changez de m
moire (n
4) et s
lectionnez l'ombre de la m
moire n
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Bille.rouge"
Create, OK
* Object:Create/Ball | Numeric
remplissez en suivant fig "Bille"
OK, Validez
Sauvez OU exportez en "Bille.rouge"
* Objects:Fetch/Save AS
sauvez l'objet en 'Bille.rouge'
* Object:Fetch/Export
NEW nommez en 'Bille.rouge'
Toutes les billes sont cr
es, passons au plateau.
@{fg shine}L e p l a t e a u@{fg text}
Pour ceux qui n'ont lanc
que le modeleur, rechargez tous les objets.
(table.billard, bille.pt.rouge, bille.blanche et bille.rouge)
Vous avez en principe sous les yeux, le billard et les billes, sur lesquels
nous allons braquer (gr
target) notre cam
ra et nos lumi
* View/camera
Edit/camera
Target:"Table.billard"
* Numeric input
coordonn
es: X=-1.8, Y=0.5, Z=-1.9
* Validez, OK (create key)
* View/light
Edit/light
Target:"Table.billard"
* Numeric input
coordonn
es: X=-5.0, Y=1.5, Z=-4.0
* Validez, OK (create key)
* Light
glez Light intensity = 25 %
Nous allons cr
er une deuxi
me lumi
re de type 'spot' qui
clairera le
billard par dessus
lectionnez Add Light (une seule fois) et enclenchez:
Light type -> Spot
continue
rifiez dans "selected item" que l'on travaille bien avec Light 2, puis
lectionnez:
* View/light
Edit/light
Target:"Table billard"
* Numeric input
coordonn
es: X=0.0, Y=1.7, Z=0.0
* Validez, OK (create key)
@{fg shine}Les lumi
res et la cam
ra sont plac
es; il ne nous reste plus qu'
gler les attributs de nos objets.@{fg text}
lectionnez:
* Surface "Toutes les surfaces une par une" (voir tableau 1 et 2)
Les attributs des objets sont r
s. Maintenant r
glez comme la derni
fois les param
tres de la cam
lectionnez:
* Camera
Enclenchez Trace Shadows
Surtout, adaptez le 'segment memory'
votre configuration en tenant compte
de la consommation m
moire de light Wave.
* Scene:
Save scene en "pos-Billard"
Sauvegarde la position de tous les objets
* Object:
Save All Objects
* Record:
Save RGB en "Billard" (Vous pouvez r
gler la sortie de Ham 6 au 24 Bits et
rents formats de sauvegardes).
C'est fini pour ce mois-ci, lancez le calcul avec F10 et attendez 32 mn
25 secondes (avec un A4000/40, 25 Mhz, 18 Mo). A lancer de nuit sur un 1200
calculer chez quelqu'un d'autre.
Avec Adpro ou ViewTek, si vous @{"regardez bien" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMARS/Billard.jpg"}, on voit le point rouge sur
une des deux billes. Pour aller le voir de plus pr
placez votre cam
vers la bille.pt.rouge et recalculez la sc
Bon courage, n'h
sitez pas
faire passer vos questions par la revue. La
prochaine fois, on va cr
er une queue de billard et le classique lustre
globes verts que l'on retrouve toujours au-dessus des tables de billard.
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@{fg shine}TABLEAU 1@{fg text}
Pied & Bille.Blanche &
Cadre TAPIS Bille.pt.rouge Point.rouge
Bille.rouge
Surface color 133,78,0 0,146,39 236,226,200 255,0,0
226,32,7
Specular Lvel 40 % 0 % 100 % 100 % 100
Smoothing OUI NON OUI OUI OUI
Dlouble sided OUI OUI NON NON NON
Smoothing Non Oui Oui Oui Oui
@{fg shine}TABLEAU 2@{fg text}
(enclenchez 'T' devant surface color)
Pied & cadre
Texture type WOOD
Texture Axis X
Texture Color 81,32,0
Turbulence 25.0
Ring Spacing 0.05
@ENDNODE
@NODE mInternet " Internet (03-77)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I R C , d e m a i n j ' a r r
t e !
Le pourquoi du comment...@{fg text}
"Entrez dans le plus grand monde virtuel interactif et faites une
rience fascinante": tel est le slogan du d
pliant publicitaire (encore
un!) sur IRC (Internet Relay Chat) que notre fameux bonhomme tient entre
ses mains. IRC permet de rencontrer, en temps r
el, les habitants du
cyberspace quelle que soit leur situation g
ographique. Les discussions se
roulent sur des canaux (channel ou pi
ces virtuelles). Par d
faut, elles
sont publiques: tout ce qui est
crit, est lu par les autres membres du
canal.
Riches de plus de trois mille personnes, les conversations sont
l'image
des habitants: aussi vari
es que peut l'
tre l'esprit humain r
parti sur
l'ensemble de la plan
@{fg shine}Q u e l c a n a l r e j o i n d r e ?@{fg text}
Certains canaux sont
mes comme #Amiga, #Amigafr, #Unix, #Os/2.
D'autres repr
sentent un pays comme #Polska, #Canada, #Germany, #Espanol,
#Israel, #Japan #Freenet, #Malaysia, #Texas etc... D'autres encore servent
de lieu de rendez-vous ou de port d'attache (Alex Amor directeur de CEI a
tenu une conf
rence le vingt-neuf novembre.) Le canal #IrcHelp joue le r
de bureau de renseignements.
Ces pi
ces virtuelles ont toutes un statut. Elles peuvent
tre publiques,
es (acc
s sur invitation), invisibles etc.. Chacune poss
de au minimun
un op
rateur, le cr
ateur du canal (reconnaissable par l'arobace qui
de son nom). Celui-ci utilise des commandes particuli
res pour le
rer et
ventuellement "kicker" (mettre
la porte) ou bannir des membres.
Il peut aussi transmettre ses privil
ges ou encore installer un "bot"
viation de robot) qui devient alors, le gardien du canal.
@{fg shine}S ' e x p r i m e r d a n s u n m o n d e v i r t u e l@{fg text}
Le smiley ou :-) en fin de phrase est la garantie d'une non ambigu
des
propos tenus. Il symbolise l'humour, la bonne humeur ou la complicit
que
tentent de faire passer les habitants via leur clavier.
Son exp
rience grandissante, notre bonhomme s'apercevra que la meilleure
on de communiquer dans un monde virtuel, c'est d'appliquer la formule
magique 'take it as it comes' et de s'assurer qu'il a
correctement
compris en cas de probl
@{fg shine}R e c u p e r e r u n c l i e n t I R C@{fg text}
Suivant le mat
riel connect
sur Internet, notre bonhomme ram
nera d'un
site FTP anonyme, un client IRC sp
cifique. Le site cs-ftp.bu.edu
pertoire/irc/clients) permet de r
rer ircII pour Unix, 'irc-for-vms'
pour VMS, WSirc pour MS-Windows, Homer pour Macintosh et un site Aminet
(ftp.doc.ic.ac.uk), GrapeVine ou DNetIRC (comm/net) ou encore irchat
(comm/tcp) pour son Amiga.
En effet, parce qu'il b
ficie d'un acc
s gratuit depuis sa facult
son entreprise, il compose avec son environnement de travail.
Une fois le client install
, notre bonhomme choisira un "nick" (abr
viation
de "nickname"), il se connectera sur @{"un serveur IRC" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Irclyon.8c"} (cismhp.univ-lyon1.fr,
dafne.mines.u-nancy.fr ...) et saisira la commande /join #amigafr pour
rejoindre ses cong
res de la communaut
Amiga fran
aise.
@{fg shine}J e s u i s b l e u m a i s j e m e s o i g n e@{fg text}
Tout ce que notre bonhomme d
sire savoir sur IRC se trouve dans
d'excellentes FAQ (Frequently Asked Questions) comme irc-FAQ.txt ou IRC-
primer1.1.txt disponibles:
sur sites FTP:
@{fg shine}(ftp.undernet.org, r
pertoire /irc/docs
ou rtfm.mit.edu, r
pertoire /pub/usenet/alt.irc/)
ou sur NCSA Mosaic (ou Netscape) en ouvrant les URL
d'un canal etc... toutes ces questions trouvent leur r
ponse dans ces FAQ.
Voici une liste non exhaustive de commandes qui permettront
notre
voyageur de commencer son exploration:
@{fg shine}/links Liste des serveurs IRC
/server nom_du_serveur Se connecter sur nom_du_serveur
/join #canal Rejoindre #canal
/list -min X Liste des canaux d'un minimun de X personnes
/who #canal Liste des personnes sur #canal
/whois nick Renseignements sur la personne s'appelant nick
Salut :-) Affiche Salut :-) sur le canal courant
/help Devinez !
/quit Quitter IRC@{fg text}
@{fg shine}L e s t a l k e r s@{fg text}
Il existe une autre fa
on plus marginale de fr
quenter une partie de la
communaut
Internet: les talkers. Contrairement aux serveurs IRC formant un
seau virtuel, les talkers sont des serveurs isol
s: seuls peuvent se
rencontrer ceux connect
s sur un m
me site. Les canaux sont pr
finis et
une carte de navigation permet de passer d'une pi
une autre. Ici, nul
besoin de client, il suffit de faire un telnet (connection sur un site
distant) sur le serveur via un port particulier (callisto.unm.edu 5050,
Sun1.gwent.ac.uk 6666...) et de suivre les instructions.
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
villemin@depinfo.u-bourgogne.fr@{fg text}
@ENDNODE
@NODE mDemos " D
mos (03-77)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Demo1.256"} @{"E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Demo2.256"} @{"M" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Demo3.256"} @{"O" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Demo4.256"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMARS/Demo5.256"}
Apr
s la Party 4, c'est plut
t le calme... Aussi ce mois-ci, les novices
pourront s'initier
l'univers des d
monstrations...
@{fg shine}L a " s c
n e " : u n m o n d e m a g i q u e@{fg text}
Vous qui poss
dez un Amiga, vous avez d
entendu parler d'une d
mo ou
me eu la chance d'en voir une. Mais peut-
tre ne savez vous pas que
derri
re cette attraction se cache un monde fort
tonnant qui fait r
des centaines de jeunes dans l'Europe enti
re et parfois au del
. On le
nomme la sc
ne, d
finie comme l'ensemble des personnes qui r
alisent des
Ces personnes s'identifient par un pseudonyme et travaillent par groupe.
Chacun a une fonction bien pr
cise: les quatre membres fondamentaux pour le
veloppement d'un groupe sont le codeur, le musicien, le graphiste et le
'swappeur', ce dernier
tant en quelque sorte l'officier de relations
publiques du groupe. Il distribue les r
alisations de son groupe et
re celles des autres afin de voir les tendances de style.
On trouve diff
rents types de productions:
* @{fg shine}les intros@{fg text}, qui annoncent un
nement: la naissance d'un groupe,
un meeting, un magazine, la cr
ation d'une board ou l'arriv
e de nouveaux
membres...
* @{fg shine}les dentros ou encore one-file@{fg text}: une d
mo sous forme d'un fichier
(donc installable sur disque dur!) qui contient plusieurs effets et
rentes parties...
* @{fg shine}les trackmos@{fg text} (m
mo dans le pass
avec une autre nuance...):
mo constitu
e de plusieurs parties charg
e piste par piste (trackloading
en anglais) sur la disquette...
* @{fg shine}les diskmags@{fg text}: magazine sur disquette relatant de la sc
ne et
parfois de musique, cin
ma, fiction et autres...
* @{fg shine}les music disks@{fg text}: comparable
un album, c'est le regroupement de
plusieurs musiques sur disquette avec bien s
r un menu et une pr
sentation
graphique (c'est beau le multim
dia!).
* @{fg shine}les slideshows@{fg text}: show d'images agr
@{fg shine}I m a g i n e 3 . 0 E n h a n c e r C D - R O M@{fg text}
Un CD de faible contenance (180 Mo) mais on peut appr
cier la qualit
son contenu. En effet, de nombreuses, donn
es pour Imagine : Objets,
Attributs, Fonts objets, Images, Mappings et des animations mappings. Les
objets sont tr
s bien r
s. Ils sont pr
s a afficher sur Amiga et PC.
Vous pouvez juger de la @{"qualit
sur les images" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Im.jpg"}. C'est l'exemple type du
disque de qualit
mais pas totalement rempli. Je pr
re cela au
remplissage
tout prix...
@{fg shine}Lucas Janin
Prix : 519 F (Phoenix DP).@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aLightrom " LIGHTROM volume 1 (04-78)"
@TOC a3dvidfon
@{fg shine}L I G H T R O M v o l u m e 1
(Voir test dans AmigaNews N
76)@{fg text}
Fred FISH et sa soci
"Amiga Library Service" ont entrepris de se
diversifier un peu. Ce CD-ROM est une compilation de toutes les donn
es et
programmes en libre distribution (Domaine Public ou Shareware) disponibles
pour les logiciels d'image de synth
se en g
ral, et Lightwave en
particulier.
Les tiroirs IMAGINE, SCULPT et GEO contiennent des objets 3D. Les
fichiers Sculpt, un peu vieux, ont le m
rite d'
tre lisibles directement
par Lightwave 3.5. Le tiroir DEM contient une grande vari
de paysages.
Le tiroir IMAGES contient des images qui peuvent servir de fond, ou de
mapping, ou
n'importe quoi d'autre. Le tiroir TEXTURES contient, lui, des
images plus sp
cifiquement destin
tre appliqu
la surface d'un
objet (mapping).
Le r
pertoire LIGHTWAV cotoient des objets de tr
s bonne qualit
, et ce
n'est pas tout! On y trouve aussi des scripts ARexx pour modeler et le
Layout, des utilitaires de cr
ation d'objets (cr
ation de ciel
, de
fontaines de particules, etc...) des d
monstrations de logiciels
commerciaux (SPARKS, Vertisketch, etc...), un r
pertoire contenant plus
d'une centaine de surfaces, toutes les archives de la mailing-list
Lightwave, des fonts 3D, des cartes et s
rement d'autres choses que je n'ai
pas encore d
couvertes... Et il ne faut surtout pas oublier que toutes les
nes ou objets sont DIRECTEMENT utilisables depuis le CD. Pas besoin
d'assign ou autres tracasseries.
Le premier volume du L @{"I" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light1.jpg"} @{"G" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light2.jpg"} @{"H" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light3.jpg"} @{"T" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light4.jpg"} @{"R" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light5.jpg"} @{"O" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Light6.jpg"} M est, selon moi, un compl
ment
duquel un utilisateur de Lightwave ne devrait pas passer. Son utilisation
pour Imagine est plus sujette
caution, bien que, par rapport
beaucoup
de CR-ROM consacr
la 3D, il s'
ve au-dessus du lot. C'est l'un des
rares o
la priorit
donn
l'utilisation et non aux belles images
toutes faites.
Le fait de pouvoir utiliser ce CD sur PC ou SGI est,
mon avis, un plus
non n
gligeable, car les difficult
s de Qui-vous-savez nous obligent de
plus en plus
travailler en coop
ration sur de telles machines.
@{fg shine}Fran
ois Gastaldo Secr
taire du BUGSS.
Prix: 319F(Phoenix DP, FDS)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aGraphism " GRAPHISM (04-78)"
@TOC aCdvrac
@{fg shine}G R A P H I S M@{fg text}
@{" The FractalPro Image Library Volume 1 (04-78)" LINK aFracpro}
@{" SuperCliparts PCX (04-78)" LINK aSuperclip}
@{" GIGA GRAPHIC (4 CDs) (04-78)" LINK aGigagraph}
@{"
Ultimedia (04-78)" LINK aXumedia}
@{" LECHNER COLL1 (04-78)" LINK aLechner}
@ENDNODE
@NODE aFracpro " The FractalPro Image Library Volume 1 (04-78)"
@TOC aGraphism
@{fg shine}T h e F r a c t a l P r o I m a g e L i b r a r y V o l u m e
1@{fg text}
Amateur de @{"fractales" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fractal.256"}, ce disque vous est destin
, un total de 350 Images
dans plusieurs formats (IFF 24 bits, HAM6, IFF et GIF 256 couleurs et BMP
24 bits). Elle peuvent
tre visualis
e de fa
on automatique sur l'Amiga en
Ham ou IFF ou sur une carte graphique (OpalVision, FireCraker, Retina et
IV24). De nombreux DEM pour Vista ou Scenary sont aussi pr
sents sur ce CD.
Un CD-Rom qui int
ressera les passionn
s de fractales en tous genres.
@{fg shine}Lucas Janin
Prix :NC (Megagen)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aSuperclip " SuperCliparts PCX (04-78)"
@TOC aGraphism
@{fg shine}S u p e r C l i p a r t s P C X@{fg text}
Sous ce nom trompeur, ce CD-Rom contient 4000 cliparts tr
s moyens qui
sont pr
vus pour PC. Je conseille de laisser ce CD chez votre revendeur.
Vous ne vous en porterez que mieux... D'ailleurs, allez plut
t chez votre
marchand de journaux. Certaines revues pour moins de 30 F vous offrent ce
me type de CD.
@{fg shine}Lucas Janin
Prix: 195 F (MicroApplication)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aGigagraph " GIGA GRAPHIC (4 CDs) (04-78)"
@TOC aGraphism
@{fg shine}G I G A G R A P H I C ( 4 C D s )@{fg text}
Ce coffret nous vient tout droit d'Allemagne et comprend 4 CDs remplis de
graphismes et de digitalisations en Ham8. Les th
mes abord
s sont
mement vastes et divers. Nous y trouvons aussi bien des scans haute
solution de paysages, animaux, personnages c
bres etc, que des images
de synth
ses, textures ou encore des planches de sprites anim
s et "pr
l'emploi"... En fait, Mirko Geuther, r
alisateur de cette compilation,
semble avoir rempli ces 4 CDs avec tout ce qu'il a pu trouver dans les
collections domaine public, les serveurs et sites Internet d
s Pc, Mac
et autres, ce qui nous donne au final un ensemble d'images des plus
roclites, que ce soit au niveau des th
mes ou de la qualit
, bien que
cette derni
re soit plut
t bonne en moyenne. Mais quoi qu'il en soit, il
serait
tonnant que vous ne trouviez pas l'image que vous cherchez dans ces
quelques 2 gigabytes de donn
es (un peu plus de 10.000 images). D'autant
plus que l'@{"i" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Giga1.256"} @{"n" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Giga2.256"} @{"d" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicAVRIL/Giga3.jpg"} @{"e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Giga4.256"} @{"x" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Giga5.8bt"} est tres bien fait (planches 640x512 Ham8 ou 16
couleurs pr
sentant chacune 20 images miniatures avec le nom (quoi de plus
normal?!), ainsi que la sp
cification au niveau de la taille, ce qui est
s agr
able).
POINTS POSITIFS:
- L'index.
- La diversit
des images.
POINTS NEGATIFS:
- Cette diversit
justement puisqu'elle n'est pas organis
- Tous les textes sont en allemand. Il serait peut-
tre temps que les CDs
venus d'outre-Rhin contiennent au minimum une petite traduction ne serait-
Saar est la plus prestigieuse collection de DP allemand et bien qu'on y
trouve in
vitablement beaucoup de vieilles connaissances, on parvient
nicher des merveilles dont certaines sont
sent commercialis
es. Amok
risque peu d'int
resser les fran
ais, puisqu'il s'agit d'une s
cialis
e dans les langages Modula-II et Ob
ron largement ignor
s chez
nous. Dommage, car il y a l
aussi une v
ritable mine d'or tant au point de
vue des modules que des compilations. La s
rie Saar est repr
e de la
disquette 1
630, la s
rie AMOK de 1
@{fg shine}Prix: DM 39 (Media Team) @{fg text}
@ENDNODE
@NODE aImcd " IMAGINE-CD (04-78)"
@TOC aCdall
@{fg shine}I M A G I N E - C D@{fg text}
Des maps d'altitudes sans grand int
t, des attributs qu'on trouve
ailleurs, 100 superbes paysages il faut l'avouer, deux images de
alisation de qualit
moins qu'amateur, une
norme quantit
d'objets d'une
pauvret
courageante, quatre maps de r
flection, quatre-vingts textures
moyennes, quatre textes int
ressants en anglais sur les brushmaps, les
tails, le verre et les textures et six d
mos HamLab, Splitter, ISL,
Pongo, Vertex et View. Enfin, c'est plus de la quantit
que de la qualit
@{fg shine}Prix: DM 48 (TGV-CVS) @{fg text}
@ENDNODE
@NODE aCdPma " CDROM PC, MAC et AMIGA (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e s C D - R O M P C e t M A C e t l ' A m i g a
De tout pour tout le monde@{fg text}
Tout d'abord
tons l'id
e qu'il n'existe pas de CD sp
cifique Amiga. Ce
cial CD-ROM Amiga" est la preuve du contraire. Mais il est tout de m
ressant de voir dans quelle mesure on peut utiliser sur Amiga
@{"le foisonnement de CDs" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Cdpma.8bt"}
pour PC et Mac.
@{fg shine}L e s C D s@{fg text}
Tout d'abord il convient de savoir que la quasi totalit
des CD-ROM
press
s dans le monde informatique, le sont dans un standard universel
criture et de lecture des donn
es. La norme choisie et reconnue est
e par le sigle ISO 9660. Ceci signifie donc qu'un CD informatique
(12cm) provenant d'un PC ou d'un MAC sera lisible par l'Amiga. Lisible,
enfin tout au moins pour son contenu. Il n'est bien s
r, pas question de
penser faire tourner un logiciel PC directement sur Amiga. Cependant,
n'oublions pas qu'il existe une quantit
importante de CD qui contiennent
des images, des textures, des sources, des animations ou m
me des
documents. Il convient de se pr
munir des logiciels ad
quats pour bien
exploiter ces donn
es qui,
premi
re vue, pourraient sembler
trang
@{fg shine}L e l e c t e u r e t l e d r i v e r@{fg text}
Avant toute chose il faut bien s
r poss
der un lecteur de CR-ROM sur son
Amiga. Concernant les lecteurs, un mod
le double vitesse de type "multi-
session" est le minimum. La plupart des anims MPEG/AVI/FLI r
clament ce
type de lecteur qui permet en pratique un d
bit des donn
es de 300Ko par
seconde. La vitesse de d
placement de la t
te du lecteur sera un facteur de
rapidit
lors de la lecture des r
pertoires (souvent surcharg
s en
fichiers) ainsi que de la fluidit
des animations (coupures). Un temps
d'acc
s de 300ms (milli-secondes) sera correct sachant qu'il existe
maintenant des CDs aux acc
s de seulement 150 ms. Derni
rement, on trouve
des lecteurs de CD-ROM triple vitesse (450Ko/Sec), voire quadruple vitesse
(600Ko/Sec). Pour le moment, ce type de lecteur n'est pas vraiment
indispensable, mais pour les raisons invoqu
es un peu plus haut, ils
risquent de devenir incontournables car les
diteurs et l'
volution de la
technique demanderont de plus en plus de rapidit
, surtout pour les jeux et
les animations. Un d
bit de 300Ko/Sec est suffisant pour le moment pour des
animations en 320x200 8bits (FLI), 160x100 8-24bits (Quicktime MAC), mais
largement insuffisant en 640x400/480 8bits (FLC PC).
Amiga, le probl
me n'est pas le m
me. Cette machine
tant
techniquement plus destin
ce type de travail, depuis longtemps on sait
compresser, utiliser au mieux les circuits, double buffer, etc., donc
manipuler les animations m
me avec un faible d
bit de donn
es. H
las, il
existe trop peu de CDs exploitant les caract
ristiques de l'Amiga et donc
on se retrouve avec les formats des anims PC.
Avec le lecteur, il convient aussi de poss
der le driver correct pour
rer ce p
rique. Apr
s avoir essay
une quantit
non n
gligeable de
drivers de toute sortes, DP, Shareware, commerciaux, mon choix s'est fix
sur le gestionnaire "AsimCD" qui, bien qu'il soit commercial et donc un peu
cher, n'en reste pas moins le plus complet et rapide. Un bon driver de CD
doit savoir reconna
tre les formats ISO 9660, HFS Fork (Mac binaire) ainsi
que les Photo-CD Kodak(R). Dans le DP, "AmiCdrom" reste le plus int
ressant
bien que le moins performant.
@{"L e s C D d ' i m a g e s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Cdimage.16c"}
Ne vous fiez pas
l'emballage des CD-ROMs sur PC ou MAC, regardez avant
tout leur contenu. En fait, s'il s'agit de CDs d'images, Cliparts, Photo
CD, True Color, Textures, ..., il y a 99% de chances que le contenu de ce
CD soit accessible
votre Amiga. Avec son impressionnante panoplie de
viewers et de logiciels de retouche d'images de tout format, l'Amiga est
tre dans ce domaine. Ainsi muni des bons logiciels, souvent issus
du DP, il est possible sur Amiga de charger et de visualiser les formats
que l'on retrouve le plus souvent sur les CDs PC:
* BMP (8bits)
* PCX (8-24bits)
* GIF (8bits)
* JPG (24bits)
* TIFF (8-24bits)
* PICT (8-24bits)
Comme vous le voyez, rien de vraiment
tranger
l'Amiga. Des logiciels
comme ADPRO, RasterLink, ViewTek, ..., se chargeront pour vous de
visualiser et/ou transformer ces images dans un autre format. De plus,
certains d'entre eux utiliseront les possibilit
s du syst
me 3.0, c'est
dire les "Datatypes" (dans le r
pertoire DEVS/DATATYPES) qui comprennent la
totalit
des formats cit
s ici. Le syst
me 3.0 n'est pas livr
avec tous
les datatypes mais il est ais
de compl
ter les manquants dans le DP. Les
datatypes vont servir
un logiciel r
cent comme InfoNexus (voir test dans
ce num
ro) pour reconnaitre le format (Header) de l'image et ainsi de la
coder pour ensuite la visualiser.
CD Mac, c'est
peu pr
s la m
me chose si ce n'est que certains
formats moins courants se m
lent de la partie comme le PICT, mais c'est
s rare. Il vaut savoir qu'un CD-ROM sera presque toujours destin
aux
deux march
s (PC/MAC) et donc comprendra des formats lisibles par les deux
machines (Liste PC) et donc par notre Amiga.
@{fg shine}L e s C D s d ' a n i m a t i o n s@{fg text}
animations, ce n'est pas tout
fait la m
me chose. Ici il existe
plusieurs formats et tous ne peuvent pas (encore)
tre d
s par l'Amiga.
La majorit
des animations que l'on retrouve sur les CD-ROM PC proviennent
d'Autodesk (3D Studio) et sont cr
es dans un format appel
FLI ou FLC. Ce
format d'animation est d
sormais accessible
l'Amiga. J'ai pu trouver dans
le DP sur Internet un logiciel FLIPLAYER qui se charge de jouer ces
animations FLI ou FLC. Le format FLI est en fait repr
par des anims
en 320 x 200 en 8bits tandis que le format FLC se trouve
tre en 640 x
480/400 en 8bits. Il va sans dire que c
vitesse sur un PC ce n'est pas
le pied. Mais lorsque l'on utilise l'Amiga avec un Disk-Cache et FLIplayer,
c'est effectivement tr
s agr
able et ce, m
me avec un 1200 de base.
On trouvera aussi des animations en MPEG (Motion Jpeg), surtout du c
des CDs un peu plus "X". Ici aussi il existe dans le DP un foisonnement de
players MPEG pour Amiga et je ne citerai ici que celui que j'utilise:
MpegRetina qui comme son nom l'indique fonctionne sur R
tina mais aussi sur
Picasso et sur Amiga AGA ou ECS.
Bien s
r ici, la vitesse des animations sera totalement d
pendante de la
vitesse de traitement et de d
codage du format MPEGS par l'Amiga. Donc un
Amiga tr
s rapide proposera des anims plus fluides qu'un 68020. Ici je ne
donnerai pas de titres, de CDs qui de toute fa
on sont tr
vocateurs,
mais sachez que bien que la qualit
des images soit assez in
gale selon les
anims, l'action, elle, est tr
s compr
hensible.
La vie serait rose s'il n'existait pas un autre format qui se r
pand de
plus en plus, le format AVI (Video for Windows). Ce format, pas terrible en
fait (160x100
320 x 200 Max en 8Bits), devient incontournable dans les
CDS PC pour Windows. H
las pour nous, il n'existe pas encore de logiciel
pour Amiga capable de le d
chiffrer. Esp
rons que cela sera vite r
solu.
Mis
part cela il convient de signaler que la plupart des animations
dent des bruitages ou sons. Cela nous am
parler de la musique.
@{"L e s C D s d e s o n e t d e m u s i q u e" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Cdmusic.16c"}
Dans ce domaine, ce n'est pas le PC ou le MAC qui vont apprendre quoi que
ce soit
l'Amiga. Donc ici pas de panique, il existe un player de son,
me en DP, capable de lire les formats suivants que l'on retrouve sur les
CDs PC:
* MOD
* MIDI
* WAV
* VOC
* SND
On trouve aussi des fichiers RAW, mais c'est tr
s rare et de toute fa
l'Amiga sait les lire. En g
ral, un logiciel comme DELITRACKER poss
tous les modules capables de lire ces formats (MOD, WAVE, ...). Notons que
le format MOD provient de l'Amiga. En g
ral dans les CDs PC on retrouvera
en majorit
les formats WAV et MOD.
Le format MIDi consiste en fait en des fichiers MIDI au format General-
Midi. Ainsi il convient de connecter un Synth
sur l'Amiga (avec un
adaptateur MIDI) car,
ma connaissance, il n'existe pas de logiciel
capable de jouer ces fichiers par les circuits de l'Amiga. J'ai entendu
dire qu'en DP il en existe un, mais je ne l'ai pas encore trouv
. Et vous?
@{fg shine}L e s C D s d e f i c h i e r s@{fg text}
Il existe aussi une autre cat
gorie de CDs, ceux qui contiennent des
sources de programmes ou des fichiers pour des logiciels du type de
Word(R), Excel(R)... En ce qui concerne les CDs de sources, ici pas de
probl
me, le format ASCII est sensiblement identique sur PC et Amiga, sauf
pour les accents et diverses touches fran
aises. Ici aussi des utilitaires
de conversion de fichiers sont disponibles en DP sur les CAMs ou FISHs.
En ce qui concerne les fichiers de traitements de textes, bases de
es ou de tableurs, le d
codage des donn
es est beaucoup plus
atoire. Certains logiciels Amiga comme Final Copy, Pro Page, WordWorth,
... permettent l'importation de formats PC, mais pas tous et pas tout le
temps.
@{"L e s C D P h o t o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Cdphoto.16c"}
Ces CDs sont press
la norme ISO9660 et poss
dent donc des images dans
les formats photo-CD Kodak(R) (PCD) suivants:
128x192, 256x384, 512x768, 1024x1536, 2048x3072 de 8
24bits. Bien
videmment votre driver de CD-ROM pour Amiga est capable (s'il ne l'est
pas, changez-le!) de lire ce format PCD et ainsi visualiser cette
norme
banque d'images qui voit le jour en ce moment dans ce format de CD.
@{fg shine}T a b l e a u d e c o m p a t i b i l i t
@{fg text}
CDs % lus Manips
Images (Tout format) 100% Peu ou pas
Animations (FLI/FLC) 100% ou 0%(AVI) Oui pour les sons
Animations (MPEG) 100% Pas
Animations (AVI) 0% ---
Textures 100% Pas
Fonds 100% Pas
CD Photo 100% Peu
Cliparts (DXF) 100% Peu
Cliparts (CGM/WMF) 0% ---
Cliparts (PCX) 100% Pas
Sons/Bruitages 100% Pas
Sons (Mod) 100% Pas
Sons (Wav) 100% Pas
Sons (MIDI) 100% Synth
MIDI
Sources 100% Adaptations pour Amiga
Fichiers (ASCII) 100% Un peu
Fichiers Softs 25% Al
atoire
@{fg shine}D a n s l a p r a t i q u e...@{fg text}
Il convient de savoir que souvent tous les types sont g
ralement
s et quelques fois il faut bien lire le contenu d'un emballage pour
savoir dans quel pourcentage le CD pourra
tre utilis
sur Amiga. Sachant
cela, on peut en
tablir le tableau de compatibilit
ci-contre. Ce tableau
n'est s
rememt pas complet, mais j'ai regard
dans ma CD-Th
que le type de
CD que l'on peut rencontrer sur PC et ce que l'on peut en faire. Les
"Manips" sont de toute fa
on li
es au logiciel que vous allez utiliser.
Il arrive souvent qu'une animation MPEG/FLI/FLC soit li
e avec un fichier
son de type WAV et plus rarement MOD. Il convient donc de cr
er quelquefois
des scripts permettant sur Amiga de reproduire ce lien. C'est faisable avec
OPUS ou avec AREXX.
Je vous conseille de vous procurer le catalogue des CD-ROM de Micro
Application qui contient plus de 70% de CDs PC lisibles en totalit
sur
l'Amiga: Nitro, M
diaPool, WavePool, Textures et Fonds, Truecolor Photos,
Vue Magique, Cliparts, Bordures, Photos de France (1&2), Photos Paris,
Canada, Am
rique, Promenade au ZOO, Album de Musique, ... (Ed: mais m
fiez
vous des CD cliparts "premier prix" de MicroApp).
De plus, l'Amiga est unique en son genre car il poss
de la capacit
les logiciels permettant d'
muler avec beaucoup de succ
s une machine comme
le Mac ou le PC. Ainsi, il n'est pas vraiment indispensable de ranger son
Amiga au placard uniquement parce que les autres machines ont plus de CDs
que nous. Une
mulation
faible co
t, de type A-Max IV pour le Mac sur
Amiga, permet en outre de faire tourner la totalit
des logiciels de cette
machine et si vous poss
dez une carte graphique performante de type Retina,
Picasso, ..., de faire mieux que l'original en ce qui concerne le graphisme
haute r
solution couleur: demandez
un Mac d'afficher 1280x1024 en 24bits
sur un 15 pouces en pouvant contr
ler la fr
quence d'affichage, utiliser le
rique vid
o Amiga (Genlocks, Codeurs, ...). Bien
videmment, les
mulations ont des limites ou des failles et A-MAX IV n'
chappe pas
gle. Quoi qu'il en soit l'exp
rience ma montr
que, si on le d
sire, on
peut utiliser pratiquement tous les CDs (autres que les jeux) PC et Mac sur
Amiga. Pour ce qui est des jeux et des CDs plus proches de la machine
PC/Mac, l'
mulation peut s'av
rer plus int
ressante. L'Amiga est vraiment
bien fourni dans ce domaine.
Pour conclure d
finitivement, regardez toujours au dos d'un CD-ROM PC, les
tails concernant les images et les sons car m
me si l'ex
cutable sens
faire fonctionner le tout sur PC ne tourne pas sur Amiga (
videmment), le
contenu est souvent accessible et, moyennant quelques petites manips, le
sultat peut
tre m
me meilleur que sur le PC.
@{fg shine}Eric Laffont@{fg text}
PS: Les tests et les comparaisons ont
s avec un Amiga 68040
avec carte graphique R
tina BLT Z3 et lecteur CD 300 (Sony). Pour certaines
comparaisons avec le Mac, l'Amiga
tait
de A-MAX IV RETINA + CD 300
compar
un Mac Performa 475. Pour les comparaisons avec le PC, l'Amiga
tait muni de PC-Task ou de la carte Vortex PC avec toujours le CD 300
compar
un PC 486 Dx 33. Dans tous les cas l'
mulation Mac est la plus
ussie et la plus compatible surtout c
Hardware.
@ENDNODE
@NODE aCdff " CD Fresh Fonts (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}F r e s h F o n t s
Pour avoir la police...@{fg text}
Fred FISH, depuis qu'il a go
au CD-ROM, ne peut plus s'arr
ter. Sa
derni
re surprise se nomme @{"FRESHFONTS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Ffcd.8bt"} et est un CD-ROM entier consacr
aux
polices de caract
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Produit en collaboration avec Danny Amor, grand sp
cialiste des fonts
AMIGA depuis 1986, ce CD-ROM se pr
sente comme une banque de polices de
caract
res pr
l'emploi. Elle comporte 200 @{"f" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fontanimal.2c"} @{"o" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fontdeco.16c"} @{"n" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fontdingbat.2c"} @{"t" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fontshowboat.2c"} @{"s" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Fontlogger.2c"} disponibles en
cinq formats diff
rents: Adobe, Bitmap AMIGA / Compugraphics, DMF,
Intellifont et TrueType. Le format Bitmap AMIGA b
ficie d'un petit plus
avec 7 fonts couleurs. Le plus d
savantag
est le format True Type, avec
seulement 93 fonts disponibles. Les al
as du 9660 Niveau 1. Ce CD-ROM, de
type ISO 9660 level 2 (voir article sur le LightRom), est dans la tradition
des CD FRESH-FISH. On y retrouve les fichiers CRCList, DirList, FileList et
".mk". A peine ins
dans le lecteur, une
norme ic
ne "FRESHFONTS"
appara
t et nous rassure: ce CD-ROM l
est bien fait pour AMIGA.
Il n'y a qu'
ouvrir le disque pour s'en convaincre. Une ic
ne README est
, ainsi que 4 r
pertoires. En cliquant sur le README, un texte
d'explication s'affiche en anglais, allemand et,
surprise, en fran
ais!
Le fait est suffisamment rare pour
tre signal
@{fg shine}M a i s q u ' y a t - i l d a n s l e s t i r o i r s ?@{fg text}
Le premier, nomm
BBS contient toutes les fonts, dans leur diff
rents
formats, archiv
es avec LHA. Tr
s pratique si vous vous voulez en
communiquer quelques unes
un ami qui n'a pas de lecteur de CD-ROM. En
plus, les sysops appr
cieront de pouvoir inclure de nouvelles donn
es dans
leur serveur...
Le second, Programs, contient des utilitaires pour presque 4 plates-
formes. Pourquoi "presque"? Parce qu'il y a bien un tiroir pour le MAC, un
pour l'ACORN (une machine qui a l'air tr
s prometteuse, soit dit en
passant), mais ils sont VIDES. Le tiroir PC ne contient qu'un soft: PSX.
Seul le tiroir AMIGA contient une douzaine de programmes. La plupart ne
sont utiles, en fait, qui si l'on utilise PasTeX, d'ailleurs fourni, pr
fonctionner, sur le disque. Il manque ne serait-ce qu'un petit logiciel du
style ShowFont... Mais que cela ne vous emp
che pas d'appr
cier la qualit
des deux traitements de textes domaine public disponibles ici, surtout
celui fait pour g
rer des caract
res non latins, (h
breus, russes, etc...)
et interfac
s avec SCALA.
Le troisi
me, Documents, contient la documentation compl
te de ce CD-ROM
sous une forme Hyper-Texte Multimedia. Elle est disponible en deux formats
rents: L'Amiga-Guide et Mosaic. Le premier est le standard sur Amiga,
le second sur Internet, et a, de plus, l'avantage d'
tre disponible sur
toutes les plates-formes (PC, WindowsNT, MAC, Unix, etc...). D'ailleurs,
Mosaic est fourni sur ce disque. La seule limitation est qu'il vous faut
les librairies MUI pour le faire fonctionner. Ces documentations sont, par
bonheur, disponibles en trois langues: anglais, allemand et fran
ais. La
navigation
l'int
rieur est tr
s simple. On choisit le type de font que
l'on veut, puis on clique sur le nom de la font pour avoir plus
renseignements et la voir. H
las, cette derni
re possibilit
n'est
disponible que sous Workbench 3.0 ou plus... C'est vraiment dommage, car ne
pas pouvoir avoir un aper
u de l'aspect de la police limite
ment
l'int
t d'une telle documentation. Rien n'emp
che d'aller vous-m
regarder les images des fonts qui se trouvent dans le tiroir "Pics" au
format IFF, GIF et PCX.
Enfin, le quatri
me tiroir est le plus Int
ressant: c'est le r
pertoire
FONTS. Il est subdivis
en cinq sous-r
pertoires correspondant au format:
Adobe, Bitmap, DMF, Intellifonts, TrueType. A l'int
rieur de chacun, les
polices sont class
es en six types.
* Deco contient 71 fonts d
coratives. Elles ne servent en g
ral que
pour les titres ou les caract
res de d
but de paragraphe.
* Non-latin contient 31 fonts. Comme leur nom le laisse pr
sager, elles
ne contiennent pas des caract
res latin, mais d'autres provenances. Elles
sont r
parties comme suit: 1 Arabe, 1 Chinois, 4 Grecques, 7 H
breux, 4
Runiques, 10 Russes, 3 Serbes et 1 Tamils.
* Pictures contient 17 fonts repr
sentant des symboles, des ornements ou
des petits Clip-Arts. Elles sont tr
s vari
es et permettent d'
gayer un
texte assez facilement. H
las, l'aper
u que nous donne la documentation de
ces fonts ne montre que les lettres A, B et C. On est donc oblig
d'imprimer par nous-m
mes l'alphabet complet pour chacune d'elles afin de
couvrir les tr
sors qu'elles renferment.
* Sans Serif contient 31 fonts. Si vous avez un peu de connaissance en
calligraphie, vous savez que le "serif" est l'esp
ce de petite excroissance
que l'on trouve en bout de chaque ligne dessinant le caract
re. On classe
souvent les polices d'
criture en deux cat
gories: les "serif" plus jolies,
et les "Sans Serif", plus lisibles.
* Script contient 27 fonts. Tout le monde sait qu'il existe, en gros,
deux types de calligraphie: les caract
res d'imprimerie, et les caract
manuscrits. Ce tiroir ne contient que des polices de deuxi
me style.
* Serif contient 23 fonts.
Soit un total de 200 polices diff
rentes. Si, comme l'indiquent la plupart
des vendeurs de fonts, on compte les variantes GRAS, Italique et Gras-
Italique, on atteint 300 polices.
La qualit
de ces fonts est vraiment bonne, il y en a tr
s peu
d'incompl
tes ou d'inutilisables. Cela change des autres CD-ROM de
compilation de fonts que j'ai d
eus entre les mains. Ce qui ne change
pas, par contre, est le faible nombre de polices accentu
es disponibles. Je
n'ai pu encore en d
terminer le pourcentage, mais en trouver une se
rapproche plus du coup de chance que d'un r
el choix... Dommage pour un CD-
vocation internationale.
@{fg shine}C o m m e n t u t i l i s e r a u t a n t d e F o n t s ?@{fg text}
Le FreshFonts est, en th
orie, tr
s simple
utiliser. En effet, dans son
pertoire fonts et dans la racine, se trouvent des ic
nes "AssignFonts".
Si on double-clique sur la premi
re, le r
pertoire FONTS: de votre syst
tend, gr
des ASSIGN multiples, pour prendre en compte toutes les
polices Amiga Bitmap du CD (soit plus de 300 polices). Si on fait de m
sur la deuxi
me, on rajoute en plus celles n
cessaires au bon
fonctionnement des utilitaires fournis. Il est bien entendu que cette
manipulation consiste uniquement en des Assign. Absolument rien n'est
install
sur votre disque dur.
@{fg shine}T o u t n ' e s t p a s a u s s i r o s e@{fg text}
D'une part, il y a des programmes qui n'acceptent pas les assign
multiples. Ils se contenteront donc de lire votre r
pertoire FONTS:
habituel. ADPro, par exemple, en fait partie. Heureusement pour nous, ils
se font de plus en plus rares, et il est toujours possible d'aller chercher
manuellement les polices sur le CD.
D'autre part, 300 fonts, c'est ENORME. Certains logiciels ne peuvent en
rer autant... DeluxePaint cale tr
s vite. SCALA, que je croyais plus
solide que cela, n'arrive pas
en prendre la moiti
Mais m
me pour ceux qui arrivent
faire entrer tout
a dans leur liste,
ce n'est pas parfait. Car il faut les lire, toutes ces parties (20 au
total, plus celles que vous avez habituellement) du tiroir FONTS:. Et cela
peut
tre TRES long. Ainsi il faut environ 5
6 minutes
Brillance (ou
DCTVPaint) pour afficher la nouvelle liste de polices. Quand
Fountain ou
Intellifont, on atteint presque les dix minutes... Autant de longues
minutes
regarder la LED du CD-ROM clignoter, en esp
rant que toutes les
Fonts apparaitront... Heureusement que l'Amiga est multit
che et que l'on
peut faire autre chose en m
me temps (par exemple, boire un caf
Et m
me une fois charg
e, cette liste immense n'est pas aussi simple
manipuler que lorsqu'elle en mesurait
peine le dixi
me...
Personnellement, je n'utilise les assigns que lorsque cela est n
cessaire
(quand j'ai besoin de toutes les fonts). Sinon j'ai adopt
une technique
nettement plus
conomique. Explication.
J'ai cr
un nouveau tiroir sur mon disque dur. Je l'ai appel
"FONTS_TMP". Je l'ai 'assign
' en addition avec mon tiroir FONTS: normal
la commande ASSIGN FONTS: Work:FONTS_TMP ADD dans ma "user-
startup". Et lorsque j'ai besoin d'une ou plusieurs polices de caract
disponibles sur le FreshFonts, je les copie dans ce tiroir. Ainsi, les
logiciels les prennent en compte et je n'ai pas besoin de lancer
l'"AssignFonts" du CD. Apr
s en avoir termin
avec ces fonts, je les efface
du tiroir... C'est tout.
Mais vous fournir 200 fonts suppl
mentaires n'est pas le seul avantage de
ce CD-ROM.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Si suffisamment de contributions sont renvoy
es, il est pr
vu qu'il sorte
un FreshFonts volume 2, un FreshPictures et un FreshModules. Int
ressant,
n'est-ce pas? D'une qualit
et d'une pr
sentation professionnelles, ce CD-
ROM ouvre une nouvelle
re dans la distribution. Du point de vue technique,
l'int
t du FreshFonts est ind
niable. Le fait d'avoir les m
me fontes
disponibles sous plusieurs formats permet, enfin, d'avoir les m
critures entre les diff
rents logiciels utilis
s ( par exemple SCALA,
ADPro, LightWave, PageSetter, FinalCopy, Word, ...). Ce qui est id
al pour
une uniformisation de vos pr
sentations papier, vid
o, 3D, etc...
Avoir
sa disposition autant de polices de caract
res de qualit
facilement accessibles gr
une documentation bien pens
e, est un
avantage d
cisif si vous h
sitez encore
payer votre contribution.
J'ai, pour ma part,
totalement s
duit par ce CD-ROM, tant par son
contenu que par son mode de distribution, et je vous le conseille sans
aucune retenue.
@{fg shine}Fran
ois Gastaldo
Secr
taire du BUGSS@{fg text}
@{fg shine}L e s a l
a s d u 9 6 6 0 N i v e a u 1
Quand il faut souffrir avec les PCistes@{fg text}
Le CD-ROM LightRom de Fred Fish est bien dans la lign
e des autres
productions "Amiga Library Service", et les habitu
s y trouveront
instantan
ment leurs marques. C'est-
-dire les fichiers CrcList (liste de
tous les fichiers du disque + leur CRC), le DirList (liste des r
pertoires
du disque) le FileList (liste des fichiers) et le AMIGALIB.mk, pour refaire
le CD-ROM
partir des utilitaires disponibles sur la s
rie FreshFish.
En g
ral, le fichier CrcList est essentiel
la recherche d'un fichier
dont on ne conna
t ni le nom ni l'emplacement sur le disque. Il suffit pour
cela de lancer la recherche de mot (/) dans le fichier
l'aide de MORE (ou
Muchmore, ppmore, etc...), de taper un mot correspondant
peu pr
que l'on veut , et alors s'affichent les noms de fichiers, avec leur
chemin, contenant ce mot.
Exemple: je cherche un objet repr
sentant un clavier, je tape
"/keyboard", More m'affiche alors le premier fichier qu'il trouve avec
"keyboard", par ex.:
"Lightwave/Piano/pianoKeyboard.LW", s'il ne me pla
t pas, je tape sur la
touche 'N', et j'ai les suivants, par exemple :
"IMAGINE/Computer/ComputerKeyboard.Imagine".
Si c'est celui que je cherche, il n'y a qu'
aller le charger.
las, cela ne marche pas avec le LIGHTROM, car il est au format ISO 9660
Level 1. J'explique...
Le format ISO 9660 est la norme d'enregistrement de donn
es informatiques
sur Compact Disque. Cette norme a
dans le temps et compte trois
niveaux (level): le 1, le 2 et ... le 3. Les 2 et 3 permettent d'avoir des
noms de fichiers de 30 et 31 caract
res. Le Level 1, le plus standard, est
limit
des noms de fichiers de 8 caract
res plus 3 extensions ( comme MS-
DOS, c'est le fameux 8.3). Donc aucun nom ne d
passe huit lettres sur le
LIGHTROM, ce qui implique que la plupart sont des abr
viations du genre
STAINGLS ou encore FRENCHWD.IFF. La recherche par nom devient de ce fait
s difficile, car il est impossible de conna
tre l'abr
viation choisie
pour le nom recherch
Ce n'est pas le seul inconv
nient de cette restriction. Les ic
nes de
fichiers Amiga doivent se terminer obligatoirement par ".info", ce qui est
impossible en ISO 9660 level 1. Donc pas d'ic
ne sur le LIGHTROM (m
me si,
parfois, on trouve certains fichiers se terminant par ".INF", reste du
".info"). Un avantage, par contre, est le fait que ce CD sera lisible sans
probl
mes sur plate-forme MS-DOS ou UNIX; tr
s utile lorsque Lightwave sera
disponible pour ces ordinateurs.
@{fg shine}O b j e t s " u s u e l s " e t o b j e t s " d
c o r a t i
f s "@{fg text}
Depuis plusieurs ann
es que je vois des objets Domaine Public, j'ai
appris
les classer en deux cat
gories: ceux que l'on peut r
utiliser dans
nos propres oeuvres, et les autres, purement d
coratifs. Les premiers
sentent tr
s souvent des objets usuels, dont la forme varie peu. Ils
sont tr
s utiles car il ne sert
rien de refaire un objet si on a le m
tout fait
notre disposition. Les seconds sont souvent
normes, et ne
sont utiles que si quelques explications sur les m
thodes de mod
lisation
d'une telle chose l'accompagnent.
Le LIGHTROM de Fred Fish pr
sente la tr
s int
ressante particularit
comprendre environ 80% d'objets usuels et seulement 20% de gros objets
coratifs. De plus, ces objets ont souvent une tr
s bonne qualit
, tant du
point de vue 3D que d
finition de la surface. Ce dernier point est
d'ailleurs particuli
rement bien soign
pour la plupart d'entre eux. Non
seulement les textures et surfaces sont tr
s bien param
es, mais il
n'est pas rare de trouver aussi un objet accompagn
de ses mappings IFF.
Les quelques objets "blancs", c'est
dire aux surfaces non d
finies, sont
tout de m
compos
s en plusieurs parties ayant chacune leur nom de
surface pr
tre param
Attention toutefois, lorsque vous leur donnez un aspect, ou que vous
modifiez une surface d
e, n'oubliez pas de copier l'objet sur votre
disque dur avant cette op
ration. Sinon, lorsque vous tenterez de
sauvegarder l'objet modifi
, vous tomberez immanquablement sur le message
me qui vous rappelle que l'on ne peut pas
crire sur un CD-ROM ("le
volume LR_V1.0 est prot
criture"...). On perd alors l'int
d'utiliser directement l'objet depuis le CD.
@{fg shine}Fran
ois Gastaldo@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aImagina " Imagina (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I m a g i n a ' 9 5
L'Apr
s Amiga@{fg text}
Comme tous les ans en f
vrier, le @{"salon IMAGINA" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Imagina.8bt"},
Monte-Carlo, est
l'occasion de faire le point sur le monde de l'image de synth
Cette ann
e plus que les autres, l'
nement se voulait uniquement
professionnel. Les moyens pour y arriver
taient l'augmentation du prix
d'entr
e et l'interdiction aux
tudiants de moins de vingt ans et de plus
de vingt-six. Pourtant, cet aspect "haut-de-gamme" ne se refl
tait pas du
tout sur les stands. On parlait partout de baisse de prix, de l'entr
e en
force de la 3D dans le monde ludique, et de logiciels accessibles
(presque) tous.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Malgr
cela, IMAGINA reste LE salon Silicon Graphics (SGI). Cette soci
est actuellement le leader absolu dans le domaine de l'ordinateur
graphique. Qui plus est, les pr
visions sont plus qu'optimistes, notamment
un accord avec Nintendo (qui pr
tend produire des puces graphiques
haut de gamme en quantit
normes et pour un prix d
risoire...).
Silicon Graphics se permet, fait exceptionnel, de faire un "d
calage de
gamme" en proposant, pour le m
me prix, d'inclure la technologie de la
gamme sup
rieure dans toutes ses stations. Ainsi la nouvelle Indy (pour
36000 F) reprend maintenant l'
lectronique de l'Indigo 2!
Juste
titre d'indication, pratiquement toutes les Silicon pr
sentes sur
le salon
taient gracieusement pr
es par SGI (plus d'une cinquantaine).
Le stand SGI refl
tait cette opulence, en se permettant d'
tre enti
rement
consacr
aux jeux.
Les t
nors du logiciel 3D baissent aussi leurs prix. Plus que 200
kiloFrancs pour Wavefront... Cela reste tr
s cher. En fait, les logiciels
d'images de synth
se peuvent se classer en quatre cat
gories.
@{fg shine}Les hauts de gamme sont aux nombre de trois@{fg text}
Ce classement tient compte du prix et uniquement du prix:
1- ALIAS est le plus cher. Ses r
rences sont Jurassic Park, The Mask...
etc. Ce logiciel est une pure merveille avec fum
e, effet d'optiques,
matique inverse (bones ET skin (en fran
ais: gestion des os et de la
peau du mod
le)), num
risation de mouvement, POILS et cheveux
(exceptionnel!), particules, historique, etc... Le tout tr
s simple
d'emploi.
Softimage, une filiale de Microsoft depuis peu, est probablement le plus
pandu. Le logiciel de base est tr
s puissant, mais le module de calcul
part, et on est oblig
de le booster
coup d'extensions pour arriver
au niveau d'Alias.
Wavefront, qui a absorb
TDI Explore (en fait la soci
Wavefront a
rachet
Explore, mais, au niveau soft, on a l'impression que Explore est en
train d'avaler Wavefront (bonne digestion...)), reste en troisi
position.
2- Viennent ensuite les milieux de gamme, dont fait partie 3D-Go de
Electro GIG, un logiciel tr
s original. Font aussi partie de cette classe
toute une quantit
de logiciels gravitant autour des "gros" (painter 3D,
digitaliseurs de mouvements, g
ration d'objets, etc...).
3- Plus proche de nous, les "bas de gamme", au prix inf
rieur
30 000
Francs. La plupart tourne sur micro-ordinateur (dont Amiga). On les voit de
plus en plus d
barquer sur station...
4- La derni
re classe, que j'appellerai les "petits" logiciels,
correspond aux logiciels dont le prix est inf
rieur
5000 Francs (Volumm
4D, par ex.). Ces derniers n'
taient, h
las, pas du tout pr
sents
Imagina.
@{fg shine}C
t e c h n i q u e , i l e n v a t o u t a u t r e m
e n t@{fg text}
Cette ann
e ne fut pas le th
tre d'une r
volution au niveau des softs.
Tout au plus quelques
volutions, mais pas de fonctions absolument
nouvelles (mis
part les poils d'Alias). Car l'
cart entre les "gros" et
les "petits" se resserre de mani
re impressionnante. De plus, les "petits",
s dans un univers tr
s concurrentiel, sont oblig
s d'innover pour
survivre.
Ainsi les "Lens Flare" (en fran
ais effets d'optiques, d'aberrations d
aux lentilles des objectifs) sont d'abord apparus sur micro, gr
Lightwave, sur l'Amiga.
En fait, le v
ritable changement cette ann
e, ce n'est pas, comme le
disent les organisateurs d'IMAGINA, l'"Ere Cyber", ni Internet (dont on
parle dans AmigaNews depuis le num
ro 1), ni les "communaut
s virtuelles"
ou autres d
lires dont P. Qu
au a le secret. Non, c'est que, maintenant,
les micro-ordinateurs ont autant d'importance que les stations dans l'image
de synth
sormais, il faudra compter avec nous.
L'Amiga est
l'origine de cela, car il fut le premier
proposer des
logiciels de grande qualit
. Mais, maintenant que Commodore (sic) n'est
plus l
, qu'en reste-t-il?
"L'Amiga est mort, vive l'Amiga" pourrait
tre le r
d'IMAGINA 1995.
Depuis qu'il n'est plus produit, l'Amiga n'est plus un concurrent, et les
langues se d
lient. Il n'y a plus aucune honte
travailler sur cette
machine, ni
en parler.
Et, encore une fois, l'esprit de l'Amiga
tait partout! Pas un stand, pas
une personne sur le salon qui n'ait pas travaill
dessus au moins une fois.
Et les gens ne tarissent pas d'
loges: IBM nous a vant
les m
rites de
l'AmigaDos et d'Intuition, Electro-GIG nous expliquait comment ils cr
aient
leurs textures sur Amiga "car c'est plus facile", les d
monstrateurs
SoftImage nous racontaient leurs d
buts sur Lightwave et Imagine, Alias
nous a montr
que leur painter
tait plus mauvais que TVPaint, CFE nous
disait qu'ils avaient r
ussi leurs cartes graphiques en s'inspirant de
l'Amiga "qui est un des syst
mes les mieux pens
s", etc., etc... Sans
compter l'omnipr
sent, et souvent hypocrite, "dommage qu'il n'existe plus".
@{fg shine}L e s v i s i t e u r s a u s si@{fg text}
En voyant nos badges AmigaNews, les visiteurs n'h
sitaient
venir nous
parler de leur exp
rience avec cette machine. Surtout ceux d'outre-
Atlantique, o
il semble absolument impossible de faire de l'infographie et
de la vid
o sans toucher un Amiga. Nous avons aussi eu droit
quelques
moignages de personnes utilisant Lightwave et le bo
tier acc
rateur
"RAPTOR". Leur description m'a fait crev
d'envie...
Mais, m
me si l'Amiga ne remonte jamais la pente, il restera une chose
unique dans le monde de la micro-informatique: l'esprit Amiga. Nous n'avons
vu aucune personne se prendre au s
rieux en parlant de notre machine.
L'Amiga
tait une machine faite pour s'amuser
er, et ses
utilisateurs ont la ferme intention de continuer
clater. Sans compter
ration de f
s que notre machine a produite (certains se
reconna
tront...). On reconnait un utilisateur Amiga aux questions qu'il
pose aux d
monstrateurs: "et pendant qu'il calcule, je peux faire autre
chose?...", "en cas de plantage, on perd tout?...", "et si je mets du
shmurtz dans le blob,
a fait quoi?...", etc... Bref un v
ritable calvaire
pour les stands...
@{"L e p r i x P I X E L - I N A" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Prixpixel.16c"}
Il rendit, lui aussi, hommage
notre d
funte machine. Quatre films
lectionn
taient r
s avec. Dans la cat
gorie G
rique il y avait
"L'oeil du Cyclone" pour Canal + par FARRAH de Storm Media Production. Dans
la cat
gorie fiction, "Histeria de Amor", film colombien r
avec
Lightwave sur A2000 portait nos couleurs haut et fort. Dans la cat
gorie
Ecoles et Universit
les Beaux-Art de Tournai pr
sentaient deux films
exceptionnels: "J'ai
une am
ricaine", r
avec deluxe paint en 2
couleurs, nous rappelait qu'un film, c'est avant tout un sc
nario. "The
American Patrol", r
avec Imagine,
tait une pure merveille.
Ceci dit sans parti pris. D'autant plus que l'on conna
t la difficult
faire de tels films sur Amiga (qui, je le rappelle, n'est pas une SGI).
D'ailleurs lors de la projection du g
rique de "The American Patrol",
l'apparition de la phrase "r
sur Amiga 2000" a provoqu
un tonnerre
d'applaudissements.
Le vote du public r
compensa nos valeureux d
fendeurs: "L'oeil du
cyclone" troisi
me de sa cat
gorie et "The American Patrol" deuxi
Bravo!
Petit d
tail,l'Amiga 2000, deuxi
IMAGINA 1995, est sorti en 1987!
Mais IMAGINA n'est-il pas l'occasion de voir quelles sont les possibilit
de reconversions disponibles?
@{fg shine}P l u s i e u r s s o l u t i o n s@{fg text}
La plus raisonnable du point de vue performance et video est sans
conteste un PC-Pentium (32 Mo RAM + 2 Giga DD)
d'une carte PAR, avec
comme logiciels TV-Paint, SCALA et Lightwave (ou, en attendant, True-
Space/Caligary), le tout sous Windows-NT. Certes, on arrive
une ardoise
peu pr
s 50 000 Francs. Mais c'est dans le m
me ordre de prix qu'une
station Amiga avec le m
me equipement. Et c'est moiti
moins cher qu'une
configuration
quivalente sur SGI (bien que celle-ci soit au bas mot deux
dix fois plus rapide et puissante...).
Mais on ne peut pas tous mettre autant d'argent dans nos micros. La
solution la plus raisonnable alors semble etre un PC (486 DX 66, 16 Mo de
RAM et 1 Giga de disque dur minimum) avec une bonne carte graphique, un G-
Lock, et toujours les m
mes logiciels. A l'achat (veillez m'excuser, mais,
depuis que je cotoie le monde du PC, je n'ai jamais vu quelqu'un acheter un
soft et 3DStudio, le "standard" de la 3D sur PC est seulemeent diffus
moins de 30 000 exemplaires dans le monde!) il faut d
bourser environ 20
30 000 francs.
En fait, c'est le minimum du minimum comme configuration. Il est
absolument impossible de faire quelque chose avec moins dans le monde PC.
alors, on s'expose
des plantages tr
quents, et
des "swaps"
disque dur incessants...
Vous avez remarqu
que je n'ai pas parl
Macintosh. Les seuls logiciels
disponibles dessus ne sont pas assez puissant par rapport
ce que l'on
connait sur Amiga, sans parler du prix...
Et tous ceux qui ne peuvent investir autant, ceux qui ont achet
un A600
moins de 1000 Francs et qui font des choses merveilleuses avec DPaint? Et
ceux qui ont achet
un A1200 et qui font de la 3D pour moins de 7000
Francs, achat des logiciels compris? Et bien, pour eux, il n'y a qu'une
solution: gardez votre Amiga! C'est une machine qui marche tr
s bien, avec
de tr
s bons logiciels. Prenez en soin, car, avant de retrouver une
nouvelle machine aussi performante dans cet ordre de prix, il faut
attendre.
Cette ann
e encore, IMAGINA nous a permis de voir ce qui se fait de mieux
en image de synth
se, et pour une fois, de d
couvrir quelques solutions
des prix presque abordables. Les pr
cisions techniques se trouvent dans
l'article par
Pascal Rullier.
Il est bien dommage que l'Amiga n'existe plus, car il est enfin acc
sa juste valeur par tous, et j'esp
re que l'ann
e prochaine, on en parlera
encore...
@{fg shine}Fran
ois Gastaldo
secr
taire du BUGSS
Organisateur de l'"IMAGINA du pauvre"
Le Forum de la Simulation et de l'Image Informatique.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE atrapfax " TrapFax (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T r a p F a x
Le Fax transparent@{fg text}
@{"Trapfax" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Trapfax.8bt"} est, comme vous pouvez vous en douter, un logiciel vous
permettant, si vous poss
dez un modem capable d'envoyer et de recevoir des
FAX (compatible avec les normes V29), de recevoir ou d'envoyer des
copies avec votre Amiga.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Con
u par un
minent sp
cialiste des t
communications sur Amiga -
Martin Laubach -, programmeur du logiciel Trapdoor (gestion des appels
automatiques pour Fidonet), ce logiciel se diff
rencie de ses concurrents
par quelques particularit
s ergonomiques assez remarquables.
Le concept repose sur un ensemble de modules qu'on peut lancer s
ment
en fonction des op
rations que l'on veut effectuer. Chacun de ces modules
peut
tre activ
d'un simple clic de souris. Ne nous
tendons pas sur la
dure d'installation qui est simple et rapide gr
l'utilisation du
Installer de feu Commodore. La documentation en anglais est bien
ue et permet
l'aide d'exemples de vite se familiariser avec Trapfax.
Cependant, la simplicit
d'utilisation de ce logiciel rend l'usage de la
documentation presque inutile.
@{fg shine}R
c e p t i o n d e t
c o p i e@{fg text}
Si vous d
sirez recevoir un Fax sur le champ ou faire de votre Amiga un
copieur en attente en permanence, il vous suffit de d
marrer le module
ception automatique et celui-ci se lance en t
che de fond, sans
qu'aucune fen
tre n'apparaisse. Transparence totale. Si un appel arrive,
une petite fen
tre de contr
le s'affichera sur votre Workbench et vous
renseignera sur l'
tat de la r
ception.
Pensez tout de m
allumer votre Modem-Fax. Lorsque la transmission
sera termin
e, la fen
tre dispara
tra aussi vite qu'elle
tait apparue.
Vous pourrez alors v
rifier dans le r
pertoire "r
ception" si de nouvelles
nes s'y trouvent. Un clic sur l'ic
ne du Fax re
u ouvrira une fen
tre de
visualisation qui vous permettra de visionner la t
copie, d'effectuer des
zooms, de sauvegarder sous forme d'image IFF ou de faire du copier-coller
dans le presse papier (ram:t). Il n'y a pas de module de reconnaissance de
caract
res fourni.
Le logiciel
tant livr
avec un datatype Fax (gestionnaire de type de
fichier pour le Workbench), vous pourrez aussi visionner vos t
copies
avec le logiciel Multiview, livr
en standard avec le Workbench 3.0 et 3.1.
@{fg shine}E m i s s i o n d ' u n e t
c o p i e@{fg text}
La proc
dure est similaire et tout aussi transparente pour le syst
me. On
active l'ic
ne "impression Fax" et le gestionnaire en question s'active
comme t
che de fond. Une petite fen
tre vous informe que tout ce que vous
imprimerez dor
navant sera intercept
par Trapfax. C'est alors qu'il faut
marrer son traitement de texte favori (test effectu
avec Final Writer),
taper sa lettre, lancer l'impression en mode graphique et ce, en
lectionnant la qualit
maximum. C'est au moment de valider l'impression
que le gestionnaire Fax entre en action. L'
cran du Workbench est remis en
avant-plan automatiquement et une fen
tre appara
t, dans laquelle vous
pouvez s
lectionner dans le r
pertoire t
phonique le num
ro du
destinataire. Une fois le num
ro choisi, un clic sur OK et le logiciel
envoie la t
copie. Avant de valider l'envoi, vous pouvez visualiser la
copie telle qu'elle sera re
ue par le destinataire en cliquant sur
"view".
Il est ici aussi possible d'effectuer des mailings en s
lectionnant
plusieurs num
ros de destinataires dans l'annuaire. Il n'y a pas de limite
au nombre de destinataires, il suffit de cliquer dessus dans la liste pour
les s
lectionner.
Lors d'un mailing, si le t
copieur du destinataire sonne occup
Trapfax passe au num
ro suivant et tente ensuite
nouveau d'appeler les
ros qui n'ont pas fonctionn
la premi
re fois. Et si vous lancez un
mailing de nuit, vous pourrez toujours consulter le lendemain le fichier
"trapfax.log" qui vous informera sur tout ce qui a pu se passer.
@{fg shine}F o n c t i o n n e m e n t m o d u l a i r e@{fg text}
Trapfax permet
l'utilisateur une grande souplesse d'utilisation. Par
exemple, lorsque vous avez s
lectionn
l'ic
ne d'
mission de t
copies,
toutes les impressions en mode graphique provenant de votre traitement de
texte sont automatiquement redirig
es et sauvegard
es sous forme de fichier
Fax dans le r
pertoire "outgoing" (
envoyer). D
s que l'envoi est effectu
avec succ
s, le fichier Fax est d
du r
pertoire "outgoing" vers le
pertoire "sent" (envoy
). Tant que des fichiers Fax se trouvent dans le
pertoire "outgoing", Trapfax tente de les exp
dier
leur(s)
destinataire(s). Si vous voulez envoyer une seconde fois un Fax au m
destinataire, il vous suffit de d
placer avec la souris l'ic
ne du fichier
concern
de "outgoing" vers "sent" et l'envoi se lance
nouveau
automatiquement. Pour envoyer le m
me fichier
un autre destinataire, on
peut changer le num
ro d'envoi en s
lectionnant l'ic
ne et en choisissant
"information" dans le menu "ic
nes" du Workbench. Le num
ro se trouve dans
les tooltypes et peut
tre facilement mis
jour.
Seul inconv
nient de ce genre de syst
me: on ne peut pas signer les
lettres qu'on envoie. Il existe une solution
ce probl
me. Trouvez un
copieur, imitez votre propre signature et envoyez-vous-la par Fax sur
votre Amiga. Il vous suffira ensuite de convertir l'image re
ue au format
IFF et d'importer celle-ci dans votre traitement de texte... Il fallait y
penser, un Fax peut aussi servir de scanner 200 DPI...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Ce logiciel est disponible chez Village Tronic en Allemagne
l'investissement et vaut la peine. Ancien utilisateur de GPFax, c'est
Trapfax qui l'emporte sur mon Workbench.
@{fg shine}Gilles BOURDIN@{fg text}
Distributeur:@{fg shine} Village Tronic@{fg text}
Prix :@{fg shine} 198 DEM@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aInfonexus " InfoNexus (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I n f o N e x u s
Un petit jumeau de DirectoryOpus@{fg text}
A n'en point douter, InfoNexus est un gestionnaire de fichiers calqu
sur
DirOpus. Mais il lui manque un petit quelque chose pour pouvoir l'
galer,
tout en sachant qu'il le d
passe sur certains points.
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
La jolie bo
te avec la photo d'un extra-terrestre (
moins que ce ne soit
le programmeur) contient un manuel de 50 pages et une disquette. Sur celle-
ci, une ic
ne "standard" informe notre oeil que l'installation se fait par
Installer. Lors de l'installation on apprend qu'InfoNexus est pr
vu pour
fonctionner avec Envoy. Autrement dit, il supporte l'utilisation d'un
seau local, ce qui est assez original. Mis
part cela, l'installation
brille par sa simplicit
et l'on peut sans tarder lancer InfoNexus.
@{fg shine}T o p d
p a r t@{fg text}
Au d
marrage, InfoNexus offre @{"un
cran en Double-Pal" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Infonex.16c"} divis
en deux
parties verticales identiques pr
vues pour recevoir le contenu de deux
pertoires. En cherchant, on trouve vite qu'il est possible de configurer
le mode d'affichage gr
un requester "custom" - comme d'ailleurs le
reste de l'interface qui est tr
s sobre. Les menus apparaissent sous le
pointeur ce qui permet, une fois qu'on s'y est habitu
, d'aller plus vite
pour acc
der aux diff
rentes options.
En cliquant dans une des fen
tres, un requester appara
t, proposant de
chosir une unit
parmi celles qui existent sur le syst
me, que ce soient
des unit
s physiques ou des assigns. Une fois que l'on a choisi les deux
pertoires sur lesquels on d
sire travailler, il suffit de cliquer sur les
fichiers ou sur un gadget pour voir, entendre, copier, renommer, effacer,
etc... les fichiers. La palette des formats reconnus par InfoNexus est
impressionnante : programmes, ic
nes, texte, fontes, fichiers CDXL, Modules
MED & ProTRACKER, images IFF, fichiers d
crits par un datatype du syst
3, fichiers compact
s avec XPK ou PowerPacker, etc... Un double-clic suffit
pour afficher un fichier, ou par exemple pour obtenir la liste d'une
archive LHA. InfoNexus est annonc
"OS legal", c'est
dire 100% compatible
avec le syst
me, ce qui rend certaines op
rations lentes, comme l'affichage
d'images en 256 couleurs. En effet un
cran intuition est ouvert, et
a se
sent. Mais au moins les risque de planter l'Amiga avec InfoNexus sont
minimes.
L'aide en ligne est dr
lement pratique, car il n'est pas utile de se
reporter au manuel si l'on oublie l'utilisation de telle ou telle fonction;
de plus, des liens hypertexte dans les diff
rentes aides permettent de
trouver exactement ce que l'on cherche sans avoir
lire des tonnes de
docs. A propos du manuel, il est tr
s clairement fait, comporte de
nombreuses photos d'
crans, mais h
las, est en anglais. InfoNexus est d'un
maniement assez intuitif, le recours
l'aide sera donc rare pour les
"confirm
InfoNexus apporte la fonction tr
s int
ressante du support d'un r
seau
local. Gr
cela, on peut acc
der aux unit
s des autres machines,
discuter avec un autre utilisateur ou m
me envoyer du courrier. Sur ce plan
, il faut admettre qu'InfoNexus rendra de grands services
ceux qui
travaillent en r
seau.
Enfin InfoNexus se devait d'
tre souple pour pouvoir concurrencer DirOpus;
c'est pourquoi il est possible d'ajouter des commandes "Utilisateur"
(scripts AmigaDOS ou ARexx) accessibles par un simple clic de souris. C'est
s pratique pour cr
er des fonctions sp
ciales! De plus, on peut
communiquer aux scripts de nombreux renseignements comme le nom des
fichiers que l'on a s
lectionn
s, ou le r
pertoire dans lequel on se
trouve, etc... En fait, le seul reproche que je ferais
l'encontre de
Nexus, et c'est la seule chose qui pour moi le place derri
re Opus, c'est
qu'on ne peut pas configurer de nouvelles fonctions sous forme de boutons
ou de menus accessibles directement. Mais en fait, c'est un faux probl
puisque les fonctions sont dispos
es dans une fen
slider et donc sont
aussi accessibles que des gadgets s
s. Mais quand on est familliaris
avec DirOpus, que c'est dur de changer...
@{fg shine}Les +:@{fg text} Le nombre fantastique de fichiers reconnus; les possibilit
de cr
ation de fonctions sp
cifiques; la gestion du r
seau local et
l'apport de fonctions sp
ciales (chat, mail)
celui-ci; les petits trucs
sympas comme l'affichage des r
pertoirs vides, ou le fait que le nom des
fichiers ne soit pas
si l'on scrolle les fen
tres des r
pertoires de
lire les commentaires des fichiers;
@{fg shine}Les -:@{fg text} Les modules sonore ne sont pas jou
s en multit
che; la
configuration de l'
cran est limit
e au strict minimum: mode d'
cran,
palette par d
faut ou du workbench - impossible de choisir la fonte de tel
ou tel
ment, ni la couleur de telle ou telle partie de l'
cran.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
InfoNexus est un redoutable concurrent de DirectoryOpus, et le d
passe
sur un certain nombre de points (que je n'ai pas trop d
velopp
s pour ne
pas faire un article ressemblant
la liste exhaustive des fonctions du
logiciel). Si vous avez d
Opus, le passage
Nexus n'est pas
vident.
Par contre, si vous cherchez un gestionnaire de fichiers, il vous faudra
rieusement r
chir avant de choisir! InfoNexus est un excellent produit
qui m
rite d'
tre soutenu surtout en ces temps difficiles pour l'Amiga o
les programmes se font rares. Bref achetez-le si vous en avez besoin, je ne
crois pas que vous le regretterez.
@{fg shine}Laurent CAMARASA@{fg text}
Editeur: @{fg shine}Optonica (GB)@{fg text}
Prix : @{fg shine}29.95 livres@{fg text}
@ENDNODE
@NODE aimfx " ImageFX v2.0 (04-78)"
@TOC MAIN
@{fg shine}I m a g e F X 2 . 0
Faites des
tincelles avec votre Amiga@{fg text}
ADPro, ImageMaster et les autres n'ont qu'
bien se tenir, voici la
version 2.0 d'ImageFX... De nombreuses nouvelles fonctions ont
incorpor
es. Ce logiciel permet le chargement, la retouche, le traitement,
le morphing et la sauvegarde d'une ou d'une s
rie d'images.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
La bo
te comprend quatre disquettes et un imposant manuel en anglais. Le
programme Installer permet l'installation des 5.5 Mo de donn
es sur votre
disque dur. ImageFX peut avoir plusieurs pr
sentations possibles: sur le
Workbench, avec ou sans fen
tre de preview, ou sur son propre
cran. De
nombreux programmes sont fournis dans le paquetage: Cinemorph, IMP, AutoFX,
BuildMPEG,... C'est une @{"nouvelle version de Cinemorph" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Imfx1.256"} qui a
inclue. On
peut, par exemple, maintenant visualiser les images en couleurs dans les
tres. Le programme @{"AutoFX" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicAVRIL/Imfx5.16c"} permet d'effectuer un traitement en s
d'images. Il a la m
me fonction que ProControl pour ADPro.
@{fg shine}U t i l i s a t i o n@{fg text}
L'interface n'a pas beaucoup chang
depuis la version 1.5 et le concept
est rest
le m
Contrairement
ADPro la m
moire est avec ImageFX allou
e dynamiquement,
moire virtuelle est g
e en interne. Il est aussi possible de mettre
plus de deux images en m
moire et leur gestion est beaucoup plus intuitive
qu'avec ADPro. Un undo (d
faire)
niveaux multiples permet tous les
essais possibles. De nombreuses fonctions de dessins sont l
pour compl
ce logiciel. Les pr
rences permettent le r
glage des diff
rents
param
tres, comme les choix du module de pr
visualisation (Amiga, Amiga-
AGA, SuperAmiga, DCTV, HAM-E, Firecracker, IV-24, OpalVision, Retina_WB et
Workbench), du module d'acquisition (PP&S Frame Grabber, IV24, V-Lab,
Scanner Epson et Sharp JX-100), du module d'impression (Prefs, PostScript,
Primera, Color Separations), du module de rendu (Amiga, DCTV, EGS,
@NODE myDracoalpha " DRACO Une carte Alpha (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}D R A C O U n e c a r t e A l p h a@{fg text}
Lors de la premi
re pr
sentation officielle en avril au salon NAB
Las
Vegas, le clone compatible Amiga-OS a subi quelques am
liorations. Il
acquiert une troisi
me connection avec un bus direct o
une carte bient
base de coprocesseur Alpha-RISC de chez DEC (330 MIPS) pourra se
loger. De plus,
la demande g
rale, il est pourvu d'un contr
leur de
disquettes 1.6 Mo (1.44) et 3.2 Mo (2.88). M
me un port parall
haute
vitesse vient d'
tre implant
pour des transferts de 5 MBit/s.
Un CD-ROm de la soci
Elastic Reality (anciennement ASDG) comprenant
Art Department Professional, MorphPlus et Professional Conversion Pack
(avec tous les
mulateurs scanner Epson, HP et Sharp en version am
est offert gratuitement avec. Le prix n'a pas chang
depuis le mois dernier
: 6000 DM pour un syst
me 68060 50 MHz, un lecteur MultiSpeed CD-ROM, 4 Mo
de RAM, 4 Mo de RAM graphique, le paquet ADPro, la Retina-DraCo, le tout en
tower grande taille. MacroSystem.
@ENDNODE
@NODE myMacemul " MAC Nouvel
mulateur (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}M A C N o u v e l
m u l a t e u r@{fg text}
On a cru
un poisson d'avril quand est apparue le premier du mois
l'annonce d'un
mulateur SOFT
100% MAC II couleur et multit
che en
shareware.
de ne pas le faire dans ce num
ro mais pris par le temps, nous
testerons Shapeshifter le mois prochain.
Les caract
ristiques techniques ressemblent
Emplant ou Amax, sauf qu'il
n'y a pas besoin de carte comme pour ces derniers. Par contre, si vous
dez une carte Emplant, Shapeshifter en profite en utilisant ses ports
On pourrait presque dire que Shapeshifter est une version d
plomb
e de
mulation Emplant qui fonctionne sur tous les Amiga
s au moins d'un
68020 et profitant des cartes graphiques (y compris Cybergraphics) qui y
sont install
es. Il n
cessite une image ROM Macintosh de 512K ou 1Mo pour
fonctionner. L'auteur indique clairement que si vous utilisez le petit
utilitaire fourni pour copier une ROM Mac sur disquette, vous ne pourrez
pas utiliser le MAC source et l'Amiga
mulant en m
me temps pour des
raisons de copyright
videntes...
La version d
mo ne supporte pas de disques durs physiques (uniquement des
fichiers disques sur des partitions Amiga) et n'offre pas de support CD
@{fg shine}Pour obtenir tout cela, il suffit d'envoyer 50 marks allemands
Christian Bauer, Langenaustrasse 65, 56070 Koblenz, Allemagne. Email cbauer
@mzdmza.zdv.uni-mainz.de@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myCybergraph " Cybergraphics (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}C y b e r g r a p h i c s
On avance@{fg text}
La derni
re mouture du syst
me d'affichage Cybergraphics inclut le
support pour deux nouvelles cartes. Sont maintenant support
es les Domino,
Picasso II, Piccolo, Piccolo SD64, GVP Spectrum, Retina, Retina ZIII, et
bien s
r la future carte Cybervision, non encore disponible. Une mention
ciale pour la Domino: cette carte peut maintenant fonctionner avec le
Workbench 3.1. Il suffit de remplacer l'
mulation d'origine par
Cybergraphics. Peu ch
re mais ayant des performances tout
fait
respectables, cette carte redevient subitement int
ressante pour les petits
budgets. Note finale: la prochaine carte qui sera support
e est la A2410 de
Commodore. Souvenez-vous, c'est la seule carte graphique que Commodore ait
jamais sorti pour l'Amiga et elle ne fonctionnait que sous UNIX. J'en
connais qui vont
tre contents...
Rappelons que Cybergraphics est un projet de remplacement des drivers de
cartes graphiques Amiga. D
velopp
par les anciens de Village Tronic, ce
me est plus performant et compatible que les
mulations d'origine des
diverses cartes. Il permet en outre d'afficher le Workbench en milliers et
millions de couleurs. Enfin, un logiciel exploitant Cybergraphics pourra
fonctionner sur toutes les cartes graphiques Amiga.
@{fg shine}En shareware, Cybergraphics co
te 50 DEM, la version actuelle
valuation (40.46) est disponible sur Ramses BBS (53 79 11 99).@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myPaws " PAWS (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}P A W S@{fg text}
La soci
ricaine @{"Silent Paw Productions" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Paws1.8bt"} annonce la sortie prochaine
de son Portable Amiga Workstation (PAWS).
Un prototype a vu le jour au Toaster Expo
Los Angeles, mais depuis les
cifications ont compl
tement chang
et les prix ont baiss
. Les dessins
ci-dessus montrent le @{"PAWS 600 /1200" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Paws2.8bt"} et le @{"PAWS 3000/4000" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Paws3.8bt"}.
Ce dernier est
d'un
cran r
glable et d'un clavier s
. Il
conserve les connecteurs Zorro III et se replie apr
s utilisation. Le PAWS
600 ressemble un "laptop", tandis que le 1200 est plus grand mais tr
similaire. Aucun prix n'a
Les PAWS seront vendus par des distributeurs dans chaque pays. Les kits
comporteront la carroserie avec
cran
cristaux liquides de type actif ou
passif, trackball, alimentation et batterie. Le prochain projet de SPP est
un vrai notebook Amiga qui s'appellera le Lynx.
@ENDNODE
@NODE myAvancedem " Avanc
nage (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}A v a n c
e d
n a g e@{fg text}
Voici les nouvelles coordonn
es d'Avanc
e: 18/20 rue Claude Tillier,
75012 Paris (3
tage droite), m
tro Reuilly-Diderot, t
phone (1) 43
72 07 07, FAX (1) 43 72 59 87.
Avanc
e annonce la prochaine disponibilit
de la troisi
me version de
Real3D. Les utilisateurs enregistr
s recevront une proposition de mise
jour (voir aussi les pages de news allemandes).
@ENDNODE
@NODE myVitepro " Imagine v3.2 et Aladdin 4.0 chez VitePro (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}I m a g i n e v 3 . 2 e t A l a d d i n 4 . 0 c h e z V i t
e P r o@{fg text}
La version 3.2 d'Imagine sur Amiga et PC est disponible au prix de 1000F
pour les utilisateurs enregistr
s qui ont souscrit le "Constant Upgrade".
Nouvelles possibilit
s d'affichage, affichage des images de fond en 32
gammes de gris pour IFF/TIFF/TGA/Anim5 ou anim FLC. En cr
ant une
animation dans le Detail ou Stage Editor, on peut naviguer entre les pages
pour en v
rifier le temps. De m
me, il est possible de param
trer 25
fonctions. Il y a une nouvelle commande "Smooth" pour lisser les courbes
facilement et rapidement, et surtout de nombreux bugs r
La nouvelle version enti
rement remani
e d'Aladdin4D permet entre autres:
configuration de l'
cran d'
dition, de preview et de rendu; s
paration de
la taille de l'image et de celle du preview et de rendu; la cam
ra peut
traverses les masses gazeuses; les flares et fountains peuvent
tre opaques
avec contr
le par Alpha Channel; l'anti-aliasing des bitmaps est quatre
fois plus rapide; mapping professionnel de type 'point spherical'; mode
batch pour les rendus; field rendering, c'est
dire un calcul d'image sur
deux trames pour un rendu d'animation plus fluide; nouvel outil de lissage
et de chanfrein interactif avec notes de projet.
@ENDNODE
@NODE myMajadfi " Les mises
jour d'ADFI (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}L e s m i s e s
j o u r d ' A D F I@{fg text}
Edition ADFI annonce les mises
jour quasi gratuite de Pagestream 3.0,
collages, PCTask (3.0 en 3.12) et GoldEd. Pour les modalit
phoner
au 73 93 77 31 du lundi au vendredi de 10h
17h (pas de r
ponse
crite).
Un support technique de PAO est
galement assur
e ainsi que toute
gration dans la cha
ne PAO de la saisie au flashage).
@ENDNODE
@NODE myBaisseedi " Baisses de prix chez EDI (05-79)"
@TOC myNewsInt
@{fg shine}B a i s s e s d e p r i x c h e z E D I@{fg text}
EDI, importateur d'Expansion Systems, annonce des baisses de prix
es suite
la baisse du dollar. Ces prix remplacent les prix de la
publicit
EDI dans ce num
DataFlyer XDS (boitier externe pour HD IDE 3.5 1200) 495F
DataFlyer SCSI + A1200 (carte contr
leur interne SCSI A1200) 720F
DataFlyer SCSI+ A4000 790F
DataFlyer SCSI A2000 650F
DataFlyer RAM 0k (pour A2000) 720F
DataFlyer SCSI A500 1250F.
@ENDNODE
@NODE myActuFrance " Actualit
FRANCE (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" The Fun Flash Cool disquette (05-79)" LINK myTffcool}
@{" Video Backup System v3.1 (05-79)" LINK myVideoback}
@{" Quartz Informatique (05-79)" LINK myQuartz}
@{" AFLE (05-79)" LINK myAfle}
@{" EXPOS (05-79)" LINK myExpos}
@{" RTC St Orens de Gameville (05-79)" LINK myRtcstorens}
@{" Fr
quence techno (05-79)" LINK myFreqtechno}
@ENDNODE
@NODE myTffcool " The Fun Flash Cool disquette (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}T h e F u n F l a s h C o o l d i s q u e t t e
... ou comment attraper une Bidibullite aigue!@{fg text}
La disquette n'est pas pareille que la version papier, disons que c'est
une autre exp
rience (nous avons subi le num
ro 16). @{"TFFCool" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Tffcool.8bt"} dans toutes
ses formes est toujours raffra
chissant, nous vous le recommandons. Le mois
prochain nous allons essayer de trouver l'adresse du service de
distribution bidibullique.
@ENDNODE
@NODE myVideoback " Video Backup System v3.1 (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}V i d e o B a c k u p S y s t e m v 3 . 1
Backups sur VHS@{fg text}
Il existe une alternative aux centaines de disquettes n
cessaires pour
effectuer un backup de votre disque dur: utiliser votre magn
toscope de
salon. La version 2 de Video Backup System a
test
e dans ANews n
75. La
version 3.1 est disponible. La vitesse de sauvegarde est annonc
e comme
tant doubl
e soit de 130
150Mo par heure. On peut se positionner
automatiquement sur la bande afin de r
rer le ou les fichier(s)
(s). On peut programmer l'heure de d
but de sauvegarde.
@{fg shine}DeltaGraph'X propose le c
ble et le logiciel en version fran
aise pour
540F. Une mise
jour est possible.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myQuartz " Quartz Informatique (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}Q u a r t z I n f o r m a t i q u e
Beaucoup de produits disponibles@{fg text}
Parmi les centaines d'articles Amiga, Quartz Informatique propose
Directory Opus v5.0, Turbo Calc v3.0, CDBoot v1.0, GPFax, Photogenics,
Squirrel, des lecteurs de CDROM IDE pour A4000, Azur, Pagestream v3.0, les
ROM 3.1 ainsi que des dizaines de CDROM. Vous pouvez demander un catalogue.
Les d
veloppeurs sont invit
se manifester.
@{fg shine}Quartz informatique, BP 27, 74401 Chamonix Cedex, t
l/fax 50 53 82 62@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myAfle " AFLE (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}A F L E@{fg text}
L'association Fran
aise du Libre Essai vous propose deux formules
d'abonnement:
- abonnement simple: la S
rie FR (disquette + manuels
- abonnement complet: s
rie FR + s
rie SE
L'envoi des nouveaut
s du mois est automatique avec une r
duction de 10%
sur le prix. Le paiement s'effectue uniquement par carte bleue au moment de
l'envoi.
@{fg shine}Pour plus de renseignements, t
phonez au 56 05 72 09 de 10
heures.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myExpos " EXPOS (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}E X P O S@{fg text}
@{fg shine}AmigaShow
Le rendez-vous Amiga en Belgique@{fg text}
Les 6 et 7 mai prochains, dans la banlieue de Bruxelles, aura lieu
AmigaShow 1995. Dans le centre culturel de Rhode-St-Gen
se, de nombreux
stands exclusivement Amiga pr
senteront en d
monstration permanente de
toute la gamme Amiga propos
la vente ainsi que de nombreux logiciels et
riques, des CDROM, des imprimantes, du domaine public, du mat
riel
d'occasion, de bonnes affaires, etc... Cette ann
e, il y a une nouveaut
avec les concours de dessins, animations, etc... qui sont organis
s. Les
organisateurs annoncent qu'il y aura de nombreux lots de valeur pour les
meilleures r
alisations. Le sponsor de cette manifestation est Digital
cision qui
tait distributeur officiel Commodore et qui continue
rester fid
l'Amiga. Les prix "foire" de vente de produits sont
annonc
s comme
tant comparables
ceux pratiqu
s en Angleterre. Le prix
d'entr
e est de 120F Belge mais si vous @{"d
coupez le bon dans cette page" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Amigashow.8bt"},
votre entr
e sera gratuite.
@{fg shine}Fauxvaux Patrick, 330 Ch. de Jette, 1080 Bruxelles, t
l 32 2 426 05 04,
fax 32 2 420 38 75@{fg text}
@{fg shine}Salon vid
o et informatique@{fg text}
L'association Corsaire Production Normandie organise du 11 au 15 ao
1995 une exposition sous la forme d'un salon. Ce premier salon a pour but
de pr
senter les activit
s de l'association ax
es sur la technique et la
recherche en vid
o et en informatique, tels que l'imagerie, le son, etc...
ou par courrier Commodexplorer corsaire production, C19 la rocade, 91160
Longjumeau@{fg text}
@{fg shine}Party Zone III, Coding
Brest@{fg text}
Le groupe Suspect organise cet
la troisi
dition d'un meeting
l'Amiga et
son environnement. Les 26 et 27 ao
cole Ste
Anne, des groupes de d
momakers concevront des d
mos et intros sur A1200
standard. Des prix les r
compenseront. Des sponsors ont aid
cet
nement.
Les prix d'entr
e vont de 62F80 r
l'avance avec son mat
riel
90F
sur place.
@{fg shine}Pour participer, contacter Yann Huguen, 9 av Cl
menceau, 29200 Brest,
l HR 98 80 20 63 et Xavier Goaoc, 49 rue des trois fr
res Leroy, 29860
Plabennec et Marc modem 14400 28800 98 07 88 67.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myRtcstorens " RTC St Orens de Gameville (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}R T C S t O r e n s d e G a m e v i l l e
Evolution permanente@{fg text}
Depuis quatre mois, le serveur RTC St Orens de Game accessible depuis
tout minitel
volue pour plus de confort d'utilisation. Les derniers
modules mis en place sont le t
chargement de messages des BAL en fichier
ASCII, le contr
le de la vitesse et du num
ro de voie et l'horoscope. La
rubrique spectacles du centre culturel Altigone est d
sormais tr
Depuis le 1er avril, BgSn le serveur parisien a cr
l'alliance lente qui
permet
tous les sysops utilisant le logiciel Mad le RTC de cr
er un
seau mis
jour quotidiennement. Ceci est un serveur suppl
mentaire o
actuellement dix serveurs sont en r
seau.
@{fg shine}Le num
ro d'acc
s est (1) 61 39 11 47 24H/24 7j/7. Bonnes connections.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myFreqtechno " Fr
quence techno (05-79)"
@TOC myActuFrance
@{fg shine}F r
q u e n c e t e c h n o@{fg text}
Dans le cadre de l'
mission 100% techno "RadioV" Radio Vicomte (qui
sur la Corr
ze, la Dordogne et le Lot sur 103.9 Mhz) recherche des modules
techno format tracker (compatibles Octamed V5.0 et de n'importe quelle
taille) pour la chronique Label Radio V. Si les morceaux sont suffisamment
labor
s et dans le pur esprit techno, les auteurs pourront, s'ils le
sirent,
tre "book
s" pour avoir une chance de voir leurs produits
et distribu
s sous format de maxi vinyle vers divers horizons selon le
label.
@{fg shine}Pour en savoir plus, contacter Franck Chevalier au 55 84 32 08@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myActuAlleman " Actualit
ALLEMAGNE (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E A L L E M A G N E@{fg text}
Encore et toujours...
Etre amigaphile au milieu de tous ces PCs et le rester pr
sentement est
vraiment un reflet de nos caract
res. Et m
l'int
rieur du domaine
amigal, je me retrouve encore minoritaire
la lumi
re des r
sultats du
concours des meilleurs produits organis
par Amiga-Magazin. Ainsi, le ray-
tracing - mon activit
e sur notre belle machine obtient les
sultats suivants : @{"Maxon" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Cinema4d.8bt"} @{"Cinema 4D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Cinema4d2.8bt"} avec 36 %. devant Imagine 3.0 et
Lightwave 3.5 avec chacun 20 % et Real 3D avec 16 %. Et bien justement, je
les aurais class
s dans l'ordre inverse...
@{" REELLEMENT REAL 3D V3.0 (05-79)" LINK myreal3d}
@{" Emaginator (05-79)" LINK myEmaginator}
@{" BJC-600e (05-79)" LINK myBjc600e}
@{" CD-Write (05-79)" LINK myCdwrite}
@{" SIRIUS II (05-79)" LINK mySirius2}
@{" SAMPLITUDE PRO (05-79)" LINK mySamplepro}
@{" DESKJET 540 (05-79)" LINK myDeskjet540}
@{" OL 810ex (05-79)" LINK myOl810}
@{" EN BREF (05-79)" LINK myEnbref}
@{" FOIRE AU DOMAINE PUBLIC (05-79)" LINK myFoiredp}
@{" LITTERATURE (05-79)" LINK myLitterature}
@{" TESTS ALLEMANDS (05-79)" LINK myTestall}
@{" NEWBACK (05-79)" LINK myNewback}
@{" ENCORE OPTIMISTES (05-79)" LINK myEncoropti}
@{" CEBIT (05-79)" LINK myCebit}
@{" HARDITAL (05-79)" LINK myHardital}
@{" Comparatif Disques Durs " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Compadur.16c"}
@{" Comparatif Controleurs " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Compacontro.16c"}
@{fg shine}Jac POURTANT@{fg text}
@{fg shine}Ces informations n'ont absolument pas
es. Elles
manent des
articles ou des publicit
s parues dans les revues d'AmigaMagazin et Amiga
Plus d'avril 95, et ni ma responsabilit
ni celle du journal ne sauraient
tre engag
es en quoi que ce soit en cas d'erreur.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myreal3d " REELLEMENT REAL 3D V3.0 (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}R E E L L E M E N T R E A L 3 D V 3 . 0@{fg text}
On avait peur que l'Amiga soit ignor
chez Activa mais voil
que vient
s un an la nouvelle version majeure de mon @{"logiciel favori" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Fish.8bt"}. Enorm
ment
de nouveaut
s sont annonc
es. Entre autres: entr
e optionnelle pour rajouts
tels que reflets de lentilles photographiques (lens flare), rayons lasers,
etc... Ces effets ne sont pas calcul
s par le ray-tracer et r
duisent ainsi
le temps de calcul. Autre r
duction des temps de calcul (c'
tait
cessaire), gr
un d
coupage de l'image en petits morceaux. Contr
rique des coordonn
es avec profondeur pour les points. Cr
ation de
courbes
la surface des objets. Visualisation d'images en arri
re-plan
pour le contr
le de formes et des proportions lors de la cr
ation d'objets.
Contrainte de d
placement des objets
un ou deux axes. Nouvelles
thodes" d'animation (parmi lesquelles les pas laissent des traces dans
la neige ou des chocs laissent les objets d
s). Pas de prix
communiqu
. Activa.
@ENDNODE
@NODE myEmaginator " Emaginator (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}A N A G R A M M E D E A M I G A E T R O N . E T P O U R T A N
T ...@{fg text}
"Emaginator", quel nom! C'est une carte turbo Apollo pour le 1200 avec un
68EC030/50 qui peut se peupler jusqu'
32 Mo de RAM 32 bits SIMM avec
options coprocesseur et module SCSI (DM 380). Sous le m
me nom va suivre
une carte 68060 pour le 4000 avec un maximum de 128 Mo de RAM et un
adaptateur-h
te Fast-SCSI (8 Mo/s) qui selon les constructeurs est la carte
ratrice la plus rapide du monde (gr
l'emploi des nouvelles
EDRAMs
15 nanosecondes, la vitesse est doubl
e. Une acc
ration de 500 %
est annonc
e par rapport
un 4000/040 de base), (pas encore de prix).
Entre les deux, une carte pour le 2000 avec 68030/50, 64 Mo de RAM et Fast-
SCSI (DM 700 en 25 MHz et 1200 en 50 MHz). Enfin pour le 500, le TurboBox
520 avec un 68020/25 et 68881/25 sur le port expansion avec de nouveau
sortie du bus pour d'autres extensions (THRU). MLC.
@ENDNODE
@NODE myBjc600e " BJC-600e (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}B J C - 6 0 0 e@{fg text}
L'imprimante acquiert une pseudo d
finition de 360 x 720 dpi gr
une
interpolation. Nouvelle
galement, la recharge couleur
la place des trois
es (c'
tait
mon avis le point fort de la machine). 30 polices et 10
TRUE-Type internes. DM 1000. Canon.
@ENDNODE
@NODE myCdwrite " CD-Write (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}R E E C R I R E S E S C D - R O M !@{fg text}
ce au logiciel CD-Write, il devient possible d'effacer des fichiers,
de changer des configurations sur ses CD-ROM. Bien s
r, c'est virtuel, mais
c'est bien pratique et bien pens
. Stefan Ossowski.
@ENDNODE
@NODE mySirius2 " SIRIUS II (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}S I R I U S I I@{fg text}
La nouvelle version du c
bre genlock poss
de en plus des
es/sorties FBAS et Y/C, deux canaux st
o et une entr
e microphone.
Les canaux audio ont chacun un r
glage de volume, de graves et d'aig
es. Le
processeur assure un pilotage parfait entre l'image et le son. A sa
disposition se trouve
galement un syst
me blue-box et un canal alpha d'un
bit (soit 0 soit 50 %) tandis que l'image de l'Amiga se r
gule de 0
100
%. On dispose encore d'un g
rateur blackburst qui permet d'envoyer un
signal Amiga sans signal vid
o. Enfin, en sortie, l'am
liorateur vid
(enhancer) est muni de r
glages de couleur, contraste et luminosit
ainsi
que rouge, vert, bleu. Les c
bles n'ont pas besoin d'
tre d
ce au
bypass lorsque le genlock est hors-service. Le genlock se laisse piloter
soit
l'aide de ses manettes soit par logiciel avec un joystick.
electronic-design.
@ENDNODE
@NODE mySamplepro " SAMPLITUDE PRO (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}S A M P L I T U D E P R O@{fg text}
La version 2.1 est pr
te. Elle permet
sent d'utiliser huit (au lieu
de quatre) canaux en 16 bits et 44,1 KHz. Un processeur rapide est
cessaire pour jouer les huit pistes en m
me temps. De nouveaux filtres
ont fait leur apparition tels que
galiseur param
trique ET @{"graphique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Samplitude.8bt"},
effet Hall. Une visualisation FFT est pr
vue (pr
sentation 3D des
chantillons en spectres de Fourier) qui facilite les r
glages de filtres.
Le format WAVE peut dor
navant
tre import
ou export
@{fg shine}Samplitude Pro ne sera plus d
velopp
qu'en version SMPTE. Prix de la
mise
niveau : DM 300. SEK'D/PCS.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myDeskjet540 " DESKJET 540 (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}D E S K J E T 5 4 0@{fg text}
Encore un nouveau dans la gamme toujours grandissante. Consid
comme
ritier du 500C et du 520, le 540 imprime en 300 x 300 dpi et gr
ce au
RET (r
solution enhancement technology) 600 x 300. La vitesse est d'environ
3 pages
la minute en noir et blanc, 1,5
4 minutes par page en couleur.
L'imprimante poss
de en ROM CG Times, Universe, Letter Gothic, Courier et
14 polices TRUE-Type. Le magasin d'alimentation peut supporter 100 pages,
50 folios ou 20 enveloppes. Les formats vont de A6
@{fg shine}Pour la couleur, un kit (ColorKit) est en option. DM 670. ColorKit DM
70. Hewlett-Packard.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myOl810 " OL 810ex (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}O L 8 1 0 e x@{fg text}
ce au syst
LEDs, cette imprimante permet le 600 x 600 dpi encore
optimisable avec le "OKI Smoothing". La m
moire interne est de 2 Mo mais
peut
tre pouss
34. Les
mulations sont PCL-5 et LaserJet IV. 35
polices Agfa, 10 TrueType et une bitmap compatible HP. Le magasin contient
250 pages et sur option 500. Les formats vont de A6
A4. La cartouche
autorise l'impression de 2000 pages et la t
te est pr
vue pour 20 000.
@{fg shine}DM 2500. 2 recharges DM 90. T
te : DM 330. OKI.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myEnbref " EN BREF (05-79)"
@TOC myActuAlleman
@{fg shine}E N B R E F@{fg text}
@{fg shine}VIDEO IMAGINE 3.0@{fg text}
Le deuxi
me volet du cours Imagine 3.0 traite de deux projets en 100
minutes. Le premier traite de la construction
l'aide de splines, le
second anime un logo. DM 60. CAD Art.
@{fg shine}LE GENERAL A ETE RACHETE@{fg text}
Cluster, le langage de programmation modulaire inspir
de Modula-2 a
repris par la firme M.O.M. 3 versions: Deluxe DM 198, Ligt DM 99 et d
mo DM
9. M.O.M.
@{fg shine}HOT HOT HOT LINE@{fg text}
Exemplaire: Ingenieur B
ro elfrich installe une ligne d'urgence sur le
mailbox "White Wolfen" chaque vendredi en direct de 14
Les utilisateurs de A-Max ou de Emplant le savent bien, une partition, un
disque dur ou une disquette (1.44) MACINTOSH n'est pas reconnu(e) par le
me, et appara
t sous la forme "HDM0:Nodos"... Sous Amiga OS, il est
impossible de lire cette partition - sauf avec CrossMac!
Consultron nous a fait CrossMAC... Un FileSyst
me (en anglais dans le
texte) pour utiliser @{"une partition MAC comme une partition normale" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Crossmac.16c"} de votre
me Amiga.
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
Pour le novice qui n'aime pas lire les docs, une installation simple
l'aide de l'installeur de feu Commodore fera l'essentiel pour vous... Si
vous avez d
une partition Mac existante, alors indiquez-le lors de
l'installation et miracle! d
s le reboot, vous verrez une ic
ne noire et
blanche avec une pomme remplacer votre "MHD0:NoDos"... Un double-clic et le
contenu de votre disque MAC appara
tra comme par enchantement. Il vous est
aussi propos
de s'occuper de votre lecteur CD-Rom, mais c'est une
ration d
conseill
e car d'autres filesystems sont plus performants, tel
AmiCDROM qui est en domaine public.
Tous les Amiga avec l'OS 2.0 ou plus peuvent utiliser CrossMAC. Hormis
les partitions disques, seuls les Amiga avec un lecteur haute densit
pourront lire directement les disquettes au format Mac, et encore,
seulement le format 1,4Mo. Le format MAC basse densit
est d
finitivement
illisible sur un Amiga. Les formats A-Max 800K et Emplant 800K sont
reconnus, mais ils sont sp
cifiques
l'Amiga et
ces deux
mulateurs.
@{fg shine}L e s c o p i e s@{fg text}
Les copies de fichiers binaires ne posent aucun probl
me: un simple
glissement de la souris permet de basculer un fichier d'un disque Amiga
un disque MAC. Une commodit
permet de r
aliser une conversion texte.
Sachez que les accents ne sont pas du tout identiques sur un Mac et sur
Amiga et qu'un fichier texte peut devenir illisible sans conversion apr
un transfert...
Le package nous offre aussi quelques utilitaires sympa. Ainsi, un
diteur
Hexa pour les fichiers Mac, accompagn
d'un extracteur de ressources
(typique de Mac), un utilitaire pour retrouver des fichiers effac
s sur une
partition Mac ainsi qu'un Finder_Manager qui, lui, va g
rer les
informations type que stocke le syst
me APPLE (origine, nom etc...) et
permettre de les modifier ou de les adapter.
Ce soft est tr
s bien fait. Je n'ai eu aucun plantage et tous les
riques amovibles test
s fonctionnent avec CrossMac. Indispensable!
@{fg shine}Derni
re minute: j'ai eu des probl
mes avec les disques durs g
s par
CrossMac depuis Emplant.@{fg text}
@{fg shine}Patrick CONCONI@{fg text}
Editeur: @{fg shine}CONSULTRON, USA (Accepte les cartes de cr
Cherche un distributeur pour la France@{fg text}
Prix : @{fg shine}100$@{fg text}
@{fg shine}P o i n t d e v u e d e M i c h e l@{fg text}
En effet, j'ai constat
le m
me bug que Patrick. Le contr
leur SCSI 1 de
la carte Emplant vu c
Amiga a tendance
se bloquer, que ce soit un
disque dur format
Amiga ou un disque dur Mac (format
par un Mac). Dans le
cas d'une partition Amiga format
e en Mac, il n'y a pas de probl
puisque on n'utilise pas ce contr
leur.
En ce qui concerne l'
mulation AmaxIV le probl
me ne se pose pas. AmaxIV
utilise dans les deux cas le contr
leur de l'Amiga (partition format
e Mac
ou disque dur Mac). N'oubliez pas tout de m
me que les deux
mulateurs
permettent
l'origine, sous
mulation, d'
changer les donn
es entre
l'Amiga et le Mac.
Autres remarques: en cas de plantage du Mac, au mount de l'unit
Mac la
partition est "revalid
e" par CrossMac. J'ai eu des petits plobl
mes dans
le cas o
CrossMac et l'
mulation tournent en m
me temps. Si vous copiez un
fichier c
Amiga dans la partition Mac pendant que l'
mulateur tourne,
nelui-ci ne voit pas le fichier. Il suffit pour voir le fichier de quitter
mulation, et de la red
marrer. D'ailleurs, on constate le m
me ph
dans l'autre sens. Dans ce cas de figure, il est fortement conseill
d'utiliser le logiciel de transfert de l'
mulateur.
Je trouve ce paquetage "g
nial", il donne, sans
mulateur, la possiblit
changer les donn
es: image, son, texte, voire m
me certains documents
(Adobe Illustrator r
rable avec PageStream). De plus, le transfert (du
moins avec une WarpEngine) est tr
s rapide. Finis les Syquest format
s PC
pour envoyer nos fichiers Postcript au flasheur. Au niveau mat
riel, la
seule chose
faire est d'ins
rer l'unit
Mac dans votre cha
ne SCSI.
Nous esp
rons prochainement pouvoir tester l'
quivalent en PC, sur le
port IDE (A4000) et SCSI. Nous aurons dans ce cas l'ouverture au niveau des
e sur les deux standards leaders actuels.
@ENDNODE
@NODE myHycache2 " HyperCache2 (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}H y p e r C a c h e 2
La carte acc
ratice logicielle!@{fg text}
La nouvelle version d'HyperCache est arriv
e, avec une grande nouveaut
le cache en
criture. Les p
riques
tant souvent des facteurs
limitants dans l'architecture de l'Amiga, SomeWare nous propose un rem
en (je cite) "d
chargeant une bonne partie du travail du contr
leur sur le
processeur". Et
a marche.
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
C'est d
sormais une tradition, Installer de C= est de mise. Le script
offre le choix NOVICE ou EXPERT, ce qui permet d'installer HyperCache m
sans aucune connaissance de l'Amiga. Ceci fait, on peut lancer HyperCache
qui se trouve dans le r
pertoire "sys:WBStartup",
tant activ
chaque
boot. C'est une nouveaut
: HyperCache peut d
sormais
tre lanc
par une
ne, et utilise les ToolTypes au lieu des param
tres CLI pass
s en ligne
de commande. En d
finitive, HyperCache s'est int
dans l'environnement
graphique de l'Amiga.
@{fg shine}L a t h
o r i e@{fg text}
@{"HyperCache2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Hypercache.8c"} est un cache dit intelligent, c'est
dire que contrairement
aux "b
tes" buffers de l'AmigaDos, il peut, de mani
re statistique,
conna
tre les donn
es les plus probablement demand
es lors d'une lecture
prochaine et, en lisant ces donn
es en plus de celles qui ont
lues par
les autres programmes, permet d'y acc
der de fa
on hyperrapide lorsqu'un
programme en a besoin. En fait, lors de chaque lecture, HyperCache se fait
passer aux yeux de l'AmigaDos pour le p
rique interrog
et lit un peu
plus de donn
es que n
cessaire afin d'augmenter les chances que les
prochaines donn
es demand
es soient d
en m
moire. Le "un peu plus" est
configurable
souhait.
Mais ce qui est encore plus g
nial, c'est le cache en
criture! En effet,
lorsqu'un programme veut
crire sur un p
rique, HyperCache se fait
nouveau passer pour celui-ci et stocke les donn
crites en m
moire au
lieu de les transf
rer directement sur le p
rique qui est beaucoup
plus lent que la RAM. Le r
sultat est que la vitesse d'
criture est
multipli
e! En gros, si un disque dur permet une vitesse de transfert de 1
Mo/seconde, gr
HyperCache le taux apparent est de 5 Mo/seconde (taux
de transfert de la m
moire sur les Amiga 4000), voire plus, si l'on dispose
d'une carte acc
ratrice comportant ses propres supports de RAM. Lorsque
l'ordinateur est moins occup
(ce qui arrive tr
s souvent sur Amiga, alors
que sur d'autres machines, le CPU est toujours occup
100%, m
me s'il ne
fait rien...8-), les donn
es sont
crites d'un seul trait. Autant dire que
critures de multiples petits fichiers, jusqu'alors assez fastidieuses,
deviennent incroyablement rapides (instantan
es du point de vue de
l'utilisateur, puisque les donn
es seront discr
tement
crites plus
tard).
Mais attention, le cache en
criture est une arme
double
tranchant: en effet, si l'ordinateur plante avant l'
criture c'est la
catastrophe! Ou pire, il peut arriver que l'on sauve un travail, que l'on
quitte l'application et qu'HyperCache soit dans l'impossibilit
crire
les donn
es (erreur d'
criture ou autre)! Et l
rien
faire, tout est
refaire. Bref attention aux Amiga "surpeupl
s" de Commodities qui le font
planter une fois sur deux.
@{fg shine}L a p r a t i q u e@{fg text}
Tout ceci est bien app
tissant, mais h
las, la mise en pratique est assez
licate. En effet, (reportez-vous @{" aux " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Tablo1.4c"} @{" tests " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Tablo2.4c"}) il est difficile de
configurer correctement HyperCache. Bien entendu, le programme
HyperCachePrefs apporte la facilit
d'une interface Intuition pour
configurer HyperCache, mais ce programme comporte un d
faut de conception:
il ne permet l'utilisation d'HyperCache que sur des unit
s situ
es sur le
rique physique. Ainsi, si l'on veut cacher plusieurs disques
durs, avec un CDRom ou un lecteur de disquettes, on doit manuellement
recopier HyperCache pour chaque unit
physique dans le WBStartup et changer
les ToolTypes. Dommage, car le programme de pr
rences est dr
lement
pratique et rend la configuration tr
s simple.
Il existe
galement un programme appel
HyperCacheStats qui permet
d'interroger en temps r
el les diff
rents caches install
s au travers du
port ARexx d'HyperCache. En effet, encore une nouveaut
, HyperCache dispose
d'un port ARexx qui permet notamment d'interrompre son activit
, pour
la r
organisation d'une partition par exemple. HyperCacheStats
affiche en clair les performances des caches, ainsi que des moyennes
d'efficacit
en lecture et
criture sur l'ensemble des op
rations. Dommage
que l'on soit oblig
d'utiliser HyperCacheStats pour savoir si HyperCache
est actif! Un petit programme qui aurait dit "HyperCache est actif sur
telle unit
" aurait
plus "propre". Mieux, l'emploi d'une Commodit
servant
contr
ler les caches aurait
LA solution (
mon avis). Mais ce
sont des points de d
tail puisqu'une fois lanc
, on n'a pas besoin (sauf
exception) de se pr
occuper du cache.
L'utilisation d'HyperCache est tr
s simple avec une seule unit
, elle
l'est beaucoup moins avec plusieurs. La configuration est tr
licate, ce
qui est dommage. Un programme d
terminant la meilleure configuration
possible aurait
fort utile! Une fois en place, il n'y a pas l'ombre
d'un doute: HyperCache est extr
mement efficace. Bref, un excellent
programme.
@{fg shine}E n b r e f@{fg text}
Les +: Le manuel est tr
s bien fait, comme d'habitude chez SomeWare; le
cache en
criture acc
re VRAIMENT les acc
s aux disques, surtout pour de
multiples petits fichiers; une version 68020 est livr
@{fg shine}T r a n s f o r m e r v o s i m a g e s e n p a y s a g e s
Un g
rateur de landscape@{fg text}
ScapeMaker est un utilitaire unique en son genre puisqu'il permet de
tranformer vos images IFF en fichier DEM directement exploitable dans les
logiciels VistaPro et Scenery Animator.
A vous l'exploration des grands espaces !
@{fg shine}L e f o r m a t D E M@{fg text}
Si vous
tes amateur de paysages fractals vous devez conna
l'utilitaire ScapeMaker dont je vous pr
sente aujourd'hui la version 3.02.
Il permet de transformer toute image IFF en fichier Digital Elevation Map.
Ce format utilis
par les programmes g
rateurs de paysages fractals,
Vista et Scenery Animator, est un codage utilisant les niveaux de couleurs
comme unit
vation. Grace
ScapeMaker, vos images 2D seront
tranform
es en paysages 3D sans mod
lisation fastidieuse.
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s@{fg text}
Cette nouvelle version est plus rapide et @{"l'interface utilisateur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Sminterface.16c"} a
rement redessin
. Fini le travail en aveugle de la version pr
dente
la visualisation simultan
e des deux buffers de travail
disponibles. Les images IFF peuvent avoir une d
finition allant de 320x200
768x592 et de 1
6 bitplanes (mode AGA non reconnu). Le traitement des
images HAM a
optimis
. Les fichiers DEM g
s peuvent avoir au choix
la taille 258x258 ou 514x514 (nouveau).
Si l'interface est nouveau, il n'y a pas de nouvelles options de
traitement. On retrouve donc le choix de l'
vation Extrude (
vation
positive) ou Carve (
vation n
gative), le contr
le de la hauteur
(mini/maxi), la possibilit
de mixer les deux buffers de travail. Gr
AREXX on peut aussi utiliser des op
rations logiques (and, or, eor, neg,
not) pour affiner le mixage.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Cette version 3.de ScapeMaker apporte un grand confort de travail qui
faisait pas mal d
faut dans la version pr
dente. L'interface utilisateur
s convivial et l'utilisation d'Arexx permet de cr
er beaucoup plus
rapidement des paysages originaux.
Peu de nouveaut
s mais des am
liorations importantes pour un utilitaire
indispensable
tout utilisateur de @{"Vista Pro" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Smvista.16c"} ou @{"Scenery Animator" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Smscenery.16c"}.
@{fg shine}Jluc Faubert@{fg text}
Importateur: @{fg shine}VITEPRO@{fg text}
Prix : @{fg shine}490F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myDiavolo " Diavolo (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D i a v o l o
Abracadabra...@{fg text}
Un @{"nouveau programme d'archivage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diavolo.8c"} fait son apparition. C'est un des
programmes de BackpUp les plus complets que j'ai eu
tester.
Une Multitude d'options et de param
tres peuvent
tre manipul
s et
modifi
s pour atteindre l'archivage optimal que l'on d
sire. Par exemple,
pour les tests de performances, j'ai utilis
le moins d'options possibles
qui entra
nerait une perte de temps (sauf le compactage), pas de sauvegarde
des liens utilisation de ExAll, m
moire tampon au maximum , pas de mise
jours des bits d'archivage, pas de v
rification... Ceci pour pouvoir
comparer l'ensemble des programmes et des diff
rents syst
mes de
compactage.
@{fg shine}L e m e n u p r i n c i p a l@{fg text}
Il permet de @{"choisir les syst
mes d'archivage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diamain.8c"}, de restauration ou de
comparaison ainsi que par le biais des menus (toujours actifs et
accessibles n'importe quand), les options des sous programmes.
@{fg shine}L e s m e n u s d ' o p t i o n s@{fg text}
C'est @{"le point fort" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diaoption.8c"} du programme, car ils sont particuli
rement complets,
mais c'est aussi pour certaines mises au point un peu d
licat pour le
novice qui ne devra pas jongler avec les configurations au risque d'obtenir
une archive non lisible (surtout pour ce qui concerne les @{"r
glages SCSI" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diascsi.8c"}
pour sauvegarde sur bandes). Mais les r
glages par d
faut sont valides.
Le support du syst
me 3.0 est pris en compte par la sauvegarde des liens.
Vous pouvez choisir la mise
jour des bits d'archivages, de la taille du
tampon m
moire, de la priorit
de la t
che, activer la compression et la
dure d'encryptage par mot de passe...
@{fg shine}L a c o m p r e s s i o n@{fg text}
Si pour les autres options, la configuration machine n'intervient que
dans une moindre mesure pour effectuer une archive (Ex: l'option
rification prend autant de temps
quelque chose pr
s sur un A4000 que
sur un A500) il n'en est pas de m
me pour @{"la compression" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diaback.8c"}. Les tests ont
effectu
s sur un A1200 avec une carte acc
ratrice GVP 68030
40 Mhz et
ga de m
moire. Pour la compression, plus votre machine sera puissante,
plus vous aurez avantage
utiliser cette option. La compression est une
thode math
matique statistique qui permet de coder l'information dans une
forme plus compacte (qui prend moins de place sur disque pour le stockage)
puis, par l'op
ration inverse,
retrouver le fichier original. En g
ral,
le compactage est plus long
codifier que le d
compactage. Les gains d
cette op
ration sont variables mais se situent g
ralement entre 30 et 50%
(c'est
dire que dans le meilleur des cas l'archivage ne prendra que la
moiti
des disques n
cessaires
l'int
gralit
de la sauvegarde). Tout
pend du type de fichiers et de la m
thode employ
e. Alors qu'avec les
programmes comme Amiback et Qback la technique de compression est interne
au programme, sur Diavolo vous pouvez choisir le type de compression XPK
que vous d
sirez.
On remarque, gr
ce aux tableaux, que les compressions internes sont moins
efficaces en terme de rapidit
mais aussi en terme de taux :
QBack 3189 Ko en 2.15 min
AmiBack 3512 Ko en 1.39 min
Diavolo xpkfast 2894 Ko en 1.15 min
L'avantage de la compression XPK est qu'elle peut s'adapter au type de
es que vous avez
archiver. Par exemple, pour un backup des 300 Mo de
modules de votre disque dur, vous avez tout int
prendre comme library
XPK, la SQSH qui est terriblement efficace pour les fichiers samples 8
bits. Pour des donn
es diverses vous avez le choix, selon votre temps
disponible. Dans notre cas : Fast (33% de gain en 1.15 min), Nuke (38% de
gain en 1.48 min), Shri (41% de gain en 5.39 min). J'ai mis juste
titre
indicatif la cr
ation d'une archive avec LHA qui poss
de le meilleur taux
de compression (peut
tre encore mieux avec LZX)
@{fg shine}Q u e l q u e s b o n s p o i n t s@{fg text}
A noter comme pour feu Qback, un test de v
rification des disques qui
sont ins
s dans le cas d'une sauvegarde sur disquette afin de ne pas
effacer un disque ant
rieur (Ex : mettre le disque No8 dans le DF1: alors
que le programme nous demande d'ins
rer le disque No14). Dans ce cas, une
te appara
tra vous indiquant que le disque que vous venez de mettre en
DF1: appartient
cette sauvegarde et qu'il ne doit en aucun cas
effac
. (Quelques probl
ce propos sur Qbak, car en
tant de "mauvaise
fois", c'est
dire en cherchant
le tromper, il remarque l'erreur mais se
bloque. Quant
THIBackup et AbackUp, eux ne v
rifient pas).
De m
me que pour Abackup, une reconstruction de @{"catalogue" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diaselect.8c"} est possible
dans le cas de probl
me de relecture de celui ci. Un palliatif un peu long
mais il est tellement agr
able de savoir que l'on n'aura pas
jeter les 40
disk d'archive parce que la premi
re disquette est HS.
@{fg shine}E t d ' a u t r e s u n p e u m o i n s@{fg text}
J'ai tout de m
me quelques remarques n
gatives
faire sur ce produit car
si les points s
curitaires et d'efficacit
sont positifs il n'en est pas de
me du look de celui-ci. En effet, du fait de la francisation, les
diverses phrases et textes ont tendance
passer de leur cadre et j'irai
jusqu'
dire du buggage graphique du programme. Il est dommage que par
respect de "la bonne traduction en langue fran
aise" l'aspect graphique
passe de la rigueur professionnelle
un brouillon (il me para
t curieux
d'ailleurs que le catalogue soit celui de la version de d
monstration).
@{fg shine}P e r f o r m a n c e@{fg text}
@{" Les " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diatab1.4c"} @{" tests " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diatab2.4c"} @{" on " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Diatab3.4c"}
fais en archivant le r
pertoire Libs: de mon
disque dur (environ 4,3 Mo).
Comme vous pouvez le constater dans les tableaux, un autre programme de
Backup est disponible. Il s'appelle BackMan V0.23B, enti
rement
MUI/MUFS/XPK il a les m
me caract
ristiques que Diavolo (avec moins de
param
tres). La version demo peut
tre r
e sur aminet dans
pub/aminet/disk/bakup
@{fg shine}Eric Porcher@{fg text}
Distributeur : @{fg shine}chez FFD avec sa notice en fran
ais@{fg text}
Prix : @{fg shine}580F TTC@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myNewicons " NewsIcons (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N e w I c o n s
Donnez une seconde jeunesse au workbench!@{fg text}
De toute
vidence, l'aspect du workbench n'est pas au "top" des capacit
de l'Amiga, surtout quand on conna
t d'autres syst
mes d'exploitations sur
d'autres machines.
Il y avait MagicWorkBench qui consistait pour l'essentiel un stock
nes en 8 couleurs livr
es avec un sympatique utilitaire
d'installation. Voici NewIcons qui, lui, g
re de fa
on tr
s intelligente
les ic
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
La disquette CAM #987 renferme une archive auto-extractible de NewIcons.
Cette m
thode de stockage oblige l'utilisateur
passer par le CLI pour
compacter l'archive
un endroit pr
cis, ce qui est g
nant. Apr
s tout ce
n'est pas si grave (je commence
m'habituer un peu trop
Installer). Une
fois l'archive d
compact
e, on peut proc
l'installation proprement
dite de NewIcons. Celle-ci (ouf !) utilise Installer, j'en suis content.
C= (je n'
cris pas le nom en entier par superstition),
l'installation se d
roule sans p
pin, et, apr
s un petit reboot, ma
partition syst
me a compl
tement chang
de look; un @{"set d'ic
nes" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Newicon2.16c"} d'un
design sobre mais tr
s joli a remplac
mes vielles ic
nes moches (je me
mets
la place d'un utilisateur X qui n'aurait pas, comme moi,
MagicWorkbench - je pr
re ce dernier).
Tout comme MagicWorkbench, la premi
re chose que NewIcons fait, c'est de
remplacer les ic
nes standards du syst
me et de ses programmes par de tr
belles ic
nes en 8 couleurs.
@{fg shine}M i e u x@{fg text}
Au lieu d'
craser les vielles ic
nes, NewIcons (c'est un des c
volutionnaires de ce programme) agit d'une mani
re plus subtile: des
ToolTypes sp
ciaux sont ajout
s aux anciennes ic
nes, contenant une version
compact
e des nouvelles images. Ainsi, si NewIcons fonctionne, on voit les
images en 8 couleurs, mais s'il ne fonctionne pas, on voit seulement
l'ancienne ic
ne. Il est donc possible de passer des fichiers
un copain
sans que les ic
nes soient hideuse sur son workbench en 640 par 200 en 4
couleurs, puisque n'ayant pas NewIcons il ne peut voir la nouvelle image.
Des utilitaires sont
galement fournis pour copier, cr
er, etc... ces
nes "virtuelles" qui sont contenues dans les ToolTypes.
@{fg shine}U n e p a l e t t e i n t e l l i g e n t e@{fg text}
Le plus int
ressant avec NewIcons c'est que la palette utilis
e pour
l'affichage des ic
nes est g
e de fa
on intelligente,
l'inverse du
workbench qui ne g
re pas plus de 4 couleurs pour les ic
nes. Essayez si
vous avez Magic Workbench de passer en 16 couleurs: il y a de grandes
chances pour que vos ic
nes aient soudain un air affreux! En effet, le
workbench prend les couleurs par leur num
ro dans la palette, sans se
occupper de ce que contient r
ellement cette couleur. NewIcons, lui,
choisit pour chaque ic
ne les couleurs qui lui conviennent le mieux! Ainsi
des ic
nes personnalis
es sur un syst
me seront tout aussi bien sur une
autre machine avec moins de couleurs! NewIcons effectue une sorte de
"remapping" des ic
nes en temps r
De plus, cons
quence directe, on peut d
sormais avoir des ic
nes en 16
couleurs ou plus! C'est une grande limitation du workbench qui est donc
e. NewIcons sera donc particuli
rement appr
des possesseurs de
cartes comme la Picasso qui offrent la possibilit
d'avoir un workbench
utilisable (au niveau vitesse) en 256 couleurs.
anmoins, si votre workbench n'est qu'en 4 couleurs, vous n'aurez aucun
installer NewIcons puisque le workbench peut s'en sortir tout
seul.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Bref ce "package" est tr
s int
ressant, et FREEWARE! Bravo a l'auteur
Nicola Salmoria qui a fait du bon travail, et qui compte continuer
liorer NewIcons (notamment en ajoutant des "backdrops" en accord avec
le style NewIcons).
@{fg shine}Laurent CAMARASA
Nicola Salmoria
Via Piemonte 11
53100 Siena
E-Mail : MC6489@mclink.it
Disponible sur CAM987 et @{" Aminet5 " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Newicon.16c"}@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myAbank " ABank v1.1 (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A B a n k 1 . 1
Les bons comptes...@{fg text}
ABank est un logiciel de gestion bancaire permettant de g
rer jusqu'
dix
comptes simultan
ment. Il est simple d'emploi et tr
s convivial. On peut
trier les op
rations, faire des statistiques, et imprimer les comptes
bancaires.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Le logiciel est livr
avec une documentation claire et pr
cise en forme
de fichiers ASCII et AmigaGuide. Tout est expliqu
: les menus, les touches
et les boutons. ABank a
programm
en AMOS, et utilise dor
navant la
librairie ReqTools, beaucoup plus agr
able pour les requ
tes de fichiers...
Il supporte le multit
che, un atout majeur. Il est compatible AGUI du m
auteur, qui donne la possibilit
de modifier la totalit
de l'interface du
programme. Malheureusement je n'ai pas pu tester cette option.
@{fg shine}D a n s l e d
t a i l@{fg text}
Vous pouvez voir (@{"image
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Abank.8c"}) le programme dans son fonctionnement. On
peut avoir le logo de sa banque et celui personnalisant le compte. L'auteur
propose un grand nombre de logos de banques fran
aise, suisse et allemande,
ainsi que les logos personnelles.
Lors de la cr
ation d'un compte, on commence par d
finir le titulaire du
compte, son num
ro de compte, le type de compte, le logo de la banque, le
logo de personnalisation du compte, le solde de d
part et le seuil
(l'alerte).
Ensuite on cr
era les postes. Ce sont des cat
gories d'op
rations qui
permettent de savoir
quoi les diff
rentes depenses et revenus
correspondent. On peut en ajouter d'autres par la suite. L'auteur a cr
bloc note o
l'on peut mettre des anotations comme le num
ro de code de la
carte bleue, les rentr
es quotidiennes, le loyer par mois ou autres.
Apr
s, on pourra comptabiliser les op
rations. On entre la date (jour et
mois), la nature de l'op
ration: son commentaire, la somme (d
bit/cr
dit),
la validation oui ou non (son apparition dans les extraits de compte
bancaire) et on s
ctionne le type de poste. Apr
s, l'op
ration appara
tout simplement sur une ligne. On peut modifier tous les champs rentr
pour une correction. Aussi, on peut supprimer l'op
ration. Lorsqu'on rentre
rentes op
rations, on peut ensuite les trier pour les mettre dans
l'ordre croissant par date pour
tre plus lisibles. A chaque op
ration, le
solde r
el et bancaire est mis
jour.
Il est possible
tout moment d'avoir une balance annuelle des d
bits et
des cr
dits mois par mois. On ne peut pas la sauvegarder en image IFF, mais
il est possible de faire une sortie graphique en camembert des statistiques
par postes pour les d
bits ou les cr
dits, pour l'ann
e ou un mois, et r
ou bancaire. Il est possible de le sauvegarder en image IFF. On peut
galement imprimer son compte. Il est possible de s
lectionner pour
l'impression les op
rations, valid
es ou pas, ou toutes pour l'ann
e ou un
mois, pour un poste donn
ou tous.
Cette version permet de crypter le fichier par un mot de passe pour
dissuader tout fouineur
la recherche d'informations ne le concernant pas.
Il est possible d'ouvrir l'
cran en entrelac
mais le r
sultat est
cevant. Les fontes utilis
es sont illisibles sur mon
cran. Elles sont
es comme s'il y avait un bug. Le mode promotion n'est pas support
par
le programme. Lorsque les requ
tes de la ReqTools apparaissent, le mode
promotion s'active en modifiant l'
cran.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Voici un tr
s bon programme qui
volue dans le bon sens. L'auteur ne s'en
dort pas sur ses lauriers. Il
coute ses utilisateurs pour rendre le
logiciel le meilleur et plus agr
able possible.
@{fg shine}Avantages :@{fg text}
- le multitache est respect
dans la limite d'AMOS,
- possibilit
de crypter les fichiers,
- possibilit
de modifier l'interface gr
AGUI (
voir),
re jusqu'
10 comptes simultan
ment (c'est d
beaucoup pour un
particulier),
- look 2.0 et +,
- utilisation de la librairie ReqTools,
- uitilisation de l'installateur de Commodore,
volution du programme,
- sauvegarde de s
curit
- ...
@{fg shine}Inconv
nients :@{fg text}
- Amos ne respect pas tout
fait le syst
me de l'Amiga,
- les boutons de cyclage seraient mieux pour ma part en bouton menu
roulant pour une s
lection plus rapide et plus agr
able,
- il n'y a pas la possibilit
de s
lectionner le type d'
cran que l'on veut
(ex: Double Pal),
- sauvegarde automatique manquante
@{fg shine}Patrick PICO@{fg text}
Distribution: @{fg shine}domaine public shareware limit
50 op
rations
version compl
te pour 75 F.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myNewsvideo " News Vid
o (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" AMIGA (05-79)" LINK myAmiga}
@{" COMPATIBLE PC (05-79)" LINK myPc}
@{" MACINTOSH APPLE (05-79)" LINK myMac}
@{" VIDEO (05-79)" LINK myVideo}
@ENDNODE
@NODE myAmiga " AMIGA (05-79)"
@TOC myNewsvideo
@{fg shine}A M I G A@{fg text}
@{" BROADCASTER ELITE (05-79)" LINK myBroadelite}
@{" MAMBA (05-79)" LINK myMamba}
@{" ROASTER CHIP (05-79)" LINK myRoasterchip}
@{" RENDALE super 9402 (05-79)" LINK myRendale}
@ENDNODE
@NODE myBroadelite " BROADCASTER ELITE (05-79)"
@TOC myAmiga
@{fg shine}U n c o n c u r r e n t p o u r l e V L A B M O T I O N
?@{fg text}
BROADCASTER ELITE est une nouvelle carte de montage virtuelle qui de
par son prix (environ 35.000 FR) et ses performances cible surtout le
march
institutionnel ou amateur fortun
. La carte est install
sur un slot
ZORRO III et bien sur est compatible AMIGA 4000
l'Arri
re on trouve un
report de connexion qui se connecte
un bo
tier lequel dispose de toute la
connectique n
cessaire
savoir entr
e/sortie vid
o (YUV, YC, et
composite) et TIME CODE (VITC et LTC).
Le logiciel offre presque toute les fonctions que l'on souhaiterez
trouv
e sur se type de carte, EDLINE CONTROLE piste Audio et interface de
commande direct, je di presque car au niveaux des effets , le choix n'est
pas particuli
rement excitant, on ne disposez que des classiques effet de
fondu, volet et autre damier, aussi si vous en voulez plus il faudra passer
par ADPRO. Concernant le son la carte ne le g
re pas il faut rajouter une
carte type Sunrize ou si vous souhait
e plus performant, prochainement la
carte AUTRICHIENNE AMADEUS,
Au niveau qualit
il semble que l'on ne soit plus tr
s loin des normes
broadcast, malgr
la resolution 720*576 qui lui interdit cette
appellation BROADCAST (768*576
tant la norme ) mais la qualit
du signal
serait sup
rieur au PAR (
verifier). A titre d'information je rappelle que
1 Heures en qualit
BETA represente 10 gigabyte par comparaison en qualit
svhs cela repr
sente entre 6
7 GIGA.
@ENDNODE
@NODE myMamba " MAMBA (05-79)"
@TOC myAmiga
@{fg shine}M A M B A@{fg text}
Un nouveau codeur pal pour les AMIGAS ne disposant pas de sortie direct.
Prix au alentour de 400FR
@ENDNODE
@NODE myRoasterchip " ROASTER CHIP (05-79)"
@TOC myAmiga
@{fg shine}R O A S T E R C H I P@{fg text}
Il serait disponible en ANGLETERRE. Nous avions test
une version beta de
ce module d
la carte OPALVISION en Janvier n 75 (et la FRANCE??).
@ENDNODE
@NODE myRendale " RENDALE super 9402 (05-79)"
@TOC myAmiga
@{fg shine}R E N D A L E P R O P O S E@{fg text}
Un nouveau genlock le "super 9402" ce genlock dispose d'entr
e et de
sortie YC et Composite PAL il g
re les fonctions de transparence et de
fondu: prix environ 3000 FR
@ENDNODE
@NODE myPc " COMPATIBLE PC (05-79)"
@TOC myNewsvideo
@{fg shine}C O M P A T I B L E P C@{fg text}
@{" INTEL (05-79)" LINK myIntel}
@{" INTEL toujours (05-79)" LINK myInteltjs}
@{" Number nine (05-79)" LINK myNuber9}
@{" ZIP (05-79)" LINK myZip}
@ENDNODE
@NODE myIntel " INTEL (05-79)"
@TOC myPc
@{fg shine}I N T E L@{fg text}
vu pour le Deuxi
me semestre 1995 le P6 devrait rassurer plus d'un
utilisateur desireux d'evoluer concernant sa compatibilit
me si cela
lui interdit l'ax
e au clans tr
s ferm
e des processeur fonctionnent tout
en 64 bits (P ALPHA, POWER PC) , Le P6 fonctionne en 32 bits pour son
coeur d'ex
cution et dispose d'un cache de 256 Ko.
@ENDNODE
@NODE myInteltjs " INTEL toujours (05-79)"
@TOC myPc
@{fg shine}I N T E L t o u j o u r s@{fg text}
A la surprise des pourfendeurs du toujours plus vite intel vient de
montrer le contraire gr
ce a ses nouvelles carte m
re zappa cette
nouvelle carte bas
e sur Pentium fonctionne
75 MHz mais s'av
re plus
rapide que les anciennes carte
90Mhz. A cela plusieurs raisons: tout
d'abord l'utilisation de nouveaux jeux de composants PCI ( TRITON) qui
permettent l'am
lioration du bus PCI mais surtout la possibilit
d'utiliser
une nouvelle m
moire (EDO RAM) qui s'av
re beaucoup plus rapide permettant
au constructeur de faire l'
conomie de m
moire cache.
@ENDNODE
@NODE myNuber9 " Number nine (05-79)"
@TOC myPc
@{fg shine}N u m b e r N I N E@{fg text}
Une carte graphique 64 Bits s'est bien?.....Non s'
tait bien car a peine
sortie elle vont
tre concurrenc
e par les cartes 128 bits, ainsi la
imagine devrait sortir une nouvelle carte la number nine, cette
carte permettrait l'affichage de trac
es de ligne
la vitesse de 500
millions de points par seconde.
@ENDNODE
@NODE myZip " ZIP (05-79)"
@TOC myPc
@{fg shine}Z I P@{fg text}
La solution
conomique pour le stockage de vos donn
es distribu
par la
IOMEGA le ZIP reprend le principe des disques Bernoulli. Le
lecteur fonctionne sur PC,MAC ou Portable et il est vraiment l
ger 450g le
temps d'acc
s est de 29 ms et la vitesse de transfert jusqu'a 1,25 Mo.
Les disques de petite taille permettent de contenir 100 mo ou 25 Mo enfin
bonne nouvelle le prix 1200 Fr TTC environ pour le lecteur et 120 Fr TTC
pour les disquettes de 100 Mo.
@ENDNODE
@NODE myMac " MACINTOSH APPLE (05-79)"
@TOC myNewsvideo
@{fg shine}M A C I N T O S H A P P L E@{fg text}
@{" Bus PCI (05-79)" LINK myPci}
@{" DIMM (05-79)" LINK myDimm}
@ENDNODE
@NODE myPci " Bus PCI (05-79)"
@TOC myMac
@{fg shine}B U S P C I@{fg text}
sera chaud chez APPLE, ainsi il semble se confirmer le choix du bus
PCI pour ces nouvelle machines . Ce bus serait d
sous deux formes la
premi
re devant
tre un bus PCI classique et la deuxi
me un nouveaux
format PCI, ce type de Bus devrait entre autre am
liorer le d
bit des
cartes vid
o. Concernant les entr
es/sorties vid
o elles ne seraientt pas
en reste puisque l'on disposerait des brochages yc et composites
@ENDNODE
@NODE myDimm " DIMM (05-79)"
@TOC myMac
@{fg shine}D I M M@{fg text}
Les SIMMS
la retraite: Vous croyez disposer du "top" en mati
re de
moire et bien non il semblerait que APPLE souhaite int
e dans ses
prochains POWER PC a bus PCI un nouveau type de m
moire 64 bits, ces
nouvelles m
moire
168 Broches dont le nom de code est DIMM permettrait
d'amener la capacit
moire
1GIGA.
@ENDNODE
@NODE myVideo " VIDEO (05-79)"
@TOC myNewsvideo
@{fg shine}V I D E O@{fg text}
@{" CPJ-100E (05-79)" LINK myCpj}
@{" HR-S6900 JVC (05-79)" LINK myHrs6900}
@{" M
ridiens 95 (05-79)" LINK myMeridiens}
@ENDNODE
@NODE myCpj " CPJ-100E (05-79)"
@TOC myVideo
@{fg shine}C P J - 1 0 0 E@{fg text}
Vid
o projecteur grand public (environ 9000Fr) le CPJ-100E permet des
projections dons le format put aller jusqu'a 120*90 cm au del
projection perd en qualit
, d'une d
finition de 300 lignes il est
d'un panneau LCD de 180 000 pixels d'entr
e PAL composite et YC ainsi que
de deux haut-parleurs de 300mw
@ENDNODE
@NODE myHrs6900 " HR-S6900 JVC (05-79)"
@TOC myVideo
@{fg shine}J V C - H R - S 6 9 0 0@{fg text}
JVC remplace le magn
toscope SVHS HRS-5900 par le HR-S6900, recherche
visuelle acc
e (environ 15 fois), temps de r
action optimis
s (express
system), lecture du format Americain NTSC, NICAM et pour finir le proc
SQ d'am
lioration de l'image.
@ENDNODE
@NODE myMeridiens " M
ridiens 95 (05-79)"
@TOC myVideo
@{fg shine}M
r i d i e n s 9 5
les 3
me rencontres de l'image@{fg text}
"Conscient qu'il existe en Europe ue importante production ind
pendante
manant de jeunes r
alisateurs talentueux, M
ridiens d
sire assurer la
promotion des meilleurs auteurs et oeuvres aupr
s du public et des
diffuseurs afin qu'ils puissent
tre reconnus du milieu professionnel comme
auteurs et oeuvres de qualit
. C'est pourquoi M
ridiens, les troisi
rencontres de l'image, auront lieu
AUBAGNE du 29 Novembre au 2 D
cembre
1995."
Si vous
tes r
alisateurs d'une vid
o, d'un court m
trage ou d'animations
en images de synth
se n'h
sitez pas
vous procurer un dossier
d'inscription pour cette manifestation dont on parle de plus en plus comme
un rendez vous obligatoire de la jeune cr
ation europ
enne.
@{fg shine}Envoyez vos cr
ations avant le 31 AOUT 1995
Dossier d'inscription: M
ridiens - mas Irisia, chemin des Ravau 13400
AUBAGNE
l: 42-037-636 Fax: 42-039-634@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myAvisamateur " L'avis d'un vid
aste amateur (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L ' A m i g a e n t
t e p o u r l a v i d
L'avis d'un vid
aste amateur@{fg text}
En mati
re de vid
o num
rique le plus gros des PC ne peut pas faire ce
que le plus petit des Amiga fait depuis 10 ans. Quand il se vend des
millions de camescopes et des millions de magn
toscopes, il y a beaucoup de
chances pour que quelques cin
astes d
sirent faire des titrages, des
trucages, des insertions dans leurs films. @{"Je fais partie de ces gens" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Morinmontage.16c"}
depuis bien longtemps.
@{fg shine}D e s p e r f o r m a n c e s t o u j o u r s s y m p a@{fg text}
Si pour les d
veloppeurs la situation est pr
caire et m
me dramatique
pour certains, pour les vid
astes la situation est r
e, ils doivent se
cipiter dans les petites annonces pour trouver l'Amiga et son genlock
associ
. Il y a de bonnes affaires
faire. Pour ma part, au lieu
d'entreprendre une bataille perdue d'avance entre les diff
rents syst
mes,
j'ai la chance de pouvoir utiliser plusieurs ordinateurs.
@{"La bataille de l'Amiga et du PC n'a pas lieu chez moi" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Morinpcwin.256"}
, j'utilise au mieux chacun des deux. Donnant des cours depuis trois ans.
pour tous les programmes Microsoft, j'ai eu successivement un 386, puis un
486 SX25. J'ai d
acheter un 486 DX4 100 avec un giga pour pouvoir faire
mes documentations correctement.
Parler de 16 millions de couleurs en 600 x 800, c'est d
le P
rou (mais
il faut obligatoirement un gros syst
me), mais parler d'animations en
pleine page c'est d
fendu. Tout au plus on peut faire une petite bricole
la dimension d'une bo
te d'allumettes. Mais Bill Gates de Microsoft vend
1.000.000 de licences par mois. Microsoft s'appr
lancer ses propres
satellites de communication. Pendant ce laps de temps, j'ai gard
le m
Amiga, car les performances
taient toujours sympathiques, alors que le PC
s'est r
insuffisant.
@{fg shine}A n i m a t i o n , v i d
o, d e s s i n@{fg text}
Pour la bureautique j'utilise le PC et Microsoft Office. Pour ma liaison
INTERNET, j'utilise les logiciels de "feu" l'entreprise NEXT, les logiciels
font merveilles en la mati
re. et cela tourne sur un PC. Alors j'ai voulu
barrasser, (pardon aux amiga
stes) de mon Amiga. Je connais tr
s bien
des logiciels de dessin sur PC, comme Image-in. C'est vraiment remarquable
et simple
utiliser, mais....mais comment dessiner avec une brosse ?
Comment faire venir un titre ou une brosse du fond de l'
cran? Comment
avoir un page de brouillon? Comment avoir une animation en pleine page?
Alors je ne regrette pas d'avoir conserv
mon Amiga. Avec Deluxe Paint ou
Brillance c'est facile
faire.
J'ai voulu me d
barrasser de mon Amiga, car j'allais utiliser une carte
comme Video Machine, j'allais utiliser une " black Box " pour faire le "PC
to Vid
o". Apr
s quelques essais plus que d
cevant, j'ai gard
l'Amiga.
J'ai voulu me d
barrasser de mon Amiga car j'ai achet
, pour mon PC, le
logiciel "Tool Book" pour faire mes titres, reprendre des animations AVI,
reprendre des images scann
es etc. Le r
sultat est bon, c'est vrai. Mais le
temps
mettre pour
crire seulement le titre, faire un scroll sur la
seconde page, est important et cela demande d'intervenir sur plusieurs
modules et sur un script qui se compile...Ce n'est pas un d
butant qui peut
s'en sortir.
Aussi, j'ai
content de retrouver le @{"Scala" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Morinscala.16c"} qui est sur mon Amiga Pour
faire la m
me chose il faut moins de 5 minutes contre 30 minutes sur le PC.
Je ne parle pas de la qualit
ou de l'originalit
du r
sultat, seulement
des facilit
s pour manipuler les images
mettre en s
quence. J'ai la
chance d'utiliser des produits Microsoft ou Lotus. Il est vrai que toutes
les options que l'on y trouve sont remarquables. Mais seulement 10 ou 15%
sont r
ellement utilis
es. Le rouleau compresseur Microsoft exige que l'on
passe de Excel 3, puis Excel 4, puis Excel 5 en moins de temps qu'il faut
pour parcourir et mettre en service la premi
re version. Mais c'est une loi
versible. Chez Amiga, nous avons toujours eu l'habitude de faire une
ne d'information entre les passionn
s. Il faut donc placer l'Amiga l
il est seul sur son cr
neau. Oui, il est tout seul et imbattable. Vous
trouvez d'occasion un Amiga 2000 avec son genlock et les logiciels associ
pour le prix d'une "boite Vid
o Cut et Titre" avec une police de
caract
res, un clavier microscopique, sans accents, avec deux effets, avec
4 couleurs, etc., c'est
dire la pauvret
. Par contre avec cet Amiga, vous
paterez tout votre entourage.
@{fg shine}T
m o i g n a g e ...@{fg text}
J'ai fait, r
cemment, un film anim
pour pr
senter un logiciel
professionnel
une centaine de banquiers de Gen
ve. Cette animation
durait une dizaine de minutes. J'ai projet
ce film sur un
cran de 4
tres carr
s avec le dernier Beamer de chez Sony. Le story board a
accept
par ma direction et par mes coll
gues. Bien sur j'ai fait des
essais et des projections pour les mises au point. Mais,
la veille de la
sentation, il m'a fallu faire une modification dans ce film. Je me suis
bien gard
de dire que c'
tait facile. Mais il est clair qu'aucun
professionnel avec les outils actuels n'aurait accept
de faire cette
modification dans l'encha
nement des sc
nes et des textes. Avec Scala qui
reprenait une animation faite avec Deluxe Paint ce f
t un jeu d'enfant.
J'ai recoll
la bande son, et enregistrer de nouveau. En une heure tout
tait fini. Le lendemain, gr
l'Amiga, j'ai eu mon petit succ
s... les
professionnels avaient dit que c'
taient impossible !
Merci
AmigaNews de raconter sous une nouvelle rubrique "Vid
rique", l'histoire que les vid
astes recherchent. Le reportage sur ce
qui se passe
Toulouse d
passe les querelles et d
montre, s'il en est
encore besoin, que l'Amiga fait gagner de l'argent. Il faut mettre l'Amiga
sur ce cr
neau ENORME de la vid
o, il faut que les amateurs et m
me les
PROs d
nichent les Amigas encore disponibles. Il faut faire de la publicit
pour les performances et les r
sultats
poustouflants qu'offre l'Amiga.
Tous les Amigas sont
rechercher, 500, 1000, 2000, 3000, 1200, 4000 ...
tous ont le son et la vid
o naturelle, tous ont le plein
cran, tous
utilisent les m
mes programmes. Et pour les plus humbles qui ne sont pas
riches : vous pourrez faire en quatre couleurs et en basse r
solution des
titres qui
merveilleront votre famille. Pour faire la m
me chose avec un
PC il faut encore attendre un moment. (C'est annonc
avec le Pentium et
Windows 95)
Oui, vid
o num
rique, oui S-VHS, oui HI8 .... des millions de vid
astes
attendent encore aujourd'hui une publicit
fracassante qui ferait de
l'Amiga un passage oblig
. Merci
AmigaNews d'ouvrir largement ses
colonnes
ce ph
ne de soci
qu'est la vid
o. Si la pouss
e des
utilisateurs pouvait
tre assez forte pour que les repreneurs comprennent
leur int
t dans le march
de l'Amiga, ce serait aussi formidable que
l'Amiga. Merci et Bravo
l'Amiga il n'est pas mort car les amiga
stes sont
vivants.
@{fg shine}J
rome MORIN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myLw " LightWave (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e e n p r a t i q u e
Animation : le bout du tunnel@{fg text}
Le mois dernier nous avons termin
notre billard. La fonction
main
e est souple, n'est-ce pas? J'esp
re que cette lampe ne vous a pas
trop de fils
retordre et que la technique pour donner
un objet
une certaine surface,vous a
profitable (texture Or). Une petite erreur
s'est gliss
e dans le texte au niveau de l'appellation d'une image mais je
suis s
r que vous l'avez corrig
Cet exercice quatre est un grand moment, puisqu'aujourd'hui nous allons
bouger... Alors, pr
parez bristol et autres fiches car la technique est
ressante. Cependant, le temps de calcul du r
sultat est directement
multipli
par le nombre d'images.
La partie mod
lisation est tr
s courte mais il est n
cessaire de la
suivre le plus pr
ment possible. Alors, attention aux
chelles sur les
vues en r
rence.
Exercice n
4: LE BOUT DU TUNNEL (pour Commodore?)
* La mod
lisation
-> Utilisation d'une macro
* Le plateau
-> Les LensFlares, du type
POINT et diverses options
@{fg shine}L e m o d e l e u r@{fg text}
Nous allons construire un tunnel rempli d'eau, du type
gout ~Bah !!~,
l'int
rieur duquel notre cam
ra va se balader jusqu'
la sortie.
Comme d'habitude, donnons un nom
ce premier objet.
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Tunnel"
Create, OK
Sur la vue de face,
* Objects:Create/Disc | Numeric
Remplissez suivant l'axe : Z
side 16 (8 pour les machines pauvres en m
moire)
Segment 1
Bottom=Top=0
Center X,Y,Z=0
Radius X=Y=1, Z=0
EN METRE
OK, Validez
* Changez de m
moire (n
2) et s
lectionnez l'ombre de la m
moire n
* D
placez vos trois vue pour travailler sur celle de dessus.
* Polygon:Create/Points
En commen
ant par le centre X=Z=0, placez plusieurs points suivant fig
@{"Chemin.Points" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw1.8c"}
* Tools:Curves/Make
Ceci correspond au chemin que va suivre la cam
* Objects:Fetch/Macro
Restez appuy
sur le bouton de gauche de la souris et s
lectionnez "Path to
Motion"
Remplissez suivant fig. @{"Macro.Cam
ra" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw3.8c"}
Un requester de fichier appara
t, sauvez le chemin sous le nom de
"Chemin.Camera"
* Inversez les m
moires (n
1) + l'ombre de la m
moire n
* @{"Multiply:Sweep/Rail ext" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw2.8c"}
, Nous avons donn
corps au tunnel.
Il ne reste plus qu'
er une surface qui sera l'eau dans le tunnel
* Objects:Options
Renommez dans le requester apparu en "Eau"
Create, OK
* Objects:Create/Box
Toujours sur la vue de dessus, encadrez le tunnel en tirant cette boite
la main.
Validez
* Sur la vue de FACE:
Cliquez sur le point de gauche puis de droite (avec Shift)
* Modify:Position/Move
Positionnez
la main votre surface, en descendant de 1/2 de la hauteur du
tunnel vers le bas (Axe Y)
* Export "new" ou Save As
nommez en "TUNNEL"
@{fg shine}L e p l a t e a u@{fg text}
Pour ceux qui ont sauv
l'objet, rechargez-le maintenant.
Les personnes qui ont export
devraient
tre d
* View/Camera
Edit/Camera
* Motion Graph
Load Motion "Chemin.camera"
Enclenchez Align to Path
Use Motion
cf fig @{"Camera.motion" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw4.8c"}
Cette fonction vient d'astreindre la cam
emprunter le chemin
sauvegard
lors de la mod
lisation
Si vous avez une machine puissante vous pouvez faire une petite
visualisation,
* Preview: Make preview
de l'image 1
300 par exemple, sinon passez cette partie
Allez, on place les lumi
res et on r
gle nos attributs, et enfin le calcul.
* Light
lectionnez les diverses fonctions en suivant fig @{"Menu-Light" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw5.8c"}, entrez dans
Flare Option et s
lectionnez suivant fig @{"Lens flare option" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lw6.8c"}.
Continue
Notez que:
- Intensity Falloff, correspond
l'att
nuation de la lumi
re en fonction
de l'
loignement de la source.
- Dans les options du lens flare, Fade behind objs, sert
masquer les
res lorsqu'elles sont derri
re des objets (sinon elles passent au
travers).
* Edit Light
* Numeric input: X=Z=0, Y=0.65
* Validez, OK (ou Create key)
Maintenant que notre lampe est r
e et positionn
e en hauteur, nous
allons la cloner 10 ou 15 fois afin de placer tout au long de notre tunnel
des sources lumineuses.
* Light
CLone light ( entrez 10 ou 15 )
Continue
* View/XZ
Edit/Light
lectionnez Light (2)
(Vous pouvez zoomer ou d
zoomer sur le tunnel avec ";" ou ":")
Vous
tes en vue de dessus, placez cette deuxi
me lampe
quelques
blures de la premi
ce aux fl
ches mont
e/descente du clavier, vous pouvez sauter de lampe
en lampe et ainsi placer toutes les autres, le long du tunnel.
N'oubliez pas de faire:
* Validez, OK (ou Create key),
chaque fois.
* Surface
(Toutes les surfaces, une
une)
Maintenant, param
trez suivant les @{"tableaux 1et 2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Lwtablo.4c"}.
* Camera
Trace reflection
Zoom facteur 1.5
N'oubliez pas de r
gler votre 'segment memory' en fonction de votre m
moire
disponible
* Scene
Last frame: 300
save scene
nommez en 'Le_Tunnel'
* Objects
save all objects
* Record
Save RGB
nommez en 'Egout'
Il en ressortira une s
rie d'images (@{" Egout.001 " SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMAI/Lwimage.jpg"}, @{" Egout.002 " SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicMAI/Lwimbrou.jpg"},...) qu'il
vous faudra assembler en anim avec AdPro/Fred ou le tout nouveau AutoFX
(d'ImageFx).
Si vous n'avez pas ces logiciels, au lieu de 'Save RGB', faites plut
t un
'Save Anim' mais vous ne pourrez pas arr
ter le traitement en cours afin de
le reprendre plus tard. Voil
, c'est termin
* Render
enclenchez 'Automatic'
pour calculer toutes les images.
Il faudra attendre environ 30 mn par image sur un 4000/040 18 Mo en 1/2
Ici, ce n'est plus une, mais plut
t 300 images que la machine va calculer,
le temps
norme d'int
gration. Je ne peux que vous conseiller de
calculer cette anim en 1/4 de vid
o (menu cam
Bon courage, le mois prochain, on jette un oeil du c
des textures.
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE myInternet " Internet (05-79)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e n e t s u r f i n g , s p o r t n a t i o n a l
La vague du Net@{fg text}
Grands sportifs de l'esprit, les habitants d'Internet s'adonnent
exercice insolite: le netsurfing. Sa pratique consiste
se saisir de sa
planche du Cyberspace, s'
lancer sur la fibre optique et se laisser porter
par la vague WWW (World Wide Web) du Net.
@{fg shine}L a p l a n c h e d e s u r f@{fg text}
Elle porte le plus souvent le nom de Mosaic, @{"Netscape" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicMAI/Nettigre.8bt"}, WinWeb, MacWeb,
Arena, HotJava, AmigaMosaic (clients graphiques) ou Lynx (client texte) et
est disponible via @{fg shine}ftp://ftp.mcom.com/@{fg text} C'est l'interface la plus
intuitive et la plus conviviable pour la recherche et la visualisation de
documents multim
dias. D'un simple clic de souris, il est possible de
naviguer de lien en lien (comme pour Amigaguide) ceux-ci
tant alors
moris
s. Ainsi, comme pour le petit poucet il subsiste une trace de
passage qui
vitera au surfeur de tourner en rond. Au gr
de sa fantaisie,
il pourra lancer une animation, agrandir une image,
couter un son et bien
entendu, r
rer ce qui lui a particuli
rement plu.
@{fg shine}D
c o u v r i r q u o i@{fg text}
Tout. Sachant que la question que se posera le plus souvent le netsurfeur
n'est pas tant de savoir si ce qu'il recherche existe mais plut
cela
se trouve. Plus concr
tement, il pourra acc
der aux sites des plus grandes
industries, universit
s, centres de recherche du monde qui mettent
disposition documentations techniques et informations sur leurs activit
Il pourra aussi faire de la recherche documentaire, consulter des archives,
rendre visite
des entit
s culturelles. Cin
phile, il trouvera tout ce
qu'il d
sire sur les derniers films. Qu'il soit roliste, radio amateur,
assoiff
de litt
rature sur la science fiction ou classique, qu'il pratique
le karat
ou le winsurf.., il existe sur Internet une vague faite pour lui.
@{fg shine}T r o u v e r l a v a g u e@{fg text}
Une URL (Uniform Resource Locator) est toujours sous la forme suivante @{fg shine}
<protocole>://<nom_de_site>/repertoire@{fg text}. <Protocole> se remplace par @{fg shine}
http, gopher, telnet, ou ftp@{fg text}. Aux U.S.A., les grandes organisations ont
leur page WWW sous la forme @{fg shine}http://www.nom.com@{fg text} (nom devient @{fg shine}apple,
le langage PCL5. REt (Resolution Enhancement technology) et MEt (Memory
Enhancement tecnology). Un port parall
le Centronics, un port parall
High Speed Bidi, un port Apple-Local-Talk, un port infra-rouge IrDA. Papier
de 76 x 127
216 x 356 mm. DM 2300.
@ENDNODE
@NODE juXipaint " XI-PAINT (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}X I - P A I N T@{fg text}
Voir "le coin du Merliniste". La version 3.1 vient de sortir pour
Cybervision 64.
@{fg shine}MacroSystem ou directement l'auteur : Thomas Dorn, Kerpengasse 69, A-
1210 Wien. Autriche. T
l (1) 2 71 45 50 Fax (1) 2 71 45 49.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juMaxon " LETS MAXON TWIST AGAIN (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}L E T S M A X O N T W I S T A G A I N@{fg text}
La version 2.2 du c
bre programme de base de donn
es nous apporte sa
moisson de nouveaut
s. Des scripts ARexx facilitent l'acc
s aux habitu
s de
SuperBase et DataMat Professional. La vitesse de rafra
chissement d'
cran a
sensiblement am
e ainsi que la conversion de types. L'impression
tiquettes se fait en plusieurs colonnes parall
@{fg shine}DM 350. Mise
jour 1.x DM 100. Mise
jour 2.0 DM 40. Maxon.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juPmanager2 " PICTURE MANAGER 2.0 (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}P I C T U R E M A N A G E R 2 . 0@{fg text}
La banque d'images peut d
sent utiliser les cartes graphiques
des visualiseurs externes. Le format Photo-CD Kodak est reconnu et
convertible IFF. On peut montrer sur un
cran de 1280 par 1024 jusqu'
miniphotos
chantillons.
@{fg shine}DM 130. IrseeSoft IS.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juMainactorb " MAINACTOR BROADCAST (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}M A I N A C T O R B R O A D C A S T@{fg text}
Compliqu
est le destin de l'acteur principal. D'abord commercial, puis
shareware et de nouveau commercial. En tous cas d'une excellente qualit
L'interface graphique, compl
tement remani
e, est tr
s intuitive. Des
modules d'effets agissent directement sur les animations. Des modules de
retouche graphique sont pr
vus. L'accompagnement sonore reconna
t 19
formats, le volume et la balance sont r
glables. Le vocabulaire ARexx a
aggrandi. De nouveaux modules de chargement et de sauvegarde ont fait leur
apparition : AVI, JPEG et QuickTime. Le chargement des animations est
des fichiers Index. DM 400. Les utilisateurs enregistr
de MainActor "Professional" auront un tarif pr
rentiel non encore estim
Village Tronic.
@ENDNODE
@NODE juTurboprint " TURBOPRINT 4.0 (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}T U R B O P R I N T 4 . 0@{fg text}
turbine chez IrseeSoft. Les versions se succ
dent
un rythme effr
Ne reculant devant aucun tabou, on l
che dans la nature des "
mulateurs
intelligents" qui permettent sans aucune fastidieuse param
trisation une
qualit
parfaite d'impression. Le tout nouveau syst
me "TrueMatch" de
correction de couleurs autorise une similitude pouss
e entre l'
cran et le
papier (wysiwyg). Une optimisation du code (depuis le d
but du produit,
rement en assembleur rappelons-le) ainsi qu'un tout nouvel algorithme
assurent une vitesse de travail honorable. Rassurons-nous, tout n'est pas
diablement automatique, l'utilisateur peut encore modifier
l'impression
son gr
Le "PrintManager" toujours livr
avec, a re
u de nouvelles fonctions.
Ainsi peut-on enfin placer et accommoder son graphique dans la page "
souris". Un contr
le graphique permet de visualiser le r
sultat
cran
avant impression. M
me les graphiques 24 bits sont tram
s en 256 couleurs
sur les machines AGA. Les formats reconnus sont JPEG, IFF ,GIF, PCX, BMP,
et YUV. Les menus sont dor
navant con
us dans le style OS 2.0/3.0. Les
caract
ristiques des diff
rentes imprimantes sont dans la mesure du
possible respect
es, ainsi les modes
conomiques ou les papiers sp
cifiques
sont-ils clairement ajustables. Enfin m
me les derniers mod
d'imprimantes ont leur
mulation comme DeskJet 540C, Canon BJC-70 et la
rie Epson Stylus. DM 150. IrseeSoft.
@ENDNODE
@NODE juCastillian " CASTILLIAN 2.7 (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}C A S T I L L I A N 2 . 7@{fg text}
Optimisation du convertisseur d'objets 3D. Reconnaissance du format
Cinema 4D Professional. Nouvelle version aussi pour les processeurs 68020.
@{fg shine}DM 190. Innovation & Fantasy Development.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juAcut110 " A-CUT 1.10 (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}A - C U T 1 . 1 0@{fg text}
lioration du logiciel pour le p
rique de montage A-Cut. La liste
des s
quences se conserve sur fichier et peut
galement s'imprimer. En
outre, la liste des codes-syst
mes a
actualis
e en fonction des
nouveaux magn
toscopes apparus sur le march
. La routine de positionnement
nettement am
@{fg shine}Mise
jour DM 30. hama.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juAsimcdfs3 " AsimCDFS 3.0 (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}A s i m C D F S 3 . 0@{fg text}
Ce file-syst
me pour CD-ROM qui lisait d
ISO 9660, High Sierra et le
format MacIntosh HFS accueille FishMarket et Asim Tunes 3.0 dans sa
distribution. Les nouvelles
mulations sont CDTV, CD32 et CD-Photos Kodak.
Les pr
rences ont droit
un programme dans le r
pertoire Prefs. Port
ARexx et polyglose (fran
ais, anglais, allemand) compl
tent la sauce.
@{fg shine}DM 150. AmigaOberland.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juBankechant " Banque d'
chantillons (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}B A N Q U E D ' E C H A N T I L L O N S@{fg text}
Echantillons sonores pour les cartes audio Mignon 3.0 et Toccata.
Compatibles MIDI, les
chantillons 16 bits ont
recueillis avec une
quence de 22 KHz.On peut les utiliser sur tout Amiga pourvu d'une
Toccata en huit voix polyphoniques.
@{fg shine}DM 100. SEK'D/PSC Soft.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juTestall " TESTS ALLEMANDS (06-80)"
@TOC juActuAlleman
@{fg shine}T E S T S A L L E M A N D S@{fg text}
@{" CYBERSTORM 060/50 (06-80)" LINK juCyberStorm}
@{" GOLDED 2.05 (06-80)" LINK juGolded}
@{" TV-PAINT 3.0 (06-80)" LINK juTvpaint}
@{" DISTANT SUNS 5.0 (06-80)" LINK juDistantsuns}
@{" GPFAX V 2.347 (06-80)" LINK juGpfax}
@{" GURU-ROM V6 (06-80)" LINK juGururom}
@{" AURA 1.0 (06-80)" LINK juAura}
@{" AMIGA 500 TOWER (06-80)" LINK juA500t}
@ENDNODE
@NODE juCyberStorm " CYBERSTORM 060/50 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}11,3/12 - C Y B E R S T O R M 0 6 0 / 5 0
Test Amiga Magazin 5/95.@{fg text}
Avec module RAM DM 2495. module SCSI DM 398. Module I/O avec SCSI,port-
rie et Ethernet DM 798. Mise
niveau de 68040/40
68060/50 DM 995
(Phase 5)
@{"La carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cyberstorm.8bt"} va
tre ador
e par les calculateurs d'animations et d'
@{"images de synth
se" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Tablocomp.16c"}.
Mais
galement dans le domaine de la PAO, d'
normes gains de temps sont
cier.
(+) : Installation facile. Grande puissance. Les RAM
80 ns offrent la
plus grande puissance. Concept modulaire.
(-) : Prix un peu
Notons qu'on attend de chez Motorola un 68060
66 MHz et 80 MHz, ainsi
qu'un 100 MHz si la demande est suffisante.
@ENDNODE
@NODE juGolded " GOLDED 2.05 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}10,8/12 - G O L D E D 2 . 0 5
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Dietmar Eilert, Mies-van-der-Rohe-Str. 31, Aachen. T
l et Fax (241) 8 16
65) (DM 35)
GoldEd poss
de tout ce qu'un
diteur adulte doit poss
der, est facile
utiliser et pr
sente une interface graphique harmonieuse.
(+): Flexible, interface parfaite, Undo illimit
, templates, syst
me de
rence, macros et gros vocabulaire ARexx.
(-): Pas de blocs en colonne, pr
rences globales au lieu de d
pendantes
du texte.
@ENDNODE
@NODE juTvpaint " TV-PAINT 3.0 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}8,8/12 - T V - P A I N T 3 . 0
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
TecSoft - DM 1675
TVPaint 3.0 est le meilleur programme de dessin
un prix honteusement
(+): Rapide. Nouveau requester de fontes. Fonctions de retouche.
Technique en layers (niveaux superposables).
(-): Beaucoup trop cher. Pas de fonction Undo illimit
e. Un seul projet
la fois. En anglais dans le texte. Tr
s gros besoins syst
me. Pas de
fonction d'impression.
@ENDNODE
@NODE juDistantsuns " DISTANT SUNS 5.0 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}11,2/12 - D I S T A N T S U N S 5 .0
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Virtual Reality Laboratories Inc. 2341, Ganador Court, San Luis Obispo,
CA 93401 USA. (US$ 99,95)
Etonnant programme pour les astronomes amateurs. De nombreuses
possibilit
s tant en usage didactique, que d
monstration ou utilisation
nocturne. Les chercheurs de com
tes et les astrophotographes vont trouver
leur bonheur dans le CD-ROM GSC (Hubble Guide Star Catalog : plus de 16
millions d'
toiles jusqu'
la seizi
me magnitude).
(+) : Position de l'observateur pas seulement
la surface de la Terre.
Calcul des globes plan
taires. Com
tes et ast
des. Port ARexx.
Compatible toutes configurations. Beaucoup de disquettes (et de CD).
Confectionne des diagrammes standard et des tableaux d'
rides. Bon
manuel (de plus tr
s didactique). Fonctions d'animation.
(-) : Les lunes galil
ennes (satellites de Jupiter) sont ignor
es. Pas de
possibilit
s d'impression directe des cartes c
lestes. Gurus fr
quents avec
2 Mo de RAM.
@ENDNODE
@NODE juGpfax " GPFAX V 2.347 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}9,6/12 - G P F A X V 2 . 3 4 7
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Stefan Ossowski's Schatztruhe (DM 120)
GPFax est un programme qui poss
de tout ce dont un utilisateur b
ta a
besoin. A part @{"l'interface graphique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Gpfax.8bt"} qui aurait besoin d'un bon lifting,
pas de gros reproches.
(+): Facile
apprendre. Emulation imprimante automatique. Comprend les
instructions de classes 1 et 2. Adaptabilit
aux modems exotiques. Envoi
automatique de fax. Bonne interface ARexx. Compatible OS 1.3.
(-): Interface anglaise et programm
e non-conforme. Impossibilit
passer du programme au Workbench. Parfois utilisation peu pratique. Pas de
fonction Polling.
@ENDNODE
@NODE juGururom " GURU-ROM V6 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}11,6/12 - G U R U - R O M V 6
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Stefan Ossowski's Schatztruhe (DM 80)
Cette @{"ROM pour contr
leurs GVP SCSI" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Gururom.8bt"} est compatible avec les SeriesII Host-
Adapter pour Amiga 500/2000/3000/4000, les cartes acc
ratrices A530 Turbo
pour A 500/500+, les cartes Combo et G-Force pour A2000, les contr
leurs
SCSI "FANG" pour Amiga 1200. C'est le Nec Plus Ultra pour tous les produits
GVP cit
s. On ne peut tirer plus d'un Zorro-II.
(+): Rapide.Compatible. Patches pour r
soudre les probl
mes connus.
Compatible SCSI-1 et SCSI-2. Soutient
galement les streamers, Scanners,
lecteurs de CD-ROM et lecteurs de disques durs
cartouches.
(-): N
@ENDNODE
@NODE juAura " AURA 1.0 (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}9,1/12 - A U R A 1 . 0
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Aura est un module
chantillonneur 12 bits PCMCIA pour les Amiga 600 et
1200. Il fonctionne avec le logiciel l'accompagnant et OctaMed 5.04. C'est
la seule possibilit
pour les Amiga sans architecture ouverte d'am
liorer
la gestion du son.
(+) : Interface graphique claire. Filtres efficaces avec visualisation
FFT. Installation facile. Sauvegarde en plusieurs formats. Manuel
spirale
clair. Pas de surcharge du syst
me gr
la fluidit
du port PCMCIA.
(-) : Qualit
moyenne des circuits de connection. Le logiciel ouvre son
propre
cran. Les param
tres d'effets restent...sans effet.
@ENDNODE
@NODE juA500t " AMIGA 500 TOWER (06-80)"
@TOC juTestall
@{fg shine}10,3/12 - A M I G A 5 0 0 T O W E R
Test Amiga Magazin 5/95@{fg text}
Avec ce @{"Tower" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/A500tower.8bt"} (avec carte-fille, 3 Zorro II, une MMU, deux emplacements
PC, un habillage de clavier), votre 500 fait une v
ritable cure de
rajeunissement. Les petits probl
ventuels de compatibilit
troublent pas la bonne impression g
rale.
(+): Bonne compatibilit
. Beaucoup de place. Montage facile. Allure
gante.
(-): Un peu cher. Une alimentation plus puissante est en sus.
@ENDNODE
@NODE juMultilcd " Multi-lecteur CD (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M u l t i - l e c t e u r C D Nakamichi MBR-7
Sept CD Roms sur le Workbench@{fg text}
Un gros bo
tier de 200 cm de largeur, 100 cm de haut, 320 cm de
profondeur. En @{"face avant" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Nakaface.8bt"}, sept touches coorespondant aux disques, un
bouton de volume, une prise casque et le tiroir de chargement. On charge
les disques un
un dans chaque logement interne par l'interm
diaire des
touches. En @{"face arri
re" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Nakaar.8bt"}, deux connecteurs SCSI Centronics 50, une sortie
audio cinch st
o (la qualit
de cette sortie est excellente pour une
fois... peu de bruit d'alimentation, ni de d
faut de conversion). On
trouve aussi six switches permettant de d
finir le num
ro SCSI, le check de
parit
, la compatibilit
SCSI II (cet appareil fonctionnant uniquement en
SCSI II la pr
sence de ce switch est inutile), et un dernier switch
finissant si on valide le terminateur ACTIF interne (tr
s bon ce
terminateur). Le package comprend aussi un c
ble SCSI Centronics50- DB 25
permettant de se connecter sur tout contr
leur SCSI II poss
dant une sortie
externe en DB25.
@{fg shine}F o n c t i o n n e m e n t@{fg text}
Cet appareil ne prend qu'une adresse SCSI: on acc
de aux sept disques par
les LUNs (Logical Unit Number)! Le syst
me standard ne permet pas l'acc
aux LUNs (ou je n'ai pas trouv
, tout conseil est le bienvenu). Il faudra
donc utiliser un logiciel externe permettant d'acc
der aux LUNs: le DP nous
fournit @{"AmiCDROM" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Mountlist2.16c"} (version 1.15) et en commercial @{"AsimCDFS" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Mountlist.16c"} version 2.0 (la
version 3.0 est sortie). Ce logiciel permet de tout commander via ARexx
(mount, eject...). Sur ces deux CDfilesystems il faudra cr
er autant
d'entr
es en mountlist que de LUNs d
s (voir exemples ci-dessous). On
est oblig
de modifier les mountlist
la main.
Une fois ces devices mount
s, on a les septs CD accessibles sous WB,
seule restriction d'un petit d
lai de changement de CD. En effet, il n'y a
qu'un seul lecteur: le changement s'effectue en 8 secondes maximum (entre 3
et 8) contre 12 secondes pour le mount d'une unit
c'est constant, le
boot de votre machine prendra plus de deux minutes!) Ce lecteur est
multisession, double vitesse (un vrai double vitesse...).
Les tests on
s sur un A4000 40
40 Mhz avec, comme
contr
leurs, une Oktagon (carte non DMA SCSI II) et une GVP (DMA mais
compatible SCSI II) Les possesseurs d'Oktagon remarqueront l'acc
s direct
la carte qui, permet de voir les unit
mes lorsqu'il n'y a aucun disque
Michel: au d
marrage de la machine, il faut compter dans un premier temps
1mn37. Ensuite, le startup-sequence lit les fichiers dans le tiroir
DosDrivers. iI faut rajouter 2mn20, soit, avec une carte GVP S
rie II, un
peu moins de 4 minutes pour sept CD dans le lecteur. Vous avez la
possibilit
jecter le tiroir. De cette mani
re, vous
conomisez le
premier temps (1mn37). De plus, vous pouvez monter un seul CD, et monter
les autres selon vos besoins en mettant les ic
nes des Dosdrivers dans le
tiroir Storage/Dosdrivers
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Un tel lecteur est id
al pour une BBS ou un Amiga en r
seau. Il remplace
une batterie de lecteurs sans surcharger la chaine SCSI.
J'ai appr
: l'acc
s rapide aux divers CD, la qualit
du SCSI II,
terminateur actif int
, sonorit
audio propre, la qualit
canique .
J'ai moins aim
: le delai au boot (on ne peut plus rebooter tout le
temps...), l'obligation de pr
sence d'un disque dans le chargeur 0 pour la
reconnaissance du multiCD. et il est dommage que ce ne soit qu'un double
vitesse...
Un bon produit, un peu dur
mettre en oeuvre
cause des LUNs.
@{fg shine}Pascal RIELLAND@{fg text}
Distributeur: @{fg shine}Phoenix DP@{fg text}
Prix : @{fg shine}3.300 F (derni
res minutes)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juDkb50 " DKB 50MHZ (A1200) (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D K B M o o n g o o s e
5 0 M h z
Carte acc
ratrice 1200@{fg text}
Je ne ferai pas mon sempiternel discours sur l'apparition d'une carte
leratrice suppl
mentaire pour le 1200. Elle tourne
50 Mhz, dispose
d'une MMU, d'un copro
50 Mhz, d'une horloge et bien s
r d'un emplacement
pour une barrette SIMM.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n e t I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Con
ue sur la base de la DKB 1228 (voir ANews n
73), @{"la Moongoose" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dkb50.8bt"} est une
version plus rapide que cette derni
re. DKB a troqu
le 68030
28 Mhz pour
un autre
50 Mhz. Evidemment, le r
sultat est bien s
r une rapidit
accrue!
Signalons
ce propos que le processeur mont
sur la carte est un v
ritable
68030 certifi
50 Mhz. Il chauffe d'ailleurs beaucoup moins que celui de
l'Apollo 50 Mhz par exemple.
La Moongoose se pr
sente comme d'habitude, sous la forme d'une carte
enficher dans le port d'extension du 1200.
On peut utiliser un coprocesseur
une autre fr
quence que celle du 68030
mais il faut alors utiliser un autre oscillateur. Signalons aussi qu'il n'y
a qu'un seul emplacement de m
moire. La documentation fournie est en
anglais...
@{fg shine}U t i l i s a t i o n e t P e r f o r m a n c e s@{fg text}
Tout comme les autres cartes acc
ratrices cadenc
50 Mhz, la
Moongoose va vite, tr
s vite. La preview de Fears 2 (un succ
de DOOM)
est d'une fluidit
nomenale. Enfin, le 1200, est de fa
rale, tr
able
l'utilisation.
L'oie lunaire, (son nom dans la langue de Shakespeare) est livr
e avec un
programme permettant de reloger le kickstart en Rom sans utiliser la MMU.
La MMU est ainsi libre pour de la m
moire virtuelle ou toute chose qui vous
passera par la t
Ses performances sont
peu pr
quivalentes
celles des autres cartes
50 Mhz, quoiqu'un peu plus faibles. (voir @{"tableau AIBB" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dkbaibb.16c"}). J'ai eu quelques
petits probl
mes lors de l'installation de la carte dans mon 1200. Mise en
place, l'Amiga refusait tout simplement de d
marrer et affichait un
cran
tout rose! C'
tait un peu d
primant. En enlevant la m
moire de la carte, il
bootait mais la moongoose
tait reconnue
7 Mhz. Soit plus lentement que
le 1200 sans fast ram! Un comble. Il semblerait toutefois que ces probl
relevaient de mon Amiga car sur le 1200 d'un copain, tout va bien. Mon
Amiga n'est plus tr
s en forme (il n'a m
me plus de port parall
le qui
fonctionne) Je vous conseille toutefois, si vous en avez la possibilit
, de
tester la carte sur votre machine avant de l'acheter (ne serait-ce que pour
la compatibilit
avec le disque dur).
Michel: j'ai constat
le m
me probl
me sur le 1200 du journal. En fait,
il y a un point commun entre ces deux 1200. Tous deux ont la ROM 3.1
install
e. Apr
s un
change avec la ROM d'origine, tout est rentr
dans
l'ordre... Nous avons re
u en derni
re minute un FAX de DKB, nous indiquant
que le probl
me avec les ROM 3.1 et la m
moire sont r
solues. Donc si vous
avez les ROMs 3.1, v
rifiez bien que vous achetez la derni
re version de la
carte DKB Mongoose (le meilleur moyen est de l'essayer). Nous essaierons de
vous donner plus de d
tails le mois prochain.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Un bon achat, mais il est vraiment dommage que de telles cartes
n'arrivent que maintenant, le 1200 en aurait eu besoin dans les tout d
buts
t que d'avoir des cartes beaucoup plus ch
res comme les GVP. Mieux
vaut tard que jamais dit le proverbe. Mais trop tard...
(Merci
JEF pour le pr
t de son 1200)
@{fg shine}Ivan Daou
si2g17@corail.cict.fr@{fg text}
Distributeur: @{fg shine}Infonix@{fg text}
Prix : @{fg shine}avec processeur et copro
50Mhz
0Mo -> 2.990F TTC
4Mo -> 3.990F TTC@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juDpaint5 " Deluxe Paint 5 (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D P a i n t V
Le grand guru passe en 24 bits@{fg text}
Adorateur du grand guru DeluxePaint, la version 4.5 ne vous a pas combl
voici la version 5 qui arrive dans vos contr
es et toute en fran
ais, s'il
vous pla
t. Parmi les nouveaut
s, une plus grande utilisation du syst
Amiga, mode de dessin en 24 bits, macros ARexx, am
lioration de
l'animation. Mais, tout n'est pas rose...
Le paquetage comprend un imposant manuel de plus 350 pages en Fran
(qui dans les premi
res pages vous met en garde sur l'
pilepsie...:-),
quatre disquettes et une fiche contenant le num
ro de s
rie de votre
DPaint. L'installation se fait par le non moins connu Installer sans le
moindre probl
me. Si vous poss
dez une machine ayant un Workbench sup
rieur
gal au 2.1, DPaint pourra
tre en fran
ais. Je crois que c'est l'un des
premiers gros logiciels commercial d'
tre "localis
..." (alors qu'un tr
grand nombre de DP le sont d
depuis tr
s longtemps...).
@{fg shine}D e n o u v e l l e s f o n c t i o n s@{fg text}
Apr
s le procedure d'enregistrement,, une fen
tre s'ouvre sur le
Workbench pour @{"le choix de l'
cran" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dpecran.16c"}. Mon premier essai fut le mode 1024 par
768 sur la carte Domino (avec le syst
me CyberGfx 40.46): il est dommage
que cela ne fonctionne pas correctement... Cela aurait permis
un grand
nombre de personnes qui n'ont pas l'AGA mais une carte graphique de
dessiner en 256 couleurs (et surtout plus rapidement que l'AGA). Seul
PPaint peut actuellement le faire, mais ce petit coquin travail en Chip RAM
(limit
2Mo)!
Apr
s chargement du logiciel on d
couvre... que le look g
ral de Deluxe
Paint n'a pas chang
Maintenant DPaint peut travailler en 24 bits en interne avec visualisation
dans le nombre de couleurs d
es. C'est le m
me principe que True
Brilliance qui lui ne peut visualiser qu'en HAM 6 ou 8. Cette derni
mentation demande
videment plus de m
moire mais vous permettra de
passer le mode HAM8 et effectuer une conversion dans le nombre de
couleurs d
la fin de votre travail.
@{"L'a
rographe" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dpaint.256"}
grandement am
. Ce n'est pas un mal... Il est
possible de param
trer le flue et le rayon, moins performant que celui de
TVPaint mais honorable. Pour les nostalgiques, le lanc
de pixels
conserv
Pour les op
rations r
titives, ARexx a
impl
dans le logiciel.
Mais de fa
on intelligente: ce n'est pas un simple port ARexx. DPaint offre
la possibilit
d'enregistrer des macros et de les ex
cuter ult
rieurement.
Enfin un ARexx
la port
e du non programmeur. Ce principe devrait
appliqu
tous les programmes.
Les effets de mati
res naturelles sont tr
s int
ressants, il permettent
de donner un autre style
vos cr
ations, elles deviennent moins
informatique et plus "papier". Les tablettes sensibles
la pression sont
maintenant g
es. La fonction de baguette magique permet le d
coupage
d'une brosse de fa
on automatique suivant les contours. Ceux-ci seront
malheureusement que d
fini par la couleur 0: pas de gestion de tol
rance.
De nombreuses fonctions d'animation ont
implant
es. Le chargement
d'animations de toutes tailles est dor
navant possible (m
me virtuel), mais
ceux qui sont plus petites que l'
cran seront malheureusement converties en
pleine
cran. La @{"fonction de d
placement" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dpaint2.8c"} a
e: impl
mentation de
la transparence et positionnement des brosses
la souris. La fonction de
placement de cam
ra permet de r
aliser des "travellings". La table
lumineuse peut maintenant visualiser les 4 derni
res images de l'animation.
navant, il est possible de g
rer une palette et une vitesse d'affichage
pour chaque page. Ceci donne une plus grande souplesse de le travail des
animations. Enfin, le format Anim 8 est pris en compte.
@{fg shine}L a v i t e s s e . . .@{fg text}
Apr
s quelques moments d'utilisation, je trouvais DPaint un peu lent,
alors j'ai charger Brilliance pour comparer un peu ces deux produits. Je
fus alors stup
fait pas la diff
rence de vitesse... Comme un petit tableau
vaut mieux qu'un long discours, voici les tests sur une image de 736 par
580: @{"jugez vous-m
me" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Dptablo.16c"}.
@{fg shine}Q u e d i r e d e p l u s@{fg text}
Le d
placement des brosses en mode 24 bits est d'une lenteur accablante,
pourtant la machine de test
tait un A4000
d'un acc
lerateur Warp
Engine
40 MHz! De plus, DeluxePaint n'appr
cie pas la requ
te de fichier
MFR. Autre point n
gatif: si vous travaillez sur une page plus grande que
cran, DPaint place toute l'image en Chip RAM. Il en r
sulte une
limitation de la taille de l'image
travailler (pas plus de 1280 par 1024
en 256 couleurs). Brilliance met la partie de l'image non-affich
e en
moire Fast, cela permet de travailler sur les pages gigantesques (4000
par 3000 en 256 couleurs et 1600 par 1200 en 24 bits... (en plus dans les
deux cas il restait encore 10 Mo de m
moire disponible sur le 4000 avec 24
Mo...)). La fonction de d
placement de DPaint fait pale figure par rapport
celle de Brilliance, de par sa rapidit
et son param
trage. DPaint ne
permet pas de travailler sur des images plus petites que l'
cran... Et
toujours pas d'Undo multiples...
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Voila le moment crucial de la conclusion... Difficile moment... C'est
dommage, mais je suis d
u par la nouvelle version de DeluxePaint et je
resterai sur Brilliance. Je ne regretterai que quelques fonctions
rographe, les macros ARexx, textures,...). DPaint est vraiment trop
lent dans tout ce qu'il fait, surtout quand on le compare
Brilliance...
Il reste int
ressant pour les personnes compl
tement
tanches au concept
nial de Brilliance. Mais je peux leur conseiller d'essayer PersonalPaint.
@{fg shine}Lucas Janin
lucas.janin@ramses.fdn.org@{fg text}
Distributeur: @{fg shine}CIS, Phase@{fg text}
Prix : @{fg shine}699F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juCrossDos6 " CrossDos v6 (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}C r o s s D o s V 6
Une porte est ouverte@{fg text}
En plus de bien s'int
grer au syst
me et de bien fonctionner, cette
nouvelle mouture reconnait les disques durs PC directement ...
@{fg shine}P e t i t t o u r d ' h o r i z o n@{fg text}
L'installation utilise Installer Commodore, donc, apparemment pas de
probl
me si ce n'est une mise
jour intempestive des commandes Format et
DiskCopy du syst
me; ceci est normal vu l'utilisation que l'on pourra avoir
de ces commandes. On aurait quand m
me pu
tre mis en garde...
s le d
but de l'installation, il vous propose le choix entre:
l'installation de CrossDos, la configuration d'un disque PC, -
s'enregistrer et la desinstallation de la version courante.
Apr
s l'installation, on retrouve dans le tiroir syst
me les utilitaires
CrossDos et DiskChg en plus des commandes Format et Diskcopy pr
demment
es, ainsi que sous DEVS:DOSDRIVERS les nouveaux PC0 et PC1, PC2, PC3
s'il y a lieu.
tape suivante consiste en la configuration d'un disque PC (le
configurateur reste lui sur la disquette d'installation, il faudra le
copier
la main dans le r
pertoire de nos outils favoris... ainsi que
@{"les devices correpondants" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cdos.16c"}
. A ce niveau l
on peu voir une liste contenant les devices permettant
d'acc
der aux disques durs ainsi que les unit
reconnues exemple: un
disque SCSI sur une oktagon et un IDE sur le controleur du 4000
(scsi.device). Pour pouvoir acceder au deuxi
me disque IDE, il faut qu'il
soit correctement configur
en esclave, et on n'a pas toujours la
documentation...
@{fg shine}U n " v r a i " d i s q u e P C@{fg text}
Dans le cas d'un "vrai" disque PC (mon disque de travail, format
sur PC
utilis
sur PC), ce dernier n'est pas directement vu par CrossDos. On
clique sur le device concern
, et @{"un requester" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cdos2.16c"} apparait permettant de
choisir la nouvelle unit
(0 ou 1 pour un IDE, ou une des 7 unit
classiques pour un SCSI). A ce niveau, le disque apparait dans la liste et
est reconnu comme un disque PC, L'unit
par d
faut assign
e par CrossDos
est PCC comme PC et C. Le C est obligatoire: le nom du device finira donc
toujours par C (ce n'est pas tr
s souple...). Pour le changer il faudra
diter la mountlist g
e et changer ce nom). Le nom de volume est
automatiquement reconnu (s'il y en a un, ce n'est pas toujours le cas dans
le monde PC!). Le configurateur vous demande si vous voulez sauver cette
configuration et g
re une mountlist automatiquement plac
e dans
DEVS:DOSDRIVERS: aucune information n'est
crite sur le disque. Attention
si vous d
branchez ult
rieurement ce disque le boot sera fortement ralong
dans le cas d'un IDE car la mountlist g
e est sp
cifique au disque que
vous venez d'utiliser: elle contient en autres le nombres de cylindres
(pour une t
te) des informations lues en acc
dant au disque fabriquant,
type, taille, unit
et device utilis
s; donc l'essai de mount pour un
disque inexistant se solde par un
chec apr
s un d
lai de trois minutes ...
@{fg shine}U n e p a r t i t i o n@{fg text}
Pour une partition, il faut avoir une partition poss
dant le DosType PC
(le m
me que PC0 mais finissant par 800 ou de type MHD) Le configurateur
e une mountlist de la m
me mani
re que prec
demment.
@{fg shine}U n e
m u l a t i o n s u r f i c h i e r@{fg text}
Pour une
mulation sur fichier, un requester appara
t vous demandant o
est le fichier existant ou
er. L'installateur le cr
e, l'initialise,
le formate s'il y a lieu et cr
e une mountlist (l'initialisation prend 5
minutes 30 sur un disque IDE pour 4Mo...)
Dans les trois cas l'acc
s est iddentique et transparent mais il faut
respecter les limitations dues au PC: noms cours (format 8.3), nombre de
sous r
pertoires restreint.
Les unit
s sont vues par tous les logiciels sous Workbench,
Directoryopus, Scala, Browser, Quarterback. On peut m
me faire une backup
d'un disque PC
partir de l'Amiga...
Les acc
s sont rapides pour un vrai disque, ainsi que pour une partition
me avec une
mulation sur fichier. @{"Les tests" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cdostablo.16c"} on
s sur un
A4000 40
40 Mhz avec un disque Conner de 280 Mo.
@{fg shine}L e s i n t
t s d e c e C r o s s D o s@{fg text}
* Transferts accel
s entre PC et AMIGA image, animations, donn
es (fini
Twinexpress communication entre Amiga et PC par port s
rie).
* Reconnaissance des formats par les
mulateurs hardware et soft
* En plus on peut y travailler
partir de l'A2286, de Pc-task3.0, et de
l'Amiga (et en m
me temps si on veut!) (seules ces deux "
mulations" ont
test
es, sachant que l'A2286 ou passerelle n'a d'
que les acc
clavier et souris)
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Les plus: documentation au format Amigaguide, configuration ais
compatibilit
syst
me. L'acc
s direct au disque des
mulateurs.
Les points qui me plaisent moins: L'installation n'est pas assez
compl
te, pas de rafra
chissement automatique m
me apr
s une mise
jour du
contenu du disque
partir d'un quelconque
mulateur. Ce n'est pas un bug
mais il est d
cevant de devoir faire un diskchange sous Amigados quand un
fichier est cr
par un
mulateur alors que dans le cas inverse il suffit
de faire un dir sur le PC et le fichier est vu... Je ne suis pas arriv
booter un
mulateur hardware ou soft sur mon disque de travail PC qui
pourtant boote tous les jours...
Le gros d
faut: CrossDos supporte mal les partitions PC avec autre
me de fichier HPFS, Novell.
Cela n'emp
che pas que ce soit un excellent produit sans bugs apparents.
@{fg shine}A r i a d n e , L i a n a e t E n v o y
Un r
seau sans probl
me@{fg text}
Les bureaux de production d'AmigaNews fonctionnent depuis peu sous r
seau
Ethernet gr
deux cartes Ariadne, une carte A2065 de Commodore et une
carte AmigaNet. Auparavant, nous avons connu quelques ann
es de "r
seau
disquette", suivies par quelques ann
es de "r
seau Syquest". Evidemment, un
seau Ethernet est un pas de plus vers l'an
antissement des contacts
humains. On n'entendra plus la voix du coll
gue qui demande qu'"on se
grouille" de copier un fichier sur sa disquette... le progr
s c'est le
progr
s. Ici, Pascal Rielland teste la carte Ariadne pour vous.
Dans le package Ariadne on trouve une @{"carte Zorro II" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Ariadne.8bt"} d'apparence fort
sympathique avec un connecteur BNC, un connecteur RJ 45, quatre LEDs
indiquant l'
tat de la connection, un peu de m
moire 32 K, et un
emplacement pour une PROM de boot pour une machine sans disque dur. La
nouveaut
side en la pr
sence de deux ports parrall
les (un externe et un
interne) qui pourront servir
la connexion d'autres machines ne poss
dant
pas de bus Zorro (il existe une carte r
seau PCMCIA pour A600-1200)
Une disquette contient le logiciel Envoy avec les drivers compatibles
SANA II pour cette carte, et drivers Ethernet et parall
le (il fonctionnent
sans probl
me sous TCP-IP et s
rement sous AmiTCPIP)
@{fg shine}L ' i n s t a l l a t i o n@{fg text}
C'est celle d'un r
seau Envoy normal (cf Amiga News n
73 p.42). Pour une
utilisation combin
e d'un port parall
le et du port Ethernet, la
configuration devient l
rement plus complexe. Il en serait de m
me pour
une machine assurant la liaison entre deux r
seaux distincts et comportant
deux cartes Ethernet. Le r
seau parall
le est vu comme ind
pendant.
Ce qui nous am
parler de serveur de royaume: d'abord on d
clare les
devices utilis
s: par exemple Ariadne.device (port Ethernet) et
Ariadneliana.device (port parall
le de la carte- pour choisir entre les
deux ports il suffit de changer le num
ro d'unit
). Chaque device doit
der une adresse IP diff
rente. Il ne faut pas oublier de passer
@{"le device au status 'on-line'" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Reseau.4c"}
... On peut maintenant d
finir le lien qui va exister entre ces deux
seaux physiquement s
s. Au niveau de la @{"configuration du poste" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Reseau2.4c"} on
finit celui-ci comme un serveur de royaume et on lui donne une adresse
parmi celles d
finies avant. La configuration du royaume consiste en la
finition d'un nom logique reliant les deux adresses (ou plus). Dans mon
exemple, ces adresses IP varient uniquement sur le troisi
me mot, car le
masque d
fini
tant celui par "default" (255.255.255.0) seules les
dernieres adresses IP seront valid
es par le dernier mot et sont autoris
pour les @{"stations connect
es" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Reseau3.4c"}. Au sujet du masque: ce champ permet de
classer les r
seaux en groupes et sous-groupes, et de s
parer les
utilisateurs de regroupement, qui peuvent aller jusqu'
une
chelle
taire... On peut aussi d
finir le r
seau physique o
s'effectuera la
connexion au d
marage: il vaut mieux se connecter sur un brin Ethernet que
sur un port parall
le ..
@{fg shine}E n f o n c t i o n n e m e n t@{fg text}
Par le port parall
le de l'Amiga, en utilisant Liana et un c
parall
le sp
cial, on obtient un d
bit cd 50 Ko/seconde. En utilisant le
port parall
le de la carte Ariadne on augmente un petit peu le debit (voir
benchmarks).
Pour la connection Ethernet, la carte Ariadne est un peu plus rapide que
l'A2065. Que ce soit en connexion parall
le ou Ethernet, le fonctionnement
reste le m
me: transparent; les m
mes unit
s peuvent
tre mont
es, seule la
vitesse d'acces diff
@{fg shine}U n e b i z a r r e r i e@{fg text}
La LED de collision reste toujours allum
e, alors qu' aucune r
elle
colision ne s'est produite (on peut d
tecter des r
missions dues
des
collisions avec l'utilitaire Ping de TCP-IP)
Les avantages de cette carte, outre la l
re acc
ration des d
bit,
sont :
* une faible consommation ( l'A2065 est une carte d'ancienne technologie
et consomme
ment pour les petites alimentations de nos Amiga 4000 )
* Les deux ports parall
les qui peuvent
tre utilis
s en r
seau ou en
parall
le standard (en utilisant le AriadnePAR.device). On peut ainsi
connecter plusieurs machines ne poss
dant pas de carte Ethernet, plus une
imprimante.
Les tests @{"ont" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Reseautab.16c"} @{"
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Reseautab2.16c"} r
s entre un A2000 avec une A2620 et une carte
Ethernet A2065 Commodore et un A4000
d'une WarpEngine
40 Mhz et,
soit une 2065, soit la carte Ariadne, ces deux cartes cohabitant
parfaitement.
Le seul gros d
faut de la carte est son prix par rapport
une
configuration mat
rielle identique sur PC... Le d
bit pourrait augmenter
avec une carte ZORRO II ou III mais ne d
passera jamais 800 Ko/seconde en
Ethernet standard...
@{fg shine}Pascal Rielland@{fg text}
Fournisseur : @{fg shine}Cuda@{fg text}
Prix : @{fg shine}1.950F pour la carte Ariadne avec manuel en anglais@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juTapeworm " TapeWorm (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}T a p e W o r m v 1 . 3
L'int
gration absolue au syst
me@{fg text}
Voici un file system tr
s int
ressant pour vos supports de tr
s grande
taille, (en particulier les lecteurs de bandes). Il vous permet d'acc
directement
quelques Gigaoctets de donn
es...
Une bande magn
tique est d'acc
quentiel, c'est
dire que la t
te de
lecture ne peut pas sauter d'un endroit
un autre (comme la t
te d'un
disque dur) mais est oblig
, par exemple, de parcourir toute la longueur de
la bande pour lire le dernier fichier sur la bande. Les op
rations d'avance
rapide, de lecture, et de retour sont lentes
effectuer.
Plusieurs syst
mes on
mis au point pour contourner cet inconv
nient.
Le plus utilis
est le jeu de commandes SCSI 2 qui permet notamment de
bobiner une bande jusqu'
un point donn
. Cette option de fastlocate n'a
impl
e sur mon lecteur DAT. Dommage...
TapeWorm, comme son non l'indique, acc
la bande en
criture
uniquement: c'est le proc
WORM (Write Once Read Many, ou en fran
Ecrire une fois, Lire de nombreuses fois). L'astuce de TapeWorm est de
maintenir sur un disque dur la liste des fichiers sur la bande, avec leurs
nes si on le d
sire. On n'acc
dera
la bande que pour des op
rations de
lecture/
criture ou "effacement". Cela consiste au marquage d'un fichier
comme inaccessible. Il n'est pas d
truit, et l'espace qu'il occupe n'est
pas lib
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Comme d'habitude, le logiciel Installer de feu Commodore se charge de
tout: le filesystem dans L:, un fichier config dans S:, deux petits
utilitaires de configuration dans un r
pertoire de votre choix. Il faut
bien s
r de la place pour les fichiers contenant les informations sur le
tape...
Tout de suite apr
s la copie des fichiers pr
s, on se retrouve dans
le configurateur, @{"TW Config" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Twconfig1.4c"}. Une @{"liste des devices" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Twconfig2.4c"} est pr
e. Il suffit
de choisir celui concern
, et l
les unit
s de sauvegarde apparaissent,
les options sont optimis
es par rapport au dialogue avec l'unit
, donc
aucune autre manipulation si ce n'est la sauvegarde.
L'autre partie de la configuration est @{"le choix des options" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Twconfig3.4c"}:
- les options de buffers en
criture et, ou, en lecture permettent de
cider si les acc
s se font directement sur la bande ou par
l'interm
diaire d'un espace m
moire ou disque.
- une option permet de tenir le r
pertoire
jour directement sur le
tape. Il faut que ce dernier soit rapide, supporte le partitionnement et
comprenne les commandes SCSI 2... cela
vite de perdre le r
pertoire.
Si l'on valide les options de buffers en "
criture et lecture" on peut
valider l'option d'
criture "une fois" car les donn
es restent dans le
buffer jusqu'
la validation de l'
criture; (eject, par exemple, ou la fin
d'une
criture).
- une cinqui
me option permet de stocker les ic
nes avec les informations
concernant les r
pertoires, stock
es sur la bande.
Suivent les r
pertoires de stockage du fichier d'information et le
repertoire de "swap" m
moire ou disque.
L'op
ration suivante consiste
formater la bande. N'ayez crainte, le
formatage consiste en l'
criture du d
but du syst
me de fichier sur la
bande et non au r
el formatage de quelques m
gaoctets... On remarque une
option de r
ration de fichiers qui permet de recr
er une liste
manquante ou d
truite, ou de retrouver les fichiers marqu
s effac
Le deuxi
me utilitaire, TWCtrl, contr
le juste le syst
me: on peut
valider l'acc
s au tape par TapeWorm, pour effectuer un vrai backup puis
on peut revalider l'acc
s de la m
me mani
re. L'
jection vide les buffers
sur le tape et
jecte la bande magique ...
L'option Kill permet de quitter le programme, pour charger une autre
configuration, ou r
rer un peu de m
moire, et de temps machine...
@{fg shine}U t i l i s a t i o n@{fg text}
Sous Worbench une ic
ne de volume appara
t. Il porte le nom donn
lors du
formatage et est tout ce qui est de standard, de m
me pour les ic
nes et
les liste de repertoires, toutes les ouvertures. Backdrop rangements sont
autoris
s et ne prennent aucun temps. Par contre tout acc
el bloquera
le Workbench le temps du positionnement et de l'op
ration de lecture-
ecriture; ce file system n'est pas encore multitache.
Passons aux gestionnaires de fichiers: vous pouvez d
oublier
DirectoryOpus version 4 (peut-
tre que la 5... ) il n'est pas syst
me et
lors des acc
s sur les r
pertoires ou de copies il en perd son latin mais
pas son joli guru... Donc, vive DirWork ou un bon vieux Shell pour les
copies en multit
, le tape est vu comme un Device Tape: ou par son nom de volume. M
le positionnement de commentaires est direct...
Les avantages d'un tel syst
me sont
vidents: acc
s direct
un support
de masse, sauvegarde d'animations directement sur bande (test
partir de
LightWave... ), acc
s multiples
une bande qui normalement ne supporte
qu'un acces. On peut directement
crire un archivage Lha sur la bande: tant
que la compression ne sera pas termin
e, elle restera dans le buffer, la
bande sera disponible pour une autre application, puis, une fois la
compression finie, l'
criture sera r
Sans buffers, l'acc
s est bloqu
: on a le joli message "unit
utilisation" lors d'un essai de double access. Le seul message d'erreur
rencontr
lors de l'essai d'
criture du fichier decrivant la bande en
cours d'
criture :-).
@{fg shine}Q u e l q u e s c h i f f r e s@{fg text}
Le lecteur DAT dont je dispose sauvegarde avec Amiback
raison de 10
Mo/minute (avec l'option "v
rification" il faut diviser par deux:
5Mo/minute). Il s'agit d'un lecteur SCSI2, mais vraiment special: il n'a de
SCSI 2 que le d
bit...
Les configurations utilis
es sont un A4000/40
25 MHz, un A2000 avec un
A2620, et le m
me A2000 nu! Dans les trois cas les tests ont
avec une Oktagon (carte contr
leur Zorro II, non DMA mais SCSI 2), un
disque SCSI 2 de 1 Giga et un lecteur de CDROM Sony 55 S (SCSI 2 lui
aussi). Une autre configuration a
test
e : A4000 WARP 40 Mhz avec les
mes unit
Dans tous les cas, trois tests ont
1. Copie et lecture d'un CDROM d'archive, Aminet 3 en l'occurence.
2. Copie et lecture d'un CDROM avec moults ic
nes, le Fresh Fish 8.
3. Copie et lecture d'une partition de 400 Mo de donn
es diverses.
@{"Les tests" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Tapewtab.16c"} de copies
partir de CDROM n'ont
effectu
s que pour des
raisons d'ordre pratique: o
trouver 600 Mo de donn
es? compress
es puis de
nouveau 600 Mo de petits fichiers.
Chaque ecriture fonctionne comme ceci : lecture des donn
bufferisation, ecriture en continu sur le DAT, ecriture du fichier des
repertoires sur disque dur donc trois transits permanents sur le SCSI ...
Petit d
tail: le fichier d'information sur la copie du CD Fresh Fish 8
se" 13 Mo ...
Comme on peut le remarquer, l'
criture de petits fichiers est
favoris
e. Ceci est du
l'absence de possibilit
de configurer la taille
des buffers, il faut les adapter au d
bit du DAT/SCSI. Ce n'est qu'
longue que l'on obtient une
criture constante sur la bande (surtout avec
l'Oktagon...). On arrive
obtenir une
criture constante avec la
WarpEngine gr
ce au d
bit du contr
leur, au DMA et
la puissance de
calcul, tout y est...
Le d
bit maximal, atteint avec trois
critures en m
me temps, est de 14
Mo/minute !
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Les petits d
fauts : Il n'y a pas de configuration des buffers internes
comme sur un logiciel de backup. Dans un "readme", le programmeur dit
vouloir rajouter un buffering de deuxi
me niveau. Pas de localisation. Non-
fonctionnement de DirectoryOpus (mais l
, la faute est au programme, non
me..)..
Les plus qui m'ont s
duit: l'int
gration absolue au syst
me (apr
configuration). L'installation simple, la reconnaissance automatique des
lecteurs, et surtout le multiacc
Pour un fonctionnement optimal il vaut mieux avoir une bonne carte SCSI
DMA, un peu de temps CPU, un lecteur rapide... ( DAT, DAT compress
interne ), recconnaissant le mode recherche rapide SCSI-2. Mais TapeWorm a
comp.sys.amiga.reviews Reviews of Amiga software, hardware
comp.sys.amiga.uucp
comp.unix.amiga Minix, SYSV4 and other Unix
comp.sys.amiga.misc Discussions not falling in another
alt.religion.amiga Rumours of Commodore's death are gr
@{fg shine}N E W S G R O U P S A D E C O U V R I R@{fg text}
fr.soc.divers Discussions diverses sur des sujets sociaux.
fr.network.divers Discussions diverses sur les r
seaux.
fr.comp.infosystemes Tous les syst
mes d'information r
seau.
fr.rec.humour L'humour en soi.
@{fg shine}H I E R A R C H I E P R I N C I P A L E@{fg text}
alt Groupe de controverse
bionet La biologie
bit.listser Les conf
rences
l'origine sur le r
seau
bitnet
biz Le commerce
comp Les ordinateurs et assimil
news le r
seau Usenet (maintenance, logiciel,
annonce)
misc Ce qui ne va pas ailleurs
sci Toutes les sciences sauf la biologie
soc L'ethnologie et les discussions sociales
rec Activit
atives (hobbies, sport,
jeux,...)
talk politique et tout th
mique
@ENDNODE
@NODE juModel3d " Mod
lisation pour la 3D (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M o d
l i s a t i o n p o u r l a 3 D
Sculpture et mod
lisme@{fg text}
@{fg shine}Sculpture ou mod
lisme, quelle approche est la meilleure?@{fg text}
Dans notre qu
te pour obtenir de meilleures @{"images" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIN/3drobot1.jpg"} @{"d" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIN/3droue.jpg"} @{"synth
se" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIN/3drobot2.jpg"} sans pour
autant d
tenir un monstre de puissance ni des tr
sors de patience, nous
allons nous int
resser ce mois-ci au d
licat probl
me de la mod
lisation,
base de toute image de synth
Posons tout d'abord un regard sur l'
tymologie du terme "mod
lisation".
Si tous ceux qui touchent
l'image de synth
se savent ce que ce terme
signifie, il faut savoir qu'il est emprunt
au terme am
ricain
lization" autrement dit, cr
ation d'une forme, d'un mod
le (mannequin,
le). C'est un terme qui n'est pas n
dans le ventre
lectronique d'un
ordinateur mais bien des ateliers d'art(istes). La mod
lisation est donc
une technique de cr
ation qui se veut artistique. Elle cr
e des volumes,
des objets qui ont une dimension quasi-mystique en ce que ces objets sont
sents en image mais n'existent pas pour autant.
L'image de synth
se est assimil
un art (alors qu'elle n'a m
me pas
atteint sa maturit
technologique). Or, et c'est mon propos, l'art touche
la sensibilit
l'expression. Deux m
thodes artistiques sont
assimilables
la mod
lisation. En premier lieu la sculpture, en second
lieu le mod
lisme.
@{fg shine}L a s c u l p t u r e@{fg text}
Le propos de la mod
lisation est d'avoir les moyens de repr
senter le
plus correctement possible une forme dans l'univers virtuel. L'obstacle
majeur est celui de pouvoir traduire ces intentions en formes et en
mouvements, en points vectoris
s. L'interface est alors tellement lourde et
contraignante que "l'artiste du virtuel" se retrouve comme les chimistes et
les techniciens du nucl
aire qui utilisent des bras m
caniques command
s de
l'ext
rieur. C'est un handicap majeur, car l'artiste n'est pas en contact
direct avec son mod
le et n'
change pas de sensation avec lui.
Les sculpteurs sont des artistes qui ressentent l'espace de mani
re tr
particuli
re et qui parviennent
traduire leurs sensations par leur art.
C'est l
que le b
t blesse, car que peut bien ressentir l'infographiste en
re de volume et de masse devant son
cran? Nous ne ressentons
effectivement rien si ce n'est une certaine excitation devant la
possibilit
de cr
partir de sa formidable machine.
@{fg shine}L e m o d
l i s m e@{fg text}
La mod
lisation est une discipline qui demande une certaine patience. On
peut retrouver la m
me patience dans le mod
lisme (dont l'
tymologie est
plus proche de la mod
lisation), c'est
dire la cr
ation de maquettes.
Cette technique utilise plusieurs petits volumes pr
finis (comme dans
tous les
diteurs de formes). Ce qui fascine dans les maquettes, autant que
leur miniaturisation, est le respect du d
tail. En effet, c'est le d
tail
qui traduit le r
el. Phil Tipett de l'ILM (Industrial Light and Magic) nous
cet
gard, "tant que celui qui regarde la maquette a quelque chose
couvrir, quelque soit la distance
laquelle il se trouve, il oubliera de
se dire que c'est une maquette. Alors c'est gagn
, il la regardera en
l'acceptant comme
ment r
Une maquette est une fa
on de r
duire les choses, de les rendre
minutieuses et pr
cises, de les rendre exactes. Cette exactitude a un prix:
la patience, et la quantit
de d
tails n
cessaires. En mod
lisation, ceci
se traduit en un grand nombre d'objets et donc un nombre encore plus grand
de points
calculer. Alors il peut para
tre impossible de cr
er un beau
le bien travaill
, sans disposer d'une m
moire ph
nale et d'un co-
processeur arithm
tique puissant. Pourtant, il existe des techniques qui
permettent de r
aliser beaucoup de choses sans avoir besoin d'une station
Silicon Graphics.
@{fg shine}Des objets qui n'int
ressent plus mais qui fascinent...@{fg text}
Dans la mod
lisation d'un objet il est important de d
passer le simple
stade de la pr
sentation de cet objet. Un objet a tr
s souvent une
histoire, aussi courte soit-elle. Cette histoire est inscrite sur l'objet,
comme des traces, des salissures, des fissures. Or c'est cette histoire qui
resse dans l'objet. L'objet en lui m
me n'int
resse que par son
utilit
, et dans le monde virtuel il ne nous est pas utile (pas encore).
C'est donc par son "histoire" que l'on pourra captiver le public.
En revanche, pour revenir
la sculpture, si nous ne pouvons pas faire
corps avec l'oeuvre, nous pouvons encore en garder les r
gles principales:
exprimer des sentiments. La plupart des mod
lisations infographiques
es sont neutres, sans expression. Il est vrai qu'une voiture en
stationnement ou une pi
ce d'
chec ne sont pas dou
es d'une expression
formidable mais lorsque l'on voit des tentatives de mod
lisation d'
tres
vivants (hommes, dynosaures) il est dommage de voir
quel point elles
expriment autant de choses qu'une tringle
rideau.
@{fg shine}D o n n e r l a v i e !@{fg text}
Ainsi, pour un
tre vivant, il faut absolument le mettre en posture, lui
donner une attitude; c'est de cette attitude que se d
gagera l'impact r
de l'
tre. Un tyranosaure attend
videmment d'
tre pr
en position de
chasse, en position agressive, alors qu'une fleur est plus encline
inspirer la d
tente et la beaut
C'est sur cet espoir de po
sie pseudo-cybern
tique que je vous donne
rendez-vous le mois prochain.
Un truc: votre mod
lisation est lourde et compliqu
e, elle va mettre
trois jours
tre calcul
e. Alors n'h
sitez pas
organiser votre
lisation et les formes que vous avez cr
es. Il y a s
rement des
res plus l
res de mod
liser le m
me objet.
La r
gle est la suivante: le temps de calcul d
pend de mani
exponentielle du nombre de points. Selon les programmes, les objets sont
plus ou moins optimis
s (primitives etc...), et l'utilisation des
rations bool
ennes est salvatrice.
@{fg shine}Antoine PREVOST@{fg text}
@ENDNODE
@NODE juDemos " D
mos (06-80)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cougar-packmenu.ham"} @{"E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cougar-dog.ham"} @{"M" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Cougar-skull.ham"} @{"O" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Ra-clown.ham"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Ra-ugly.ham"}
@{fg shine}par Emmanuel Arnaud@{fg text}
Malgr
la persistance des gr
ves de la Poste qui nous ont priv
de la
rubrique le mois dernier, le printemps des d
mos est synonyme de Norv
avec un panorama complet sur la d
moparty: Gathering'95.
@{fg shine}G a t h e r i n g ' 9 5@{fg text}
moparty en Norv
ge...
* La Gathering'95 (du 11 au 15 Avril 95)
La Gathering pour sa 4
dition a attir
environ 1000 personnes dans le
grand gymnase de Stavanger (Sud Ouest de la Norv
ge). Peu d'
trangers
taient l
: seulement quelques su
dois et quatre fran
ais! La party durait
cinq jours ce qui est un peu long surtout vu le manque d'activit
propos
es: un cin
ma, une borne d'arcade et quelques comp
titions
surprises... On avait vite fait le tour de la salle! Des groupes
prestigieux
taient l
comme Andromeda, Spaceballs, Complex, Razor 1911,
Parallax, TRSI. Cependant, on d
plorait l'absence de Virtual Dreams, Polka
Brothers ou encore Stellar qui s'illustrent dans toutes les comp
titions
actuellement!
s vite, les organisateurs connurent des probl
mes d'ordre technique
comme des pannes partielles de courant, la configuration du mat
riel avec
cran g
ant, l'utilisation de Scala... Les comp
titions prirent alors un
norme retard. La premi
re fut la Wild Compo (Comp
tition sauvage en
anglais ce qui signifie que vous utilisez le mat
riel que vous voulez pour
votre contribution). De grosses animations en Raytracing,
tonnantes et
lassantes,
taient de la f
te. La seule innovation fut de la part
d'Andromeda avec Mr Hyde et Dr Jekyll (les codeurs de Nexus7 gagnants de la
Party 4) qui nous propos
rent un combat live avec en toile de fond la
bre d
mo de Melon Dezign: Ninja, un spectacle unique!
Ensuite, on eut l'affaire du si
cle: un piratage maison sur Internet; en
effet, les organisateurs avaient donn
la possibilit
aux utilisateurs PC
de se connecter
Internet. Un petit malin a eu l'id
e de pirater via la
Gathering... Il a
couvert et la party a
interrompue l'espace
d'une heure pour r
soudre ce probl
me si important de nos jours! Les
organisateurs sont cependant rest
s assez flous sur ce fait...
Les comp
titions se sont alors encha
es tr
s vite vu le retard. Les
graphismes
taient d'assez faible niveau, seuls une dizaine de dessins
valaient le d
tour. Par contre, les musiques m'ont vraiment
, la
lection
tait bonne (avec des styles de musique tr
s vari
s), et les
modules
taient d'excellente qualit
. Les intros comme les d
mos ont
marqu
es par la faible participation et originalit
des productions.
La comp
tition la plus originale fut sans doute les intros de 4Ko, un
ritable exercice d'optimisation. Je vous assure que quand vous voyez
LoneStarr qui code devant vos yeux son intro, le r
sultat vous en bouche un
coin! On ne retiendra pas grand chose de la Gathering'95, malheureusement,
si ce n'est le charme de la Norv
ge (euh vous voyez, n'est ce pas?), il
faut esp
rer que les prochaines partys de l'
(la SIH'95, la GASP et la
Assembly) nous d
montrent tout le renouveau de la sc
ne Amiga
l'image de
notre sauveur ESCOM... Je tiens aussi
remercier personnellement Floppy et
Clary pour le voyage et la compagnie!
@{fg shine}D
mos:
1- Deep / Parallax & CNCD
2- Avalon
3- The Black Lotus
Graphisme:
1- @{"BridgeClaw/Gods" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIN/God1.jpg"}
2- @{"Nirvana/Cadaver" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Nirvana1.256"}
3- @{"Decker/Andromeda" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIN/Decker.24b"}
Intros:
1- Spaceballs (Jobbo)
2- The Last Finger/Spaceballs
3- Wormhole/Complex@{fg text}
@{fg shine}Tests des meilleures productions de la Gathering'95@{fg text}
@{fg shine}D E E P@{fg text}
@B}P A R A L L A X + C N C D
La grosse r
alisation de la Gathering'95 nous vient encore du groupe
Parallax... Deep est une d
mo plut
trange et profond
ment color
e! Au
niveau du code (Simply, Bandog, Debog), il y a de tr
s bons effets comme
des zooms circulaires et autres, des tunnels en rotation avec mapping et
apparition d'objets 3D mapp
s (euh, j'en vois qui ne suivent pas!), un
glenz transparent sur une image 64 couleurs, sans oublier divers cubes
s et autres objets 3D avec gouraud shading... Le must est bien s
r le
labyrinthe en 3D avec les parois mapp
es, un fond et un sol mapp
s, le tout
en 256 couleurs! Les quelques graphismes et le design sont sign
s Destop.
Quant
la musique trance, les honneurs reviennent
Yolk/Legend. Les
finlandais n'ont eu aucun probl
me pour gagner la d
mocomp
tition avec une
telle oeuvre.
@{fg shine}M E M O R I A L S O N G S 2@{fg text}
R a z o r 1 9 1 1
Voici le nouveau music disk de LizardKing. Les graphismes sont superbes
et sign
s Tony . Le code de Psionic est assez simple mais certaines options
comme le multit
che font de Memorial Songs 2 le must des music disks. Le
style des musiques est assez vari
avec souvent plusieurs parties par
module. Si vous
tes fans de LizardKing, procurez vous vite cette oeuvre;
sinon fa
tes comme moi apprenez
appr
cier le musicien su
dois...
@{fg shine}4 K I N T R O@{fg text}
S p a c e b a l l s
LoneStarr a une nouvelle fois d
montr
tout son talent de codeur (apr
State Of The Art et 9 Fingers notamment). Le voici qui d
forme une image
sentant un visage f
minin dans tous les sens, accompagn
d'une petite
musique sympa... Le tout en 4 kilo octets! C'est absolument incroyable...
@{fg shine}T H E L I T T L E P I G@{fg text}
D r i f t e r s
Une premi
re en France car c'est une d
mo cod
e par une demoiselle Clary
ammoins aid
e de /Reaction et surtout Mr Hyde/Andromeda). Sur une id
bien sympathique: les fran
ais aiment bien les petits cochons... D
lire
garanti! A noter une musique de LizardKing/Razor.
@{fg shine}P I T S T O P B B S T R O@{fg text}
G o d s
Une petite intro avec quelques effets comme un rotating zoomer avec
formations, une sph
re 3D
moiti
transparente rebondissante et une
pyramide en gouraud shading... L'attrait de cette production consiste en
les quelques graphs de BridgeClaw et surtout la musique trash de
Tebirod/Les Shadocks!
@{fg shine}W O R M H O L E@{fg text}
C o m p l e x
Une intro de 64k avec pour seul effet des objets en 3D circulaires qui se
tortillent sur un fond de fractales (tel un pneu, un
dredon...)
accompagn
s d'une musique de SuperNao. C'est original et
a marche aussi
sur A500!
@{fg shine}6 4 K I N T R O@{fg text}
S p a c e b a l l s
Une production du nouveau coder
cossais de Spaceballs: Jobbo... Certes,
c'est un peu court: tourbillons de shadebobs, zoom avec d
formations et
bouncing ball mapp
; mais c'est tout mignon avec une musique de Lizard.
Gageons que Jobbo sera dans la m
me lign
e que LoneStarr!
Ces d
mos sont disponibles sur les BBS fran
aises suivantes:
@{fg shine}Drifters World (Drifters): 83.98.85.39
FloodLand (Scoopex): 90.28.83.42
DreamLand(DreamDealers): 32.39.79.23@{fg text}
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
* De nombreux scandinaves travaillent pour la compagnie de jeux FUNCOM et
ont donc moins de temps et d'engouement pour la sc
ne. Il s'agit notamment
de LoneStarr/Spaceballs et FairFax/Andromeda.
* La section hollandaise de Spaceballs organisera une nouvelle party du 8
au 10 Juillet: la Somewhere In Holland'95.
* Eremation et DreamDealers organiseront bien la GASP, grande party dans
le sud de la France en Ao
t! Toutes les infos seront disponibles le mois
prochain en exclusivit
pour ANews!
* Drifters vient d'ouvrir une BBS sur Nancy: Drifters World (83.98.85.39)
qui tourne en 28.8K, 24h sur 24 et 7 jours sur 7...
* LoneStarr/Spb envisage de sortir sa prochaine d
la Gathering'96!
* 242 (le c
bre codeur de Drifters) boit trop de Kro malgr
ses effets
secondaires (dixit Napoleon). N
ammoins, cela lui laisse le temps de
parer sa premi
mo vraisemblablement pour la GASP!
@{fg shine}D
m o p a r t y@{fg text}
@{fg shine}Q u ' e s t c e q u e c ' e s t ?@{fg text}
Une d
moparty a pour but de r
unir les personnes de la sc
ne. Elle permet
aussi
chaque groupe ou individualit
de s'affronter dans diverses
titions prim
es comme d
mo, graphisme, musique et intro. Chacun de ces
concours ob
des r
gles pr
cises; notamment, pour les graphismes, il
est interdit de scanner (des
tapes du dessin peuvent
tre demand
es...).
Pour les musiques il y a souvent une s
lection de modules dit originaux par
un jury de sp
cialistes (peu cr
dible dans certaines partys!), pour les
mos et les intros il faut se tenir quelque fois
une certaine taille et
e de la production. Dans tous les cas, on est tenu d'
tre compatible
un Amiga standard (actuellement un A1200 avec ou sans fast selon les
partys)...
Bien s
r, il est conseill
de pr
parer ses productions avant le meeting
tant donn
la dur
e de celui-ci...
En fait les d
mopartys sont
l'origine de la plupart des productions de
nos jours. Car les comp
titions motivent
ment les groupes, primo pour
leur renomm
e (les meilleures productions sont tr
s bien diffus
es, si
elles sont superbes elles rentreront dans les hitparades...), secundo pour
les r
compenses (souvent de l'argent et quelque fois du mat
riel offert par
des sponsors...).
Tout au long de l'ann
e, des partys sont organis
es aux quatre coins du
monde: le plus souvent pendant les vacances scolaires, entre 2 et 5 jours
(la moyenne
tant 3 jours) de dur
e, dans une salle des f
tes (le temps des
copyparty dans l'
cole du village de campagne est r
volu...).
Tous ces crit
res d
pendent des pr
tentions du groupe organisateur. Il
vident qu'une party organis
e par le groupe Spaceballs attirera plus
de monde qu'une du (feu) groupe Solaris (par exemple...).
Ensuite rentre en compte le lieu, les dates et les prix... ainsi que les
activit
s et les facilit
s: caf
teria sur place, dortoir, sanitaire sont
indispensables, les plus
tant conf
rences, vid
olaser, rave party en
e... Les plus petits meetings attirent de 50
200 personnes alors que
les grands
nements peuvent d
placer jusqu'
3500 adeptes!
@{fg shine}C o m m e n t
a s e p a s s e ?@{fg text}
Au d
but, tous les participants installent leur mat
riel (car il est
rable d'apporter son ordinateur), ensuite il est temps de rencontrer
ses connaissances (ceux avec qui on fait des
changes par courrier et qu'on
n'a pas l'occassion de voir souvent...). Certains s'activent
finir leur
production, d'autres
changent des id
es... Puis des comp
titions
commencent, avec diffusion sur grand
cran, entrecoup
es par des activit
surprises (lancer de disquette, boire 1l de coca le plus rapidement...).
Et
la fin, il est temps de voter suivant diff
rents syst
mes (le papier
reste le plus courant, pour les grandes occasions on peut voter sur
disquette) avant de voir la remise des prix. Il est bien s
r conseill
server une soir
e pour faire la f
te (avec ou sans mod
ration) dans la
discoth
que la plus proche...
@{fg shine}U n p e u d ' h i s t o r i q u e !@{fg text}
Les partys qui jouissent d'une grande popularit
ont lieu chaque ann
poque et
peu de choses pr
s au m
me endroit.
* La Gathering, mi-avril, en Norv
ge. Affluence 2000 personnes. Cette
e, elle a eu lieu du 11 au 15 Avril soit 5 jours.
* La Assembly, mi-ao
t, en Finlande. Affluence 3000 personnes.
* La Party, entre no
l et le jour de l'an, au Danemark. Environ 3500
personnes. Le plus grand
nement chaque ann
e depuis 4 ans. La 5
dition est d
en pr
paration selon des sources s
res et devrait consoler
les personnes quelques peu d
ues l'an dernier...
* Ajoutez
la Saturne Party 3 pr
vue pour juillet (voir rub Les
potins de la sc
ne), la GASP en ao
t, Da Party en ao
t, les Garden
Chamb
ry, toutes en France prochainement... La Jonction en Su
de mi juin
(par Virtual Dreams et Razor 1911), les buveries polonaises comme la
Primavera, quelques partys en Belgique et Allemagne...
* et prochainement, l'anniversaire du groupe l
gendaire TRSI (les 10
ans): une gigantesque party aura lieu en Autriche (plus de d
tails le mois
prochain...).
Voil
, vous savez presque tout sur une party, il ne reste plus qu'
vous
placer vers la plus proche de chez vous...
@ENDNODE
@NODE juAsm " ASM (06-80)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A S M
Espionnez vos commodit
s@{fg text}
La commodities.library est une autre des bonnes choses que nous ont
apport
es les ing
nieurs de Commodore lors de la sortie du kickstart 2.0.
Elle permet de regrouper tous les utilitaires syst
me sous une interface
standard et leur facilite l'acc
s aux hotkeys.
Une hotkey, vous le savez certainement, est une combinaison de touches
qui a un certain effet sur un programme donn
. Par extension, ce peut aussi
tre l'insertion d'une disquette ou l'action sur un bouton de la souris.
La commodities.library a ainsi simplifi
la description (ce qui permet
l'utilisateur de configurer facilement ses choix) et la d
tection de ces
hotkeys, gr
une syntaxe facile et puissante, et un syst
me de
programmation orient
e objet performant. Le but de cet article n'
tant pas
crire la commodities.library, je vous renvoie
l'article d'Olivier
Jeannet paru dans AmigaNews N
ce sujet.
@{fg shine}L e s u j e t@{fg text}
Chaque commodit
ralement (bien que rien ne l'y oblige) au moins
une hotkey, ne serait-ce que pour appeler sa fen
tre de configuration.
Certaines (toolmanager par exemple) peuvent en cr
er des centaines
demande de l'utilisateur. Comment alors se rappeler qu'il y a trois mois,
j'avais d
fini quelque part une hotkey pour faire quelque chose comme
tait "rawkey lcommand rcommand -caps control repeat a" ou bien "rawkey
right_mouse lcommand rshift capslock numeric_pad enter" ? Le programme
Exchange fourni avec le workbench liste toutes les commodit
(par leur Broker), mais pas les hotkeys cr
es (sous forme d'objet de type
CX_FILTER) par ces commodit
s. La premi
re raison est qu'il peut y en avoir
ment, et la seconde est que ces objets CX_FILTER ne sont pas
conserv
s en m
moire sous forme de description
crite mais sous forme
compil
e, en utilisant une structure InputXpression.
On peut toutefois imaginer, nous y voil
, pour r
soudre ce type de
probl
me crucial, un utilitaire dans le genre de DOSTrace, IconTrace ou
SnoopDOS, qui garderait la trace de la cr
ation des objets CX_FILTER en
patchant la commodities.library. C'est exactement le r
le du programme de
ce mois-ci.
@{fg shine}L e p r o g r a m m e@{fg text}
Il s'agit de patcher la fonction CreateCxObj() de la commodities.library.
Son r
le est de cr
er un nouvel objet, dont le type est fourni en D0, en
utilisant deux arguments suppl
mentaires fournis dans les registres A0 et
A1, qui d
pendent enti
rement du type de l'objet. Nous rempla
ons donc la
fonction originale de la commodities.library par la fonction qui s'appelle
NewCreateCxObj() dans le listing ci-dessous. Celle-ci commence par tester
si l'objet
er est de type CX_FILTER. Si c'est le cas, A0 pointe sur la
ne de description qui nous int
resse, et A1 est nul. On affiche donc,
une fonction du DOS, le nom du programme et la description de la
hotkey cr
e. Cependant, il faut faire tr
s attention: lorsque la fonction
NewCreateCxObj() est appel
e, elle l'est par une autre t
che que le
programme qui l'a install
e, et qui n'est pas cens
appeler le DOS. Un
minimum de pr
cautions s'impose donc: il faut tester si cette t
che est en
un processus (les simples t
ches ne peuvent pas appeler les
fonctions du DOS), ce qui se fait en regardant si le champ ln_Type de la
structure Node incluse dans la structure Task point
e par le champ ThisTask
de la structure ExecBase (ouf) est
NT_PROCESS.
J'ai ajout
une difficult
suppl
mentaire: g
rer plusieurs fichiers logs
la fois. Cela montre un peu l'usage de la fonction ReadArgs() et permet
d'avoir
la fois le compte-rendu
cran et dans un fichier. La fonction
ReadArgs() r
serve ainsi un tableau de pointeur sur les noms de fichiers
er. Une boucle calcule la taille de la zone m
moire
server pour
stocker les pointeurs sur les FileHandles correspondants. On ouvre ensuite
ces fichiers en
criture un
un. Une routine (la bien-nomm
e Print) se
chargera d'
crire dans tous ces fichiers. Ensuite, la fonction
CreateCxObj() est patch
e par SetFunction() et le programme attend un CTRL-
C avant de quitter.
@{fg shine}P r
c a u t i o n s@{fg text}
A chaque fois qu'on utilise SetFunction(), il faut
tre tr
s prudent. En
effet, rien ne garantit l'exclusivit
des modifications d'une biblioth
votre t
che. Il se peut tr
s bien qu'une autre t
che patche la routine
que vous avez vous-m
me patch
e. Si vous quittez avant cette autre t
che,
vous annulez son patch en remettant tout comme vous l'avez trouv
! Il y a
aussi des cas o
une t
che se retrouve en train d'acc
de la m
moire
qui a
e! Les programmes polis qui patchent les fonctions vous en
avertissent avant de quitter. Je pense notamment
MagicMenu (qui vous
propose de se d
sactiver) et CycleToMenu (qui refuse de quitter). D'autres
programmes pr
rent laisser une petite routine en m
moire qui ne fait rien
d'autre que sauter
l'ancienne fonction, le reste du programme
tant
aussi il faut faire tr
s attention).
D'autre part, quand on utilise SetFunction() pour modifier une
biblioth
que, il faut faire attention
bien respecter l'assignation des
registres de la fonction originale. Tous les registres autres que D0-D1/A0-
A1/A6 doivent
tre sauvegard
s absolument. De plus, il ne faut pas utiliser
SetFunction() sur les biblioth
ques non standards, c'est-
-dire celles qui
ne comportent pas de table de saut
base de JMPs. Je ne connais qu'une
telle clownerie: la dos.library pre-2.0,
crite en BCPL (m'enfin!).
L'autodoc de la fonction SetFunction() dit qu'il faut alors tout faire "
la main" (donc en s'occupant des caches du processeur et des checksums) en
servant les six octets du vecteur. M
me comme
a ne risque pas de
marcher puisque cette table est faite
coup d'instruction BRA (du moins si
on se fie
l'excelllent Amiga Guru Book), c'est-
-dire de d
placements
relatifs. Il faut alors d
coder les instructions et calculer l'adresse de
branchement exacte. Eddy Caroll a eu beaucoup de travail pour son SnoopDos!
Enfin, je rappelle que tout code faisant partie d'une biblioth
partag
e est susceptible d'
tre appel
par plusieurs t
ches
la fois, et
donc qu'il doit
tre r
-entrant ou comporter un syst
me d'arbitrage
base
maphores.
Sur ce, je vous laisse avec le listing du programme. Je vous rappelle
qu'il prend comme argument des noms de fichiers log
er (par exemple:
HotKeyTrace CONSOLE: RAM:HKT.Log), et ne demande qu'
tre am
ajoutez une interface graphique, des fonctions de remplacement d'une hotkey
par une autre, etc...
@{fg shine}Frederic DELACROIX@{fg text}
include exec/exec.i
include exec/exec_lib.i
include libraries/commodities.i
include libraries/commodities_lib.i
move.l 4.w,a6
lea DOS.Name(pc),a1 ; ouvre le dos
moveq #37,d0
jsr _LVOOpenLibrary(a6)
move.l d0,DOS.Base
beq exit
lea Commodities.Name(pc),a1
moveq #37,d0 ; ouvre commodities
jsr _LVOOpenLibrary(a6)
move.l d0,Commodities.Base
beq closedos
move.l DOS.Base(pc),a6
move.l #Args.Template,d1
move.l #Args.Array,d2
moveq #0,d3 ; lit les arguments
jsr _LVOReadArgs(a6)
move.l d0,Args.RDArgs
beq closecommodities
move.l Args.Array(pc),a4
CountLogs ; allouer de la m
moire pour
tst.l (a4)+ ; les handles des
bne.s CountLogs ; fichiers log
sub.l Args.Array(pc),a4
move.l a4,d0
move.l #MEMF_PUBLIC!MEMF_CLEAR,d1
move.l 4.w,a6
jsr _LVOAllocVec(a6)
move.l d0,Logs.Handles
beq freeargs
move.l Args.Array(pc),a4
move.l Logs.Handles(pc),a5
move.l DOS.Base(pc),a6
LogOpen move.l (a4)+,d1
beq.s LogEnd ; ouvre les fichiers log
move.l #MODE_NEWFILE,d2
jsr _LVOOpen(a6)
move.l d0,(a5)+
bne.s LogOpen
LogEnd move.l Commodities.Base(pc),a1
move.l #_LVOCreateCxObj,a0
move.l #NewCreateCxObj,d0
move.l 4.w,a6 ; patche CreateCxObj()
jsr _LVOSetFunction(a6)
move.l d0,OldCreateCxObj
lea Installed.MSG(pc),a3
move.l d0,-(sp)
pea NewCreateCxObj
move.l sp,a4
bsr.s Print
addq.l #8,sp
move.l #SIGBREAKF_CTRL_C,d0
jsr _LVOWait(a6) ; attend un CTRL-C
move.l Commodities.Base(pc),a1
move.l #_LVOCreateCxObj,a0 ; remet tout
move.l OldCreateCxObj(pc),d0 ; en place
jsr _LVOSetFunction(a6)
move.l DOS.Base(pc),a6
move.l Logs.Handles(pc),a4
LogClose
move.l (a4)+,d1 ; ferme les logs
beq.s freehandles
jsr _LVOClose(a6)
bra.s LogClose
freehandles
move.l Logs.Handles(pc),a1
move.l 4.w,a6
jsr _LVOFreeVec(a6)
freeargs
move.l Args.RDArgs(pc),d1
move.l DOS.Base(pc),a6 ; lib
re les arguments
jsr _LVOFreeArgs(a6)
closecommodities
move.l Commodities.Base(pc),a1
move.l 4.w,a6 ; ferme tout et quitte
jsr _LVOCloseLibrary(a6)
closedos
move.l DOS.Base(pc),a1
jsr _LVOCloseLibrary(a6)
exit moveq #0,d0
rts
; la routine suivante est un printf() pour tous les fichiers
@{fg shine}O P U S 5 vous propose son Workbench multit
Le nouveau concept de la gestion de fichiers@{fg text}
Directory Opus gagne de fa
finitive face
ses concurrents car gr
la version 5, la gestion de fichiers sur Amiga vient d'entrer dans une
nouvelle g
ration. On ne peut que se rejouir de cela, surtout que cela va
de pair avec la renaissance de l'Amiga. Au programme, Multi-T
che intensif
et utilisation des capacit
s de l'OS au plus profond.
@{fg shine}I n s t a l l a t i o n@{fg text}
Aucune surprise (tant mieux), @{"Opus 5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Opus5.16c"} b
ficie comme tout bon programme
d'une installation par script Installer de feu C= (vive Escom), et
n'importe qui sera en mesure de proc
l'installation sur disque dur.
Les donn
es sont d
compact
es puis
crites sur le dur, Opus propose ensuite
le mode de d
marrage: d
marrer au boot, d
marrer au boot iconifi
marrer
la place du WorkBench (une des petites r
volutions apport
es par Opus 5),
ou ne pas d
marrer au boot (cette option
tant pr
sente sur la grande
majorit
des logiciels). Enfin, une derni
re proposition, la
rialisation" si je traduis mot-
-mot, qui correspond
l'entr
e de son
nom et d'un num
ro de s
rie donn
dans le paquet. Je n'ai pas eu ce num
mais heureusement Opus 5 fonctionne m
me si l'on ne s'est pas enregistr
le seul inconv
nient
tant une attente de quelques secondes au d
marrage du
soft.
@{fg shine}C i e l m o n o p u s@{fg text}
Le d
marrage d'Opus montre sans
quivoque l'
volution subie par celui-ci.
En effet, les deux listes de fichiers surmontant une s
rie de boutons ont
disparu, et c'est un
cran vide qui appara
t. Enfin pas si vide que
puisqu'en fait on constate la pr
sence d'ic
nes, exactement identiques
celles du Workbench, repr
sentant les unit
sentes sur le syst
me. En
fait, si l'on regarde bien, c'est un deuxi
cran workbench qui vient de
s'ouvrir. Avec quelques changements.
@{fg shine}L e s l i s t e r s@{fg text}
Premier concept: les listers. Ce sont en fait des listes de fichiers.
Sachez d'ores et d
qu'Opus 5 est multit
che de partout. Chaque fen
tre,
chaque liste est g
e par une t
che ind
pendante (si vous ne me croyez
pas, lancez ARTM et vous verrez); de plus, tout a
programm
avec une
orientation objet ind
niable, et chaque objet, que ce soit une liste ou une
barre d'ic
nes, ou encore une fen
tre de boutons, communique avec les
autres, permettant une maniabilit
et une puissance in
e. Autant dire
qu'avec Opus 5, le moindre dhrystone de l'Amiga est exploit
Par exemple, prenons les listers. Chaque lister est d
fini soit comme une
source, soit comme une destination. Il est par ailleurs possible de bloquer
un lister en source ou en destination, ce qui permet de travailler avec
plus de deux fen
tres pour une m
me op
ration. Et ces listers sont dot
d'un menu permettant d'agir sur les fichiers qu'il contient. Mais ces
fichiers peuvent surtout subir une interaction entre deux listers, comme
une copie, un d
placement, etc. Et c'est l
qu'Opus 5 est fort : chaque
ration est multit
che. Vous copiez des fichiers? Pas de temps
perdre,
ouvrez deux autres listers et continuez votre boulot. En plus, je dis des
tises! Ouvrez UN nouveau lister. Opus 5 est si bien fait que lors d'une
copie, par exemple, seul le lister destination est occup
, puisque le
source n'a plus aucun r
le une fois la copie lanc
e. Idem si vous
compactez d'un c
, visualisez des images d'un autre, et je ne sais quoi
d'autre! Opus est toujours configurable
souhait, et permet bien entendu
d'ajouter autant de filetypes que l'on veut!
D'ailleurs, gr
cette d
marche "objet", on peut ouvrir autant de
tres, autant de listers que la m
moire le permet. Opus 5 est le genre
de logiciel mettant en valeur de fa
on aig
e les capacit
s de l'Amiga...
@{fg shine}L e s b o u t o n s@{fg text}
Comme auparavant, il est possible d'avoir une banque de boutons
correspondant
diverses commandes, qu'elles soient internes
Opus,
externes sous formes de programmes AmigaDOS ou m
me des scripts ARexx.
Mais la petite diff
rence c'est que les banques de boutons s'ouvrent dans
leurs propres fen
tres, ce qui permet d'en ouvrir autant que l'on veut, de
classer les boutons par type, etc... Grande nouveaut
, les boutons
graphiques. Ce sont des boutons dont la fonction est la m
me que les
autres, mais ils sont graphiques. Opus 5 est livr
avec tout un tas de
petites images pr
finies pour nous permettre de configurer notre
environnement
notre go
Ces boutons graphiques ont la particularit
de pouvoir
tre employ
s de
deux mani
res. En effet, si l'on a deux listers ouverts, les boutons
fonctionnent de mani
re classique, c'est
dire que la pression d'un bouton
provoque une action entre le lister source et le lister destination sur les
fichiers s
lectionn
s. Mais il est
galement possible de prendre un ou des
fichiers
la souris, de les faire glisser sur un bouton graphique,
provoquant la m
me action!
Ce concept suppl
mentaire permet
chacun d'adopter sa fa
on de
travailler avec Opus 5, celui-ci offrant la possibilit
d'effectuer ce
genre d'op
ration (s
lection-glissez-action) entre tous les
ments le
composant (listers, boutons, groupes de programmes, etc).
@{fg shine}L e s g r o u p e s d e p r o g r a m m e s@{fg text}
Alors que chez les PC on copie furieusement l'Amiga (Windows 95) en
couvrant le bon vieux syst
me d'ic
nes dans des fen
tres comme le
workbench, Opus 5 quant
lui, copie Windows 3 en permettant la cr
ation de
groupes de programmes, qui sont en fait des fen
tres ic
nifiables,
contenant les ic
nes de tous les logiciels que l'on aura bien voulu y
mettre apr
s les avoir pris dans un lister. Ainsi, on dispose d'un moyen
s pratique de regrouper les programmes qu'on utilise souvent dans des
groupes, afin de pouvoir les lancer tr
s rapidement. Bien s
r la classique
option de menus configurables n'a pas
retir
@{fg shine}U n e c o n f i g u r a b i l i t
e x t r
m e@{fg text}
Opus 5 offre la possibilit
d'avoir plusieurs configurations, chacune
dant une racine pour l'identifier (ex: default, opus4type, etc...), et
il suffit de changer de configuration pour que tous les
ments en faisant
partie apparaissent. Il est m
me possible d'importer une ancienne
configuration provenant d'Opus 4, tout se mettant en place pour coller au
plus pr
l'ancienne configuration. Lors de la conversion, il est
possible de ne choisir de convertir que les boutons, ou les unit
s disques,
etc...
@{fg shine}D a n s O p u s 5 , t o u t e s t c o n f i g u r a b l e@{fg text}
* l'aspect et l'action des boutons graphiques ou texte
* le menu user, pour y mettre des commandes externes
Opus
* la position des ic
nes, la taille des fen
* les boutons apparaissant en haut des listers
* le menu accessible depuis les listers
* l'aspect de l'
cran, les polices, les couleurs
* les types de fichiers, les actions a effectuer lorsqu'un fichier est
reconnu apr
s un double clic, un d
placement, etc...
* et enfin, le plus int
ressant, il est possible de faire appara
tre les
fichiers sous forme d'ic
nes, comme dans le Workbench
@{fg shine}O P U S 5 a l a p l a c e d u w o r k b e n c h@{fg text}
Et oui, c'est ce qui caract
rise Opus 5 plus que le reste : il est
possible de remplacer le workbench par Opus. Ce dernier permettant
d'afficher sur son
cran les AppIcons du WB, mais aussi le menu "Tools" o
apparaissent parfois certains programmes, on s'y croirait. On peut m
mettre une image en fond d'
cran, comme sur le WB. En configurant les
listers de mani
ce que les fichiers apparaissent sous forme d'ic
nes,
il suffit de demander
Opus d'utiliser l'
cran du WB et hop, voici une
nouvelle interface graphique pour notre Amiga, avec des fen
tres
multit
ches, permettant la copie, la reconnaissance automatique de
fichiers, etc...
Une commande LoadWB sp
cialement con
ue permet de lancer Opus 5
place du Workbench, qui ne se charge m
me plus !
L'utilisation de DirectoryOpus de cette mani
conomisera bien des
commodit
s puisque de nombreuses fonctions sont disponibles et les
remplaceront ais
ment. De plus, les hotkeys du Workbench ont
copi
par exemple l'appui de "ramiga." r
organise les ic
nes de la fen
courante, etc...
Bref, si vous en avez assez du workbench, offrez-vous Opus 5 qui le
remplacera sans peine. Vous serez enchant
par ses capacit
s multit
ches
qui facilitent la vie ! Plus jamais d'attente que la copie soit finie, les
fichiers seront reconnus par simple double-clic, le r
Malgr
cela, quelques petits d
tails m'ont agac
: les AppIcons
n'apparaissent pas
l'endroit d
fini dans leurs tooltypes; ForceIcon ne
fonctionne pas (les ic
nes des CDs apparaissent n'importe o
..); par
contre, on m'a dit que NewIcons fonctionne parfaitement avec Opus 5. Enfin,
l'affichage des ic
nes dans les fen
tres est sensiblement plus long qu'avec
le WorkBench.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Opus 5 est une grande r
ussite! Il est extr
mement configurable, et
permet par exemple de donner
tout programme CLI une interface graphique!
La meilleure fa
on de l'utiliser est
mon sens d'enlever purement et
simplement le WorkBench, car m
me si 2 ou 3 petites choses sont
susceptibles d'
nerver, Opus 5 est globalement un excellent produit qui
vous ravira par sa puissance. L'option de remplacement du Workbench n'est
absolument pas un gadget, car on ne perd pas au change!
@{fg shine}Laurent CAMARASA@{fg text}
Distributeur: @{fg shine}F.F.D. (France Festival Distribution)@{fg text}
Prix : @{fg shine}690F@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoSnapmaps " Snap Maps (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S N A P M A P S
Le mapping comme outil de mod
lisation (bis)@{fg text}
Contrairement aux compilations actuelles d'images concues pour le
mapping, la collection SNAP MAPS ne se contente pas d'appliquer des
couleurs sur vos objets. Grace
l'utilisation combin
e des diff
rents
modes de mapping, SNAP MAPS permet de simuler la mod
lisation d'objets
complexes.
Je vous ai d
parl
en d
cembre de cette collection d'Antigravity
Workshop en vous pr
sentant le premier volume "Fields & Foliage". Apr
s la
fraicheur bucolique du premier, une ambiance plus citadine nous est
propos
e dans ce deuxi
me volume "Materials & Fabrics".
Pour les lecteurs non assidus ou pour ceux qui ont emball
leurs cadeaux
dans le num
ro de d
cembre je rappellerai juste que le "color mapping"
c'est bien, mais que combin
avec les autres modes disponibles Clip ou
Filter, Bump ou Altitude, Tile ou Repeat cela ouvre d'autres horizons,
particuli
rement le mode Clip ou Filter qui permet de
@{"simuler la mod
lisation d'objet complexes" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIAOU/JlucF.jpg"}
Contrairement aux autres collections, Snap Maps propose en plus de
l'image pour le "color mapping" les brosses
quivalentes pour combiner avec
les autres modes (voir Pic @{" 1 " SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIAOU/Material1.jpg"} & @{" 2 " SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIAOU/Material2.jpg"}).
La collection Snap Maps est utilisable avec les logiciels Imagine,
LightWave et Real 3D.
@{fg shine}Jluc Faubert@{fg text}
Importateur: @{fg shine}Vitepro@{fg text}
Prix : @{fg shine}1.150F @{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoPegger " Pegger (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P e g g e r
L'automate JPEG@{fg text}
PEGGER est un automate de compression /d
compression d'images au format
JPEG.
Voici la version 2.0 de cet utilitaire unique en son genre dont nous vous
avions d
parl
il y a un an.
@{fg shine}R a p p e l@{fg text}
C'est dans la version 2.0 d'ADPRO qu'est apparu pour la premi
re fois,
dans le monde Amiga, le standard de la compression d'image: le JFIF du
Joint Photographic Expert Group (d'autres modes de compression fractal et
Wavelet sont apparus depuis, mais ne sont pas disponibles sur Amiga). Une
image 24bits est capable de m
moriser 16 millions de couleurs, mais notre
oeil ne d
code pas autant de nuances de couleurs. C'est en partant de ce
principe que l'algorithme de compression utilis
par JPEG
limine certaines
nuances de l'image sans que les pertes d'informations soient visibles
l'oeil. Cette perte de donn
es est param
trable sur une
chelle de 0%
100% mais il conseill
pour une qualit
optimale de ne pas utiliser des
valeurs inf
rieures
85%. En plus de la qualit
de la compression et du
gain de place, un autre des grands avantages (et non des moindres) de ce
format est sa compatibilit
multi syst
mes.
@{fg shine}L e J P E G p o u r t o u s@{fg text}
Avant de vous parler des nouveaut
s je vous rappelle les fonctions de
base. A l'ouverture de PEGGER trois ic
nes ou leurs
quivalents dans le
menu "outils"sont cr
es dans votre workbench (
param
trer dans le .info).
On a alors le choix entre une utilisation directe ou un lancement de
l'automate en t
che de fond.
En utilisation directe, l'appel des fichiers
@{"compresser" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Compress.16c"} ou @{"d
compresser" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Decompress.16c"}
se fait par l'interm
diaire de fen
tres
param
trer. On peut r
aliser les
deux op
rations simultan
ment et leur donner des priorit
s diff
rentes (de
5). Ces traitements peuvent
tre r
s sur un fichier unique ou sur
le contenu d'une directory avec la possibilit
de cr
er un filtre pour ne
lectionner que certains fichiers. On peut demander le lancement d'un
programme Arexx avant et/ou apr
s le traitement de
compression/d
compression.
Mais l
ou PEGGER se distingue c'est par sa possibilit
de fonctionner en
tache de fond. La fen
tre @{"SNOOP" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Snoop.16c"} permet de demander
PEGGER de contr
ler en
permanence un ou plusieurs "directories" et d'effectuer au moment opportun
un traitement de compression ou de d
compression. Un filtre peut
utilis
pour affiner
votre convenance le contr
le. Une fois votre
param
trage effectu
, vous lancez le programme qui va se tapir dans l'ombre
de votre ram.
Je vais prendre un exemple pour vous expliquer ce qui va se passer
ensuite. Supposons que l'on demande
Pegger de contr
ler notre directory
"image/jpeg" qui contient nos fabuleuses cr
ations compress
es et notre
directory de travail "Work". On lance ensuite notre programme de traitement
d'image pr
, Brilliance par exemple, qui logiquement n'accepte pas les
images compress
es en JPEG. A chaque fois que vous voudrez charger une
image compress
e contenue dans votre "dir images/jpeg" PEGGER se
substituera au loader de Brilliance pour d
compresser l'image permettant
ainsi son chargement. Un requester appara
tra vous signalant que PEGGER est
entrain de traiter votre image. M
me chose pour l'op
ration de sauvegarde.
s que Brilliance voudra acc
der en
criture dans votre "dir Work:" PEGGER
s'occupera de l'op
ration de compression. On peut aussi demander le
lancement d'un programme Arexx avant ou apr
s le traitement de
compression/d
compression.
Un compte rendu du travail effectu
par PEGGER peut
tre sauvegard
sous
forme d'un fichier ASCII sur votre disque.
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s@{fg text}
En compression, PEGGER pouvait d
traiter en plus de l'IFF24 les
formats HAM8, DCTV, ToasterFramestore. Dans la version 2.0 ont
rajout
s les formats Impulse RGB8, IFF 8bit color/greyscale, TARGA. En
compression il peut g
rer des images en IFF24, HAM8, DCTV4,
DCTV4filter, DCTV3, DCTV3filter, ToasterFrameStore et nouveaut
s en RGB8,
IFF8bit, TARGA.
La fonction Snoop peut
tre maintenant directement associ
programme sans se soucier de la directory o
se trouvent les images. Gr
PEGGER, tous les programmes peuvent dor
navant b
ficier d'un
"loader/saver" au format JPEG.
PEGGER peut
tre utilis
dans un environnement r
seau (Parnet, Enlan DFS,
OXXI's Novell,.....) et
l'aide d'Arexx on peut g
rer de fa
transparente les transferts de fichiers.
J'ai effectu
le test sur un A3000 68030/25mhz 18meg de ram. PEGGER, qui
tait d
deux fois plus rapide que la plupart des programmes traitant le
format JPEG, a encore
optimis
de 30% en moyenne. En ce qui concerne
la taille des fichiers JPEG, en qualit
100%, les images 24bits prennent en
moyenne cinq fois moins de place,
85% dix fois moins. Je l'ai essay
avec
de nombreux programmes et je n'ai rencontr
aucun probl
me. J'ai fait aussi
le test avec des prog comme TVPaint et ADPro qui traitent d
le format
Jpeg mais avec des temps de calcul un peu lent. L
aussi, PEGGER se
substitue sans probl
me au loader/saver des programmes pour effectuer le
traitement de facon plus rapide et plus avantageuse au niveau de la taille
des images.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Cette version 2.0 de PEGGER rendra pas mal de services
tous les
infographistes anxieux de voir leurs disques durs exploser sous le poids de
leurs images. Il sait se faire discret et ne p
nalise aucunement votre
me quand il est en mode attente. Il peut
tre aussi pilot
par Arexx
et, avec un peu d'imagination, on peut r
aliser avec PEGGER un automate de
traitement d'images sophistiqu
. Il est d'une utilisation tr
s souple et
devrait d'ici peu se trouver dans la panoplie des programmes
indispensables.
@{fg shine}Jluc Faubert@{fg text}
Importateur: @{fg shine}Vitepro @{fg text}
Prix : @{fg shine}750 F@{fg text}
@{fg shine}N
cessite Os 2.0 ou sup
rieur, 3meg de ram minimum. Carte acc
ratrice
recommand
e.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoPstream3 " PageStream 3: La Saga (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}P a g e s t r e a m 3 . 0 G
La saga continue@{fg text}
Il y avait longtemps que l'on n'avait pas prononc
@{"ce nom" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicJUIAOU/Pgs.jpg"}. Il est temps,
s une substantielle
volution, d'
voquer ici en quelques lignes
l'actualit
de ce produit en mutation constante.
Chaque update avoisine les 700 Ko en moyenne. Certaines caract
ristiques
voluent et s'
toffent continuellement, mais son d
veloppement est loin
tre termin
. C'est le produit le plus d
concertant du march
Le fichier "readme.now" nous donne toutes les derni
res news: les bogues
couvertes et
limin
es y sont
es. Enfin, certaines
@{"fontes Postcripts" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/PGS2.16c"} sont
reconnues et interpr
es correctement. Les styles et les couleurs sont
navant efficaces sur les caract
res de grandes tailles. On peut placer
sans contrainte un bloc graphique en arri
re plan, ou imprimer une page en
mode portrait sur tous les imprimantes. Force est de constater que dans
cette ultime
dition certaines choses aussi
mentaires pour un logiciel
de cette ambition ont enfin trouv
leur
quilibre.
@{fg shine}L a p u i s s a n c e i n c o m p l
t e@{fg text}
Plus le temps passe, et plus ce logiciel se d
marque par sa puissance et
inspire la crainte pour ses concurrents. Certaines des fonctions d
disponibles sont in
dites sur Amiga, et sont
quivalentes
celles des
grands t
nors sur les autres plates-formes, allant m
me pour certaines
jusqu'
les d
passer. Mais, aucune, et je dis bien aucune, n'est
100 %
grale.
@{"L'affichage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/PGS1.16c"} conna
chaque mouture une am
lioration sensible de sa
vitesse (dans la version 3.0d on a doubl
celle obtenue dans la 3.0c).
C'est vrai, c'est moins lent. On peut maintenant appliquer tous les formats
de justification de paragraphe. Il est possible de d
finir un espace avant
et apr
s ce paragraphe, mais cette requ
te n'aboutit jamais. Les valeurs de
calage sont enregistr
es. Le texte est redessin
, mais je ne vois pas de
rence. Les styles de caract
res sont maintenant de plus en plus
rationnels. A l'image de ces placebos, la fonction de lettrinage
sente dans les menus ne donne aucun r
sultat, sinon de rafra
chir
l'affichage du bloc de texte. En ce qui concerne les attributs de
caract
res, les diff
rentes variations sont presque toutes implant
es. Il
n'en reste pas moins que leur gestion
cran pose encore probl
me. En
essayant de rajouter de nouvelles fontes au gestionnaire, j'ai perdu
l'usage de mes Compugraphics.
@{fg shine}F o n c t i o n n e m e n t
l '
c o n o m i e@{fg text}
Dans l'
tat actuel du produit il est difficile de dire que l'on peut
ellement et s
rieusement travailler avec. Il
quivaut grosso modo
une
version PageStream 2.1 bogu
e. Il n'en reste pas moins que cela est et
restera LE logiciel de P.A.O. sur Amiga
poss
der. Les perspectives quant
son avenir sont sans souci. La mise
jour r
re en est la preuve. Je
crois savoir que l'
quipe de Softlogik fait v
ritablement des efforts
gigantesques pour mener
bien et dans les plus brefs d
lais cette mission.
Leur seul d
faut est peut-
tre de vouloir trop, notamment en rajoutant des
fonctions et modules nouveaux (le driver Primera ou les filtres
suppl
mentaires de BME) int
ressants certes, mais moins urgents dans la
finalisation du produit. Ils vont m
me jusqu'
proposer des filtres
compl
mentaires et on
reux (JPEG et Wordworth). Il est peut-
tre temps pour
eux de terminer et de rendre op
rationnel Pagestream3.0 en s'appuyant sur
le cahier des charges initialement pr
@{fg shine}W a i t a n d S e e@{fg text}
Je n'ai rien dit ou presque sur ces fonctionnalit
s. Mais m
me si la
sente est un peu difficile pour certains
entendre, la seule
chose en v
qui est
retenir est que Pagestream3.0 est g
nialissime et
que pour cela il faut encore
tre tr
s patient. Les courageux seront sans
nul doute largement r
compens
s. Il faudra peut-
tre attendre une version Z
pour enfin dire qu'il est tout simplement utilisable. Pour l'instant en
l'achetant on investit. Bouder ce logiciel pour ses retards est une erreur.
Le produit vaut la peine que l'on s'y attarde, surtout avec un prix aussi
attractif. C'est un des jokers dans le red
marrage commercial de la gamme
Amiga.
@{fg shine}Gilles Bihan@{fg text}
Distributeur: @{fg shine}VEM@{fg text}
Prix : @{fg shine}2.990F TTC@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoNewsvideo " News Vid
o (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" Nab 95 (07-81)" LINK JaoNab95}
@ENDNODE
@NODE JaoNab95 " Nab 95 (07-81)"
@TOC jaoNewsvideo
@{fg shine}N a b 9 5@{fg text}
Le NAB (salon professionnel de l'audiovisuel am
ricain), qui a lieu
chaque ann
Las Vegas, a donn
lieu
la pr
sentation de nombreuses
nouveaut
s en vid
o num
rique. Aussi (et je m'en excuse aupr
s des
astes amateurs), les actualit
s vid
o num
rique de ce mois-ci seront
surtout orient
es vers les professionnels.
@{fg shine}V I D E O@{fg text}
@{fg shine}S O N Y@{fg text}
La pr
sence de Sony
tait bien entendu des plus marquantes avec entre
autre:
* Cam
Une rempla
ante de la 537P (tete de cam
ra TRI CCD DOCKABLE) -et oui, d
La 637P se distingue de sa consoeur par une d
finition de 800 lignes TV, et
un rapport signal sur bruit de 61 DB, donc tr
s proche du standard
Broadcast.Elle fait appel
une technologie num
rique et un nouveau
circuit, le DCCPLUS. R
sultat: une am
lioration des contours et une
possibilit
d'intervenir sur l'accentuation du contraste en haute
luminosit
. Concernant la sensibilit
, la fonction "dual pixel readout"
permet l'augmentation du niveau
6db sans bruit et permet de pousser
36db. Parmi les agr
ments d'utilisation, on peut remarquer dans les
affichages du viseur, la temp
rature de couleurs, le time code, le niveau
audio, le temps de cassette restant et l'autonomie de batterie. Propos
e en
version studio ou camescope avec un enregistreur betacam SP PV V3P dont le
poids d'ensemble se situe aux alentours de 8Kg.
* Un m
langeur DFS 300P
Destin
la gamme Betacam SP 5 UVW), ce nouveau m
langeur composante offre
quatre entr
es vid
o ind
pendantes (composite, composante, yc, RVB) dont
trois configurables, et offre plus de 300 effets 2D et 3D (en option), tels
que volets, compression, rotation, split, effet miroir. La carte 3D ajoute
130 effets suppl
mentaires (tourn
e de page, sph
re, etc...) . Sachons que
cette r
gie, elle peut
tre utilis
e sans TBC puisqu'elle dispose de deux
moires d'images, et peut donc synchroniser deux sources vid
o entre
elles. Le brochage RS 422 rend la DFS300P interfa
able avec des tables de
montage SONY. Elle est propos
e aux alentours de 74000F. Un mod
le plus
performant, le DFS 500 permet la r
alisation d'effets d'ombre et de lumi
et propose une ouverture vers l'informatique.
* Ecrans
Moniteurs vid
o vid
o/informatique
tube super trinitron PGM2950 et
PGM2955. Ces deux moniteurs offrent une plage de fr
quence de 15
38 kHz,
le PGM 2955 assure une d
finition de 560 lignes et est
d'entr
e YC,
composite, et deux RVB.
* Nouveau standard
Concernant le tout-num
rique, Sony travaille d'arrache-pieds
peaufiner
son nouveau standard baptis
SX A, lequel est proche du DVCPRO (adopt
par
de nombreux constructeurs) hormis le support cassette, qui restera pour
SONY le s
curisant 1/2 de pouce Betacam (le Betacam SP
tant g
rateur de
drop). Il s'av
re plus
conomique que le digital Betacam et offre une dur
plus importante. Il est par contre regrettable que le signal 4:2:2
compress
dans un rapport 1:2 ne permettra pas d'aller au del
de 5
rations, SONY partant du principe que ce format sera seulement utilis
pour l'acquisition. Concernant le prix, il devrait se situer dans la
tranche d'une COMBO BVW300.
@{fg shine}P A N A S O N I C@{fg text}
* L'
re du num
rique
Panasonic, lui, a adopt
le standard DVCPRO avec de nombreuses nouveaut
que nous allons vous pr
senter. Un nouveau camescope L'ADJ 700, est tr
compact puisqu'il ne p
se qu'environ 5Kg (batterie et objectif compris). Sa
te de cam
ra est con
u sur une base de capteur 1/3 (3 CCD) en technologie
FIT affichant 410 000 pixels chacun. Les signaux, dont le traitement est
rement r
en num
rique sur 8 bits, procurent une tr
s bonne
finition. Un autre avantage du num
rique est la faible consommation qui
est d'environ 20W, permettant une autonomie d'environ 1 h30m. La cassette
utilis
e lui permet de b
ficier de 63m (le double des cassettes
analogiques actuelles). Les signaux enregistr
s sont en composantes
riques 4:1:1 (
quivalent du 4:2:2 mais amput
es de la moiti
des
chantillons chroma). Le taux de compression de 5/1 ne g
re pas de pertes
trop importantes et offre, selon Panasonic, une qualit
rieure
l'analogique. Une autre nouveaut
est le magn
toscope de montage @{"ADJ750" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Adj750.8bt"}.
Destin
la postproduction en reportage, ce magn
toscope permet 2 heures
d'enregistrement. Equip
d'un jogshuttle, il permet un montage
l'image et
est command
par une interface RS422. Il int
gre une entr
e et une sortie
o num
rique. Disponible dans 6 mois.
Pour terminer notre visite chez Panasonic, il devrait sortir courant 1996
un @{"ensemble de montages" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Panamont.8bt"} des plus originaux con
us pour le terrain. Le
premier comprend deux magn
toscopes avec monitoring fort original,
puisqu'il comprend deux
crans LCD et est
peine plus gros qu'un
ordinateur de bureau. Cet ensemble permettra d'exploiter la capacit
transport du standard DVCPRO..
@{fg shine}J V C@{fg text}
re jumeau de Panasonic, puisque ces deux soci
s font partie du
groupe Matsushita, JVC pr
sentait n
anmoins son propre standard num
rique,
le format DIGITAL -S dont la base est d
e du SVHS . Le signal 4:2:2 (8
bits) permet sur des bandes m
tal, 105 minutes d'enregistrement. La vitesse
de rotation est de 75 tours/s contre 25 en SVHS. Une option permettra
certaines machines d'
tre compatibles SVHS, et, surprenant pour les
habitu
s de ce format, il est impossible de voir une diff
rence entre
l'original et une copie de dixi
ration.
@{fg shine}I K E G A M I / A V I D@{fg text}
Quatri
me challenger du num
rique, cette association de deux sp
cialistes
de la vid
o et de l'informatique
donn
naissance
la premi
@{"cam
ra fonctionnant avec un disque dur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Ikegami.8bt"}
. Les images son enregistr
es sur deux disques amovibles de 1,2 giga
tanches et r
sistant aux chocs. La compression intra-trame est de type
JPEG et le signal au format 4:2:2
chantillonn
en 8 bits. On dispose
d'autre part de quatre canaux audio 10 bits. La dur
e d'enregistrement se
situe entre 15 et 20 minutes (variable selon la complexit
de l'image), et
l'avantage du num
rique permettra des montages cut sur le terrain. Bien
videmment ces disques peuvent
tre directement r
utilis
s dans une station
de montage virtuelle (AVID bien sur).
@{fg shine}V I D E O / I N F O R M A T I Q U E@{fg text}
* Magni, sp
cialiste des cartes vid
o, pr
sentait un codeur vid
VGA/VIDEO, bo
tier externe qui se branche sur toute sortie VGA 31KHz et
peut donc
tre utilis
avec un portable.
* Quantel pr
sentait une nouvelle palette graphique, la Paintbox Express.
Cette nouvelle version de la d
bre paintbox propose dans ses
menus une s
rie de pinceaux de diff
rentes tailles accessibles tr
rapidement, et la possibilit
de stocker plusieurs variantes d'une image
retouch
e. Le nombre de polices accessibles directement est de 1050 et la
capacit
de stockage des images est de 4000, avec un temps de recherche de
0,2 secondes. Un nouvel accessoire vient se rajouter, il se pr
sente sous
la forme d'une manette de jeux et permet d'acc
der tr
s rapidement aux
menus.
* Radius proposait son nouvel
cran 20" r
solution 1380*1040 non
entrelac
e mais surtout, disposant d'une interface RS232 pour les r
glages
internes.
* Sanyo: une nouvelle station de montage audiovisuel, le GVR-S55, permet
plus de 200 effets num
riques. Cette carte ne devrait pas
tre d'un co
* Videonics: bien connu des vid
astes amateurs, cette soci
tente une
e dans le monde professionnel avec un titreur et un pupitre de montage
fonctionnant sur ordinateur PC, Macintosh et ...Amiga.
* IBM pr
sentait un composant int
grant sur la m
me puce un
codeur/d
codeur MPEG2
@{fg shine}A M I G A@{fg text}
Quelques produits Amiga
taient pr
* MacroSystem Germany pr
sentait une version de Draco, sa station de
montage virtuelle bas
e sur VLABMotion et processeur 68060. La vitesse de
cette machine
tait impressionante.
* Future Video pr
sentait une station de montage on line permettant de
contr
ler trois enregistreurs.
* Village Tronic
tait pr
sent avec sa carte Picasso II.
@{fg shine}M A C I N T O S H@{fg text}
* ADI argumentait le faible co
t de ses stations de montage num
rique
fonctionnant sous Mac. Cette nouvelle carte permet de compresser, stocker
et monter en temps r
el un signal vid
o au format D1.
* Videovision: fonctionnant sur Mac et fabriqu
par Radius, cette carte
de compression JPEG capture la vid
25 trames par seconde en PAL et
compresse les images au format 640*480
plus de 5 Mb/s. Elle n
cessite 8Mo
en RAM minimum mais 20 Mo et un disque dur de 1Go sont conseill
* Truevision: connu sur PC pour ses cartes Targa, cette nouvelle carte
TARGA 2000 est construite
partir d'un processeur AT&T 3120 cadenc
55Mhz et une Vram de 4Mb, compatible Quicktime 2.0 et interfac
au syst
de capture vid
o de Photoshop. Elle permet la compression JPEG temps r
avec une r
solution maximum de 1152*870 en 24 bits. Des fonctions internes
permettent un zoom dynamique qui va de 2x
16x, et la carte est
genlockable. Concernant le son, un processeur audio 64x oversampling se
charge des entr
es/sorties en st
o et, bonne nouvelle, le prix annonc
aux USA est aux alentours de 30000 FTTC.
@{fg shine}C O M P A T I B L E P C@{fg text}
* Newtek pr
sentait son @{"Vid
o Toaster" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Vtoaster2.8bt"} qui fonctionne en PAL mais... sur
PC. Station de travail non lin
aire fonctionnant sur plateforme Windows, le
o Toaster permet en plus des effets vid
o (dont il n'est plus
cessaire de vanter la qualit
), d'@{"incorporer des graphiques" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Vtoaster1.8bt"} en provenance
d'autres logiciels comme Adobe Photoshop ou Corel Draw. Pour les f
rues
d'images de synth
se, Lightwave 3D sera disponible cette
* Fast Technology: le grand classique des syst
mes de montage, Vid
Machine,
tait pr
avec sa derni
re version logiciel (2,0) avec entre
autres parmi les nouvelles fonctions, calcul du timecode, import des
fichiers animation AVI, FLI, FLC , et export des projets et des r
els au
format DBF. Le support du ralenti pour les magn
toscopes le g
rant, et pour
les clips num
riques.
* IBM et la soci
Ecout
Voir ont sorti conjointement un ordinateur
portable capable d'afficher des animations MPEG1 plein
cran (25
images/seconde) et son de qualit
CD. Cet appareil permet de lire 74
minutes de vid
o sur CDROM et 60 minutes sur disque dur. Il int
d'autre part, un CDROM double vitesse, ainsi qu'une paire d'enceintes.
@{fg shine}Eric Lapalu@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoScalaecho " Scala Echo 100 (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S C A L A E c h o 1 0 0
Le montage vid
o facile...@{fg text}
Parmi les possibilit
s que vous offre l'Amiga en mati
re de montage, deux
programmes se partagent le march
. D'un c
o director et de l'autre,
Echo 100, extension aux possibilit
s du fameux logiciel Scala.
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
Dans le carton, trois choses;
* le logiciel, son mode d'emploi et une interface s
* le programme Echo 100 est un EX (EX pour Extension) qui se place dans
le tiroir startup de Scala. Il est ainsi lanc
au d
marrage de Scala et il
ajoute des fonctionnalit
s compl
tement int
celui-ci.
* @{"deux c
bles sur le bo
tier s
rie, deux interfaces" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Cablage.8bt"}...
Un jack 2,5mm qui permet de se connecter
tout p
rique au format
LANC ou control-L (LANC est une norme protocol
e par SONY qui permet de
piloter un camescope ou un magn
toscope. Cette interface est interactive et
renvoie des donn
es tel l'
tat du compteur ou l'action en cours. Idem pour
le Control-L) et un
metteur qui permet, lui, de piloter tout appareil muni
d'une t
commande infrarouge. Quand je dis tout, c'est TOUT... En effet,
Echo 100 poss
de un module d'apprentissage et ainsi il est possible de
commander votre lecteur audio, votre cha
ne st
o ou votre machine
pour autant que celle-ci soit munie d'une t
commande infrarouge. Dans la
pratique, le pilotage d'un magn
toscope de salon en conjonction avec votre
camescope via le LANC afin de monter votre film sera l'usage le plus adapt
Scala Echo 100!
Je ne vous reparlerai pas de SCALA sauf pour vous dire qu'il sera LE
programme de la nouvelle g
ration Amiga, puis qu'il sera fourni en
standard par Amiga Technologie
l'achat d'un Amiga. Je vous laisse relire
mon dernier article sur Scala MM400 pour vous faire une id
e des
possibilit
s de ce fantastique logiciel. Sachez aussi que Echo 100
fonctionne aussi avec les versions MM300 et Info Chanel IC500 de Scala.
@{fg shine}C o n f i g u r a t i o n n
s s a i r e@{fg text}
Poss
der un Amiga est un bon d
but, si il est
d'un disque dur et
de 3Mo de Ram c'est encore mieux et bien entendu il vous faut avoir
install
une des versions pr
es de Scala. Poss
der un p
rique
o muni d'une prise "remote" compatible LANC tel un camescope ou m
me un
toscope (Sony sur certains de ses mod
les comme le EV-S 9000 par
exemple). Avoir en plus un magn
toscope de salon pilotable par t
commande
infrarouge est recommand
Vous remarquerez que cette configuration n'est pas
la port
e de tout le
monde... Mais l'amateur vid
o moyen, poss
de en g
ral tous les moyens
os cit
@{fg shine}E t
a m a r c h e v r a i m e n t ?@{fg text}
oui... Mais il faut tenir compte de certaines limitations avec la
fonction infrarouge. En effet, si toutes les commandes Control-L passent
ma- tiquement
tous les coups car le signal est transport
par un
ble, avec l'infrarouge la position de l'
metteur est pr
rante. Trop
loin, le signal ne passera pas forc
ment, tr
s c'est bien mais l
encore il peut y avoir des interf
rences dues par exemple
clairage. La
complexit
de certains signaux infrarouges peuvent aussi poser des
probl
mes... Mais en r
gle g
rale, cela fonctionne tr
s bien et les
ennuis sont rares!
@{fg shine}P a r a m
t r e r t o u t
a ... C ' e s t f a c i l e ?@{fg text}
Oui et non! En fait, la simplicit
de l'interface Scala ne simplifie
rien. Le montage vid
-suppose une certaine quantit
de connaissances,
et Scala apporte une aide pr
cieuse. Mais le param
trage "hard" reste
faire, notamment si l'on compte faire du montage
l'image pr
Pour ce qui est de l'int
gration de Echo 100 en tant que extension, elle
est tr
s bien faite. Le param
trage est tr
s facile. Une fois que l'EX est
dans le tiroir "Startup", deux
ments sup- pl
mentaires dans le menu
d'action sont ajout
s. Soit "INFRAROUGE" et "LANC". De plus, une fois
modifi
dans "SYSTEME", le bouton "ACTION" va recevoir deux petites fl
ches
qui vont permettre de se mettre soit en mode d'action normal, c'est
dire
que la s
quence sera jou
e mais pas enregistr
e, soit en mode "Enregistrer"
qui va lui, d
clencher le magn
toscope via l'interface infrarouge.
D'ailleurs, cette fonction d'enregistrement va pouvoir
tre utilis
e aussi
sans faire du montage vid
o, mais lors de sc
nes tout
fait courantes tels
les exemples fournis avec le logiciel de base (LaScalatore par exemple).
L'enregistrement apportera un avantage, c'est le fait que les temps de
chargement, notamment pour les gros fichiers d'animation, se feront alors
que le magn
toscope sera en mode pause, Scala g
re ceci automatiquement.
Ainsi, si vous d
coupez une tr
s grosse animation en petits morceaux et que
vous faites jouer ces animations successivement par Scala, lorsque vous
passerez votre cassette vid
o, votre animation de 460Mo sera fluide et sans
saccades. Ce peut
tre une solution au Personal Animator Recorder, moins
cher mais n
cessitant un gros disque dur quand-m
Un param
trage reste
faire, et pas le plus facile, c'est celui qui
consiste
donner une valeur en "secondes: images" aux r
actions de votre
riel. Ceci aussi bien pour votre magn
to infrarouge que pour votre
ra LANC. Ces param
tres se r
glent dans le Toolstype de l'ic
ne avec
les valeurs xxx_PREROLL et xxx_POSTROLL. Soit la valeur du temps de
action au moment du lancement de l'enregistrement et la valeur du temps
action au moment de la coupure ou de la pause.
L'utilisation des Toolstype est
mon avis un mauvais choix, car cette
approche tranche avec le souci d'ergonomie de l'interface de Scala. Une
fonction suppl
mentaire dans le logiciel d'apprentissage aurait
plus
quate. Par contre l'efficacit
est l
, car pour faire une comparaison,
le logiciel Vid
oDirector, lui, ne g
re pas de valeur indiquant le temps de
action de votre vid
o au moment de sa mise en mode pause ou stop.
@{fg shine}L e L A N C@{fg text}
La @{"lecture" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lanc2.16c"} du compteur par ECHO 100 permet de se positionner
quelques
images pr
s si votre camescope ne donne pas de Timecode, et
l'image pr
si celui-ci l'indique. Le gros avantage du Timecode est d'
tre inscrit sur
la bande, et ainsi les valeurs lues et utilis
es par ECHO 100 sont absolues
et votre montage jouera
l'image pr
s pour autant que votre ensemble vid
soit correctement param
. Par contre, l'utilisation d'un camescope sans
Timecode demande un @{"rembobinage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lanc5.16c"} de la bande et la mise
ro du compteur
pour se positionner correctement. Ce n'est pas un gros handicap pour du
montage "familial", car ceux qui jusqu'
sent faisaient leur montage en
appuyant simultan
ment sur les magn
tos de lecture et d'enregistrement ne
pouvaient pas esp
rer la pr
cision qu'apporte Echo 100 m
me sans Timecode.
En plus du fait de pouvoir d
cider des valeurs de d
but et de fin du plan
et de les mettre bout
bout, le LANC permet de @{"syncrhoniser une action" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lanc4.16c"} tel
le genlock et un titrage ou simplement un effet de son en milieu de plan.
On utilise les fonctions "Lire jusqu'
" sans le mode d'attente et
"Syncroniser". Un bruit de vaisselle cass
e quand votre fille tombe de sa
chaise est un effet tr
s facile
aliser par exemple.
@{fg shine}L ' i n f r a r o u g e@{fg text}
Oui, presque plus que le LANC car pour enregistrer il n'y a rien
faire
ou presque!
Dans un premier temps, il faudra apprendre
ECHO 100 comment fonctionne
votre t
commande. Il existe un @{"utilitaire d'apprentissage" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Irecho.8c"} au look Scala,
qui va vous permettre d'enregistrer toutes les fonctions de votre
commande. Oui, toutes! Un signal infrarouge est un langage binaire, et
pour faire une analogie, il est cod
comme du morse. Enregistrez vos
signaux, donnez-leur un nom "PAUSE - ENREGISTRER - REMBOBINER, ETC..." et
sauvez le tout!
Une fois revenu dans Scala, il y a une seule chose
faire, c'est
indiquer
Echo 100 les deux commandes
utiliser en mode @{"ASSEMBLAGE" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Assemb.16c"} pour
lancer l'enregistrement et se mettre en mode pause. Ceci est imp
ratif en
but de script, car sans ces
ments vous passerez autant de temps que
vous demander pourquoi
a ne marche pas...
@{fg shine}E t a v e c u n G e n l o c k... C'est facile
utiliser ?@{fg text}
OUI, c'est facile pour autant que l'on ma
trise un peu Scala et surtout
que l'on comprenne bien le principe de l'incrustation vid
Si vous remplissez ces conditions, ou si vous
tes d
apprendre
alors l'utilisation de SCALA + ECHO 100 + un GENLOCK comme le @{"G-Lock de GVP" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/glock.16c"}
c'est GENIAL!!!
Il devient possible de r
aliser des montages avec incrustation en une
ration, soit sans la perte de qualit
due
une deuxi
ration
d'image pour le titrage ou les sous-titrages.
Le G-Lock de GVP est le Genlock
utiliser avec Scala. Car il permet de
mixer trois sources vid
o et deux canaux son (en mono). Son pilotage est
s complet, et si les repreneurs de GVP le ressortent, je vous le
conseille vivement, non pas pour la qualit
de son signal (qui n'est pas si
mauvais que
a, mais qui est loin d'
tre de qualit
Broadcoast), mais pour
son int
gration
Scala et au nombre de fonctions pilotables directement
via Scala. D'autres font peut-
tre aussi bien ou mieux mais je ne les
conna
s pas.
@{fg shine}E n v r a c ...@{fg text}
Pour faire un bon montage, il vaut mieux ne pas passer par un genlock,
cela alt
re la qualit
du signal vid
o. Il vaut mieux r
aliser son montage
avec un c
blage direct de magn
magn
to. On repassera par le genlock
pour les s
quences de titrage, il suffira de les ins
rer par la suite (bien
entendu la qualit
de votre mat
riel est primordiale quant
la qualit
signal vid
o). L'utilisation d'une carte TBC est toujours la bienvenue mais
loin d'
tre indis pensable pour de la qualit
VHS.
Avec la combinaison ci-desssus, j'ai pu r
aliser l'@{"enregistrement suivant" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lanc6.16c"}
* premier plan vid
o avec titre en incrustation, accompagn
de son direct
et d'une musique (module) jou
e par l'Amiga.
* second plan avec un panneau de fond fourni par Scala, un petit texte
avec effet et brosse anim
* effet d'effacement du panneau ci-dessus avec l'effet "DISSOLVE" qui
laisse appara
tre une image vid
o en incrustation arri
* syncrhonisation d'un son (Rot tr
s mauvais) lorsque le personnage de la
ne porte un fruit
sa bouche.
* montage de plusieurs plans avec commentaire simultan
un micro
et un digitaliseur AEGIS Soundmaster (enregistr
directement avec
l'interface Scala puis jou
avec la fonction "SYNCRHONISER").
* insertion d'un sous-titrage sur une s
quence ou l'on n'entendait pas
les gens parler pour cause de bruit ambiant trop fort.
* Titrage de fin et musique de g
rique identique au g
rique de d
Avec de l'imagination on peut faire pire... ou mieux c'est
vident, mais
le but est de vous montrer ce qui est r
alisable avec cet ensemble de
riel.
ECHO 100 est un peu cher et c'est dommage. Par contre, d'un point de vue
technique c'est une r
ussite, autant sur le plan du mat
riel que du point
de vue programmation. Je n'ai qu'une chose
faire... Applaudir car des
produits comme ceux-ci permettront
l'Amiga de survivre!
@{fg shine}Patrick Conconi @{fg text}
@{fg shine}Un souhait@{fg text}
Esp
rons que cette interface puisse
tre obtenue dans des configurations
comme "LANC - LANC" ou alors "IFR - IFR" de fa
ce qu'elle puisse
coller
du mat
riel haut de gamme.
@{fg shine}R
ponse de CIS@{fg text}
Le parc de gens
s en LANC - lecteur et LANC enregistreur est
restreint, donc pour l'
diteur il n'y a pas d'urgence au niveau
veloppement.
A savoir, les amateurs qui r
alisent du montage, travaillent en HI8 au
niveau cam
ra (Sony-Canon) et en SVHS, comme enregistreur (JVC-Panasonic)
qui lui n'utilise pas de LANC, mais est t
commandable.
@{fg shine}L'avis d'Eric Lapalu@{fg text}
Il est
noter que l'arriv
e d'un vrai magn
toscope de montage "grand
public" (VS9000 Sony), amenera peut-
tre l'
diteur
developper le double
LANC.
Distributeur: @{fg shine}C.I.S@{fg text}
Le prix : @{fg shine}1.990FTTC environ@{fg text}
Le dur : @{fg shine}Scala MM300 ou plus. Tout Amiga avec HD et 3Mo de ram.@{fg text}
Le mou : @{fg shine}EX pour Scala avec bo
tier interface s
rie IFR et LANC@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaodessinanim " Dessin Anim
(07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}D E S S I N A N I M E ( 2 )
Les Aventures d'un dragon en Chine@{fg text}
Nous avons vu pr
demment comment r
aliser et sauver une brosse anim,
que nous avons appel
e Chang li, personnage principal de notre dessin anim
@{fg shine}C h a n g l i d e v i e n t o p
r a t i o n n e l@{fg text}
Nous allons mettre @{"Chang li" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/ChangLi.16c"}
preuve, pour v
rifier et
ventuellement
liorer la qualit
du dessin d
anim
, et la fluidit
de ses
mouvements. Pour cela, nous s
lectionons brosse anim charger; en cliquant
sur son nom, nous retrouvons notre dragon (sous forme de brosse anim
l'image n
1. Nous cliquons ensuite sur animation images nombre. Fixons,
par exemple, 150. Sur le c
gauche de la barrre horizontale, en haut de
cran, appara
t l'indication 1/150. Nous posons
sent notre brosse.
Si le dragon regarde vers la droite, nous le pla
ons sur le bord gauche de
cran.
Puis, nous allons
animation d
placer. Nous inscrivons simplement un
chiffre positif, par exemple 200, dans la ligne X : X 200. Pour v
rifier,
nous cliquons sur simuler. Notre dragon va effectuer son trajet (vers la
droite) sur 200 pixels. enserr
dans un cadre qui fixe les limites de son
mouvement. A ce niveau, rien n'est gard
en m
moire. Si nous voulons
changer le d
placement du dragon en quelque sens que ce soit, il suffit de
revenir au requester d
placer. Nous pouvons, par exemple, en inscrivant une
valeur positive sur la ligne Y (soit 50) lui faire monter une pente,
toujours vers la droite. Nous proc
dons
un nouvel essai par simuler. Si
nous sommes satisfait, nous cliquons sur dessiner. Cette fois-ci, Chang li
effectue son parcours, sans plus
tre enserr
dans son cadre pr
alable, et
ce parcours est inscrit en m
moire. Lorsqu'il est arriv
au but nous
cliquons sur contr
le afficher. Chang li r
alise maintenant son parcours
sous la forme o
nous l'avons enregistr
. Si son mouvement de d
placement
nous para
t trop rapide ou trop lent, nous allons
contr
le vitesse. Nous
constatons que la vitesse enregistr
e et utilis
e par d
faut est 30. Nous
pouvons acc
rer le mouvement en inscrivant un chiffre plus
, ou le
ralentir par un chiffre plus faible. Cette commande de la vitesse nous sera
souvent utile, voire indispensable, pour organiser des d
placements ayant
une allure "naturelle".
C'est maintenant aussi que nous pouvons apporter toutes les corrections
es aux mouvements des pattes et de la queue de notre dragon. Nous
pouvons faire d
filer plusieurs fois (animation contr
le afficher) notre
dragon, pour bien observer ses mouvements d'animation. "Tiens, la patte
avant gauche effectue un mouvement irr
gulier." De 1
3, il s'effectue
une certaine vitesse, de 4
9, il est trop lent. par rapport
ce premier
mouvement. C'est que nous lui avons fait effectuer un d
placement trop
faible de l'une
l'autre de ces images : parcours r
duit au cours du m
temps = d
placement lent. Nous pouvons reprendre cette patte, image par
image, de 4
9, par les commandes, d'abord, aller
image n
(4), puis,
aller
image + 1, de 5
9 et rectifier chaque fois. Ainsi, nous pouvons
volont
et ind
finiment am
liorer les mouvements des membres de notre
dragon, en v
rifiant chaque fois, comme nous l'avons d
fait: nous le
faisons se d
placer sur l'
cran, et constatons s'il y a r
ellement une
lioration de ses mouvements. Finalement, nous aurons en r
serve une
brosse anim Chang li satisfaisante.
@{fg shine}L e t i t r e@{fg text}
C'est,
sent, sans doute, le moment de cr
er un titre, par exemple :
Les aventures d'un dragon vivant en Chine. Le choix des pr
sentations
offertes est immense, si nous dispososns de D Paint et de Scala. En
ral, les caract
res de Scala sont plus beaux que ceux qui sont
disponibles sur D. Paint. En outre, un nombre consid
rable d'effets sont
offerts par le logiciel. Pour le fond, nous pouvons choisir un des fonds
enregistr
s. (Scala Scala MM, Fonds). Il faut, cependant, faire
attention
ce que la couleur choisie pour les caract
res ne "boive" pas
sur le fond choisi. Par exemple, des caract
res rouges sur un fond bleu se
trouvent (surtout apr
s le passage par le genlock, sur l'image vid
entour
s d'un halo d
able qui fait penser
la lune sur fond de
nuages.
Nous pouvons aussi choisir comme fond une image d
enregistr
e sur D
Paint, si nous avons, de ce c
, des r
serves int
ressantes. (Scala Fonds
Parent D Paint IV) Nous avons naturellement aussi la possibilit
de cr
pour notre usage particulier, sur D Paint, une @{"image nouvelle" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Dessin.256"}, adapt
notre titre.
Une fois notre titre install
sur son fond, nous pouvons l'animer par un
des nombreux effets offerts par Scala. Il ne nous reste plus qu'
sauver, pour le mettre en r
serve.
@{fg shine}U n e p r
c i s i o n s u r l e s c o u l e u r s@{fg text}
Si notre dragon a
dessin
selon une palette particuli
re (en
l'occurence, ce sera celle de Dragon Productivity), et que nous
l'introduisons par la suite sur un fond dessin
selon une autre palette,
les couleurs que va prendre Chang li seront
ventuellement tout
fait
quates. Rappelons
ce propos comment nous pouvons changer les
couleurs - images et couleurs - brosses.
* Pour les images, nous utilisons, dans la barre des commandes du haut de
cran la colonne couleur, puis palette, qui nous offre palette brosse,
palette originale, palette par d
faut.
* Pour changer la couleur inad
quate d'une brosse, par rapport au fond,
nous cliquons aussi sur couleur, puis sur brosse r
organiser.
Une fois notre titre cr
selon notre go
t personnel et sauv
(il
appara
tra dans la liste des r
alisations disponibles sur Scala, au
lancement du logiciel), nous pouvons entreprendre la cr
ation de la
premi
quence de notre dessin anim
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n d e l a p r e m i
r e s
q u e n c e
@{fg text}
Dans le mod
le qui a servi de base pour cette description, pendant le
filement du titre, une voix off annonce : "Il y a fort longtemps vivait
en Chine un dragon nomm
Chang li. Or, un jour, Chang li s'
tait battu avec
le fils de Singet et l'avait gravement bless
. Mais Singet, le roi des
grands singes des
les de la mer orientale,
tait en r
un esprit tr
puissant, dou
de pouvoirs surnaturels. Pour venger son fils, Singet a jet
un sort
Chang li: il l'a enferm
pendant des si
cles dans un tableau
expos
au palais imp
rial, o
il est rest
emprisonn
Cette longue digression, afin de pr
senter la premi
quence de notre
animation. Nous revenons
notre image (D Paint): Dragon Productivity. Nous
la fixons sur l'
cran. Eventuellement, nous pouvons la border
notre gr
d'un entourage de fantaisie, pour la faire mieux ressortir. Puis, nous
prenons notre brosse Chang li (et non la brosse anim), et nous pla
ons le
dragon dans l'image, apr
s avoir cliqu
sur animation images nombre et
, par exemple, 100 images. Donc,
sent, sur l'image n
1 Chang li
fait partie du tableau de fond, o
il est immobilis
. Nous cliquons sur
animation d
placer, et nous laissons vides toutes les lignes contr
lant les
mouvements. Mais
nombre, nous inscrivons 50, puis, nous cliquons sur
simuler, suivi, si la d
monstration nous satisfait, de dessiner.
Notre dragon va rester immobilis
durant les 50 premi
res images dans le
tableau, ce que nous pouvons v
rifier par contr
le afficher. Puis, nous
revenons
placer ; cette fois-ci, nous inscrivons : X=300 Y=80 ; nous
restons sur 50 images , et nous recommen
ons les op
rations : simuler
dessiner. (A ce moment, l'ordinateur
tant all
l'image 51, nous ne
voyons pas le dragon sur l'
cran, mais cela n'a pas d'importance : jusqu'
l'image 50, nous aurons le dragon immobile, et depuis l'image 51, le dragon
en mouvement.) Si maintenant nous v
rifions par contr
le afficher, nous
verrons notre dragon, d'abord immobilis
dans son cadre, s'
chapper tout
coup, vers le haut
droite, et dispara
tre de l'
cran.(fig.1)
La voix off, que nous ferons intervenir plus tard, annoncera : "Mais un
jour, le sort jet
Chang li a pris fin ; il a
chapp
sa captivit
est reparti
l'aventure,
travers la vaste Chine."
@{fg shine}L e s c
n a r i o@{fg text}
Selon notre sc
nario, Chang li a eu affaire
deux singes: Singet et son
fils. Nous pouvons, si nous le d
sirons, faire appara
tre ces nouveaux
personnages sur l'
cran et ausi les faire intervenir dans les animations.
Comment nous procurer leur image? Une fa
on de proc
der serait de filmer de
grands singes dans un jardin zoologique avec notre camescope. Pour les
singes, cette op
ration serait peut-
tre assez difficile, s'il s'agit
d'obtenir des images exploitables pour une animation, en particulier du
fait de leurs attitudes naturelles, pas n
cessairement favorables,
tant
ce que nous voulons faire. D'ailleurs, on ne trouve pas partout des
gorilles ou des orang-outangs
filmer commod
ment. Mais nous pouvons avoir
recours
une autre technique. Il existe d'excellentes cassettes vid
o sur
la vie animale, auxquelles nous pouvons avoir recours.
Par exemple:
* National Geographic Video Le Gorille.
* Le film Gorilles dans la brume offre aussi des possibilit
Nous faisons d
filer la cassette sur notre magn
toscope et, par notre
Vidi 24, nous digitalisons un certain nombre de portraits des animaux, que
nous sauvons sur D. Paint. (save parent D Paint) Nous obtenons ainsi un
choix d'images repr
sentant des gorilles, et nous n'avons d
s lors plus
lectionner les meilleures - ou les plus commodes
utiliser -
d'entre elles, pour repr
senter @{"Singet et son fils" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Gorille.256"} dans notre dessin anim
Nous pouvons, par exemple, pour le moment, nous contenter d'une vue fixe de
Singet, que nous introduirons telle quelle, et nous r
servons son fils pour
l'animer ult
rieurement et l'opposer
ventuel- lement de nouveau
Chang li
dans un second combat entre eux.
A suivre
@{fg shine}Jean Walch@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoLw " LightWave (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e e n p r a t i q u e
Morphing de textures@{fg text}
Le morphing de textures vous a t-il plu? L'importation de brosses
rieures
tant d
sormais un exercice connu, nous allons l'utiliser de
nouveau.
La derni
re fois, nous avons cr
un carr
et un cercle qui, par la suite
se sont m
tamorphos
s l'un dans l'autre. J'esp
re que vous avez r
ussi!
Pascal a trouv
dans LightRom une technique int
ressante pour mouvoir des
objects sans utiliser les "bones". Aussi, nous vous d
voilons cette
technique. Croyez moi, elle peut vous faire gagner un temps
norme dans vos
morphings.
Apparemment, la nouvelle cadence vous convient, nous continureons donc au
me rythme. Comme la derni
re fois, lancez DPaint ou quelque chose de
similaire.
Exercice n
6: Un Ver
"Soi"
- La mod
lisation -> D
limiter une surface d'application de texture.
- Le plateau -> Similie morphing d'objets et Translation.
@{fg shine}D P A I N T@{fg text}
Ouvrez un
cran en 640 * 512 * 5 ( 16 couleurs )
- Enclenchez la grille et dessinez un damier rouge et blanc de quatre cases
- Dessinez avec la fonction ellipse, deux bons gros yeux.
- Dessinez avec la fonction remplissage au pr
alable r
e (bouton droit
de la souris), un d
du blanc au blanc en passant par le noir.
Sauvez respectivement en brosse: 'yeux', 'd
grader', 'jupe'
Quittez
, pour l'@{"habillage de notre ver" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwdpaint.16c"}!
@{fg shine}L E M O D E L E U R@{fg text}
Comme d'habitude, donnez un nom
ce premier objet.
* Nommez le en "Corps"
Sur la vue de face,
ez une sph
re aplatie avec num
Sides= 44, Segments= 24 (petite config r
duissez ces valeurs)
X= 1 m , Y=Z= 0.5 m
* Include (en bas, cliquez deux fois sur volume)
lectionnez les polygones selon @{"'Image.include'" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwfig1.8c"}
* Display:Selection/Stats
Cliquez sur le '+' de polygon in volume
* Polygon (Bas)
cf @{"'result.include'" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwfig2.8c"}
Vos polygones viennent d'
tre s
lectionn
s. Ce sont ces derniers qui
recevront la brosse en damier.
* Polygon:Transform/Surface en "Jupe"
* Cliquez sur le compteur du bas
lectionnez sur la vue de dessus, les polygones
l'extr
gauche et
lectionnez sur la vue de face les polygones du dessous
cf @{"Surface.oeil" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwfig3.8c"}
C'est sur les surfaces restantes que nous allons plaquer notre brosse
'yeux'
* Polygon:Transform/Surface en "Oeil"
* Exportez ou Sauvez en "ver
soie"
* Changez de m
moire (n
nommez la surface en "Bois"
ez un plan de 10 m * 10 m
exportez le en 'Table'
me technique que le plan d'eau, du tunnel)
@{fg shine}L E P L A T E A U@{fg text}
Les personnes qui ont export
devraient
tre d
Pour celles qui ont sauv
l'objet, rechargez le maintenant.
* Scene: Last Frame
entrez 60
* Images
Chargez les brosses faites pr
demment
* Surface
(Faites toutes les surfaces, une
une comme @{"tableau1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwtab1.4c"}, @{"tableau2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwtab2.4c"} et @{"tableau3" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwtab3.4c"}
Ici, la forme de votre objet montant et descendant est fonction du
allant du blanc au noir, Cette technique est la meilleure pour
faire flotter les drapeaux...
* Effects
Enlevez Solid backdrop, puis r
glez:
Gradient Squeeze: 2,2
Zenith Color: 0,40,80
Sky Color: 120,180,240
Ground Color: 120,180,240
Nadir Color: 0,40,80
* View/Camera
* Edit/Camera
* Target "Ver
soie"
* Numeric X= - 10, Y= 0.5, Z= - 3
* Validez, OK (ou Create key) sur l'image 0
* Placez vous sur l'image 60
* Edit/Object
* Numeric X= - 12
* Validez, OK (ou Create key) sur l'image 60
* Preview: Make preview
de l'image 1
* Camera
glez votre 'segment memory' en fonction de la m
moire disponible
* Scene
Last frame: 60
save scene
nommez en 'Ver
"Soi"'
* Objects
save all objects
* Record
Save RGB
nommez en 'ver'
Il en ressortira une s
rie d'images (ver.001, ver.002, ...) qu'il vous
faudra, comme d'habitude, assembler en anim avec AdPro/Fred ou AutoFX
(d'ImageFx). Voil
, c'est termin
* Render
enclenchez 'Automatic' pour calculer toutes les images.
Il faudra attendre environ @{"26,33 mins par image" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Lwfinal.24b"} sur un 4000/040 18 Mo en
dium r
sulotion ( vid
Comme toujours, les config peu muscl
es, calculeront cette animation en
1/4 de vid
o (menu cam
ra). Bon courage. Au mois prochain!
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE jaoInternet " Internet (07-81)"
@TOC MAIN
@{fg shine}USENET ou les cybernautes parlent aux cybernaues
(2i
me partie)Lire et
crire sur Usenet@{fg text}
@{fg shine}L i r e l e s n e w s@{fg text}
Si le site local est serveur de news, il suffit de @{"lancer son lecteur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicJUIAOU/Hpterm.16c"} en
plein
cran ou avec interface graphique (rn et xrn sont les plus r
pandus).
Dans le cas contraire, il faut r
rer un client sur un site FTP,
l'installer et se connecter sur un serveur de news public: c'est-
-dire qui
accepte les connexions ext
rieures. Il n'est pas alors possible de poster
directement ses r
ponses: l'acc
s accord
est en g
ral, par d
faut, en
lecture.
Tous les lecteurs (ou "newsreaders") permettent de g
rer de mani
re plus
ou moins conviviale les "news": masquage automatique des articles d
lus,
tri, recherche de cha
nes de caract
res sur le nom des groupes/ sur les en-
tes de mail/ sur les auteurs, cha
nage des missives de m
me nom (tr
pratique pour suivre l'
volution d'une discussion), interface mail, etc...
et bien entendu ils permettent de poster sur le serveur de news.
fr.test et alt.test permettent de v
rifier que les articles sont post
correctement. Le groupe news.software.readers conserve les FAQ de fnews
(pour VAX et ALPHA), Trn (pour UNIX) etc .. tous les probl
mes techniques
des lecteurs de news y sont abord
@{fg shine}D e l e c t e u r
r
d a c t e u r@{fg text}
Il est de tradition de fr
quenter durant quelques temps (plusieurs
semaines) les "newsgroups" avant de devenir
son tour r
dacteur. Lire la
FAQ (Frequently Asked Questions), apprendre
reconna
tre les usages du
groupe et s'assurer de poster son article au bon endroit sont des garanties
de ne pas passer pour un lemmings :).
Il existe deux fa
ons de poster pour ceux qui ont seulement un acc
s en
lecture: Mailer sur la mailing liste en passerelle avec le groupe, si celle-
ci existe (ex: amiga@sophia.inria.fr pour fr.comp.sys.amiga) ou passer par
un serveur de mail d
cet usage. Ces derniers
tant peu nombreux et
s sollicit
s, il est toujours pr
rable d'utiliser la premi
thode.
@{fg shine}U n e c o m m u n a u t
v i r t u e l l e@{fg text}
C'est sur Usenet que cette notion, qui accompagne toujours Internet, est
la plus forte. Pour mieux d
couvrir ses caract
ristiques, les faux pas
viter, les id
es fausses les plus r
pandues, pour mieux comprendre ce
qu'il est possible d'en attendre et les limites, commencez par lire "Zen
and the art of the Internet" et "EFF's guide to the Internet"
Ces deux guides explorent les aspects techniques mais aussi structurels
de Usenet. Car en d
finitive, toute une vie communautaire y est concentr
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
villemin@depinfo.u-bourgogne.fr@{fg text}
@{fg shine}LOGICIELS@{fg text}
nn, trn, tin (interface texte) du monde Unix
ftp.inria.fr:/network/news/readers/
xrn/Unix (interface X11)
ftp.inria.fr:/X/contrib-R5/clients/
src.doc.ic.ac.uk:/aminet/comm/uucp Amigados
ftp.demon.co.uk:/pub MsDos, Archim
de, Macintosh
@{fg shine}DOCUMENTATIONS@{fg text}
An Introduction to Usenet News and the TRN Newsreader
@{" Digital Broadcaster Elite et Sunrize ADC516 (09-82)" LINK sepDigibroad}
@{" SCALA MM300 (09-82)" LINK sepScalamm300}
@{" SYNCPRO de Blue Ribbon (09-82)" LINK sepSyncpro}
@{" KRP 3TES3O (09-82)" LINK sepKrp}
@ENDNODE
@NODE sepDigibroad " Digital Broadcaster Elite et Sunrize ADC516 (09-82)"
@TOC sepAmiga
@{fg shine} M o n t a g e v i d
o p r o f e s s i o n n e l@{fg text}
Le couple Digital Broadcaster Elite et Sunrize ADC516, en maturation
depuis un bon moment d
, forme une solution de montage vid
o virtuel
arriv
un niveau professionnel et orient
production.
Voici une br
ve description de ses capacit
-format d'enregistrement suivant la norme CCIR 601 en 4.2.2,
finition des images de 720x576
50 trames/seconde,
-on dispose en entr
e et en sortie de connexions composites, Y/C et
composante YUV, ainsi que de l'exploitation des time code Ltc et VITC.
Le circuit d'enregistrement se d
compose ainsi:
-conversion analogique/digital sur chacune des trois composantes YUV,
-correction chromatique sur chaque circuit si besoin,
-compression adaptive en MJPEG dans un rapport de 3
80 (chaque image est
compress
un taux diff
rent suivant son contenu pour obtenir une qualit
constante).
Pour le son on est
videmment en 16 bits st
44.1 KHz, 4 pistes pour
la relecture et 8 pour le mixage son.
Logiciels fournis avec les cartes : Producer pour le montage vid
o et
audio, Studio 16 pour le mixage son.
Il existe
galement une interface ARexx pour le calcul d'effets sp
ciaux
avec Art Department Pro. Pour une description plus pr
cise des capacit
Denis Boull
vous proposera bient
t un article complet; en attendant, si
vous d
sirez de plus amples informations, vous pouvez le contacter
directement au 25 80 11 25.
Configuration mat
riel n
cessaire minimum : A4000/040 25Mhz 14 Mo ram,
interface SCSI II, disques durs tr
s rapides de plusieurs Go... compter
entre 70 000 et 100 000F suivant l'
quipement pour une configuration
compl
@ENDNODE
@NODE sepScalamm300 " SCALA MM300 (09-82)"
@TOC sepAmiga
@{fg shine}U n e b o n n e n o u v e l l e@{fg text}
Ce message s'adresse aux futurs acheteurs d'Amiga et vid
astes de
surcro
t, les prochains AMIGA 1200 et 4000 devraient
tre livr
s avec
SCALA MM300.
@ENDNODE
@NODE sepSyncpro " SYNCPRO de Blue Ribbon (09-82)"
@TOC sepAmiga
@{fg shine}O y
- O y
@{fg text}
SYNCPRO de Blue Ribbon est une carte qui devrait int
resser fortement les
utilisateurs professionnels ou institutionnels ne disposant pas de
rateur de time code, puisque cette carte interfac
e avec l'Amiga g
un time code aux normes SMPTE.
@ENDNODE
@NODE sepKrp " KRP 3TES3O (09-82)"
@TOC sepAmiga
@{fg shine}P o u s s e t o i d ' l a q u e j ' m ' y m e t t e !
@{fg text}
Un nouveau concurrent britannique pour la version Amiga (un peu vieille)
deVid
o Director. Le KRP 3TES3O se connecte sur le port parall
le et peut
contr
ler jusqu'
5 magn
- toscopes. Il supporte les standards GPI, SMPTE,
GPI, LANC, PANASONIC et RS232, et g
re le son au niveau mixage et
synchronise le doublage.
La version de base, propos
e aux alentours de 1000F, g
re deux lecteurs
contr
lables par LANC ou infrarouge et un enregistreur. Un pack plus
complet est propos
avec un jog shuttle (mollette de commande de 'scope
manuelle avant-arri
re) et une possibilit
de commande de la table d'effet
VIDEONICS MXI (prix de l'ensemble environ 5000F). D'autre part, une
extension permettra de connecter jusqu'
huit magn
toscopes interfac
s en
RS422. (Soci
KRP).
@ENDNODE
@NODE sepCompapc " COMPATIBLE PC (09-82)"
@TOC sepNewsvideo
@{fg shine}C O M P A T I B L E P C@{fg text}
@{" FPS60 carte de num
risation (09-82)" LINK sepFps60}
@{" Carte Vid
o Movie Machine II (09-82)" LINK sepMoviemac2}
@{" Vid
o Machine (09-82)" LINK sepVideomac}
@ENDNODE
@NODE sepFps60 " FPS60 carte de num
risation (09-82)"
@TOC sepCompapc
@{fg shine}N o u v e a u t
@{fg text}
FAST (concepteur de la Vid
o Machine) propose la FPS60, une nouvelle
carte de num
risation fonctionnant
50 trames par seconde et en temps
el. La compression MPEG des signaux vid
o (YC ou composite) PAL, SECAM,
ou NTSC s'effectue en 24 bits, format 4:2:2 restitu
en PAL ou en NTSC.
Afin d'
viter l'utilisation d'un moniteur, la carte dispose de sorties
audio/vid
o plein
cran sur ordinateur. Elle est livr
e avec le logiciel de
montage num
rique PREMIERE 4.0 d'Adobe. Prix annonc
, environ 5200F.
@ENDNODE
@NODE sepMoviemac2 " Carte Vid
o Movie Machine II (09-82)"
@TOC sepCompapc
@{fg shine}C a r t e V i d
o M o v i e M a c h i n e I I@{fg text}
Pour les vid
astes, la carte vid
o Movie Machine II (environ 5200F)
devrait bient
tre disponible. Cette carte est
e en standard de
fonctions de capture d'image et de restitution, permet le m
lange vid
o, la
alisation d'effets, la gestion de chroma key et accessoirement des
fonctions de TUNER TV. En sortie, on trouve une sortie YC et l'on peut lui
adjoindre en option une carte de com- pression d
compression MPEG (environ
3500 FTTC) .
@ENDNODE
@NODE sepVideomac " Vid
o Machine (09-82)"
@TOC sepCompapc
@{fg shine}V i d
o M a c h i n e@{fg text}
Chez FAST, la Vid
o Machine dispose d'un @{"relookage logiciel" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/FAST.8bt"} incluant le
ralenti, l'affichage du time code sur le moniteur preview, l'import de
fichiers AVI et pour finir la gestion du GPI. Mise
jour chez son
revendeur ou par r
seau Compuserve.
@ENDNODE
@NODE sepMac " MACINTOSH (09-82)"
@TOC sepNewsvideo
@{fg shine} M A C I N T O S H@{fg text}
@{" APPLE 9500 (09-82)" LINK sepApple9500}
@ENDNODE
@NODE sepApple9500 " APPLE 9500 (09-82)"
@TOC sepMac
@{fg shine}A P P L E 9 5 0 0@{fg text}
APPLE met le turbo avec @{"le 9500" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Mac9500.8bt"}
d'un Power PC 604 (en attendant
le 620) cadenc
120 ou 132 MHz selon la version. Il b
ficie d'une
architecture
bus PCI, (5 sur la version 120Mhz - et oui adieu NUBUS
bonjour PC..I). Livr
d'origine avec 16 Mo de RAM (extensible
768Mo !)
un disque dur de 2Go, un lecteur CDROM quadruple vitesse, l'ensemble est
propos
pour un prix se situant aux alentours de 40000 FHT.
@ENDNODE
@NODE sepVideo " VIDEO (09-82)"
@TOC sepNewsvideo
@{fg shine}V I D E O@{fg text}
@{" HI8 EDITOR (09-82)" LINK sepHi8edit}
@{" JVC magn
toscopes VHS grand public (09-82)" LINK sepJvcscope}
@{" Samsung VPJ50 / VP-U100 (09-82)" LINK sepVpj50}
@{" Book 95 recense tous les acteurs du multimedia (09-82)" LINK sepBook95}
@{" Enregistrement en vid
o (09-82)" LINK sepEnregvid}
@{" Tunnel Tape (09-82)" LINK sepTunneltape}
@{" GY-X2BE camescope d'
paule de JVC (09-82)" LINK sepGyx2be}
@{" Chiron g
rateur de caract
re (09-82)" LINK sepChiron}
@ENDNODE
@NODE sepHi8edit " HI8 EDITOR (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine} H I 8 E D I T O R@{fg text}
SONY lance une nouvelle bande HI8. La HI8 EDITOR b
ficie d'un
tement renforc
l'adjonction d'une couche suppl
mentaire de
protection. Ce renforcement des bandes m
vapor
permet enfin au HI8
d'entrer dans le monde du montage (les possesseurs d' EVS 9000 vont
cier).
@ENDNODE
@NODE sepJvcscope " JVC magn
toscopes VHS grand public (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}V i t e s s e v a r i a b l e@{fg text}
JVC a pr
pour ses magn
toscopes VHS grand public un
@{"tambour
asservissement dynamique de position" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Schema.16c"}
. Le tambour en entier assure le suivi de piste gr
la possibilit
faire basculer l
rement son axe de rotation. La rotation de l'axe est
assur
par un microprocesseur. Quelle int
t? Premi
rement, la lecture
vitesse variable en marche arri
re comme avant, et ceci jusqu'
7 fois la
vitesse nominale, deuxi
mement, l'am
lioration du rapport signal/bruit en
lecture normale.
@ENDNODE
@NODE sepVpj50 " Samsung VPJ50 / VP-U100 (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}P o u r t o u t e s l e s b o u r s e s@{fg text}
Samsung pr
sente de nouveaux camescopes grand public
prix plancher
(3000 Fr
4500 Fr TTC). Ces camescopes sont au format 8 MM,
s d'un
capteur 1/3" 320 000 pixels et une sensibilit
de 2 LUX. Le VPJ50 et le VP-
U100 sont
s d'un zoom 8 fois avec une focale de 6 mm. Les VP-U12 et
le VP-U15 ont, eux, un zoom 12 fois
partir d'une focale de base de 5,4
MM ainsi qu'une une torche vid
o, et le VP-U15 est en plus
d'un
viseur couleur ACL couleur.
@ENDNODE
@NODE sepBook95 " Book 95 recense tous les acteurs du multimedia (09-
@TOC sepVideo
@{fg shine} Q u i f a i t q u o i ?@{fg text}
Le book 95 sera disponible en octobre. Il recense tous les acteurs du
multimedia sous la forme d'un annuaire professionnel. Environ 900F.
@ENDNODE
@NODE sepEnregvid " Enregistrement en vid
o (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}E n r e g i s t r e m e n t e n v i d
o@{fg text}
SIMDA, marque bien connue des photographes pour ses projecteurs diapo,
propose @{"un visualiseur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Simda.8bt"} permettant d'enregistrer en vid
o tout document
(photo, transparent, diapos) et m
me des objets en volume, ceci gr
ce au
gascope dont il est
qui permet de traiter des objets transparents.
La cam
ra est
e d'un capteur CCD de 410.000 pixels et le signal de
sortie en YC ou en composite PAL , une entr
e audio r
glable est
disponible. Appareil portable, il est destin
une utilisation vid
o de
studio ou pour de la vid
oconf
rence.
@ENDNODE
@NODE sepTunneltape " Tunnel Tape (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}E n t r e - n o u s ,
a c o l l e !@{fg text}
Vous ne supportez plus les c
bles volants qui, en tournage, trouvent
toujours le moyen d'
tre arrach
s, ou qui, une fois fix
s avec de
l'adh
sif, se d
tachent apr
s quelque heures d'utilisation, de leur support
(moquette ou sol en dur) et, comble de malchance, laissent des traces de
colle sur vos c
bles. Contre cela, une solution: la soci
Sonoss situ
sur la r
gion lilloise importe des USA un adh
sif repositionnable sans
perte d'adh
rence. Le Tunnel Tape se d
tache sans effort, sans bruit, et
sans d
@ENDNODE
@NODE sepGyx2be " GY-X2BE camescope d'
paule de JVC (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}A m
l i o r a t i o n@{fg text}
JVC a pr
une nouvelle version du camescope d'
paule GY-X2E 1/2.
Renomm
GY-X2BE il dispose d'une
pauliere plus confortable et ajustable.
D'autre part, le capteur a une sensibilit
accrue de f8
2000 lux et un
rapport S/B de 60 db pour une r
solution de 750 lignes. Le r
glage des
noirs dispose d'une stabilit
permanente et ceci gr
un circuit
cialis
, le CAB (continue auto black) qui tient compte des noirs
partiels.
@ENDNODE
@NODE sepChiron " Chiron g
rateur de caract
re (09-82)"
@TOC sepVideo
@{fg shine}C h i r o n@{fg text}
Cet g
rateur de caract
, continue avec Motorola puisque la
nouvelle version de "l'infiniti" (version II) int
gre un processeur 68060
la place de l'ancien 68040.
@ENDNODE
@NODE sepBornecoll " Une borne au college (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}S u c c e s s t o r y
Une borne Amiga au coll
ge...@{fg text}
alisation d'une borne interactive au coll
ge St
phane Mallarm
de Sens
sur plate-forme Amiga 1200 avec le logiciel ScalaMM300.
@{fg shine}O r i g i n e d u p r o j e t@{fg text}
L'Amiga a commenc
sa carri
re au coll
ge depuis 1988 au sein d'un club
informatique dont les activit
s essentielles
tait le dessin et l'animation
avec DPaint. Petit
petit, des applications p
dagogiques ont suivi, mise
en forme de documents de cours, simulations sous DPaint en optique, chimie
canique, gestion du cross sous SuperBase, etc...
L'ann
e derni
re nous avons voulu montrer aux parents ce que nous
pouvions faire avec nos Amiga leurs p
riques et leurs logiciels.
e d'un stand sur la foire de Sens en mai 94 est apparue et s'est
concr
e. Sur ce stand on y faisait des d
monstrations avec DPaint,
ScalaMM200, un scanner
plat, le DCTV, un genlock et le mat
riel vid
quat. L'animation de ce stand revenait
des
ves de troisi
d'insertion (pr
-aprentissage) et leurs professeurs. Nous avions pu gr
la Mairie et
la Chambre de M
tiers obtenir un stand gratuitement sur
"l'espace artisanal" de la foire. Cette initiative a re
u un tr
s bon
accueil de la part du public et de nos partenaires.
Nous avons voulu poursuivre en exploitant encore plus les capacit
multim
dias de l'Amiga en cr
ant notre borne interactive. L'id
e d'un
nario de pr
sentation interactive des monuments s
nonais avait vu le
jour sur notre stand. Le projet de l'ann
e 94-95
tait trouv
@{fg shine}C o n f i g u r a t i o n d e t r a v a i l@{fg text}
Depuis 1988, le nombre de machines pr
sentes au coll
ge a toujours
, non sans difficult
, l'Amiga ayant du mal
s'ins
rer dans cet
univers de PC qu'est l'Education Nationale (il a fallu aussi convaincre non
sans heurt certains coll
gues sceptiques). D
but septembre 94, le coll
disposait de 16 Amiga 2000 (3Mo de RAM, disques durs de 50
150 Mo), 1
Amiga 4030 (10Mo de RAM et HD de 120Mo), 1 scanner Epson GT 6500
plat, le
DCTV, 1 Genlock GST 40A Y/C et le mat
riel vid
o suivant : cam
scope Sony
V6000 et magn
toscope Panasonic.
En ce qui concerne les logiciels, nous disposions de Dpaint IV,
Brilliance, de 10 logiciels Scala MM200, Vid
o-Director, AdPro entre
autres. Pour la borne interactive
aliser nous devions acheter un Amiga
1200 (carte acc
ratrice 68030 et HD 230Mo) et la version 300 de Scala.
@{fg shine}D e s c r i p t i f d u p r o j e t@{fg text}
Au d
part nous pensions pr
senter deux sc
narios interactifs
labor
avec les
ves d'une 4
me et ceux de la troisi
me d'insertion. L'un des
narios montrerait les principaux monuments de Sens et l'autre
senterait des m
tiers (m
tiers d'artisans et m
tiers de grande
industrie).
Suite
des discussions avec notre principal partenaire financier, la
Mairie de Sens, nous avons convenu d'ajouter un troisi
me sc
nario sur les
types d'habitats urbains
Sens.
Un des points importants pour r
aliser un tel projet et de s'assurer du
concours de plusieurs partenaires ext
rieurs que ce soit pour un aspect
financier ou pour un aspect d'aide technique. Nous avions avec nous quatre
partenaires efficaces : la Mairie par le contrat de ville , la Chambre de
tiers pour les m
tiers des artisans et deux grandes entreprises du
nonais: C
bles-Pirelli et FMC pour les m
tiers des grandes
industries.Pour ces trois sc
narios, la d
marche de base
tait la m
me, les
ves accompagn
s d'un ou deux professeurs iraient
la recherche des
documents (
crits, photographies, images vid
o) et au coll
ge se ferait le
tri de ces documents pour choisir les textes et images
inclure dans le
nario
labor
avec ScalaMM200.
@{fg shine}D
r o u l e m e n t d u p r o j e t@{fg text}
La classe de 4
me (4
me8) a
scind
e en deux groupes, un groupe
"entreprises" et un groupe "ville". La classe de troisi
me d'insertion
ayant un effectif de 15
ves, elle est rest
e telle quelle.
Nous disposions d'un horaire de deux heures par semaine en moyenne avec
ves de 4
me8 et malheureusement seulement d'une heure par quinzaine
avec les
ves de troisi
me d'insertion.
Premi
tape: initiation des
ves au logiciel ScalaMM200. les
devaient pouvoir intervenir eux-m
mes dans la r
alisation du sc
nario en
comprenant bien que la cr
ation d'une page impliquait la manipulation de
trois types d'objets : l'image de fond, le texte et les brosses. Ce
logiciel est remarquable, les
ves ont pu assez vite devenir autonomes et
nous avons pu passer
la phase suivante.
Deuxi
tape: la recherche des informations. Les
taient
partis par groupe de deux, chaque groupe s'occupait d'un module
particulier
l'int
rieur d'un des trois th
mes. Par exemple pour les types
d'habitats, un groupe se chargeait de r
colter des plans de la ville et des
documents
manant de la Mairie, un autre s
lectionnait des photographies
concernant tel type d'habitations, etc... La m
marche a
effectu
pour les monuments et les m
tiers.
Troisi
tape: num
risation des documents s
lectionn
s. Avec le scanner
pilot
par Adpro, les professeurs ont num
les documents photos et
papier s
lectionn
s. Ce travail est d
licat et faute de temps, nous n'avons
pas fait participer les
cette op
ration assez technique. Les
documents vid
os, qui avaient surtout trait aux m
tiers ont
digitalis
avec le DCTV en format HAM.
Quatri
tape: "retouche des images". Les plans en noir et blanc
scann
s ont
retouch
s par les
ves, il fallait refermer des lignes et
remplir certaines zones des plans par de la couleur. D'autres images noir
et blanc ilustrant les styles d'habitats ont
enti
rement coloris
es par
ves. Il a donc fallu les initier au logiciel Brilliance, ce qui n'a
pas pos
de probl
me majeur.
Cinqui
tape:
laboration modulaire du script sous ScalaMM200. Chaque
groupe de deux
ves avait sur une ou deux disquettes les images
concernant son module, il devait r
aliser les @{"pages de pr
sentation" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Cmetiers.16c"} en
grant des commentaires
crits et/ou des brosses bien choisies sur
chaque page quand c'
tait n
cessaire. Ce travail , tr
s appr
par les
ves, a pris pas mal de temps, il a fallu sur chaque page trouver la
meilleure couleur pour les textes
crits, la bonne police de caract
jouer sur les contours des textes pour les commentaires sur les images HAM,
choisir les effets d'apparition des textes ou brosses avec leur vitesse
propre, etc....
Une fois les pages r
es, les
ves dans leur groupe ont choisi
l'ordre de passage des pages, les effets d'apparition des pages, les temps
d'affichage
cran, etc...
Sixi
tape: rassemblement des modules et finalisation du script. Cette
tape a
e par les professeurs, les modules ont
unis dans
un ordre logique et les pages de choix avec les boutons de s
lection ont
es. Nous avons expliqu
aux
ves la fa
on de cr
er les boutons
sous Scala. Certains en ont utilis
dans leur module par la suite. Le
nario
tant alors bien d
grossi, c'est une phase de test et
lioration qui a suivi. Tous les
ves ont utilis
le script et ont
leur avis : trop de textes sur cette page, les couleurs
changer sur
une autre, l'effet d'apparition trop lent ou trop rapide, le temps
d'affichage trop court, une page
placer avant une autre, un module
musical
associer avec telle partie du script, etc...
Septi
tape: test du sc
nario interactif par des personnes
trang
la conception. C'est une
tape
ne surtout pas n
gliger, les
ves et
les professeurs connaissent par trop le script et l'objectivit
n'est plus
. La borne interactive doit
tre utilis
e par des personnes non initi
et son utilisation ne doit pas poser probl
me. Nous avons donc tenu compte
des quelques remarques faites pour modifier encore le script. Nous n'avons
pas eu le temps de faire tester notre "produit fini" autant que nous
l'aurions voulu. Dans nos futures r
alisations, nous ferons
particuli
rement attention
cet aspect.
Huiti
tape: r
alisation de la structure de la borne. Faute de temps,
c'est un coll
gue de technologie qui a r
lui-m
me la structure selon
les consignes donn
es par la Mairie. Par mesure d'
conomie, nous n'avons
pas utilis
cran tactile, les choix
cran se faisant gr
track-ball et un bouton de s
lection. C'est moins intuitif pour
l'utilisateur. Les prochaines bornes, seront si nous le pouvons,
cran tactile. La borne devait parfaitement s'int
grer dans un grand
stand (le stand des quatre villes Sens-Auxerre-Troyes-Chaumont). Nous
n'avons eu ni le choix de la forme ni celui de la couleur. Pour les futures
bornes, nous ferons participer les
la conception de la structure.
@{fg shine}U t i l i s a t i o n d e l a b o r n e d e p u i s d
b u t
m a i@{fg text}
a) Du vendredi 28 avril au mardi 2 mai, @{"la borne" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Borne1.8bt"} est rest
e sur le stand
des "quatre villes". Les sc
narios pr
sentaient les monuments de Sens et
les types d'habitats. Sur le stand de la Chambre de M
tiers un Amiga 2000
sentait 4 m
tiers: @{"soudeur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Soudeur.ham"}, @{"p
tissier" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Patissier.ham"}, @{"fleuriste" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Fleuriste.ham"} et @{"c
bleur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Cableur.ham"}.
b) Ensuite la borne a
plac
e au Centre de Documentation et
d'Information du coll
ge (@{"CDI" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Borne.8bt"}) o
les
ves pouvaient l'utiliser. Ils ont
fortement appr
et se sont particuli
rement int
s aux scripts des
monuments et des m
tiers d
laissant celui des types d'habitats.
c) Fin juin, la borne a
expos
e plusieurs jours dans l'entreprise
bles-Pirelli puis dans celle de FMC. Le personnel de ces entreprises a
par la fiabilit
du mat
riel et par la qualit
du travail
sur les m
tiers par les
d) Durant tout l'
, la borne du coll
ge passe ses vacances
l'office
de tourisme de Sens o
nous pourrons juger de son utilisation par les
touristes de passage.
@{fg shine}P e r s p e c t i v e s p o u r l e s a n n
e s p r o c h a i
n e s@{fg text}
Au d
but de cette aventure. Nous ne savions pas si elle pouvait aller
efficacement
son terme, nous avons de quoi
tre satisfait, le projet a
dans les d
lais, nous avons fait un premier prototype, nous
avons test
les d
marches p
dagogiques et int
nos partenaires.
Forts de cette premi
re exp
rience, nous voulons poursuivre en am
liorant
nos r
alisations. Un des premiers objectifs (passage oblig
) est de faire
reconna
tre notre projet par l'Education Nationale de fa
obtenir des
moyens horaires. C'est en bonne voie car nous avons
lectionn
s au
titre d'exp
rience innovante dans l'Acad
mie de Dijon pour ce qui concerne
la pr
sentation des m
tiers sur borne interactive. Nous avons eu le temps
de traiter quatre m
tiers seulement et nous projetons d'en pr
senter une
vingtaine de plus l'an prochain.
Nous avons aussi d
un projet d'atelier scientifique et technique
pour la r
alisation d'une borne interactive pr
sentant les mus
es de Sens
dont la r
alisation s'
talerait sur deux ou trois ans.
A plus court terme, nous voulons utiliser notre borne pour alerter les
jeunes et les moins jeunes sur la facilit
de falsifier les images vid
l'informatique et donc les habituer
exercer un regard critique
propos de ce que les
crans leur proposent.
Nous exposerons notre borne
tel de ville, elle pr
sentera les
monuments de la ville mais dans la s
quence propos
e, des "images
manipul
es" seront introduites, il faudra d
couvrir les erreurs. Cette
action s'inscrira dans le cadre d'une op
ration nationale : "La science en
Ce ne sont donc pas les projets qui manquent, c'est plut
t le temps pour
les accomplir qui nous fait d
faut.
@{fg shine}Nous souhaiterions conclure par quelques remarques :@{fg text}
* L'Amiga s'est montr
particuli
rement bien adapt
ce genre de projet,
sa grande souplesse et sa facilit
d'utilisation par les
ves ont
cieuses. Les
ves et leurs professeurs ont travaill
en dehors de leur
temps habituel de pr
sence sans qu'il y ait de leur part d
manifeste. Tous ont
fiers de leur r
alisation.
* Une
quipe d'enseignants motiv
s est indispensable dans ce type
d'action, l'
quipe se compose de cinq enseignants dans des disciplines
diverses (allemand, fran
ais, sciences, anglais, technologie) et d'autres
gues gravitent autour de l'utilisation de l'Amiga (EPS et maths).
* Les partenaires ext
rieurs jouent un r
cisif, l'Education
Nationale n'ayant h
las que souvent trop peu de moyens
nous consacrer.
Nous nous attachons
travailler efficacement avec nos partenaires et
leur montrer ce qu'il est possible de faire (il faut avec l'Amiga notamment
toujours faire ses preuves). Nous nous effor
ons de trouver d'autres
partenaires utiles
notre projet. Un de nos
ventuels futurs partenaires
pourra particuli
rement nous aider, il s'agit d'une jeune entreprise de
communication multim
dia IDEAL PRODUCTIONS (St-Julien du Sault 89330) ayant
un solide savoir-faire
propos de l'Amiga (cette entreprise est
distributeur des produits CIS). Nous signerons sans doute avec eux une
convention de partenariat de fa
ce que nos
ves constatent que les
projets scolaires en cours rejoignent des utilisations professionnelles
dans les entreprises.
* Nous esp
rons que les nouveaux possesseurs de la technologie Amiga
dynamiseront la machine. Nous avons eu quelques frayeurs durant
l'interminable vente de Commodore. Nous sommes beaucoup plus optimistes
pour nos projets. Si de nouvelles machines plus performantes viennent
bient
t sur le march
, nous pourrons renouveler notre parc d'Amiga.
@{fg shine}Pour l'
quipe du Mallarm
Yves Martin@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepMovieshop " MovieShop v2.5 (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}M o v i e S h o p 2 . 5
Des am
liorations cons
quantes@{fg text}
Une mise
jour importante de MovieShop vient d'
tre distribu
e aux
possesseurs de la carte VLabMotion. Elle apporte des am
liorations
quentes et des fonctions n
cessaires et (tr
s) attendues, notamment
pour la gestion du son.
@{fg shine} D e s c r i p t i o n@{fg text}
Premi
re fonction importante, c'est la r
organisation des partitions
o et audio. Cette fonction permet de supprimer les bouts de sc
inutilis
es, et de gagner ainsi
ment de place.
Avec un disque dur de 1,1 Giga compl
tement plein, et 15 minutes de vid
dessus, apr
s usage de la fonction "Reorg", j'ai ainsi pu r
rer 6
minutes d'espace disque pour continuer mon montage.
Une commodit
sympathique sous forme de sauvegarde de la configuration
des fen
tres, de leur position ( il y en a tellement qu'un
cran de
1800*1440 ne m'a pas permis de les mettre toutes! ) avec rappel par double-
clic dans une liste, permet de se faire des configurations d'ensemble pour
chaque type d'action. Bienvenue et indispensable.
Enfin la gestion du son est l
... Des options d'enregistrement directes
depuis MovieShop sont possibles. Un panneau permet de choisir l'entr
e, le
gain, la compression et le mode d'enregistrement. Ainsi, directement dans
MovieShop on dispose d'un (presque) studio son num
rique associ
montage. Mettre une musique de fond dans son montage, incorporer des
commentaires, le tout sans sortir de MovieShop, rend tout ceci tr
ergonomique.
D'autres petites choses bien pratiques aussi, tel un affichage
param
trable des listes des sc
nes, un nom par d
faut
ditable pour les
nouvelles sc
nes pour remplacer le "Unnamed" ainsi que la possibilit
faire des copier-coller avec un nombre d'images pr
finissable,
mentent l'usage de ce programme.
@{fg shine}M o d u l e s 3 D@{fg text}
Annonc
, command
mais pas encore re
u... Des possibilit
s de mise en 3D
des sc
nes vid
os, dont nous vous dirons plus dans le prochain num
@{fg shine}E n r
s u m
@{fg text}
Tout en continuant
velopper ce logiciel, MS MacroSystem Computer GmbH
suit la ligne fix
e et am
liore encore son logiciel (@{"voir" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Movie1.16c"} @{"les" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Movie2.8bt"} @{"grab" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Movie3.16c"} @{"
crans" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Movie4.16c"}).
Des critiques que j'avais pu formuler, notamment pour la gestion sur son,
il ne reste rien si ce n'est que je voudrais une ergonomie de la TimeLine
plus pouss
e. Ceci n'emp
che pas ce logiciel d'
tre unique sur Amiga, et
d'un rapport qualit
/ prix in
dans le monde des micro-ordinateurs.
@{fg shine}Patrick Conconi
Derniere minute, la version 2.6 est disponible. Le prix de la mise
jour
est de 80F chez AVANCEE@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepPar " Le PAR
l'oeuvre (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e P A R
l ' o e u v r e
L'exp
rience professionnelle@{fg text}
Le Personal Animation Recorder (PAR) a trois fonctions principales:
c'est un enregistreur/ lecteur de vos animations 3D, un digitaliseur vid
temps r
el plein
cran, enfin c'est un stockage d'images fixes de grande
capacit
. Fred Barachant et Rino ont donn
s leurs premi
res impressions,
s favorables, du PAR dans AmigaNews N
68. Ici, Bernard Tokatlian et
Marie Moriceau nous font part de leur experience en utilisation
professionnel.
@{fg shine}D e s c r i p t i o n@{fg text}
Physiquement le PAR se compose d'une carte de restitution aux sorties RVB
- Y/C - Line Pal, d'un disque dur d
de 1,7 Giga, et d'une carte
d'acquisition vid
o 25 images/seconde sur format 752x576 en entr
e RVB
,Y/C, line PAL .
La configuration type serait: un magn
toscope (S-VHS, U-Matic, Beta), un
moniteur vid
o, un A4040 disposant d'une bonne r
serve en m
moire et, si
possible, d'un disque de 500 Mo minimum. Le PAR est compatible avec
ImageFX , la carte sonore AD 1012 de Sunrize (non test
), LightWave, et Art
Department Pro (bien que le driver fourni avec notre ADPro v2.5 ne
fonctionne qu'en NTSC).
Pour
viter le shoot des animations 3D sur bande vid
o image par image,
grand destructeur de t
te d'enregistrement, de bande, et grand
consommateur de temps, le PAR charge chaque image de l'animation sur le
disque 1,7 Giga et joue l'animation en temps r
el pour l'enregistrement
direct en vid
o. Inversement, le PAR permet une num
risation vid
approchant les crit
res broadcast sur les entr
es RVB.
Dans les deux cas, le disque IDE 1,7 Go permet de stocker au format PAR-
PEG. Pour exemple, une image IFF24 de 1,2 Mo transform
e en PAR-PEG p
220 Ko. A noter que le disque d
n'est pas accessible par le Workbench,
sauf si le PAR est lanc
, quand il appara
t sous le nom DDR.. C'est
d'ailleurs le seul moyen d'atteindre les fichiers PAR-PEG
partir de
ADPro et d'ImageFX. Pr
cisons que l'importation des fichiers PAR-PEG par
Image FX est pr
rable s'ils ont
pass
s du DDR vers votre disque
Dans l'ensemble tout cela fonctionne assez bien et @{"l'interface" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Interfacepar.16c"} est tr
facilement accessible, surtout pour les habitu
s de la vid
o. Regrets
toutefois que cette interface et la br
ve notice soient en anglais sur la
version Amiga. A savoir que la carte de restitution et le disque 1,7 Go
sont configurables sur PC.
@{fg shine}C o m m e n t
a m a r c h e !@{fg text}
L'interface se pr
sente sous la forme de trois ensembles principaux. Tout
d'abord la fen
tre Amiga DOS files qui permet l'acc
vos disques durs.
C'est cette fen
tre qui permet le chargement des fichiers 24 bits au
format Targa, IFF, SGI.
Le deuxi
me bloc est compos
de deux fen
tres intitul
es Projects et
Files. C'est l'acc
s au disque d
PAR. Les fichiers sont organis
s en
projets (au maximum 256 projets disponibles). Chaque projet peut contenir
2040 fichiers accessibles dans la fen
tre Files.
Le troisi
me bloc est l'interface de lecture/enregistrement de vos
animations ou de s
quences vid
o num
es. La barre de scrolling permet
de visualiser la
succession d'images (sur le moniteur vid
o). Cette interface permet la
lection tr
s pr
cise d'une image parmi une s
quence, et permet
galement
de travailler sur la s
quence
la trame pr
s (duplication et effacement
d'extraits, jonction d'extraits, etc.).
Un dernier petit requester permet de s
lectionner le niveau de qualit
de vos num
risations. L'
chelle du Q-Factor va de 0
23, de la plus faible
la meilleure qualit
d'acquisition. Pour exemple, le taux de compression
17 permet le stockage de 5
6 minites sur le disque DDR de 1,7 Go; le taux
de compression 12 permet environ 12 minutes de stockage.
Reste une fonction inter
ssante pour la correction couleur et la
luminance de rushes vid
o lors des num
risations mais
galement en
grant le PAR
un banc de montage classique.
@{fg shine}U t i l i s a t i o n p r o f e s s i o n n e l l e@{fg text}
Le PAR test
est install
sur un A4040 avec 18 Mo de RAM, un disque SCSI
de 1 GO permet de disposer d'une bonne capacit
pour les animations ou les
fichiers IFF - Targa - SGI avant ou apr
s transfert du format PAR-PEG.
Le mat
riel est exploit
depuis quelques mois sans probl
me par la
Son Image Communication
Toulouse qui r
alise et produit en vid
Betacam des films d'entreprises, des transferts d'archives, films, et des
programmes interactifs sur Scala 400.. Les applications principales sont la
risation des s
quences
partir de rushes Betacam puis le transfert en
animation IFF, Targa, et SGI ainsi qu'au format MPEG. L'autre utilisation
est bien s
r la saisie directe sur Betacam des animations 3D de LightWave.
Bien que d'un co
t assez
, le PAR est un
ment essentiel dans la
ation de programmes interactifs m
lant 3D et s
quences vid
o num
Le d
veloppement d'un soft de montage et l'ajout d'un deuxi
me disque
au PAR ainsi que le traitement audio AD1012 seraient
tester en
banc virtuel institutionnel. Pour l'instant c'est une solution
ressante pour le shoot 3D sur vid
o et pour la saisie 25 images/
seconde.
@{fg shine}Bernard Tokatlian
Marie Moriceau
Distributeur CIS@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepLw " LightWave (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e e n p r a t i q u e
Votre ver
soie oscille t-il bien?@{fg text}
Nous allons voir aujourd'hui une autre fa
on de d
former un objet au
travers des bones qui en fran
ais, dans le texte veut dire 'Os'.
L'ensemble de tous ces os, forme le squelette d
formable de n'importe
quel objet...Comme d'habitude, lancez DPaint ou quelque chose de similaire.
Exercice n
7: 'The Walker'
- La mod
lisation -> L'effet magn
tique.
- Le plateau -> Os, Squelette (fant
me, etc...)
@{fg shine}D p a i n t@{fg text}
Ouvrez un
cran en 640 * 512 * 5 ( 16 couleurs )
- Enclenchez la grille et dessinez une belle bouche.
- Dessinez deux bons gros yeux.
- Dessinez sur un rectangle des bandes verticales Jaune et noire, cf @{"Brosse" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Brosse.16c"}
. Vous pouvez bien s
r personnaliser ces
ments
volont
. Sauvez
respectivement en brosse: 'Bouche', 'Yeux', 'pantalon'
Quittez. Voil
, pour l'habillage de notre Walker!
@{fg shine}L e m o d e l e u r@{fg text}
Comme d'habitude, donnez un nom
ce premier objet.
* Nommez le en "Corps"
Sur la vue de face,
ez une sph
re avec numeric
Sides= 32, Segments= 16 (petite config r
duisez ces valeurs)
X=Y=Z= 500 mm
* Modifiez avec la fonction
tirer (Stretch) en numeric
X=1; Y=2; Z=0.5
* Modifiez Magnet
Radius Center Offset
X 1 m 0 m 0 m
Y 2.1m -1.1 m 1.4 m
Z 1 m 0 m 0 m
* Include (en bas, cliquez deux fois sur volume)
Comme la derni
re fois, s
lectionnez les polygones pour cr
er les surfaces
jambes, t
te, yeux, et bouche.
* Display:Selection/Stats
Cliquez sur le '+' de polygon in volume
* Polygon (Bas)
* Polygon:Transform/Surface en "Jambes"; puis "T
te"; Etc..
* Cliquez sur le compteur du bas
la fin de chaque surface termin
* Changez de m
moire (n
Nous allons cr
er les chaussures
Nommez ce nouvel objet en "chaussure"
ez une balle
Center Radius
X 445 mm 182 mm
Y 161 mm 88 mm
Z -120 mm 255 mm
formez cette chaussure
votre guise en utilisant Modify/magnet.
* Cr
ez la deuxi
me chaussure en employant la fonction Mirror en X.
* Exportez ou Sauvez en s
lectionnant les deux m
moires avec Shift, nommez
le en @{"Walker" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Walker.8c"}.
@{fg shine}L e p l a t e a u@{fg text}
Les personnes qui ont export
devraient
tre d
Pour ceux qui ont sauv
l'objet, rechargez le maintenant.
* Objects/Object skeleton...
Add Bone
Rename Bone en 'Corps'
Revenez sur le plateau, un bone est apparu, il nous faut le positionner.
* Bone/Move | numeric
Y= 0.55
* Bone/Rotate | numeric
Pich(Y)= -90
"Rest Lenght", faites co
ncider la hauteur de votre bone
votre
'Walker'
* Validez, OK (ou Create key) sur l'image 0
* Appuyer sur 'R' afin de rendre actif ce bone, il agit maintenant comme un
lectro-aimant par rapport
votre objet!
Amusez-vous
le bouger avec rotate et voyez l'influence qu'il a sur
l'objet... Vous ferez facilement un reset en s
lectionnant l'image 0 ou en
cliquant le curseur.
* Appelez de nouveau la fen
tre des 'squelettes', raccourci clavier 'P'
* Ajoutez 1 bone que vous renommerez "Hanche Droite"
Position:
Move Y=0.55
Rotate X=90
Rest lenght
ajuster
On va maintenant ajouter des 'enfants'
ce bone. Allez dans la fen
'squelette'
* Add child bones deux fois
* Renommez en 'jambeD' et 'piedD' Fig @{"Tableau.bones" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Bones.8c"}
placez les comme suit:
JambeD: Rotate Pich= 70
PiedD : Rotate Heading= -95
Pich= 4.0
N'oubliez pas d'enclencher 'R' pour activer les aimants.
tez l'op
ration pour la partie droite du Walker (Hanche Gauche en
parent, jambeG et PiedD en enfants)
Le squelette est termin
. En donnant les rotations appropri
es aux
hanches droite et gauche, vous pourrez tr
s facilement faire marcher votre
Walker. N'oubliez pas de valider vos sc
nes clefs lorsque vous modifiez les
bones. Fig @{"SQUELETTE" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Squelette.16c"}.
* Images
Chargez les brosses faites pr
demment
* Surface (Toutes les surfaces, une
une)
Voir @{"Tableau 1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Lwtablo1.4c"} et @{"2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Lwtablo2.4c"}
* Effects
Enlevez Solid backdrop
r
glez: Gradient Squeeze: 2,2
Zenith Color: 0,40,80
Sky Color: 120,180,240
Ground Color: 120,180,240
Nadir Color: 0,40,80
* View/Camera
* Edit/Camera
* Target "Walker"
* Validez, OK (ou Create key) sur l'image 0
* Placez-vous sur l'image 60
* Edit/Bone
Modifiez les hanches, validez
* Validez, OK (ou Create key) sur l'image 15 puis 60
* Preview: Make preview
de l'image 1
* Camera
glez votre 'segment memory' en fonction de votre m
moire disponible
* Scene
save scene
nommez en 'Walker'
* Objects
save all objects
* Record
Save RGB
nommez en 'DIDI'
il en ressortira une @{"s
rie d'images" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Picseq.256"} (didi.001, didi.002, ...) qu'il vous
faudra, comme d'habitude, assembler en anim.
, fini pour aujourd'hui.
* Render
enclenchez 'Automatic'
Il faudra attendre environ 1 mins 34 s par image sur un 4000/040 18 Mo en
dium r
solution ( vid
o ). Bon courage. Au mois prochain!
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE sepInternet " Internet (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}Y o u h a v e n e w E - M a i l
Petit facteur d
ches toi, car le courrier n'attend pas...@{fg text}
Echanger du @{"courrier
lectronique" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Elm.16c"} est sans nul doute la fa
on la plus
courante d'utiliser Internet. Pour beaucoup c'est d'ailleurs l'unique moyen
d'acc
der aux richesses du r
seau. En effet le tr
seau poss
de les
avantages du t
phone ou de la t
copie par sa rapidit
de diffusion (de
quelques secondes
quelques heures suivant le trafic), tout en laissant le
destinataire choisir le moment o
il consultera sa bo
te aux lettres.
Le courrier
lectronique ne se limite pas aux seuls fichiers textes. Pour
changer des donn
es binaires (images, sons, archives, programmes) Il faut
convertir celles-ci avec un utilitaire (uuencode
tant le plus r
pandu)
pour pouvoir les envoyer. Le destinataire devra ensuite effectuer
ration inverse (avec uudecode) Les r
gles g
rales de l'expression
crite s'appliquent aussi sur Internet avec quelques conventions propres
ses caract
ristiques (cf. Anews n
80). N'oubliez jamais que la plupart de
vos correspondants ne vous connaitront que par vos messages.
@{fg shine}P l u s d e c e n t m a i l s / j o u r@{fg text}
Les mailing-lists (ou listes de diffusion) permettent d'
tablir des liens
avec des gens ayant les m
mes centres d'int
t que soi. Il en existe des
milliers, mod
s ou non, sur n'importe quel sujet. On s'y abonne/d
sabonne
une adresse de type
NomListe-request@NomMachine si la liste est g
e de fa
on manuelle et on
poste son courrier
NomListe@NomMachine
@{fg shine}G
r e r s o n c o u r r i e r@{fg text}
Tous les lecteurs de mail (ou mailreader) permettent de supprimer,
sauvegarder, imprimer, faire suivre
une autre adresse, faire des alias...
(pour envoyer un m
me courrier
plusieurs personnes par exemple) et bien
pondre. Mais g
rer uniquement son courrier de cette fa
on n'est pas
suffisant si vous en faites un usage r
gulier. Des programmes comme
procmail distribuent le courrier re
u avant sa lecture dans diff
rents
folders (boites aux lettres locales). On peut ainsi consulter/classer le
courrier professionnel d'un c
, personnel de l'autre, etc...
Les crit
res de r
partition sont tr
s vari
s et peuvent devenir tr
fins. Coupler une base de donn
es avec sa bo
te aux lettres permet de
conserver de pr
cieuses informations sur ses correspondants. Par exemple,
BBDB (sous emacs) permet de cr
er des mini-fiches sur chaque personne en
quelques secondes: adresse
lectronique, coordonn
es, profession,
commentaire, etc...
@{fg shine}C o n f i d e n t i a l i t e e t a u t h e n t i f i c a t i o n@{fg text}
Vous attendez un dossier class
secret-d
fense de votre agent ou encore,
vous ne souhaitez pas que votre maman apprenne que vous sucez encore votre
pouce la nuit? Il n'existe aucune garantie sur l'authenticit
du courrier
u ou sur la confidentialit
du courrier envoy
sur Internet. L'unique
solution est l'utilisation de la cryptographie, si vous jugez cette
marche indispensable. PGP (Pretty Good Privacy) est le programme le plus
surtout pour l'authentification.
Tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes, si la l
gislation
aise n'avait pas class
comme arme de guerre la cryptographie. Crypter
un message est donc ill
gal en France et utilisez PGP (ou un
quivalent)
seulement comme un moyen d'authentification, implique en th
orie une
claration aupr
s de la Direction des R
glementations G
rales. L'issue
consiste peut-
tre en l'utilisation d'un autre moyen de communication si
vous estimez avoir besoin de s
curit
@{fg shine}I n t e r r o g e r d e s a u t o m a t e s@{fg text}
De nombreux serveurs, automates ou autres robots poss
dent une adresse
Internet. Le mois prochain, cette rubrique sera consacr
la fa
on de
communiquer avec eux. L'int
t de ces entit
s, c'est qu'elles offrent les
services FTP, Goher, Wais, WWW, Archie via le courrier
lectronique.
@{fg shine}Corinne Villemin Gacon
villemin@depinfo.u-bourgogne.fr
(1) message sous ircII lors de la r
ception d'un nouveau mail@{fg text}
@{fg shine}MAGAZINES ELECTRONIQUES@{fg text}
Amiga Report jcompton@xnet.com
Amiga Link amigalink-request@ramiga.cts.com
dans le corps du mail: ADD <VotreAdresseEmail>
(Attention, vous devez pouvoir recevoir un courrier de plus de 100Ko)
@{fg shine}LA LISTE DES MAILING-LISTS@{fg text}
Email mail-server@rtfm.mit.edu
dans le corps du mail: 'send
/pub/usenet/news.answers/mail/mailing-lists/partX' (remplacer X
Mailing-list passerelle avec comp.sys.amiga.announce
announce-request@cs.ucdavis.edu (Carlos Amezaga)
DevPac,Dice
emailurl@flevel.demon.co.uk
dans le corps du mail
'subscribe devpac me@my.domain
subscribe dice me@my.domain
end'
IMAGINE
imagine-request@email.eag.unisysgsg.com
(avec le mot SUBSCRIBE dans le titre du mail )
PARNET
parnet-list-request@ben.com (Ben Jackson)
pondre a parnet-list-owner@ben.com
@ENDNODE
@NODE sepRadioA " Radio Amiga (09-82)"
@TOC MAIN
@{fg shine}R a d i o A m i g a
Article de pr
sentation@{fg text}
Nous commen
ons ce mois-ci une nouvelle rubrique, qui concernera
l'utilisation de l'Amiga comme moyen de communication. Vous avez tous
entendu parler d'Internet? En quelques mots, c'est un r
seau local...
chelon mondial. De m
me, il existe de nombreux r
seaux similaires,
s et/ou publics, hertziens et/ou filaires, chacun ayant ses propres
particularit
s, que nous allons
tudier au fur et
mesure.
@{fg shine}C e r n o n s l e d o m a i n e@{fg text}
Le r
seau public est essentiellement compos
du monopole de France-
coms: il utilise aussi bien le c
lectrique ou optique (c'est le
phone, le r
seau Transpac et tous ses d
s: TransFix, RNIS, ...) que
la voie hertzienne (via les satellites entre autres: r
seau GSM, 3RD).
Quant aux r
seaux priv
s, ils utilisent essentiellement la voie hertzienne
(radioamateurs, r
seaux priv
s de fax, etc.); il peut aussi exister des
seaux priv
s (au sein des entreprises, mais aussi chez vous:
reliez deux boites de conserves avec un simple fil et parlez dans la boite,
d'une chambre
une autre par exemple...
a marche!). Par contre, il est
formellement interdit, en principe, de relier un r
seau priv
un r
seau
public, sauf... pour les entreprises, qui peuvent relier leur r
seau
rieur (priv
) au r
seau ext
rieur (public), mais
travers un central
phonique d
ment agr
Par contre, en ce qui concerne les radioamateurs, une telle
interconnexion, bien que possible et tout
fait faisable mat
riellement
(ce qui est le cas aux USA), est totalement interdite en France; pourquoi?
Le Monopole! Vous pourriez, par radio, appeler le voisin de votre
correspondant,
600 km de vous, puis ensuite, joindre votre correspondant
avec simplement une taxation locale... vous voyez le manque
gagner!
C'est ainsi: pour communiquer, il faut une autorisation. En l'occurence,
l'installation d'une ligne t
phonique par France T
coms; de m
me, pour
communiquer par les ondes, il faut une autorisation pr
alable de France-
coms. Il est totalement interdit d'
mettre sans cet accord! Les radio
locales ont besoin de l'accord du CSA, la licence pour les radioamateurs,
... le tout se traduisant en fait par le paiement d'une taxe! Il faut bien
comprendre ce principe: ce n'est pas le fait de communiquer qui est soumis
autorisation (quoique...), mais l'utilisation elle-m
me des "moyens de
transport" de cette communication; c'est le support (les ondes radio, le
ble) qui est tax
me de nos jours, il est officiellement interdit de
transmettre des signaux lumineux (vous savez, pendant la guerre quand les
bateaux communiquaient "
vue " en code morse avec des signaux
lumineux...) sans autorisation pr
alable.
@{fg shine}C a
v i t e l a c a c o p h o n i e !@{fg text}
Et pour
viter cette cacophonie, au niveau national et mondial (imaginez
une radio locale suisse ou belge,
mettant pr
s de la fronti
re fran
aise,
alors que sur la m
me fr
quence, en France et pr
s de la fronti
correspondante, il y aurait le r
seau du SAMU), chaque Etat participe
des
organismes internationaux (dont l'UIT : Union Internationale des
communications) afin de s'entendre dans la r
partition et l'affectation
des fr
quences, en fonction des besoins. Comme vous pouvez vous imaginer,
le spectre utilisable est de plus en plus satur
(la demande est tr
importante), et donc les espaces "libres" de plus en plus rares.
@{fg shine}E n r
s u m
@{fg text}
Que le r
seau soit priv
ou public,
partir du moment o
il utilise les
ondes radio (ondes
lectromagn
tiques ou
lectrolumineuses), il est
totalement interdit d'
mettre sans accord pr
alable de l'administration
gale de tutelle. Tout ce qui sera d
crit par la suite implique donc, si
vous voulez
mettre, que vous ayez cette autorisation (une licence pour les
radioamateurs, d
e par France-T
coms, apr
s avoir pass
un examen
technique). Par contre, rien ne vous emp
che de relier chez vous un r
seau
local d'ordinateurs (1 dans chaque chambre...) ...ni de faire librement de
ception des ondes radio, et d
couvrir ainsi un monde plein
d'informations: cartes m
o, agences de presse, images, communications des
astronautes en vol, etc.
@{fg shine}Fran
ois-Xavier Peyrin@{fg text}
Dans les prochains num
ros...
* Je vous parlerai, bien entendu des communications classiques (minitel,
modem, internet... ), nous verrons comment faire un r
seau local (logiciels
du genre tcp-ip du domaine public), comment relier tr
s facilement et
simplement avec un cable s
rie un Amiga avec un autre Amiga, un PC, un
MacIntosh, le tout
la fois, mais nous aborderons surtout et
essentiellement par la suite, le " fief " des radioamateurs et les
multiples possibilit
s de l'Amiga, dans des domaines comme la r
ception des
cartes m
o-sat, le packet (transmissions de donn
es, style Transpac), le
morse, le fax, le rtty, la poursuite des satellites en temps r
el, et m
vision d'amateur (
balayage lent, ou en 625 lignes)!
* Juste une pr
cision, pour vous rassurer: tout sera cens
fonctionner
avec un Amiga de base; par contre, il est
vident que si vous avez des "
plus " dans votre Amiga (ram, disque dur, carte acc
ratrice, etc..), vous
liorerez votre confort d'utilisation, mais c'est tout.
* Des sch
mas "
construire " vous seront propos
codeur packet,
fax, m
o-sat, rtty, morse, etc. ), ainsi que des tests de logiciels. Je
peux vous assurer que certains logiciels n'ont rien
envier aux
compatibles, bien au contraire, et en plus ils sont multit
ches !
@ENDNODE
@NODE sepDemos " D
mos (09-82)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/COMPOSIH.256"} @{"E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/JCSescape.128"} @{"M" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Pijeqba.24b"} @{"O" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Bunchofkeys.256"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicSEPTEM/Cybolove.64"}
@{fg shine}par Emmanuel Arnaud@{fg text}
Quelques part en Hollande, le soleil a frapp
fort sur nos cr
nes. Il
faisait bon chercher de l'ombre
quelques m
tres d'un cours d'eau plut
que s'enfermer dans la chaleur des microprocesseurs. Heureusement, il
gnait une ambiance fruit
la SIH qui nous a rafra
chis...
@{fg shine}L a S o m e w h e r e I n H o l l a n d ' 9 5@{fg text}
400 personnes seulement s'
taient r
unies
la SIH'95
Roosendaal (
fronti
re hollando-belge) du 8 au 10 juillet. Des gens int
ressants, venus
de groupes comme Lemon., Melon Dezign, Essence, Axis, Polka Brothers
taient au rendez-vous avec en prime dans leurs bagages des contributions
pour les diverses comp
titions. Le cadre, une salle de sport haut standing,
tait plut
t accueillante; l'organisation fut de bonne qualit
me si
hormis le concert de Fashion 8 (compos
de Lizardking & D-Luxe) dans un
style de JM Jarre, aucune activit
tait propos
Les concours furent d'un niveau moyen, peu de participations dans chacun:
20 modules, 30 images, 10 intros, 6 d
mos...
Les musiques ne pr
sentaient vraiment aucun int
t; 5
6 images
valaient vraiment le d
tour dans la comp
tition graphisme; les intros 40k
taient plut
t lassante,
regarder; seules les d
mos furent de bonne
qualit
Finalement, la Somewhere In Holland'95 f
t une party assez banale, de
courte dur
e, qui souffrait seulement d'un manque de monde et surtout
d'activit
@{fg shine}Les r
sultats:
Musique:
1. Dreamer - TRSI
2. Hollywood - AXIS
3. Jam & Spoon - CLIMAX
Graphisme:
1. Jcs - SECTOR 7
2. Facet - LEMON.
3. Lazur & Dreamer - TRSI
40K Intro:
1. Hoodlum Intro -
CHRYSEIS
2. Siesta - STELLIOS &
HOLLYWOOD
3. The Malta Intro -
ESSENCE
Demo:
1. Planet M. - MELON DEZIGN
2. Baygon - MELON DEZIGN
3. Picture Book - AXIS@{fg text}
@{fg shine}L a S o u t h S e a l a n d 2@{fg text}
Pendant ce temps, au Danemark, se tenait une autre d
moparty, la South
Sealand 2 (du 7 au 9 Juillet). Environ 300 personnes
taient pr
sentes
essentiellement des danois; mais peu de participations l
aussi dans les
titions.
Voici en bref les r
sultats:
@{fg shine}Musique:
1 Nhp & Christopher -
SCOOPEX
2 Motion - BALANCE
3 P.O.W - IRIS
Graphisme:
1 R.W.O. - BALANCE
2 Deckard - SUBACID
3 The Party
64K Intro:
1 Herb - POLKA BROTHERS
2 Cold Fire - IMPACT DK
3 Fire Power - TRICKTRAX
Demo:
1 P.Y.T. - Subacid
2 Der Gr
ne Punkt - Gunnars
Farvebio(TM)
3 Amazed - Vanit@{fg text}
@{fg shine}P l a n e t M .@{fg text}
M E L O N D E Z I G N
Le retour du duo de choc fran
ais Nam & Alex (aussi connu sous Oups
Productions), encore une fois agr
d'une ambiance transe de Groo. Il
s'agit d'un clip plus qu'une d
mo ordinaire o
tout est bas
sur le design.
Des d
formations de logos Melon dans tous les sens, projet
@{fg shine}L a W a v e y A w a r d s C e r e m o n y: les LWeurs
compens
s@{fg text}
Le SIGGRAPH est l'occasiond'associer
cette manisfestation des soir
comme la Wavey Awards, premi
monie de r
compenses de films faits
avec LightWave; une tr
s grande premi
@{fg shine}M i s e e n b o u c h e@{fg text}
Cette c
monie, organis
e par Video Toaster User Magazine, NewTek inc.
et DeskTop Images, se tenait le 9 Ao
t 1995 au th
atre Orpheum
Los
Angeles. Les autres sponsors
taient Bushey Virtual Construction, Carrera
Computers, DeskStation Technology, Digital Concept Productions, Dynamics
Realities, Innovision Technology, MacroSystem Development, Xaos Tools. Elle
tait ouverte
tous, car l'entr
tait gratuite. Une r
ception
19h
permettait de faire connaissance avec tous les grands de la 3D, comme
@{"Allen Hastings" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Ahastings.8bt"},
Stuart Ferguson, les cr
ateurs de LightWave et juges de cette comp
tition
de films, ainsi que Tony Stutterheim de Amblin Imaging (SeaQuest DSV), et
John Gross,
diteur de LightWave Pro, la newsletter des LWeurs. Egalement
sents dans la foule, @{"Mark Thompson" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Mthompson.8bt"} de Fusion Films, @{"MOJO" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Mojo.8bt"} de Foundation
Imaging (Babylon 5).
@{fg shine}L a c
m o n i e@{fg text}
Apr
s un cocktail-tombola o
le public pouvait gagner des lots allant du
logiciel au mat
riel, la c
monie-spectacle
tait faite par Penn Gillette
du duo Penn & Teller, un pr
sentateur comique qui annon
ait les diff
rentes
gories, soient douze au total. En introduction, une r
trospective de
films r
s avec LW, allant de la premi
re animation par Allen Hastings
Babylon 5. Tous les films nomin
taient projet
s et le nom du gagnant
tait annonc
par deux personnes c
bres de studios, comme Amblin Imaging,
Foundation Imaging, ou Paramount et bien d'autres. Le gagnant recevait la
@{"Wavey award statue" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Trophelw.8bt"}
, la spirale dor
e de LW avec les 5 triangles argent
s autour, le tout
sur une plaque noire.
@{fg shine}L e s g a g n a n t s@{fg text}
Meilleur animation de logo:
Fusion Films (Mark Thompson)
Meilleure image fixe de logo:
Lunar Media
Meilleure jeune animation (animation faite par des jeunes de moins de 16
ans):
UFO Invasion
Meilleure histoire courte:
Eat at Joe's
Meilleur film
ducatif:
Tour of animal Cell
Animation la plus drole:
Cat can do
Meilleure animation de personnages:
Johnny Quasar
Meilleurs effets organiques:
Sunset Ripple
Meilleure composition (m
lange 3D et prises de vues r
elles):
Yves Day de Grid Production
Meilleure utilisation de LW dans une pub:
Steven King book of the month club
Meilleur de tous:
Johnny Quasar
Choix du jury:
CountDown de Grid Production, de jeunes Belges aux images tr
prometteuses. Nous en reparlerons dans ce magazine.
Cette c
monie fut une tr
s bonne iniative pour r
compenser des
ateurs d'animations faites uniquement sous LW. Cela nous a permis de
rencontrer des grands noms de la 3D que l'on ne conna
t qu'
travers des
mailings lists ou d'articles de news. L'
nement
tait film
par Rex Olson
de DeskTop Images, bient
t disponible en K7 vid
o. L'ann
e prochaine, si
cette c
monie se passe en m
me temps que le SIGGRAPH, rendez-vous
Nouvelle Orl
ans. Vous aussi qui avez r
des animations avec LW pouvez
tre parmi les gagnants.
@{fg shine}Pour plus d'infos, contacter AVID Media Group 273 N. Mathilda Ave.
Sunnyvale, CA 94086-4830
Pascal Rullier
rullier@grolier.fr@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octActuFrance " Actualit
FRANCE (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" R
seau d'astuces pour LightWave (10-83)" LINK octAstuceLw}
@{" Ordinateur et Video,
a vient ? (10-83)" LINK octOrdi&Video}
@{" Final DP (10-83)" LINK octFinaldp}
@{" CORSAIRE T
vision (10-83)" LINK octCorsairetv}
@{" Gagner un lecteur de CD ROM (10-83)" LINK octCagnercdrom}
@{" BBS sur Strasbourg (10-83)" LINK octBbsStrasbourg}
@{" Aztek, sp
cialiste de la 3D anim
e (10-83)" LINK octAztek3d}
@{" Amigas d'occase (10-83)" LINK octAmigaoccase}
@{" Plan
te Amiga VPC (10-83)" LINK octAmigavpc}
@{" Photon SR sort de sa m
ditation (10-83)" LINK octPhotonsr}
@{" Amiga
Salon de Provence (10-83)" LINK octAmigasalon}
@ENDNODE
@NODE octAstuceLw " R
seau d'astuces pour LightWave (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}R
s e a u d ' a s t u c e s p o u r L i g h t W a v e@{fg text}
LWAVE 3D TIPS est un nouveau r
seau d'entraide et d'informations pour
tous les utilisateurs du logiciel LightWave sur Amiga; il est gratuit et
accessible
tous.
Pour de plus amples renseignements,
crire
l'adresse suivante en y
joignant un timbre pour le renvoi:
@{fg shine}Mr HUET Julien, lieu dit "Le Gu
des Pr
s", Saint Antoine du Rocher
37360 Neuilly Pont Pierre.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octOrdi&Video " Ordinateur et Video,
a vient ? (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}O r d i n a t e u r e t V i d e o ,
a v i e n t ?@{fg text}
Non, le projet a
annul
avec les nouvelles de l'achat de l'Amiga par
Escom. Chaque mois, honteusement, nous oublions de vous le signaler, mais
cette fois-ci vous serez au courant.
La raison de cet abandon? Tant que l'avenir
tait incertain pour l'Amiga,
un deuxi
me journal nous aurait permis d'assurer la continuation des
emplois actuels chez NewsEdition, m
me si AmigaNews devenait de plus en
plus maigre. Quand nous avons vu le s
rieux de l'effort fourni par Escom
nous avons d
de continuer notre chemin mono-magazine.
@ENDNODE
@NODE octFinaldp " Final DP (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}F i n a l D P@{fg text}
Cette association devenue SARL se veut active dans le redressement de
l'Amiga, ayant
e dans un esprit de soutien pour la machine dans ses
heures difficiles. Final DP diffuse une large gamme de logiciels,les
collections classiques (Fish, CAM, 17 Bits) et des collections de modules,
images, fonts, jeux et utilitaires constamment remises
jour, au prix de
10F la disquette.
@{fg shine}Final DP, 159 rue Voltaire,59200 Tourcoing@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octCorsairetv " CORSAIRE T
vision (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}C O R S A I R E T
v i s i o n@{fg text}
Voici quelques informations suppl
mentaires
propos de Corsaire
vision (C.T.V.), la t
rimentale produite
la Capitainerie du
Port de Saint-Vaast-la-Hougue, Manche, par @{"l'association CORSAIRE Production" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Corsaire.8bt"}
A peu pr
s 5000 personnes ont pu recevoir C.T.V. sur le canal 57 de la
septi
me cha
ne de leur t
viseur. C.T.V. est la premi
re cha
ne de
vision locale hertzienne
obtenir l'autorisation du C.S.A. pour ce
type d'
mission, m
langeant
la fois l'informatique et la vid
o. La
tranche horaire de diffusion
tait de 10 heures
19 heures.
L'habillage" de la t
vision
tait r
SCALA MM400 et
Lightwave pour les images de synth
se. L'audio
tait enti
rement en direct,
le tout pilot
par un Amiga reli
une r
gie audio. Cette liaison
permettait de lancer les jingles, eux aussi remix
s sur Amiga. Outre le
riel audio et vid
o, la t
vision locale
tait
e de cinq Amiga
1200 avec carte accel
ratrice et d'un AMIGA 2000 avec cartes accel
ratrice
et graphique.
Les premi
res estimations font
tat de 1500 visiteurs sur les cinq jours.
Suite
la demande des collectivit
s locales et du Conseil R
gional,
Corsaire pr
pare d
tude d'un nouveau projet sur 15 jours dans la m
gion (Ao
t 96). Un autre projet pour un canal local en Ile de France
(Novembre 95) est aussi
tude.
@{fg shine}Les sponsors ou bien les personnes int
es par ces projets peuvent
contacter Corsaire Production, C19 La Rocade 91160 Longjumeau. T
l 16-1
69.09.55.04.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octCagnercdrom " Gagner un lecteur de CD ROM (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}G a g n e r u n l e c t e u r d e C D R O M@{fg text}
Fronti
res Informatiques nous informe que son concours de graphisme est
prolong
jusqu'au 31 octobre 1995. Le concours est ouvert
tout le monde
et il sera possible de gagner un lecteur CD ROM (+ interface SCSI Squirrel)
si le nombre de participants est sup
rieur
100. Sinon, le prix gagnant
sera d'une valeur
gale au nombre de participations.
La participation au concours s'
20 F. Il faut envoyer la disquette
contenant le dessin accompagn
e d'un ch
que ou d'un mandat adress
l'association Fronti
res Informatiques, 52 rue d'Italie, 13006 Marseille.
Tel: 91 42 83 07.
@ENDNODE
@NODE octBbsStrasbourg " BBS sur Strasbourg (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}B B S s u r S t r a s b o u r g@{fg text}
La soci
SL Diffusion propose, aux amiga
stes
s d'un modem, un
un BBS local qui permettra de t
charger la liste des produits
ainsi que de poser des questions concernant leurs probl
mes ou des demandes
d'informations. De plus, il y a un service de t
chargement de logiciels
de domaine public et un service de scann
risation.
@{fg shine}N
88.93.21.22@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octAztek3d " Aztek, sp
cialiste de la 3D anim
e (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}A z t e k , s p
c i a l i s t e d e l a 3 D a n i m
e@{fg text}
Deux stations Amiga 4000
es de cartes Warp Engine
40MHz, un PAR
avec carte d'acquisition vid
o, un banc de montage S-VHS Pro Panasonic, et
bondir AZTEK, une jeune soci
au coeur de S
te (34).
Aztek, sp
cialiste de cr
ation d'images de synth
se 3D anim
es, est n
de la rencontre de deux passionn
s de math
matiques, d'
lectronique,
d'informatique et bien s
r de virtuel: C
dric Cossec et Olivier Moreau. Le
courant passe si bien avec leur Conseil d'entreprise, Henri Charpiat, qu'il
s'associe au projet.
Du simple logo
la simulation de process industriels complexes, et en
partenariat si besoin est avec des ateliers de montage vid
o et son, Aztek
me de commercialiser un produit fini en vid
o de qualit
broadcast.
Les statuts ne sont pas encore d
s que la premi
re commande tombe: le
Festival International de Montpellier Danse pr
sente pour la premi
re fois
l'Opera Com
die une chor
graphie techno sign
e et dans
e en solo par
phane Mougen
. Pour accompagner le danseur, deux
crans g
ants vont
recevoir la premi
re @{"cr
ation originale" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicOCTOBRE/Aztec.jpg"} de longue dur
e d'Aztek, projet
simultan
ment par deux Barco. Ce spectacle sera produit en France et en
Europe par la Compagnie Artech' la salamandre, Montpellier.
@{fg shine}Aztek, 5 Grande rue Haute, 34200 S
te, t
l et FAX 67.46.11.37@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octAmigaoccase " Amigas d'occase (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}A m i g a s d ' o c c a s e@{fg text}
En attendant l'arriv
e des nouveaux Amiga, Axiom Computer propose des
Amiga d'occasion test
es, v
es et garanties. Les prix varient de 790F
pour un Amiga 500
1990F pour un Amiga 1200.(Axiom Computer 78 Houilles).
@ENDNODE
@NODE octAmigavpc " Plan
te Amiga VPC (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}P l a n
t e A m i g a V P C@{fg text}
Plan
te Amiga est une nouvelle soci
de VPC pour les possesseurs
d'Amiga. De la CD-32
l'Amiga 4000, Plan
te propose tout l'environnement
software, jeux et utilitaires sur disquette et CD-ROM. Le catalogue Octobre-
Novembre est envoy
gratuitement sur demande.
@{fg shine}Plan
te Amiga, 61 Grand Rue, 95270 Asni
res sur Oise. T
l FAX
30.35.87.84@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octPhotonsr " Photon SR sort de sa m
ditation (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}P h o t o n S R s o r t d e s a m
d i t a t i o n
Communiqu
@{fg text}
"Adeptes de la secte, pardon, de la sc
ne Amiga, sachez que le grand
ESCOM a sorti de sa m
ditation le guru PHOTON SR.
"Sa mission: offrir les meilleurs produits au meilleurs prix, un service
s-vente de qualit
, et la r
ponse
tous vos probl
mes sur notre
e machine.
@{fg shine}"Les services de communications terrestres vous permettent d'entrer en
contact avec nous: PHOTON SR, 3 rue de la Tuilerie, Les Granges Galand, BP
129, 37550 St Avertin. T
l 47.32.90.20, FAX 47.80.50.99@{fg text}
"Que le Kickstart 40.42 soit avec vous!"
@ENDNODE
@NODE octAmigasalon " Amiga
Salon de Provence (10-83)"
@TOC octActuFrance
@{fg shine}A m i g a
S a l o n d e P r o v e n c e@{fg text}
Une nouvelle
quipe de Image 'In (Guy, Pascal et Didier) d
marre dans un
nouveau magasin. Ventes de mat
riel, p
ripherie et logiciels neufs et
d'occasion. Stations vid
o et graphique (Draco, VLab, PAR, genlock), et
toutes prestations de service vid
o montage, titrage).
@{fg shine}Image 'In, t
l 90.56.67.08, FAX 90.56.71.19@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octActuAlleman " Actualit
ALLEMAGNE (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E A L L E M A G N E@{fg text}
@{" Amiga Plus: Viens jouer avec moi... (10-83)" LINK octAmiga+}
@{" Apollo 4040/4060 (10-83)" LINK octapollo4060}
@{" I-glasses (10-83)" LINK octIglasses}
@{" LightSpeed V.34+V.FC modem (10-83)" LINK octLightspeed}
@{" ACTIVE 28.800 modem (10-83)" LINK octActive}
@{" EPSON STYLUS COLOR PRO (10-83)" LINK octStyluscolorpro}
@{" VOULEZ-VOUS DEVENIR TESTEUR BETA ? (10-83)" LINK octTesteurbeta}
@{" DEVPAC v3.14 (10-83)" LINK octDevpac3.14}
@{" MASTERISO faites votre propre CD-rom (10-83)" LINK octMasterIso}
@{" M.M.Experience (10-83)" LINK octMMexperience}
@{" MONUMENT V2 DESIGNER (10-83)" LINK octMonumDesign}
@{" ART STUDIO (10-83)" LINK octArtstudio}
@{" AMIGA SUR INTERNET (10-83)" LINK octAmigainternet}
@{" CD-ROM MAXON RAYTRACE PRO (10-83)" LINK octCdmaxonray}
@{" Le hit-parade des prix (10-83)" LINK octHitparade}
@{" Les conseils du mois (10-83)" LINK octConseils}
@{" En bref (10-83)" LINK octEnbref}
@{" TESTS ALLEMANDS (10-83)" LINK octTestallemand}
@{fg shine}Jac Pourtant @{fg text}
Ces informations n'ont absolument pas
es. Elles
manent des
articles ou des publicit
s parues dans les revues d'AmigaMagazin,
d'AmigaSpecial et AmigaPlus de septembre 95 et ni ma responsabilit
celle du journal ne sauraient
tre engag
es en quoi que ce soit en cas
d'erreur.
@ENDNODE
@NODE octAmiga+ " Amiga Plus: Viens jouer avec moi... (10-83)"
@TOC octActuAlleman
@{fg shine}V i e n s j o u e r a v e c m o i . . .@{fg text}
Amiga Plus, un des trois journaux consacr
l'Amiga en Allemagne nous
propose un jeu plus qu'int
ressant. Non seulement c'est un jeu r
tributaire
de cadeaux tant softwares qu'hardwares, mais encore c'est peut-
tre notre
futur qui s'y dessine un peu et nous pouvons y planter nos petites graines
personnelles.
Le principe en est simple et g
nial. Donner nos meilleures id
es, nos
ves les plus d
s, nos petites d
couvertes, nos souhaits encore
jamais r
s, les classer et les soumettre aux ing
nieurs de Amiga
Technologies pour fa
onner les futurs mod
les. On peut envoyer ses
lucubrations
ICP, Amiga Plus, "Amiga Zukunft", Wendelsteinstra
e 3,
85591 Vaterstetten. Encore mieux, si vous apportez vos d
lires directement
au stand d'Amiga Plus au salon de Cologne, vous prendrez part
une loterie
e de nombreux lots Amigaformes. Encore une raison de plus pour venir du
10 au 12 novembre au plus grand Amijamboree mondial. Pour ajouter un peu de
DiskSalv,VMM... Un CD complet, utilisable et fort recent... Ca commence
bien.
@{fg shine}C D 2 e t C D 3 : C D P D 1 e t C D P D 2@{fg text}
Voici la r
dition de deux titres d
connus. On y retrouve une grande
partie de la collection FredFish (1
760) et d'autres petites collections
du DP. Rien de bien exceptionnel.
@{fg shine}C D 4 : D E M O 1@{fg text}
Encore une r
dition d'un titre maintenant devenu classique chez
Almathera. On y trouve une collection de d
mos dont certaines sont jouables
partir du CD. Pour d'autres il faudra les transf
rer sur disquettes avant
de pouvoir les visionner. Suivant votre configuration, vous pourrez
visionner toutes les d
mos pr
sentes ou seulement certaines d'entre elles
(programm
es en respectant le syst
me). Egalement pr
sente, une collection
de modules Protracker.
@{fg shine}C D 5 : W O R L D V I S T A@{fg text}
Premier CD du pack
riter le nom de multim
dia. World vista est un
Atlas mondial
lectronique que l'on peut feuilleter en quelques clics de
souris. Tous les pays du monde sont pr
sents avec cartes, photos, textes,
musiques et sons. Le bouton gauche de la souris sert a s
lectionner les
options de recherche des diff
rents panneaux de s
lection et le bouton
droit
revenir au panneau de s
lection pr
dent. Un beau CD con
u par la
anglaise OPTICAL MEDIA CORPORATION.
@{fg shine}C D 6 : I L L U S T R A T E D W O R K S O F S H A K E S P E A R
E@{fg text}
Ce second CD multim
dia du pack est, comme son nom l'indique, d
cet
incomparable auteur qu'est Shakespeare. Odes, po
mes et sonnets sont
illustr
s par de belles images pour en agr
menter la lecture.
Malheureusement (ou heureusement?) tous les textes sont en anglais. De
plus, l'application multim
dia a
ue en AMOS pour le CDTV, ce qui
peut engendrer des probl
mes de lecture sur certaines plateformes Amiga. Si
vous
tes anglophile, que vous aimez Shakespeare et que vous avez la chance
de pouvoir lancer l'application sans probl
mes, ce CD est incontournable.
Dans le cas contraire...
@{fg shine}C D 7 : P A N D O R A ' S C D@{fg text}
Voici le troisi
me CD multim
dia. Con
galement par OPTICAL MEDIA
CORPORATION, cette application se manipule de la m
me fa
on que World
Vista. Une charmante voix f
minine, avec un bel accent anglais et ne
parlant que l'anglais, vous accompagne tout au long de la d
couverte du CD.
PANDORA est une application montrant toutes les facettes du multim
dia:
musiques, vid
os comment
es, animations, photos et dessins comment
s, etc.
Son but
vident est de vendre les capacit
s de la soci
OPTICAL avec de
nombreuses d
monstrations de leur savoir faire. On y trouve entres autres,
une d
mo de l'excellent CD Insight Technology et une conf
rence interactice
sur l'industrie nucl
aire. A quand un telle application en fran
@{fg shine}C D 8 : T E A M Y A N K E E@{fg text}
TEAM YANKEE est un jeu de bataille de tanks alliant une certaine
strat
l'arcade. Vous dirigez quatre
quipes de quatre blind
s US dont
le but est de "liquider" les tanks sovi
tiques de la carte. En basse
solution 32 couleurs (CDTV oblige), on a la possibilit
d'avoir une vue
du champ de bataille en 3D (ou de la carte) soit en plein
cran, soit en
quart d'
cran. Dans ce cas l'
cran est partag
en quatre. Bien que les
graphismes ne soient pas tr
s beaux, l'inter
t du jeu est quant
lui bien
sent.
@{fg shine}C D 9 : P H O T O L I B R A R Y C D@{fg text}
Des images, rien que des images: 600 Mo d'images Gif, Jpeg, IFF et Photo
CD. A noter la pr
sence de la version d
mo de Photog
nics et de nombreuses
images en d
montrant les capacit
s de traitement. Une collection d'images
de qualit
moyenne, voire tr
s bonne pour certaines d'entre elles.
@{fg shine}C D 1 0 : C L I P A R T & F O N T S@{fg text}
Pour clore ce pack, il ne manquait qu'une seule compilation: celle des
cliparts et des fontes (Ed: voir aussi l'article paru dans le num
dent). Les clipArts en noir et blanc sont au format IFF (pas de
cliparts vectoriels) et sont pour certains in
dits. Les fontes (polices de
caract
res) existent en trois formats: bitmap, compugraphic et postscript.
A noter
galement la livraison de programmes d
dition des
clipArts et des fontes.
Ten on Ten est une compilation dont le rapport qualit
/quantit
/prix est
(pour l'instant) imbattable: moins de 40F par CD. De plus, certains CD sont
plus qu'int
rressants, ce qui ne g
che rien. Attention, Almathera a
ce pack
seulement 3000 exemplaires: il n'y en aura malheureusement pas
pour tout le monde.
Note 16/20
@ENDNODE
@NODE octLW4.0pc " LightWave 4.0 (pr
version PC) (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L i g h t W a v e 4 . 0 p r
v e r s i o n P C
P
rennit
ou h
morragie ?@{fg text}
Quand le fleuron des logiciels de l'Amiga migre sur PC, comment voir la
chose? L'ouverture sous d'autres plateformes pour assurer la p
rennit
produit ou h
morragie lente et d
Quoi qu'il en soit, analysons objectivement ces produits, nouveaux venus
sur la plan
te PC et dont l'arriv
e a fait temps de bruit.
@{fg shine}L i g h t W a v e 4 . 0 ( P r e - r e l e a s e )@{fg text}
dans une belle boite dont un des pans s'ouvre pour nous montrer
quelques images, LW PC poss
de un dongle avec passthrough sur le port
parall
le. Il est livr
avec un CD Rom contenant sc
nes, objets, et autres
surfaces.
Son installation se fait sous win, il a
crit pour win NT, mais le
choix est libre. Une installation sous 3.11, win 32S est alors implant
(Win 32S est la quintessence de win 3.11, il fonctionne en 32 bits au lieu
de 16). (Ed: CIS confirme que LightWave tourne sous Windows 95 mais n'a pas
de temps comparatifs
fournir. Il est de toute fa
on plus lent que sous
Windows NT).
Le tout install
, on se rend compte qu'
l'inverse de l'Amiga, on ne peut
plus lancer qu'un seul programme (LightWave) mais d
sormais deux programmes
bien distincts (LightWave ET Modeleur). C'est
dire que l'on ne peut plus
basculer du plateau au modeleur en cliquant simplement sur un gadget. Le
bouton import/export a donc disparu et c'est bien l
ou le bas blesse. Il
faut d
sormais sauver les objets cr
s sous le modeleur, puis les recharger
ensuite dans le layout, un peu comme les utilisateurs Amiga quand la
moire leur manque.
Mis
part ce d
faut majeur, rien ou presque n'a chang
. En effet,
@{"l'interface" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Lwlayout.16c"} n'a
subi aucune modification profonde et les habitu
s s'y retrouveront tout de
suite.
La doc est rest
s succincte et reprend l'int
gralit
de la version
3.5 Amiga, avec l'ajout d'explications sur les diverses fonctions
implant
es sur cette version 4.0 pre-release.
Bien, apr
s ce petit tour du propri
taire, entrons un peu plus dans le
tail et voyons voir comment cette mutation sur PC tourne... Que les
choses soient claires: Faire tourner LW 4.0 sur Windows 3.11, ne peut
qu'une solution d'attente. Ce programme a
crit pour Windows NT et il
ne fonctionne correctement que sous celui-ci.
Du point de vue m
moire, Windows, quel qu'il soit, est tr
s gourmand. Il
avale goul
ment quelque chose comme @{"12 Mo pour d
marrer!" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Lwabout.16c"} En fait, il
pourrait tr
s bien tourner avec 4 Mo, mais il est de ces OS qui 'tant qu'il
y en a...'. Par dessus cela, il vous faut encore charger LW qui lui m
avale environ 2 Mo (on reconna
t ces origines).
sultat: il reste 18 Mo de libre sur les 32 Mo de la machine et les
utilisateurs avertis savent que 18 Mo est une base tout juste correcte.
@{fg shine}L e s p e t i t s c h a n g e m e n t s@{fg text}
Comme on conna
s bien l'interface, on a vite fait de charger un
objet, un petit rendu juste pour voir, F9, et hop, c'est une
@{"petite fen
tre qui s'ouvre" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Lwrendu.256"}
au beau milieu de l'
cran! fini le plein
cran de la version 3.5 Amiga,
snif!
Par contre, vous devriez faire beaucoup moins de rendu qu'auparavant car
un petit @{"render de surface a
implant
" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Lwsurface.256"}. Il vous permet donc de
visualiser instantan
ment les diverses modifications effectu
es sur une
texture par exemple.
Une autre commodit
du genre, a
implant
e au niveau du layout, elle
concerne la vue en wireframe (fil de fer). Il est facile maintenant de
donner des couleurs diff
rentes
chaque objet, lampes, bones, afin de vous
trer de la jungle de traits qui bardent l'
cran, pour le peu que vous
ayez trois objets superpos
s. Malheureusement, selon CIS cette fonction
n'est pas implant
e dans la version Amiga, mais c'est la seule.
@{fg shine}L e s g r o s c h a n g e m e n t s@{fg text}
Je vais juste les
rer car sans savoir si la version LW 4.0 Amiga
sera vraiment identique, la prudence est de mise.
On peut maintenant dans le layout;
- Montrer/cacher les diff
rents items du plateau (tous les objets, les
bones, les lumi
- R
gler la zone d'influence des bones
- D
senclencher le raytracing ou le brouillard sur les objets peu
important d'une sc
- Avoir une tr
s grande souplesse d'utilisation des r
flections
- Faire des r
flections mapp
es de type sph
rique
- Avoir une gestion de l'alpha channel avec l'ombre!
- R
gler l'intensit
de tous les lens-flares en m
me temps
- R
gler des distorsions anamorphiques sur les lens flares (ex: tr
applatis)
- Contr
ler le ratio hauteur/largeur des pixels
- Avoir des effets de composition d'images
- Plusieurs types de brouillard
- Plusieurs types de formats de fichiers de sauvegarde (TGA, IFF, BMP...)
Le meilleur pour la fin
- La cin
matique inverse
- Les plugin's (
quivalent des PXP de 3DS4)
Dans le modeleur appara
- @{"R
glages" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Lwmodeleur.16c"} du nombres d'Undo/Redo (en fonction de votre RAM)
- Trois types de visualisations 3D anim
es: Wireframes, Solid, Front
Faces
- Des r
glages de bevel affin
- Les champs d'entr
s num
riques acceptent d
sormais, les fonctions maths
(ex: 15m/12m+11mm), avec des conversions m
triques en sus (ex: 25ft/5m+
11mm).
- L'assignation des touches du pav
rique
diverses vues (1=top,
2=front, 3=zoom, etc...)
Ceci n'est qu'un bref aper
u, la comparaison de la version PC et Amiga
vous apportera de plus amples informations. Elle sera faite d
s lors que la
version de LW 4.0 sortira sur Amiga, c'est
dire en Octobre, d'apr
s CIS.
Et en condition de travail,
a tourne bien? En fait, tout d
pend de l'OS
que vous utilisez. Sous Win 3.11, c'est assez catastrophique:
- Plantage r
gulier et un peu sans raisons du syst
- Preview qui bloque
120 images
- Un ou deux polygones oubli
s lors des rendus
- Calculs des booleans d
s plus al
atoires mais cependant, un temps de
calculs
vous laisser sur le dos...
Connaissant la tr
s mauvaise gestion m
moire de Win 3.11, on ne peut
qu'esp
rer trouver mieux sous Win NT. Pour info, win 3.11 ne g
re pas la
moire libre au dessus de 16 Mo, et le D.O.S. base du syst
me ne g
re pas
les partitions sup
rieures
520 Mo (Imaginez un calcul de 600 images d'un
ga soit 24 petites secondes!).
Alors, on est cuit? Non, gr
la Roll-Royce de Windows, NT pour les
intimes, vous pouvez oublier TOUS les probl
mes ci-dessus. LW 4.0 tourne
comme une horloge suisse, donc l'OS y est bien pour quelque chose!
Maintenant que toute la m
moire est reconnue, que le syst
me est
multit
ches (ou presque), que deviennent les temps de calculs? Ils sont
simplement divis
s par... deux! En effet la m
me sc
ne sous Win 3.11
(Win32S) et Win NT sera calcul
e en deux fois moins de temps sous ce
dernier. Fou, non?
@{fg shine}L e s B e n c h m a r k s@{fg text}
Allez, quelques Benchmarks, entre les diff
rentes machines et OS (soyez
indulgent pour l'Amiga qui tourne moins vite).
Ces calculs concernent les m
mes objets, dans les m
mes positions.
Triceratops Tyranosaure Mains Juggler
A4040 18Mo
LW3.5 45 s 1m13s(73s) 1m18s(78s) 16m37s(994s)
Pentium 90 32Mo
LW4.0 ss Win3.11 17 s 1m05s(65s) 37s 3m13s(193s)
Pentium 90 32Mo
LW4.0 ss Win NT 8 s 11 s 10s 2m07s(127s)
@{fg shine}J e v o u s l a i s s e s e u l j u g e . . .@{fg text}
Dernier point important, l'
change des sc
nes, des objets, des textures,
etc, entre l'Amiga et le PC ne sont que simples formalit
s, gr
CrossDos. Pour les fichiers un peu trop gros (>720 Ko ou 1.44 Mo), un
simple c
ble Null Modem vous sauve la mise. Il ne manque plus que les
satellites connus sur Amiga, qui arriveront certainement eux aussi.
(Sparks, Hollywood FX, WaveMaker).
Bons points:
s, tr
s bonne adaptation du produit
l'environnement Windows
* Beaucoup de nouvelles fonctions tr
s attendues
Mauvais points:
* Disparition des macros du modeleur (pas d'Arexx sur PC)
* Disparition de la fonction Import/Export
* Livr
sans le moindre Plugin's
* Disparition de la mise en r
seaux
* Impossibilit
de sauver directement en Anim (Only on Amiga Platform!)
N'oubliez pas qu'il ne s'agit ici que d'une pr
version... LightWave pour
Windows est distribu
par CIS au prix de 6990FHT.
@{fg shine}Serge BRACKMAN@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octNewsvideo " News Vid
o (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine} N E W S V I D E O@{fg text}
@{" KRP nouveaux produits (10-83)" LINK octKrpnews}
@{" VIDEO (10-83)" LINK octVideonew}
@ENDNODE
@NODE octKrpnews " KRP nouveaux produits (10-83)"
@TOC octNewsvideo
@{fg shine}S p
c i a l K R P@{fg text}
Suite
l'information du mois dernier concernant un possible concurrent
pour Vid
o Director de Gold Disk, nous avons re
u plus de pr
cisions sur
l'ensemble des produits con
us par la soci
britannique KRP. Jugez
@{fg shine}L e V i d
o E d i t P l u g :@{fg text}
Concurrent direct de Vid
o Director, il est propos
en deux versions (2
ou 3 machines), et se connecte au port parall
le. Il supporte les standards
GPI, SMPTE, GPI, LANC, PANASONIC et peut aussi commander la table d'effets
VIDEONICS MXI. Il g
re le son au niveau mixage et synchronise le doublage.
La version de base, propos
e aux alentours de 900F, g
re deux lecteurs
contr
lables par LANC ou infrarouge et un enregistreur. Un pack plus
complet sera propos
avec un jog shuttle (mollette de commande manuelle de
scope avant-arri
@{fg shine}S
r i e 3 D@{fg text}
La S
rie 30, qui se d
cline en trois versions (ES,TES et TES PRO)
ressera les vid
astes amateurs plus exigeants, ou le secteur
institutionnel. Raccord
par un c
ble au port parall
le de l'Amiga, la
rie 30 est beaucoup plus volumineuse (longueur 26 cm, largeur 20 cm,
hauteur 5,7 cm) que le Vid
o Edit Plug, qui est de la taille d'un paquet de
cigarettes. La s
rie 30 peut recevoir plusieurs p
riques, offrant
enfin la possibilit
de faire communiquer entre eux diff
rents standards de
commande de magn
toscopes ou de cam
ra, comme par exemple utiliser une
ra grand public (Sony V5000 (lanc)) avec un enregistreur institutionnel
(version TESPRO)
brochage parall
le (JVC s
rie BRS).
Le bo
tier dispose des brochages suivants: un entr
e parall
le 25 points,
rie (neuf points), un infra rouge, quatre VCR control (8 pin minidin),
un port 25 broches au standard professionnel. La version TES et TES PRO
dispose en plus de quatre entr
es et de quatre sorties timecode de type
cinch, offrant une ouverture sur plusieurs standards de commande: infra
rouge, sony lanc controls (jack 2,5 mm et minidin 5 broches), Panasonic
5/11 broches, JVC Jack 3,5, RS232 (TES30 et TES30PRO) et RS422 compatible
Panasonic 34 pin, JVC45pin, ou SONY33 PIN (TES30 PRO uniquement).
La partie logiciel offre des fonctions similaires
o Director:
copier/coller, marquage de plans ou de s
quences, fonction preview, gestion
d'insertion d'image ou de titrage Amiga, gestion du time code RCTC, insert
AUDIO:VIDEO. Mais,
la diff
rence de Vid
o Director, il utilise et peut
tre utilis
comme g
rateur de timecode SMPTE/EBU (TES et TES30PRO
uniquement) et offre une gestion du son beaucoup plus avanc
e. La version
TES PRO peut supporter une extension pour contr
ler jusqu'a huit
toscopes. Prix annonc
e AU ROYAUME-UNI: Vid
o edit plug environ 1000F,
ES30 2800F, TES30 4200F, TESPRO 6400F.
@ENDNODE
@NODE octVideonew " VIDEO (10-83)"
@TOC octNewsvideo
@{fg shine}V I D E O@{fg text}
@{" DVC (10-83)" LINK octDvc}
@{" NV-HS900 (10-83)" LINK octNvhs900}
@{" Le num
rique arrive
grands pas ... (10-83)" LINK octNumerique}
@{" Le MS4 nouveau est arriv
... (10-83)" LINK octMs4}
@ENDNODE
@NODE octDvc " DVC (10-83)"
@TOC octVideonew
@{fg shine}D V C@{fg text}
Cette norme a
finie par 55 constructeurs en 1994. Elle repr
sente
les nouveaux standards vid
o num
riques des ann
es 90 "en principe".
@ENDNODE
@NODE octNvhs900 " NV-HS900 (10-83)"
@TOC octVideonew
@{fg shine}L e N V F S 1 0 0 e s t m o r t , v i v e l e N V - H S 9
0 0@{fg text}
Apr
s avoir us
ses tambours (pendant 6 ans) sur de nombreux bancs de
montage amateur, ce magn
toscope SVHS grand public a
retir
catalogue Panasonic. Son rempla
ant (premi
re nouveaut
chez Panasonic) est
e d'une prise LANC compatible SONY sauf pour les tables de montage de
me marque?
Par contre, aucun probl
me (en principe) pour les tables de marque dites
compatibles (HAMA, GSE etc...). Autre nouveaut
: il b
ficie des derni
technologies de la marque, comme le Super drive,
vitant ainsi les
probl
mes de chauffe et permettant un m
canisme plus rapide et plus
silencieux.
Enfin, il conserve ses possibilit
s de double transcodage (PAL/ SECAM, SE
CAM/PAL) (ouf) mais en plus, il se voit rajouter la lecture des cassettes
NTSC STEREO. Et le TBC ? Et bien... il faudra acheter le NVHS1000 (d
disponible
la vente).
@ENDNODE
@NODE octNumerique " Le num
rique arrive
grands pas ... (10-83)"
@TOC octVideonew
@{fg shine}L e n u m
r i q u e a r r i v e
g r a n d s p a s .
. .@{fg text}
@{fg shine}Au Japon@{fg text}
PANASONIC fait sa rentr
e avec de nouveaux produits. "BANZAI" sur le
rique (ou presque). Les heureux vid
astes japonais vont pouvoir
ficier des premiers camescopes num
riques (DVC). Sortie premier
septembre.
Jugez plut
t: @{"le NV-DJ1" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Nvdj1.8bt"} est
de capteurs 3CCD d'un zoom 20*, d'un
viseur couleur ajustable sur 120 degr
s. Le son PCM 12 BITS offre une
qualit
proche du son CD, l'image enregistr
e en num
rique permet un rendu
finition et couleur) sup
rieur de 25
30%
celui des meilleurs
camescopes Hi8 ou SVHS (grand public). Une des fonctions du camescope
permet de l'utiliser comme appareil photo num
rique, et ceci, gr
une
possibilit
de num
risation par double trame qui permet ainsi de l'imprimer
rieurement sur une imprimante vid
@{fg shine}En Europe@{fg text}
L'Europe,
la m
riode, se contentera (provisoirement) d'un produit
plus classique mais non moins int
ressent: le camescope de poing
@{"SVHS-C NV-S88E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Nvs88e.8bt"}. Ce
camescope devrait fortement int
resser les baroudeurs de tout poil ou les
passionn
s, qui ne peuvent pas sortir sans leur camescope. Premi
nouveaut
: enfin un grand-angle (1,9 mm), qui est de surcro
t lumineux
puisque la focale ouvre
1,4. L'amplitude optique est de *14 mais elle
peut passer
* 28 en num
rique (
viter). Le capteur CCD d
livre une
finition de 680 000 pixels et int
gre un stabilisateur optique.
Ce camescope est d'autre part
de fonctions num
riques (volet,
stroboscope, photo etc....) et de doublage son. La connectique comprend des
sorties vid
o Y/Composite et prise de montage 5 broches. Prix annonc
environ 10000FTTC.
@{fg shine}La r
plique de Sony@{fg text}
Sony sort aussi au Japon son camescope num
rique. Des bruits circulent sur
une sortie possible en France pour No
l. Comme son confr
re et "honorable
concurrent" Panasonic, ce mod
le de poing est
d'un capteur 3CCD mais
dispose en plus d'entr
es audio/vid
o (supprim
es bien entendu dans le cas
d'une distribution sur le march
europ
en), les cassettes utilis
es sont au
format 6,5 mm, l
rement plus petites donc que les cassettes HI8 (8 mm).
Il devrait
tre disponible en deux versions (DCR VX1000,DCR VX700) et
propos
un prix
quivalent au Panasonic, environ 13000F (au Japon). Des
cassettes pour ces camescopes sont aussi disponibles, une de 30 minutes
(prix annonc
: environ 100F) et une de 90 minutes (env 120F). Pour le
nettoyage des t
tes des camescopes num
riques, Panasonic propose une
cassette vendue environ 80Fr.
@ENDNODE
@NODE octMs4 " Le MS4 nouveau est arriv
... (10-83)"
@TOC octVideonew
@{fg shine}L e M S 4 n o u v e a u e s t a r r i v
. . .@{fg text}
Voici un rempla
ant du cam
scope d'
paule MS4. Sa d
nomination: @{"MS5" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Ms5.8bt"}.
Logique, direz vous.
Disponibilit
? Imm
diat, aux USA, en NTSC.
Nouveaut
s? Pas vraiment si ce n'est un zoom manuel et un VITC
param
trable". Mais pourquoi ne pas l'avoir sur le MS4?"
Plus de pr
cisions, peut-
tre, le mois prochain.
@ENDNODE
@NODE octBroadcelite " Broadcaster ELITE (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}B r o a d c a s t e r E l i t e
En direct de Californie@{fg text}
La Broadcaster Elite est un syst
me de montage vid
o non-lin
aire complet
et professionnel, offrant v
ritablement une qualit
broadcast. Il est bas
sur l'Amiga 4000 ou l'Amiga 3000 (avec dans ce cas l'obligation, d'utiliser
une Warp engine pour avoir un controleur SCSI 2 fonctionnant correctement).
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n g l o b a l e@{fg text}
Il y a maintenant pratiquement deux ans, j'ai eu l'occasion d'essayer
pour la premi
re fois un produit de montage virtuel
base d'Amiga, la
Digital Broadcaster 32 (pour 32 bits), le premier
diteur de montage non-
aire pour Amiga. Ce que j'avais eu entre les mains
cette
poque
tait
s certainement encourageant mais encore en d
veloppement, surtout au
niveau du logiciel, qui n'en n'
tait qu'
ses balbutiements. Il fallait, en
effet, avoir une s
rieuse connaissance de l'Amiga, de son hardware et de
son syst
me, pour avoir la moindre chance de r
ellement produire quelque
chose.
Deux ans plus tard, Digital Micronics Inc. (cr
ateurs entre-autres de la
carte, graphique Vivid 24), la soci
qui avait d
velopp
la premi
mouture de la Broadcaster
tant d
funte depuis plusieurs mois, une soci
pondant au nom d'Applied Magic a repris
son compte le developpement de
la carte. Dans sa nouvelle
volution, la carte a
modifi
e et renomm
Broadcaster Elite. Il ne s'agit pas uniquement d'un changement de nom. En
effet, la Broadcaster Elite, ou BE, comme nous l'appellerons d
sormais dans
la suite de l'article, a subi de profondes modifications qui lui permettent
ellement d'atteindre une v
ritable qualit
broadcast professionnelle.
La carte effectue maintenant tout son traitement en composantes (signal Y-
U-V), et cela fonctionne effectivement, ce qui ne fut jamais le cas avec la
Broadcaster 32. Il y a maintenant trois digitaliseurs de tr
s haute qualit
sur la carte, un pour chaque composante (Y, Cr et Cb). Il ne s'agit donc
pas, comme sur toutes les autres solutions de montage virtuel que j'ai eu
l'occasion d'essayer, d'un ajout ou d'une option. Aucun transcodage du
signal Beta en S-video n'est effectu
, contrairement aux autres produits
(toutes plate-formes confondues). Bien entendu, il vous est possible de
travailler en S-Video (S-VHS et Hi-8) ou m
me en composite, et ce, en PAL
(standard europ
en et sud-am
ricain) comme en NTSC (standard am
ricain et
japonais), la s
lection du standard utilis
se faisant par logiciel.
Pour effectuer le test de la derni
re version du logiciel et de la carte,
je me suis rendu dans les locaux d'Applied Magic, situ
s en Californie du
@{fg shine}U n m a t e r i e l e n c o r e c h e r m a i s p e r f o r m
a n t@{fg text}
Soyons clairs d
s le depart, un syst
me complet co
te beaucoup d'argent.
Mais si vous comparez la BE avec les autres syst
mes de montage virtuel et
les syt
mes de montage classique
base de cassettes, je pense que vous
trouverez le prix tr
s competitif.
Le prix d'un tel syst
me est
car la technologie requise pour
traiter l'
norme quantit
de donn
es qui transitent en continu est encore
teuse. Digitaliser et compresser un signal vid
o complexe, et le stocker
sur disque dur en temps reel et en qualit
broadcast, demande un certain
niveau mat
riel qui est encore loin d'
tre "low-cost".
Une image vid
o non compress
e repr
sente aux alentours de 1 Mo de
donnees. Il est donc
vident que le signal vid
o doit
tre compress
l'on veut le stocker sur un disque dur rapide, certes, mais encore
abordable. Les disques durs SCSI 2 actuels peuvent stocker les donn
vitesse de 5-7 Mo par seconde, ce qui se traduit par une compression
minimum de 4 ou 5 pour rester
ces niveaux de transfert. A l'aide de la
compression hardware en Motion JPEG, de tel rapports permettent d'obtenir
une qualit
d'image broadcast. Il me parait toutefois compl
tement ridicule
d'utiliser un niveau de compression si faible si vous travaillez dans un
format inf
rieur au Betacam SP, car cela ne vous donnera pas une meilleure
qualit
et vous prendra beaucoup plus d'espace sur votre disque dur.
N'escomptez pas obtenir un meilleur r
sultat en sortie que ce que vous
fournissez en entr
e. Il ne s'agit pas d'am
liorer le signal vid
o, mais
simplement de travailler avec celui-ci en ayant le moins de d
gradation
possible. En fait, apr
s de nombreux essais que j'ai eu l'occasion
d'effectuer tout au long de l'
volution du produit, je peux dire avec
certitude qu'il est impossible de distinguer le signal en sortie du signal
en entr
e, pour peu que l'on choisisse le bon rapport de compression en
fonction du support utilis
@{fg shine}L a g e s t i o n d u s o n@{fg text}
Une carte 16 bits AD516 de Sunrize peut
tre utilis
e, mais attention :
celle-ci doit
tre modifi
e pour fonctionner correctement en Zorro 3, car
autrement, elle p
nalise trop le syst
me, emp
chant une digitalisation
correcte. De plus, m
me avec cette modification effectu
e, il faut
absolument lui d
dier un disque dur SCSI 2 tr
s rapide (un autre Barracuda
est recommend
). En pr
sence de la carte, le son est g
synchronisation avec la vid
o. Bien entendu, il est aussi possible de
travailler le son s
ment, avec Studio 16 par exemple. Applied Magic
veloppe actuellement sa propre carte audio 32 bits en bus Zorro 3, et le
prototype que j'ai vu tourner est assez impressionnant. Cette carte
permettra de travailler avec 16 pistes sonores en qualit
chantillonage 44 Khz). Elle comporte de la RAM statique et un DSP. Il est
d'ailleurs pr
vu d'utiliser ce DSP non seulement pour le son mais aussi
pour le calcul des transitions vid
o, ce qui permettra d'avoir un r
sultat
presque imm
diat. Cependant, je ne pense pas que l'on puisse esp
rer la
disponibilit
de cette carte (nom provisoire : Amadeus) avant No
l, et je
suis certainement optimiste. En attendant, il faudra donc utiliser l'AD516
si l'on a absolument besoin de g
rer le son en m
me temps que la vid
Avec cette carte, on est limit
quatre pistes son 16 bits de qualit
CD,
mais cela me parait suffisant pour la plupart des projets. On peut toujours
travailler le son s
ment avec Studio 16 et disposer ainsi de 8 pistes,
si cela s'av
re indispensable.
Le time-code SMPTE est support
, aux formats LTC (Longitudinal Time Code)
et VITC (Vertical Interval Time Code). Le boitier de connection externe
comporte donc des entr
es pour le LTC et le VITC, mais vous pouvez
toujours avoir un time-code SMPTE g
en interne a partir du moment ou
votre vid
digitalis
@{fg shine}P r o d u c e r : Le logiciel de contr
le de la Broadcaster@{fg text}
Aussi important que le hardware puisse
tre, c'est en fait le software
qui d
termine la puissance r
elle d'un produit. De ce c
, la BE offre un
logiciel, de montage virtuel tr
appel
@{"Producer" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Cginter.16c"} (@{"voir" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Covers.16c"} @{"autres" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Pipwipes.16c"} @{"grab" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Ellipses.16c"}
@{"d'
crans" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Pipinfo.16c"}). Le
logiciel en est maintenant
sa version 2.02, et les raffinements ainsi que
la fiabilit
de celui-ci en font vraiment une solution professionnelle tout
fait digne des produits concurrents, quel que soit le type de micro
consid
Le "look and feel" respecte le syst
me Workbench 3.1 de l'Amiga dans ses
moindres d
tails (multi-tache, tooltypes, fen
tres, raccourcis claviers,
solutions
cran, etc) et une aide en ligne a ete impl
e. Le logiciel
est vraiment tr
s facile d'utilisation et on peut facilement d
marrer un
projet en se servant de Producer "
l'instinct".
Monter une vid
o avec Producer comporte deux
tapes principales. La
premi
re consiste a digitaliser les vid
o clips sur le disque dur. Si une
carte audio est install
e, le son peut
tre digitalis
simultanement et
restera synchronise avec sa vid
o associ
e. Le taux de compression peut
tre s
lectionn
parmi une multitude de niveaux allant de la qualit
"brouillon"
la qualit
broadcast en passant par le VHS et la S-Vid
o. Au
taux de compression le plus
(environ 80),
peu pr
s 45 minutes de
o peuvent
tre stock
es par Go, tandis qu'en qualit
broadcast
(compression 6), il ne s'agit plus que de 5 minutes par Go.
Il est possible de digitaliser image par image (pour enregistrer des
animations en images de synth
se par exemple) ou m
me par intervalles, le
temps minimum entre deux saisies
tant d'environ 5 images.
Une fois digitalis
s, les fichiers MJPEG (nomm
s JStream) peuvent
s en plusieurs morceaux, que nous appellerons "clips". Ces clips
formeront la base du montage d
finitif. Il suffit de faire glisser ces
clips
l'aide de la souris et de les amener dans la fen
tre EDL (Edit
Decision List) pour pouvoir les jouer dans l'ordre choisi. Une description
compl
te de chaque clip peut
tre entr
e au clavier, facilitant le rep
rage
de vos diff
rentes sc
Un "Digital Control Panel" fait office de magn
toscope digital : lecture
de la vid
o en acc
, ralenti, image-par-image, et ce, en avant comme en
re. Ces fonctions de lecture variable sont bien entendu accessibles
galement
partir de la TimeLine.
A partir de la fen
tre Timeline, il est ais
de fignoler le montage
l'image pr
s. Des points d'entr
e et de sortie peuvent facilement
s, soit num
riquement, soit avec la souris. Il est aussi possible de
placer vos transitions
partir de cette Timeline. Auparavant, dans les
versions pr
dentes du logiciel, le calcul des transitions devait se faire
en externe
l'aide d'AdPro ou ImageFX. Elles sont maintenant propos
es en
interne et le calcul est environ 10 fois plus rapide qu'avec AdPro.
ventail des transitions propos
es est assez large: fondus enchain
volets (sous forme d'ellipses ou de rectangles), glissements d'image,
picture-in-picture, etc. De nouvelles transitions ont
ajout
es avec la
version 2.02, et l'on en compte maintenant plus de 50. Pour chaque
transition de type volet, il est possible d'assigner une "bordure floue"
(soft edge) dont l'
paisseur est r
glable de quelques pixels a la largeur
de l'
cran. Toutes les transitions doivent
tre calcul
es avant de pouvoir
tre lues, mais avec le multit
che de l'Amiga, cela peut
ffectu
pendant que vous continuez
travailler sur votre montage. Bien entendu, au
cas ou vous ne trouveriez pas votre bonheur dans les transitions propos
il est toujours possible d'utiliser ImageFX ou AdPro pour cr
er les
transitions dont vous r
vez : il suffit simplement de cliquer sur un bouton
pour que le programme exporte le segment sur lequel vous voulez effectuer
le calcul.
Pour le titrage, il suffit d'utiliser une des possibilit
s les plus
impressionnantes du logiciel : la surimpression graphique (CG Overlay).
Vous pouvez ins
rer tous types de graphiques (un logo par exemple), avec ou
sans anti-aliasing. S
lectionnez le bouton texte, et vous pourrez cr
n'importe quel titre en utilisant la fonte de votre choix (Compugraphic,
Postcript, Bitmap et m
me TrueType), en r
gler la taille, la couleur et
l'anti-aliasing. Vous pouvez ajouter une ombre
vos caract
res:
paisseur, l'orientation et la couleur sont r
glables. L'
paisseur et la
couleur des lignes ext
rieures de vos caract
res est aussi r
glable. Les
textes ou les graphiques peuvent maintenant glisser d'une position
d'origine situ
e en n'importe quel point de l'
cran ou en dehors, et le
placement de votre objet peut
tre lin
aire ou suivre une courbe
comportant jusqu'a 16 points de contr
le. Un r
glage lin
aire de la
transparence de votre objet est offert. La transparence de l'objet peut
etre chang
e pendant son d
placement allant d'une transparence totale
une
opacit
compl
te avec un maximum de 8 points de contr
le. La vitesse de
placement de votre objet peut aussi
tre r
votre convenance. Vous
pouvez par exemple avoir un titre qui se d
place avec des acc
rations et/
ou des arr
ts, des ralentissements, en plusieurs endroits de l'
cran
(jusqu'a 8, points de contr
le). Une autre possibilite int
ressante: rien
de plus facile que d'importer un objet graphique et d'en changer la taille
pour g
rer des alpha-channels pour l'anti-aliasing. Fin du fin, vous
pouvez visualiser toutes les transformations effectu
es sur votre objet
l'aide de la "preview" dont le calcul est quasiment instantan
Une autre nouvelle caract
ristique de la version 2.02 de Producer: toutes
les fonctions de la fen
tre enregistrement servant
digitaliser vos clips
o sont maintenant contr
lables par ARexx. Cela signifie qu'il est
possible d'utiliser une application externe de contr
le de magn
toscopes
pour les piloter
partir de Producer et ainsi automatiser le processus de
digitalisation, ou
l'inverse de piloter les fonctions enregistrement de
Producer
partir d'un autre logiciel.
Enfin, pour en terminer avec les nouveautes de la version 2.02, Producer
inclut maintenant une correction gamma pour les effets de chroma et la
correction des couleurs.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
La Broadcaster Elite et son logiciel associ
, Producer, ont maintenant
acquis une maturit
qui en fait une solution de montage virtuel
considerer de facon s
rieuse. Bien entendu, le syst
me est utilisable aussi
bien en off-line (exportation des EDL au standard CMX) qu'en on-line. La
qualit
de l'image vid
o est la meilleure qu'il m'ait
donn
de voir
jusqu'
sent en ce qui concerne un syst
me de montage non lin
aire on-
line. Le produit est stable et le logiciel est en
volution constante (un
programmeur travaille
plein temps dessus), et de nouvelles am
liorations
y sont ajout
rement. Les updates du logiciel arrivent au rythme
d'au minimum une par mois, et ce, depuis plus d'un an d
, ceci
tant
facilit
par l'emploi de la BBS d'Applied Magic qui permet de downloader
rement les nouvelles versions.
@{fg shine}Thierry Thomas
Thierry Thomas, ancien importateur de Broadcaster Elite, est actuellement
Californie. D'autres renseignements concernant Broadcaster sont
@{fg shine}S c a l a M P E G D e c o d e r M D 1 0 0
Une carte MPEG pourAMIGA@{fg text}
Avant toute chose, je vais vous parler des difficult
s que j'ai eues
procurer cette carte.
Pour trouver un revendeur de cette carte en France, il faut vraiment se
lever t
t. En effet il n'en existe tout simplement pas. Donc apr
s moultes
recherches, je trouve mon bonheur chez Duchet Computer en Angleterre. Je
passe ma commande par carte Visa et je re
ois le produit dans les trois
jours qui suivent. C'est maintenant que les probl
mes commencent:
- il n'y a pas de documentation
- la carte ne fonctionne pas sur mon AMIGA 2000
@{fg shine}U n c o m b a t f
r o c e@{fg text}
J'appelle Mr Duchet en Angleterre, lequel me dit qu'il ne peut pas me
fournir la doc, car SCALA UK n'en dispose que dans la langue allemande, et
m'invite
les contacter. Ce que je fais sur le champ.
Chez SCALA UK, on me fait comprendre que la doc en anglais n'est pas
te d'
tre disponible car personne chez eux ne comprend l'allemand.
Apr
s un petit
clair de g
nie (oui, oui
a m'arrive parfois) je demande
SCALA NORWAY (la maison m
re) de me faxer si possible la doc en anglais.
Trois heures apr
s, me voici en possession des papiers tant convoit
Personnellement je trouve bizarre que ce soit SCALA NORWAY qui me procure
des documents en anglais, alors que SCALA UK eux, en sont incapables.
s ce "l
ger" probl
me, je vous rappelle que la carte ne fonctionne pas.
Mais je constate (en regardant la doc) que cette carte a besoin d'un c
cial pour fonctionner sur A2000. En effet, pour fonctionner, la carte a
besoin de r
rer des signaux sur le slot vid
o. Et je rappelle que
contrairement aux A3000 et A4000, l'A2000 n'a pas de slot vid
o en ligne
avec un slot ZORROII.
Je rappelle donc Mr Duchet qui me conseille de t
phoner
SCALA UK.
phone chez qui vous savez. On me r
pond que l'external adapter kit,
puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'est pas disponible chez eux, mais de
voir directement avec le fabricant. Je contacte finalement Ingenieurb
Helfrich qui me demande la somme de 800 F pour cette interface. J'ach
car de toute fa
on, je n'ai pas le choix. A la r
ception, je m'aper
ois que
ce que j'ai pay
800 F n'est autre qu'un b
te bout de C
ble qui vient se
brancher sur la sortie RGB 23 broches externe du 2000 et se connecte sur un
port de la carte pr
vu pour cela.
Ouf c'est fini, je vais pouvoir attaquer le test en lui-m
@{fg shine}L e t e s t@{fg text}
@{"La carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Cartempeg.8bt"} est livr
e avec un petit dongle, une disquette et pas de doc.:
La disquette contient l'EX de contr
le pour SCALA MM300 ou MM400 et
l'utilitaire de compression de vos images au format MPEG. Je signale au
passage que SCALA est indispensable pour faire fonctionner la carte MPEG.
La carte poss
de trois sorties vid
o et une sortie son, une PAL (cinch),
une Y/C (mini-Din), une RGB (VGA db15) et une JACK 3,5 STEREO pour l'audio.
La sortie RGB est une sortie vid
o 15 kHz et non pas une sortie 31 kHz
comme on pourrait le croire vu le format du connecteur.
Le petit dongle doit se brancher sur la sortie VGA si vous ne vous servez
pas du port RGB.
La qualit
des signaux est excellente. M
me si on travaille en PAL, j'ai
rarement vu un signal avec autant de p
che et de d
finition.
Apr
s installation des diff
rents programmes, je commence par compresser
une s
rie d'images au format MPEG. C'est long, tr
s long m
me. Compter
environ deux minutes par image sur un 68030/ 68882 33 MHz. Attention, pour
la compression, et vu le nombre de param
tres qu'il faut g
rer, il vous
faudra faire plusieurs essais pour arriver
un bon r
sultat.
Ca-y-est j'ai mon fichier MPEG, je peux le regarder. Genialissime, pour
5550F (4750+800) j'ai l'impression de regarder IMAGINA sur mon moniteur.
Enfin, du vrai 25 images/seconde en 24 bits.
Ce qu'il faut savoir :
solution 352x288 en pal. Ceci n'est pas trop g
nant car avec un bon
antialiasing, et sachant que l'on travaille avec une animation, la basse
finition reste suffisante.
- Ne pas compresser en dessous de 130 Ko/seconde car sinon l'effet de
tisation caract
ristique du MPEG devient trop visible. Faites l'essai
avec du JPEG (tr
s proche en compression) en mettant un niveau de
compression
- Quand on compresse en MPEG on parle en Ko/seconde, c-
-d que la qualit
des images sera directement d
pendante du d
bit de votre disque dur. Pour
le MPEG il y aura toujours 25 images/seconde, donc, plus le d
bit est
, moins le programme aura
compresser les images.
Attention, lors des tests de vitesse avec DISKSPEED, mon disque dur
(quantum lightning 730 Mo SCSI 2) me donne environ 900 Ko/s, ce qui n'est
pas trop mal, vu que je le fais tourner sur un vieux contr
leur SCSI 1 de
chez GVP. Mais je n'ai pas pu d
passer 300 Ko/s pour les fichiers MPEG, car
sinon l'animation devenait saccad
e. Je pense que cela doit venir de SCALA
qui demande quand m
me beaucoup de temps machine pour fonctionner, et donc
prend un peu de cycle au contr
leur SCSI. De toute fa
on, ce n'est pas la
peine de d
passer 300Ko/s car nous avons quand m
des tests
800
Ko/s sur un tr
s gros A4000 SCSI 2 (2,5 Mo/s en moyenne) , et je n'ai pas
constat
d'am
lioration visible
l'oeil nu.
Vous pouvez gr
cette carte lire :
- les fichiers MPEG du DP (tr
s nombreux)
- vos propres cr
ations en images de synth
- les CD de demo MPEG
- les CD de film (ex. TOP GUN, A la poursuite d'octobre rouge, etc, etc...)
- et les CD au format WHITE BOOK
Le son est d'excellente qualit
. En effet la carte d
code le son en 16
bits 44,1 kHz STEREO. Mais, attention, vous ne pourrez pas int
grer du son
dans vos propres animations, car le soft de compression ne le permet pas.
Ceci est assez logique si l'on convient que le son est une donn
e temps
el, alors que l'image, elle, doit subir un traitement avant de pouvoir
tre visualis
Je vais vous donner maintenant une petite ruse avant de terminer la
partie technique du test.
Lors de la compression vous allez rencontrer un param
tre qui s'appelle
SEARCH DIAMETER. Celui-ci est peut-
tre le plus important de tous. Si
l'animation ne contient pas beaucoup de grosses zones qui bougent
(Background scrolling, zoom, etc, etc...) il vaut mieux mettre une petite
valeur, ex. 16, mais,
contrario, il vous faudra pousser jusqu'
128 car
sinon, vous aurez une perte importante de donn
es (lens flares de lightwave
qui disparaissent purement est simplement). Ce param
tant tr
consommateur de temps machine, il faut l'utiliser avec parcimonie.
Une autre petite ruse parce que c'est vous. Si vous avez IMAGE FX 2.0, il
existe un petit programme AREXX qui s'appelle BUILDMPEG et qui est 2 fois
plus rapide pour la compression que SCALA. A vous de voir. Enfin, vous
pouvez joindre deux fichiers MPEG totalement diff
rents avec la commande
AMIGADOS "JOIN".
@{fg shine}L ' u t i l i s a t i o n a v e c S C A L A@{fg text}
C'est un r
ve de puissance et d'ergonomie. Vous pouvez faire une pause ,
un retour arri
re, une avance rapide, un play tout comme sur un
toscope, mais, en plus vous pouvez le programmer pour que cela
devienne automatique. La fonction la plus puissante
mon avis, est que le
signal de la carte MPEG est genlock
, c'est
dire que l'image AMIGA
normale s'incruste par dessus vos anim MPEG. Je vous laisse voir la
puissance que cela implique. A vous les applications MULTIMEDIAS les plus
folles. Et si comme moi vous avez une AVIDEO24 c'est trois couches
d'incrustation qui sont
votre disposition (background 24 bits, animation
24bits, et image AMIGA).
En faisant une pr
sentation multimedia dans une soci
, j'ai r
ussi
pater et
convaincre deux techniciens qui ne juraient que par le PC.
Imaginez-vous, une seul machine qui vous permet de d
rouler un g
rique
sur fond d'animation en image 3D avec son, le tout syncronis
par SCALA, on
croit r
@{fg shine}J'ai aim
:@{fg text}
* L'interface avec SCALA
* Le genlocking
* L'impression pro qui se d
gage de vos pr
sentations
* La puissance de l'ensemble
* La qualit
des signaux Vid
* Le chip de d
compression C-CUBE qui est un CL-450 (derni
ration)
@{fg shine}Je n'ai pas aim
@{fg text}
* Le prix 4750 F
comparer aux 2000F de la carte FMV pour la CD32 qui
fait exactement la m
me chose, mais sans l'interface avec SCALA
* Le bout de C
800 F (pas s
rieux du tout)
* L'obligation de poss
der SCALA pour utiliser la carte
* L'absence total de documentation
* L'obligation de faire une compression soft (trop lent)
@{fg shine}C O N C L U S I O N@{fg text}
La carte SCALA MPEG DECODER MD100 est g
niale pour une application
multim
dia ou pour une borne interactive car la qualit
(lowres) est
largement suffisante (presque du SVHS). Mais pour une application
broadcast, il vous faudra attendre la norme MPEG 2 ou bien acheter un
P.A.R.
4750+800+2000 (SCALA MM400)= 7550 F. A vous de voir si vous avez
ellement besoin de ce produit. Je le r
te, pour une application
multim
dia, c'est l'id
@{fg shine}Fabrice Duhoux@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octAdorage " Adorage v2.5 (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A d o r a g e v 2 . 5
En attendant Clarissa...@{fg text}
En attendant la diffusion imminente de la version 3.0 du c
convertisseur/
diteur d'animations Clarissa au format SSA, la soci
allemande Prodad nous propose le version 2.5 d'Adorage: un g
rateur
d'effets vid
o, type "ado", qui utilise lui aussi le nouveau format
d'animation Super Smooth Animation.
@{fg shine}S u p e r S m o o t h A n i m a t i o n@{fg text}
Adorage fait partie de la famille r
duite des programmes d
ration d'effets vid
o. Il est vrai que les formats d'animation ANIMx ne
se pr
tent gu
re aux d
placements de brosses importantes, surtout en haute
solution entrelac
e. Avec Adorage, Prodad a contourn
le probl
me en
concevant un nouveau format d'animation: le SuperSmoothAnimation. Pour ceux
qui ne conn
itraient pas encore ce format d'animation, un petit rappel.
Super Smooth Animation est une d
nomination qui, pour une fois, tient
toutes ses promesses. Aucun autre programme utilisant le format Animx,
n'est en mesure actuellement de faire tourner vos animations avec autant de
fluidit
. Je rappelle
ceux qui n'auraient pas lu l'article sur Clarissa,
qu'en comparaison avec le format Anim5, le SSA cr
e en moyenne des
animations deux fois plus rapides et dont la taille est deux fois moins
encombrantes (la version 3.0 de Clarissa nous promet de faire encore
mieux!). Comment cela est-il possible?
Avant tout, un rappel pour les novices en vid
o: la m
thode, g
ralement
utilis
e pour transmettre le signal vid
o est bas
e sur le principe du
multiplexage temporel: afin d'
viter des battements ind
sirables (flicker)
entre la fr
quence d'analyse de chaque image et celle du secteur, toutes
les secondes, on transmet 25 images et chaque image contient 625 lignes de
deux trames de 312.5 lignes chacune qui s'entrelacent. Autrement dit, on
effectue un balayage des lignes de chaque image en deux phases successives:
durant 1/50 de seconde, on explore les lignes de rang impair d
butant au
centre superieur de l'
cran et, pendant le 1/50 de seconde suivant, les
lignes de rang pair, prenant naissance au coin sup
rieur gauche de l'
cran.
Le format SSA utilise cette technique de transmission des images
es en exploitant les deux trames (frames) qui composent une image
o. Contrairement aux formats AnimX qui sauvent chaque image d'une
animation enti
rement, pour
tre ensuite relues avec la technique dite de
"Page Flipping". Ce n'est pas
vident quand on voit les images g
mais, croyez moi, quand
a bouge le r
sultat est superbe. Enfin des
animations haute r
solutions sans
-coup
une vitesse constante de 50
trames/seconde m
me avec une petite configuration.
@{fg shine}L e p r o g r a m m e@{fg text}
Adorage permet de g
rer tr
s rapidement des animations entrelac
es en
appliquant des effets vid
os, type "ADO",
vos images ou
vos brosses
IFF. Il accepte toutes les r
solutions entrelac
es et reconnait tous les
modes de 2
256 couleurs
l'exception du Ham/Ham8. Les animations
es peuvent
tre sauvegard
es au format SSA ou image/image en IFF.
@{"L'interface utilisateur" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Interutil.8c"}
est tr
s convivial et la cr
ation des animations se fait en quelques clics
de souris. On charge une image ou une brosse (avec ou sans image de fond),
on choisit un effet et la dur
e de l'anim en "frames" ou en secondes. On a
alors le choix entre un "preview" en temps r
el (avec un 680x0), la
ration d'une animation SSA ou la sauvegarde image/image en IFF. Dans
tous les cas le calcul est extr
mement rapide malgr
la sophistication de
certains effets. Si l'on ne veut pas retoucher les images g
es, la
ation au format SSA s'impose tant la souplesse de l'animation, m
me (et
surtout) en haute r
solution entrelac
e, est exceptionnelle. Si
ventuellement la qualit
de l'animation ne vous convient pas dans Adorage,
vous pouvez toujours la relire avec CLARISSA qui peut encore am
liorer la
fluidit
(jusqu'
40%).
@{fg shine}L e s n o u v e a u t
s@{fg text}
Cette version 2.5 d'Adorage est une version interm
diaire qui apporte peu
de nouveaut
s. Le calcul des animations et la fluidit
des effets ont
optimis
s, un switcher pour g
rer la transparence de la couleur z
ro a
ajout
. Certains effets DVE (DigitalVideoEffect) parmi la cinquantaine
disponibles ont
ajout
s ou am
s. Je vous rappelle que ces effets
sont param
trables, permettant ainsi la r
alisation d'animations simples:
chiquier, v
nitien, carreaux al
atoires, h
lice, mosa
que, glissement,
tre.... au plus sophistiqu
es drapeau, helix, vague, page tourn
explosion, feu d'artifice, coulure, spirale, enroulement, feuille..... On
peut aussi les encha
ner et sauvegarder les r
glages sous forme de scripts
pour cr
er sa propre banque d'effets. Il est livr
avec une documentation
en francais et un utilitaire KONRAD qui permet la conversion d'images avec
possibilit
de traitement "batch" et un convertisseur 24bits/16 couleurs de
qualit
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
Tous les effets d'Adorage sont bien r
s et rapides
mettre en
oeuvre. Associ
un genlock et
Clarissa, Adorage permet de r
aliser de
nombreux effets vid
o de qualit
professionnelle. La fluidit
, jusqu'ici
e, des animations au format SSA est un r
gal pour les yeux.
@{fg shine}Jluc Faubert@{fg text}
Importateur: @{fg shine}VITEPRO@{fg text}
Prix : @{fg shine}1.150frs
Prix de la mise
jour: consulter VITEPRO
Documentation en fran
ais@{fg text}
@ENDNODE
@NODE oct3dartist " 3dArtist (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}3 D A r t i s t
R
solument graphique...@{fg text}
3D Artist vous dit quelque chose? Une marque de lessive?
Non. Un logiciel exceptionnel?
Non. Un magazine? Exactement, et pas n'importe lequel. Jugez-en plut
@{fg shine}P r
s e n t a t i o n@{fg text}
3D Artist
tait
la base une newsletter de 6-8 pages
peu pr
mensuelle cr
e fin 91 d
but 92 par Bill Allen, Colombine Inc., et traitant
d'art graphique sur syst
mes abordables tels que PC, Amiga et Macintosh.
Petit
petit cette newsletter s'est
e et a abouti
un magazine de
48 pages. A partir du num
ro 14 une @{"couverture en couleurs" SYSTEM "FJPEG AmigaNews:PicOCTOBRE/3dartist.jpg"} est venue
s'ajouter aux pages int
rieures qui
taient alors en noir et blanc.
Encore mieux: d
s le num
ro 15 des pages couleurs sont apparues
l'int
rieur du magazine. Actuellement, la majorit
du magazine est color
(les 3/4 exactement) et on ne peut que s'en r
jouir vu le nombre
d'illustrations qui y sont pr
sentes. 3D Artist semble se faire de plus en
plus conna
tre aux Etats-Unis puisqu'il est distribu
dans 70 magasins
cialis
s. A noter que dans certains pays comme le Japon ou l'Angleterre,
il est disponible dans un ou deux magasins. Quant
la France, il n'y a pas
de point de vente actuellement.
@{fg shine}L e c o n t e n u@{fg text}
Il est vraiment excellent. En effet, les articles sont
crits la plupart
du temps par des personnes qui font des
tudes ou travaillent dans le
domaine de l'art graphique tel que Robert Stein III - graphiste de The 7th
Guest.
Le magazine traite de logiciels comme 3D Studio, AutoCAD, Imagine,
LightWave, Playmation, POV, RenderMan, Real3D, TrueSpace. Il y a aussi ce
que Bill Allen - l'
diteur - nomme les ' How-To's ' qui correspondent en
fait
des id
es ou bien des aides pour obtenir un effet pr
cis dans une
ne donn
e ou bien les diff
rentes
tapes n
cessaires
la mod
lisation
d'un objet pr
cis.
On y trouve
galement des nouveaut
s dans le monde de l'image de
synth
se, des tests de logiciels r
cents, de programmes shareware ou
freeware, de CD ROMs. Une liste des SIGs aux Etats-Unis et au Canada est
aussi pr
sente (SIG : Special Interest Group). On y trouve par exemple des
groupes d
3DS et
Real3D.
Pour avoir quelques indices sur la nature du magazine voici quelques uns
des articles parus depuis le num
ro 14: comment int
grer un facteur de
salet
et d'usure dans une sc
ne, comment cr
er des b
timents dans le style
d'Escher, comment obtenir des torches enflamm
es sous LightWave, que sont
les Metaballs (qui a motiv
l'explication dans Wild Graphics no 6), la
digitalisation de formes 3D, l'int
gration de d
tails dans une sc
etc...
Bref, ce sont des articles de qualit
qui constituent
chaque fois un
gal quand on les d
couvre.
@{fg shine}C o m m e n t s e p r o c u r e r 3 D A r t i s t ?@{fg text}
Deux solutions s'offrent
vous suivant si vous
tes patient ou pas.
Si vous
tes dans la premi
re cat
gorie de personnes, il vous en co
tera 46
$ pour 12 num
ros (paiement par mandat postal par exemple) avec un retard
ception par rapport aux Etats-Unis d'environ 1 mois (Trajet par bateau
oblige). Le prix au num
ro pour cette formule s'
25 F environ. Si
vous
tes aussi press
s que g
reux alors 81 $ seront n
cessaires
l'envoi par avion du magazine. Le prix au num
ro passe alors
40F.
Un bulletin d'abonnement est joint dans le newsletter pour ceux qui sont
s par le magazine. Personnellement je pense que la premi
formule est tout
fait valable.
@{fg shine}C o n c l u s i o n@{fg text}
3D Artist est vraiment un magazine de r
rence dans le domaine comme on
en trouve peu.
Il n'a aucun
quivalent en France, m
me Pixel fait p
le figure. A titre
d'annecdote, j'ai eu l'occasion de lire un test de TrueSpace dans 3D Artist
et apr
s dans Pixel, le test paru dans Pixel montrait un manque
d'exp
rience affligeant de la part de son auteur par rapport
la qualit
et la pertinence de l'article d'Heinz Schuller et d'Adam Shifman -pour ne
pas les citer- dans 3D Artist.
Bref, si je n'en avais qu'un
choisir ce serait bel et bien 3D Artist.
Remarque: ceux qui s'int
ressent
l'image de synth
se en g
ral et qui
veulent faire part de leurs id
es sur le sujet, peuvent participer
Wild
Graphics - c'est une newsletter mensuelle. Ecrivez au journal qui
transmettra.
@{fg shine}Nicolas Mougel@{fg text}
@{fg shine}Contenu des derniers num
ros de 3D Artist:
@{fg shine}#14:@{fg text} commercial models
news:microsoft 3d os
reviews: dps par,immersion probe, envisage 3d, world render 3d,
pc midi
boards, how-to for 3d studio, lightwave, topas,real 3d.
@{fg shine}#15:@{fg text} careers in 3d, how to freelance and where to take courses
news: ipas boutique, raptor
reviews: forge, truespace
milieu: mac sculpture, tech illustration, space posters, how-to for
studio, are-24, dmorf, macromodel, playmation, real 3d,
studio
pro.
@{fg shine}#16:@{fg text}
news: puppeteer, smacker, 3d hardware acceleration
review: hyperspace
milieu: midi begets 3d, yost on how 3d studio began, how-to for
rouging
up images, better digitizing, escher-style images, 3d
studio,
lightwave, photoshop, playmation, studiopro.
@{fg shine}#17:@{fg text} logomotion, realtime pc 3d in the cards, siggraph'94
news: 3d package, animator studio, lightwave for windows, sketch
how-to: sketching pumpkins, fun with flames in lightwave, casting
call,
clothing for animated characters, ma thematica as modeler,
playmation ground effects, getting good glass in
truespace,
visualisation in real 3d
tutorial: lparser.
@ENDNODE
@NODE octPotinramses " Petits potins de RAMSES (10-83)"
@TOC MAIN
@{fg shine}L e s p e t i t s p o t i n s d e R a m s e s
ou une vue sur Fidonet et Usenet fran
ais@{fg text}
D'habitude, c'est sur mon 4000 en tour et mon 17 pouces que je lis mon
courrier, mais je suis en vacances. C'est donc avec un 1200, de base, avec
seulement 30 Mo de disque dur, mon modem et un
cran de t
que je r
alise
cette op
ration (l'ensemble est tout de m
me plus transportable dans le
train). Tout
a pour vous dire qu'il n'est pas n
cessaire de poss
der une
grosse configuration pour
ce monde formidable.
@{fg shine}L e f u t u r d e l ' A m i g a@{fg text}
Au cours des deux conf
rences Amiga.fr et Amiga.032, Il y a eut cet
une grande discussion sur le futur de l'Amiga. Pour st
otyper un peu on
pourrait diviser en deux camps bien distincts:
* Dans le premier on trouve des personnes qui codent pr
s du hardware
(les d
moMakeurs par exemple) veulent garder la sp
cificit
de l'Amiga, son
chipset (Paula,...)
* Dans le deuxi
me, on trouve des programmeurs plus proches du syst
me ou
des utilisateurs qui pr
reraient une machine en PCI avec un PowerPC. Ces
derniers sont plus attach
s au syst
me qu'au chipset qui, pour eux, est
malheureusement plus que d
@{fg shine}L e v a u t o u r e t l a c o l o m b e@{fg text}
* En clair, ce sujet parlait des diff
rentes soci
s qui vivent (ou qui
vivaient) de l'Amiga (importateurs, distributeurs, magasins, SAV,...) et
leurs r
actions face
la crise et au rachat. Certaines personnes
conisent de ne pas accepter le retour vers l'Amiga de soci
s qui l'on
abandonn
* Dans cette discussion, le probl
me des diff
rences de prix entre les
rents pays et entre les revendeurs Amiga et les revendeurs PC a
abord
. Quelques personnes pensent que la cr
ation d'une note pour chaque
proposant des produits Amiga, afin que les utilisateurs y trouvent
leur compte. Actuellement, les magasins parisiens sont en cours d'
s... A suivre donc...
@{fg shine}P a s d e q u a r t i e r . . .@{fg text}
* Sur la conf
rence AmigaGfx.032 (d
bat sur le graphisme Amiga sur
FidoNet) une guerre de religions fait rage. En effet, les utilisateurs de
LightWave et Imagine se font une guerre sans merci (pas de prisonnier). Les
arguments fusaient de toute part: mes op
rations bool
ennes, ton modeleur,
le prix, enfin, tout y est pass
... Mais comme dans tout ce type de combat,
on se rend compte,
la fin, qu'il n'y a pas de gagnant n'y de perdant...
Peu importe l'outil, c'est le r
sultat qui compte. A part ce sujet br
lant,
on a parl
de techniques pour r
aliser des arbres en 3D, de la possibilit
de sauver les objets sous le format POV et des discussions autour de la
revue Ami-GrafX.
@{fg shine}T o u t s e p a i e u n j o u r o u l ' a u t r e@{fg text}
* Sur la conf
rence RML-CYBERGFX, on n'a pu apprendre que le magnifique
me qui
tait Shareware passait dans le commercial et serait maintenant
vendu par Phase 5 (les distributeurs de la CyberVision et CyberStorm) pour
l'Allemangne) et Softwood pour les Etats-Unis. Elle est vendue en
Allemangne au prix de 69 DM.
Enfin, voil
des vacances qui on
mouvement
s sur le net. La rentr
devrait porte son lot de nouvelles pour l'Amiga... Quant
moi, c'est de
Barcelone que je vais maintenant m'occuper dans cette rubrique.
Vive le Internet et Fidonet...
@{fg shine}Lucas Janin
lucas.janin@ramses.fdn.org
(Ed: s'excuse aupr
s de Lucas pour le retard de publication de cet
article, qui
tait
crit au mois d'ao
t. Lucas aura eu le temps de d
nager avant de
reprendre sa plume de chroniqueur pour le mois prochain...)@{fg text}
@ENDNODE
@NODE octDemos " D
mos (10-83)"
@TOC MAIN
@{"D" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Baby.24b"} @{"E" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Ophelie.24b"} @{"M" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Fears.256"} @{"O" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Buuulle.24b"} @{"S" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicOCTOBRE/Seeing.24b"}
@{fg shine}par Emmanuel Arnaud@{fg text}
me si la cloche de la rentr
e des classes a d
retenti pour beaucoup,
vous pourrez toujours appr
cier la r
ation pour parler des vacances et
notamment de la GASP, la Assembly et des d
mos qui ont marqu
la fin du
mois d'ao
@{fg shine}C o n t r o l@{fg text}
d ' O X Y G E N E
De loin la meilleure r
alisation de la GASP, Control n'est pas sans
rappeler Origin et Motion. Peu de graphismes, une musique hardcore de
Clawz, et, pour les effets, c'est essentiellement de la 3D comme une
promenade dans un monde, des tunnels d'objets 3D, des polygones mapp
d'autres en gouraud shading, de la 3D en rotation avec tra
e... et
surtout, un espace voxel color
en rotation! Oxbab (le codeur) s'affirme
comme le nouveau g
nie fran
ais... Oxyg
ne travaille sur une d
mo pour la
Party 5 pour s'imposer comme un grand groupe et oublier le mauvais souvenir
d'Indigo, leur d
mo qui avait plant
lors de la projection
la Party 4.
@{fg shine}W o o d s t o c k@{fg text}
d e D R E A M D E A L E R S
Depuis Imagine (Septembre 94), DreamDealers s'
taient faits plut
discrets, si l'on met de c
les petits d
lires Toothbrush! Avec cette
intro 40K, ils font un retour en force et font honneur
leur popularit
Le code de Sync est tr
s propre: un labyrinthe 3D mapp
en 256, un blur
AGA, le style est du genre agricole par Antony, le chiptune de Doh colle
l'intro.
@{fg shine}P u l p@{fg text}
d e M O V E M E N T
Sur une musique tr
s funky de Reflex, des illustrations digitalis
Movement est dans tout ses
tats. Cod
s par Jumbo Burger les effets sont
s sur la 3D avec des logos Movement et Pulp ou encore une empreinte de
patte (symbole de Mvt) en animation. Le dernier effet est une image
projet
e sur une pyramide ou un cube en rotation... Une bonne d
mo qui
ressemble
une bande d'annonce de film!
@{fg shine}T i m e & E m o t i o n@{fg text}
d ' A X I S
Les musicdisks sont peu courants ces temps-ci. Ainsi, apr
s Big Time
Sensuality et Picture Book, on pouvait s'attendre
une nouvelle merveille
du groupe Axis. H
las, Time & Emotion est assez pauvre en int
t, le
design de Lowlife est peu recherch
, le code est vraiment sommaire et les
musiques d'Hollywood plut
t lassantes. On esp
re qu'Axis va vite nous
sortir de s
rieuses productions pour relever le niveau...
@{fg shine}F r u i t K i t c h e n@{fg text}
d e S I L E N T S D K
Silents est bien l'un des plus vieux groupes sur Amiga. Malgr
le peu de
membres, il montre toujours son nez quand il faut. Sans
exceptionnelle, Fruit Kitchen contient de nombreux effets tels qu'un
voxelspace, un cube mapp
avec des faisceaux lumineux issus de chaque face,
une balade dans une ville en 3D avec
clairage, un Doom mapp
au sol, mur,
plafond et inclinaison de la vision par rapport au sol,
clatement d'objets
3D, animation d'objets 3D en gouraud avec projection sur une sph
re, et
anneau de polygone en 3D... La programmation de Crush et Ricky est assez
e, les graphismes de Dize et John Doe sont moyens, la musique de
Scortia avec des rythmes asiatiques est int
ressante. Silents pr
pare
d'ores et d
une nouvelle production pour Octobre-Novembre: Blood
Kitchen...
@{fg shine}M i r a c l e s@{fg text}
d e S T E L L A R
Un an apr
s Mindflow, le groupe finlandais nous pr
sente sa seconde
grosse production. Impressionnant! On commence par des logos 3D en gouraud
shading en rotation en guise de cr
dits... Puis dans le m
me style,
escargot, dinosaures 3D et voxelspace toujours en gouraud shading! Cod
par Nose, avec des graphismes de Frankie, des objets et textures par Dune,
et surtout, une excellente musique de Groo, une d
mo qui nous montre que
l'Amiga fa
t encore des miracles.
@{fg shine}F A D@{fg text}
d e S O N I K
La recette pour gagner une comp
tition d'intros 40k fa
on Sonik, c'est un
excellent design, une musique diff
rente des habituelles chiptunes et des
effets
tonnants. On en oublierait presque la taille de l'intro! Imaginez
des ressorts mod
s et anim
s en gouraud shading, une surface plane en
shade, six doughtnuts (anneaux) mapp
s puis un seul anneau plus gros mais
ment d
dans tous les sens. Le code est de Eye-q, la musique de
Maza et l'id
e et design de Murk...
@{fg shine}B l u r !@{fg text}
d e S O N I K
Encore une intro 40k du groupe finlandais Sonik avec toujours les m
qualit
s. Les effets cod
s par Deflector sont ici un anneau en gouraud, un
diffuseur de couleurs en blur, un plasma en blur, un pentagone en phong et
un blurred gouraud.
La musique d'Oxide est tr
s agr
able. Quant au design il est encore sign
Murk, qui avec des fonds en quatre ou huit couleurs, donne une grande
dimension
cette intro.
@{fg shine}Compte Rendu de la d
moparty GASP
Montpellier
Gainful Awesome Summer Party!@{fg text}
Du 11 au 15 Ao
t 95, quelques 200 personnes s'
taient r
unies dans
l'immense Parc des Expositions de Montpellier, dans un cadre merveilleux et
un soleil radieux
l'occasion de la GASP. De nombreux groupes fran
taient l
comme Oxyg
ne, Melon Dezign, Movement, Scoopex, Ngc et m
Saturne. En revanche, peu d'
trangers
taient repr
s: Absolute!, Axis,
Dual Crew-Shining... Les points forts
taient le service de restauration,
le standing de la salle, la pr
sence du top de la sc
ne fran
aise. Dans une
salle climatis
taient diffus
s des films sur CD vid
o. Un bus
effectuait des navettes entre la plage, la gare et le MacDonalds. Sur le
parking, on pouvait prendre un grand bol d'air avec le stand de karting.
Bref, les occupations ne manquaient pas. La participation dans les diverses
titions
tait assez relev
me si le nombre d'entr
tait assez
faible, la GASP aura
la plus grande party organis
e en France au cours
de l'ann
e 95. Bravo
Eremation et DreamDealers pour
tre all
s jusqu'au
bout malgr
des probl
mes financiers.
@{fg shine}Graphisme en temps r
el@{fg text}
1- ZanyBird/Eclipse 94 pts
2- Zaltor/Ngc 68 pts
3- Antony/DreamDealers 66 pts
@{fg shine}Musique en temps r
el@{fg text}
1- Axel/JFF 103 pts
2- HardFire/Intense & Ngc 98 pts
3- Maf/Silicon 84 pts
@{fg shine}Graphisme@{fg text}
1- Zanybird/Eclipse 58 pts
2- Zaltor/Ngc 56 pts
3- Tenshu/Syndrome 53 pts
@{fg shine}Musique@{fg text}
1- Maf/Silicon 100 pts
2- Blue Silence/Ngc 74 pts
3- Fby/Soft One 74 pts
@{fg shine}Wild Competition@{fg text}
1- Zestoon & Dr.1Mips 255 pts
2- Mezcal/Mystic 223 pts
3- Darkseed 77 pts
@{fg shine}40 KB Intro@{fg text}
1- DreamDealers - WoodStock 132 pts
2- Melting Pot - On The Rush 100 pts
3- Silicon - Pulsion 96 pts
@{fg shine}Demo@{fg text}
1- Oxygene - Control 231 pts
2- Syndrome - X-Orgasm 127 pts
3- Movement - Pulp 110 pts
@{fg shine}A s s e m b l y ' 9 5@{fg text}
Pendant ce temps, se d
roulait
Helsinki (Finlande) du 10 au 13 Ao
t 95,
la fameuse Assembly'95, l'un des grands
nements de sc
mo mais qui a
malheureusement tendance
privil
gier le PC depuis deux ans... Voici
ammoins les r
sultats des concours Amiga:
@{fg shine}D
mo@{fg text}
1 Parallax - ZIF 2917 pts
2 Pygmy Projects - Logic 1950 pts
3 Stellar - Miracles 1366 pts
4 Silents - Fruit Kitchen 1224 pts
5 Juliet and Case - C42 980 pts
@{fg shine}40k Intro@{fg text}
1 Sonik - FAD 2312 pts
2 Hirmu - Hauki 1933 pts
3 Sonik - Blur 1354 pts
4 Banal Projects - Seasick 869 pts
5 C-Lous - 40k Intro 772 pts
@{fg shine}Graphisme@{fg text}
1 Visualize/Jamm 1769 pts
2 Artifec/Complex 1457 pts
3 Jogi/Mellow Chips 1285 pts
4 Visigoth/Pure Resistance 1177 pts
5 Kube/CNCD 948 pts
@{fg shine}Musique@{fg text}
1 Theseus/Anathema 1420 pts
2 Cube/Dee 1280 pts
3 Lizardking/Razor 1911 1193 pts
4 Breeze/Capacala 1080 pts
5 Oxide/Sonik 1056 pts
@{fg shine}L e s p o t i n s d e l a s c
n e@{fg text}
* Napoleon prend du recul, il a d'abord quitt
DreamDealers et ensuite
mis un terme
ses activit
s de swappeur. Son int
t pour les d
l'emp
che n
ammoins de quitter d
finitivement la sc
ne. A suivre...
* Pride/Stellar (l'un des plus anciens swappeur) abandonne la sc
Amiga.
* Selon les membres de Melon D, Thorin aurait
remerci
par Movement
et Melon Dezign.
* Absolute! organisera une party en Hongrie, la WildStock'95 les 3,4 et 5
@{fg shine}10,3 / 12 - A m i g a 2 0 0 0 / 3 0 0 0 / 4 0 0 0 T O W E R@{fg text}
Test Amiga-Magazin 10/95
Bonne solution pour qui a besoin de plus de place pour des p
riques
et lecteurs. 4000 version compl
te: DM 395, Light DM 275. 3000 version
compl
te: DM 445, Light DM 345. 2000 version compl
te: DM 445, Light DM
325. [Comp-Z].
(+) : Bon march
. Beaucoup de place. Ext
rieur
gant.
(-) : Pas de platine bus disponible. La d
pose de l'alimentation est
probl
matique. Une alimentation plus puissante est en sus.
@ENDNODE
@NODE novActuFrance " Actualit
FRANCE (11-84)"
@TOC MAIN
@{fg shine}A C T U A L I T E F R A N C E@{fg text}
@{" Les Zinzins arrivent sur Canal+ (11-84)" LINK novZinzins}
@{" ATOL (11-84)" LINK novAtol}
@{" Amiga Life (11-84)" LINK novAmigalife}
@{" CIA (11-84)" LINK novCia}
@{" Futur I Media
La Rochelle (11-84)" LINK novFuturimedia}
@{" Serveur RTC sur A600 au Mans (11-84)" LINK novRtcaumans}
@{" MIG INFORMATIQUE
Marseille (11-84)" LINK novMiginfor}
@{" Planete Amiga
Asni
res sur Oise (11-84)" LINK novPlaneteamiga}
@{" G
ration Micro sp
cialiste de l'occasion (11-84)" LINK novGenerationmicro}
@{" Prix Amiga (Innelec) (11-84)" LINK novPrixInnelec}
@{" Top Wave Volume 1 (11-84)" LINK novTopwavevol1}
@ENDNODE
@NODE novZinzins "Les Zinzins arrivent sur Canal+ (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}@{" L e s Z i n z i n s " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/ZinZin1.8c"} @{" a r r i v e n t " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/ZinZin2.8c"} @{" s u r " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/ZinZin3.8c"}
@{" C a n a l + " SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/ZinZin4.8c"}@{fg text}
Pierre Bouchon de Rennes est le cr
ateur de @{"Zinzins" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/Zinzin.16c"}, une s
rie de dessins
s de 30 secondes qui seront diffus
s bient
t sur Canal + en clair,
raison d'un
pisode par jour pendant un mois.
La s
rie a
enti
rement r
e sur Amiga, et de plus, sur un
riel classique: Amiga 3000 non gonfl
avec des logiciels de base comme
DSS, DPaint4, et Vid
omaker. La seule exception concerne une carte GVP
Vision24 utilis
e pour le transfert vers le standard B
tacam num
rique.
Tous les dessins ont
s directement sur l'Amiga avec une
tablette graphique.
Pierre Bouchon est r
alisateur de films d'animations depuis environ deux
ans, et l'Amiga le suit depuis son premier A500. L'Amiga est utilis
plupart du temps en animation pour le "line-test" (tests d'animations) mais
, dit-il, on peut aussi s'en servir pour r
aliser des programmes
entiers et de plus, diffus
s sur une chaine nationale! Les dates et heures
exactes de diffusion ne sont pas encore annonc
es. (Production: Lazennec
Bretagne).
@ENDNODE
@NODE novAtol "ATOL (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}A T O L@{fg text}
licitations
l'association Ambitious Team of Learning (ATOL) du Mans
pour son @{"journal N
8" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/Atol.8bt"}, plein d'articles int
ressants: dossiers sur le MPEG,
les players d'animations (les formats Mac et PC compris), et l'histoire des
machines Amiga, du 1000 au Draco en passant par la fictive A2200 de la
canadienne Computer Answers. On y trouve
galement une revue de la
presse PC.
Adresse: @{fg shine}Association ATOL, 67 rue Nationale, 72000 Le Mans
contact William Laurent, 43 23 43 57@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novAmigalife "Amiga Life (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}A m i g a L i f e@{fg text}
Cette fanzine traite surtout des 1200 et CD32. Ils annoncent maintenant
diter mensuellement, sortie du num
ro 2.
@{fg shine}Toujours 15F, chez Mathieu Chenebit, 70 rue Marcel Cachin, 03410
Domerat.@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novCia "CIA (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}F
t e r l e s 1 0 a n s d e l ' A m i g a e n B e l g
i q u e@{fg text}
Yanik Dhont de Molenbaix en Belgique nous communique: "J'organise avec
mon club informatique, le CIA, une @{"foire Amiga" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicNOVEMBRE/Foire.16c"} pour f
ter les dix ans de
l'Amiga et sa renaissance, et pour r
unir les adeptes
une foire de ce
style qui manque cruellement dans les environs.
La foire aura lieu au 50 rue St-Pierre
Mouscron le 25 et 26 novembre.
Il y aura des concours jeux en null-modem, toutes les machines Amiga en
exposition, des professionnels et des clubs, tout
a sur 30m2. Prix de
l'entr
e: 120FB ou 20FF.
La foire est pr
e en collaboration avec Jean-Pierre Vanbostal, qui
organisait la foire Amiga annuelle
Tournai, foire qui est en suspens pour
l'instant.
@ENDNODE
@NODE novFuturimedia "Futur I Media
La Rochelle (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}L a R o c h e l l e : d
c o l l a g e d e F u t u r I M
e d i a@{fg text}
Que devient une association de passionn
s d'Amiga, de son, d'image et de
l'aube de la renaissance de l'Amiga?
A La Rochelle, en tout cas, la r
ponse est:
Futur I Media
Cette jeune soci
Rochelaise a
e par Jean Michel Laveissiere et
Cyril Segot, deux des membres de l'association Synthetic Art (association
Cantalienne dont l'objet principal est la cr
ation de spectacles
nementiels audiovisuels assist
s par Amiga).
Distributeurs agr
s des produits Amiga, Draco, Escom et Silicon
Graphics, ils ont d
de se sp
cialiser dans les solutions multimedia.
@{fg shine}Futur I Media, rue de la Perruche, Quartier Sextant-Les Minimes
17000 La Rochelle. T
l 46 45 16 16, FAX 46 45 14 00@{fg text}
@ENDNODE
@NODE novRtcaumans "Serveur RTC sur A600 au Mans (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}L e M a n s : u n s e r v e u r R T C s u r A m i g a 6
0 0@{fg text}
David Tertre, 17 ans, nous fait part de l'ouverture de son service
minitel Maurice au 43 86 64 03 au Mans. Au menu: bals, rubrique petites
annonces, pronos turf, clubs, jeux, infos, serveur X et encore pleins de
trucs. Ne t
phonez pas tous
la fois car Maurice tourne sur l'A600 de
David.
@ENDNODE
@NODE novMiginfor "MIG INFORMATIQUE
Marseille (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}M a r s e i l l e : M I G d
n a g e@{fg text}
MIG INFORMATIQUE d
nage pour mieux vous accueillir. La nouvelle adresse
du magasin est 20 rue Consolat, 13001 Marseille. T
l 09 55 77 13 et 91 50
22 55, FAX 91 50 24 23. On y trouve tous les p
ripheriques Amiga et PC-
compatible et aussi les nouveaux Amiga Made in Amiga Technologies.
@ENDNODE
@NODE novPlaneteamiga "Planete Amiga
Asni
res sur Oise (11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}A s n i
r e s s u r O i s e : p l a n e t e A m i g a@{fg text}
A partir du 7 Octobre, un showroom Plan
te Amiga est ouverte
61 Grande
Rue, 95270 Asni
res sur Oise. Nouveaux num
ros: T
l 34 09 34 89, FAX 34 09
34 90.
@ENDNODE
@NODE novGenerationmicro "G
ration Micro sp
cialiste de l'occasion
(11-84)"
@TOC novActuFrance
@{fg shine}E n c o r e d e l ' o c c a s e . . .@{fg text}
ration Micro est un sp
cialiste de l'occasion r
cemment install
dans
le sud de Paris. Avant d'etre revendus tous les mat
@{"Dust 2.2" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Dust1.256"} est une sorte de @{"langage de programmation" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Dust2.256"} (type ARexx)
permettant de cr
er des effets sp
ciaux en 3D (lissage, morphing,
particules, vagues, etc) pour Imagine et Lightwave (support direct).
anmoins, ce programme est r
une certaine
lite car il faut
fois
l'aise en programmation et avoir un gros syst
me (au moins 10
Mo de Ram et au moins 100 Mo d'espace libre sur le disque dur).
Dare2Imagine, est une doc au format amigaguide ayant pour but de r
pondre
toutes vos questions sur Imagine. Doc anglaise uniquement.
Showobj 2.2, permet de voir les objets Imagine-Lightwave, sans avoir
charger l'un ou l'autre programme. Tr
s utile pour trier les objets.
cessite MUI.
ImageStudio 2.2, c'est l'ADPro du DP! Il permet de convertir et de
manipuler de nombreux formats d'images m
me avec un Amiga modeste, puisque
seulement 1 Mo de RAM sont requis! Pour ceux-ci, le programme g
re la
moire virtuelle sur disque dur (donc il faut quand m
me un disque dur).
Le programme g
re les images en 24 bits, poss
de 100 niveaux Undo/Redo, et
accepte des tailles d'images allant jusqu'
32 000 x 32 000 pixels.
anmoins, la version non enregistr
e fournie est limit
512 x 512
pixels.
Image Ingeneer 2, programme concurrent
ImageStudio pour la manipulation
d'images. Moins performant que son homologue, il est toutefois totalement
libre de tous droits (freeware). Il est n
cessaire de pos
der la
ReqTools.library ainsi que la SuperView.library. Au point de vue syst
il faut avoir au moins un 68020 et 4 Mo de RAM.
ChaosPro 2, une excellent g
rateur de fractales Julia, Mandel,
Lyapunov, Plasma, IFS, etc. Programme multi-fen
tre, il permet les
animations, la trabnsformation en 3D et la sauvegarde en 24 bits. N
cessite
au moins un 68020, son coprocesseur et "assez" de RAM.
ImageDesk 2, permet de cr
er des @{"catalogues de vos images" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Imagedesk.24b"} en g
rant des
sentations miniatures de celles-ci. Un double-clic sur l'une des
miniatures, affiche l'image s
lectionn
e. De nombreux formats d'images sont
support
s. Il est n
cessaire d'avoir au moins le Wb 3.0, d'avoir la
possibilit
d'afficher 256 couleurs et d'avoir au moins 4 Mo de RAM.
Shareware.
@{fg shine}D i v e r s@{fg text}
Pour apprendre le japonais,
muler un Macintosh II (ShapeShifter 3.1),
obtenir une belle calculette avec tra
age des fonctions, voir et apprendre
les runes Celtiques; allez dans le r
pertoire Misc (Divers).
@{fg shine}M u s i q u e@{fg text}
Le r
pertoire Musique (Mus) met
disposition un nombre important de
programmes musicaux. On y trouve en autres, une d
mo de nouveau tracker AON
(Art of Noise), le @{"tracker 16 bits" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Symphonie.4c"} Symphonie, OctaMed Pro 4, plusieurs
versions Protracker AGA. Egalement fournis Multisample pour
@{"convertir les formats" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Multisample.8c"}
chantillons sonores (Amiga, ST et PC), et XModule pour convertir et
diter les divers formats de modules.
@{fg shine}T e x t e@{fg text}
Dans le r
pertoire Texte est fourni un superbe dictionnaire compatible
avec tout
diteur de texte (non v
)! Ce fabuleux programme se nomme
Alpha Spell et les dictionnaires sont fournis dans de nombreuses langues:
africain, allemand, anglais, danois, espagnol, fran
ais, latin, norvegien
et su
dois. A noter
galement la pr
sence d'Easy Guide, pour cr
er tr
facilement des documentations au format AmigaGuide.
@{fg shine}U t i l i t a i r e s@{fg text}
Dans le r
pertoire Utilitaires (utils) sont stock
s tous ces programmes
qui personnalisent le workbench et l'utilisation de l'Amiga. Des
archiveurs, des scripts Arexx ou non, des
conomiseurs d'
crans, des
horloges, de nouvelles commandes CLI, des commodit
s, des DataTypes, des
nouveaux shell, des anti-virus, des gestionnaires de fichiers, etc. Une
vraie mine
prospecter minutieusement pour id
aliser votre environnement.
pertoire est incontournable!
@{fg shine}Alain PIEDNOEL
pertoires g
raux des deux derniers CD Aminet
Type Taille Aminet 8 Taille Aminet 7@{fg text}
@{fg shine}Bureautique@{fg text} 23 Mo 25 Mo
@{fg shine}Communications@{fg text} 55 Mo 30 Mo
@{fg shine}D
mos@{fg text} 77 Mo 50 Mo
@{fg shine}Programmation@{fg text} 59 Mo 10 Mo
@{fg shine}Outils disques@{fg text} 5 Mo 1 Mo
@{fg shine}Documents@{fg text} 18 Mo 15 Mo
@{fg shine}Jeux@{fg text} 66 Mo 55 Mo
@{fg shine}Graphisme@{fg text} 57 Mo 40 Mo
@{fg shine}Relatif au mat
riel@{fg text} 1 Mo 1 Mo
@{fg shine}Divers@{fg text} 39 Mo 40 Mo
@{fg shine}Modules@{fg text} 500 Mo 110 Mo
@{fg shine}Musique@{fg text} 10 Mo 10 Mo
@{fg shine}Images@{fg text} 111 Mo 500 Mo
@{fg shine}Outils texte@{fg text} 10 Mo 15 Mo
@{fg shine}Utilitaires@{fg text} 32 Mo 20 Mo
@ENDNODE
@NODE decNewsvideo " News VIDEO (12-85)"
@TOC MAIN
@{fg shine}N E W S V I D E O@{fg text}
@{" AMIGA (12-85)" LINK decAmiga}
@{" SPECIAL SATIS (12-85)" LINK decSpesatis}
@ENDNODE
@NODE decAmiga " AMIGA (12-85)"
@TOC decNewsvideo
@{fg shine}A M I G A & V I D E O@{fg text}
@{" PROFESSIONAL LINE ELECTRONIC DESIGN (12-85)" LINK decProline}
@{" CAVIN ELECTRONIC DESIGN (12-85)" LINK decCavin}
@ENDNODE
@NODE decProline " PROFESSIONAL LINE ELECTRONIC DESIGN (12-85)"
@TOC decAmiga
@{fg shine}P R O F E S S I O N A L L I N E E L E C T R O N I C D E S I
G N@{fg text}
Ce codeur vid
o peut recevoir une source vid
o informatique RVBSYNCHRO
15Khz provenant d'un PC, d'un MAC ou d'un AMIGA. Au format rack 19", il est
vu pour travailler en environnement broadcast et dispose en sortie de
signaux RVB synchro, YUV, YC et vid
o composite. Ce codeur,
@{"con
u pour s'intercaler dans une r
gie" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Proline.16c"}
, peut recevoir une synchro externe, et devrait
tre propos
aux alentours
de 13000F.
@ENDNODE
@NODE decCavin " CAVIN ELECTRONIC DESIGN (12-85)"
@TOC decAmiga
@{fg shine}C A V I N E L E C T R O N I C D E S I G N@{fg text}
Dans la lign
e de Vid
o Director, mais @{"beaucoup plus complet" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Cavin.16c"}, Cavin de
ProDad est un bo
tier externe qui remplace une table de montage
A la fronti
re du mat
riel professionel puisque il peut tout aussi bien
commander un lecteur de type BRS822 (S-VHS PRO), qu'une V5000 SONY. Les
protocoles reconnus sont Control L, Panasonicedit, RS232, RS422, et infra
rouge. De m
me pour les Timecodes, puisque l'on peut lire du VITC, RCTC,
RAPID et il devrait s'ouvrir sur d'autre protocoles.
Le logiciel ou timeline g
re diff
rents p
riques (CDROMS, cartes
graphiques, et genlocks de la marque ( SIRIUSII et Neptune)), les ins
d'image ou d'animation AMIGA, les Formats Clarissa et Monument Titler
(titreur concurrent du vieillissant Broadcast Titler). Le logiciel int
la gestion d'un lecteur CDAudio, d'une carte son, ou d'un son g
par
l'Amiga.
@ENDNODE
@NODE decSpesatis " SPECIAL SATIS (12-85)"
@TOC@TOC decNewsvideo
@{fg shine}S P E C I A L S A T I S@{fg text}
@{" Vid
oNics (FVS) (12-85)" LINK decVideonics}
@{" FAST TECHNOLOGIE MOVIE MACHINE II (12-85)" LINK decMoviemachine}
@{" SILICON GRAPHICS (12-85)" LINK decSilicongfx}
@{" AVID (12-85)" LINK decAvid}
@{" Zoom CANON (12-85)" LINK decZoomcanon}
@{" ALLADIN de PINNACLE (12-85)" LINK decAlladin}
Comme vous l'aurez bien compris et ceci par manque de place, nous n'avons
pu parler de tous les produits pr
s. En conclusion nous pouvons
retenir que ce salon a laiss
une "bouff
e" d'optimisme concernant un
marrage du march
de la vid
o qui, il faut bien le reconna
tre,
tait
t mal en point, il y'a encore un an. Aussi ce SATIS a
l'occasion
pour ces participants (exposants comme visiteurs), de faire le point sur
les futures
volutions des formats num
riques.
Gageons que l'ann
e prochaine cette question ne se posera plus.
Concernant l'avenir de l'Amiga dans le monde de la vid
o, nous esp
rons ne
plus avoir
"montrer du doigt" un Amiga cach
honteusement sous un stand
(surtout sur le stand d'un importateur de produits Amiga), et voir
fonctionner au m
me titre qu'un PC ou un Macintosh des solutions
professionnels.
@ENDNODE
@NODE decVideonics " Vid
oNics (FVS) (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}V i d
o N i c s ( F V S )@{fg text}
Pour revenir au Satis
Paris (voir reportage dans AmigaNews du mois
dernier), Videonics pr
sentait sa cha
ne de montage EDIT SUITE+MX1 et AB1.
Cet ensemble, con
u pour un usage amateur, peut malgr
tout s'int
grer
dans un environnement institutionnel SVHS ou HI8. Il comporte trois
ments (fonctionnant aussi de fa
on ind
pendante):
- la table d'effets MX1, une r
gie de mixage Pal composite/YC, avec
quatre entr
es, 200 effets, et en plus les fonctions d'unTBC.
- La table de montage @{"edit suite" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Editsuite.8bt"}, qui g
re quatre lecteurs et un
toscope enregistreur, et presque tout p
rique
de controle-
L, controle-M, RS232C et RS422A . Elle peut transf
rer le montage (EDL)
sur PC/MAC et AMIGA.
- Le titreur TITLE MAKER 2000, un g
rateur d'
criture, dispose de 23
polices, et de nombreux effets. Il est compatible GPI.
Toutes ces interfaces sont con
us pour travailler au format PAL
YC/Composite. Les prix se situent entre 6000F et 10000F.
@ENDNODE
@NODE decMoviemachine " FAST TECHNOLOGIE MOVIE MACHINE II (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}F A S T T E C H N O L O G I E M O V I E M A C H I N E I I@{fg text}
Nomin
e au SATISFECIT, @{"cette carte" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Movie.24b"} fonctionne sur PC et int
gre pour un
prix relativement modique (environ 5000F) un m
langeur vid
o temps r
avec des fonctions de regie d'effets (fondus, PIP, Zoom, retournement Luma
et croma Keying), des fonctions de genlock, et un digitaliseur temps r
La fen
tre d'incrustation s'affiche en 1280x1024 et les deux entr
es vid
externes re
oivent des sources composites ou YC, en PAL/SECAM et NTSC. Le
format de num
risation est en 4:2:2 et le format de sortie est en PAL
YC ou composite. Parmi les autres fonctions, cette carte int
gre un
tuner TV, et peut recevoir au choix deux cartes filles:
- une carte de compression/d
compression M-JPEG permettant le montage non
aire avec un logiciel de montage
- une carte MPEG pour la d
compression MPEG1. Cette carte permet la
lecture de vid
o CD. La Movie Machine est propos
e aussi en version PCI
32BITS.
@ENDNODE
@NODE decSilicongfx " SILICON GRAPHICS (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}S I L I C O N G R A P H I C S@{fg text}
SG et AVID TECHNOLOGY commercialiseront prochainement une station de
travail SG
e du logiciel de montage vid
o AVID.
@ENDNODE
@NODE decAvid " AVID (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}A V I D@{fg text}
La version 5.5 de mediacomposer
enfin
crit en mode natif pour
PowerMac et est interfacable avec le module Alladin (sic) de PINNACLE.
Mediasuite Pro a aussi
crit en mode natif.
@ENDNODE
@NODE decZoomcanon " Zoom CANON (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}C A N O N@{fg text}
Canon pr
sentait son nouveau zoom
stabilisateur d'image int
J13*9.
Le syst
me de stabilisation
prisme variable est log
dans l'objectif et
analyse en temps r
el les variations d'angle, constat
es par des capteurs.
Il calcule les corrections n
cessaires et les retransmet au prisme VAP qui
tabli la perpendicularit
@ENDNODE
@NODE decAlladin " ALLADIN de PINNACLE (12-85)"
@TOC decSpesatis
@{fg shine}A L L A D I N ( s i c * ) d e P I N N A C L E@{fg text}
@{"Cette interface" SYSTEM "FASTVIEW AmigaNews:PicDECEMBRE/Alladin.16c"} remplace dans une m
me station informatique (Macintosh ou
PC) tous les
ments int
s habituellement dans une r
gie de
postproduction d'effets sp
ciaux. Cette carte, qui rappelle sur certains
points le Video Toaster, regroupe:
- Un m
langeur 7 entr
es (4 en PAL YC/COMPOSITE ou RGB/YUV) avec barre
programme_preview et deux bus d'incrustation offrent ainsi un choix pour
des images fixes stock
es dans la m
moire-tampon. La carte g
re quatre
couches vid
o ind
pendantes, les fonctions d'incrustation
tant accessibles
sur les deux premiers bus .
- Un g
rateur d'effets sp
ciaux 3D temps r
el autorisent toutes sortes
d'effets comme les classiques "tournets de page" mais aussi pliures,
torsions, gouttes d'eau, sph
res, ombres port
es, compression et bien
d'autres effets cumulables entre eux et modifiables.
- Un g
rateur de caract
res: fourni avec la derni
re version de
Inscriber, il utilise des policesTrue Type et Adobe.
- Une librairie d'images fixes: cette biblioth
que permet de classer des
images fixes, et se veut d'un acc
s direct.
- Une palette graphique 32 bits fa
on TVPAINT qui permet les retouches
d'images avec une gestion de l'alpha channel. L'importation de fichiers est